Les difficultés de la Première République

Bonjour à tous,

Dites moi s'il vous plait quelles sont les difficultés que la Première République a rencontré ?

Merci

L'ambiance n'était pas des plus calmes.

Puis elle était trop instable.

J'saurais pas te donner comme ça un détail.

Bonsoir Jedino, j’espérais trouver une réponse plus précise, mais merci anyway :D

Disons que la Ière République est née en même temps que la belle période qu'est la Terreur. Tu dois voir ce que c'est, je pense.

Il y a eu de nombreux changements à la tête de l'Etat. Pas mal d'exécutés, aussi.

Jusqu'à l'arrivée de Bonaparte, en gros, en 1799, et le Consulat.

Après, j'suis pas certain de l'exactitude de tout ça. J'voudrais pas dire de conneries.

Mais, c'était pas stable, non.

La Première République met un terme à la monarchie constitutionnelle qui a été mise en place à partir de 1790.

Avec la République, le roi n'a plus aucun pouvoir politique.

L'un des problèmes auquel du faire face la République naissante, en plus de devoir se faire accepter par les autres États européens (qui était tous monarchique, à l'exception de la Hollande) mais également de faire accepter par la population française qui était très attaché à la personne royale, sans oublier les émigrés qui lutter pour combattre la France révolutionnaire qui était contre-nature à leurs yeux.

Noisettes, je constate donc que la querelle entre les royalistes et les républicains fait partie de ces problèmes.

Merci pour vos réponses ^^

C'est plus complexe que cela.

Pour les royaliste, le pouvoir du roi a une origine divine et l'état de la société est voulu par Dieu. Et vouloir changer cela est une hérésie.

Pour les républicains, le pouvoir politique doit être exercé par les représentants du peuple choisis par le peuple.

Cependant, les Républicains étaient loin, au départ, d'être des anti-royalistes, au contraire, car dans un premier temps, il a été mis en place une monarchie constitutionnelle ou le roi avait des pouvoirs, mais limité par rapport à celui de la monarchie absolue (absolue voulant dire être délier de tout compte auprès du monde terrestre).

Mais entre la retour de la famille avec son échec de fuite, en juin 1791 et la chute de la monarchie en août 1792, il n'était pas question de se séparer de la famille royale.

Et d'un point de vue européen, la République mise en place en France pouvait mettre à mal les autres monarchies européenne. Et à ce titre, la France était un danger pour l'équilibre européen de l'époque.

Disons que la Ière République est née en même temps que la belle période qu'est la Terreur. Tu dois voir ce que c'est, je pense.

Il y a eu de nombreux changements à la tête de l'Etat. Pas mal d'exécutés, aussi.

Jusqu'à l'arrivée de Bonaparte, en gros, en 1799, et le Consulat.

Après, j'suis pas certain de l'exactitude de tout ça. J'voudrais pas dire de conneries.

Mais, c'était pas stable, non.

La République date de septembre 1792 et la Terreur fin 1793.

La République prend fin avec l'instauration de l'Empire en 1804.

c'est plus clair, merci Noisettes

Les difficultés de la première république ? C'est la Vendée, c'est le meurtre de milliers de gens parfois juste sur une dénonciation non vérifié ; c'est le parti unique etc...

C'est le communisme quoi... Staline, Lenine , Mao... etc... ne feront rien d'autre de se qu'ont fait Robespierre et Saint-Just.

Bonjour à tous,

Dites moi s'il vous plait quelles sont les difficultés que la Première République a rencontré ?

C'est pour un devoir ?

non c'était la question de mon examen, et vu que je n'ai pas su répondre , j'ai préféré poser la question

En même temps, tous les États européens ne sont pas devenus républicains, mais tous sans exception ont vidé de leur substance le pouvoir monarchique, qui reste exclusivement un pouvoir représentatif d’ordre symbolique.

Les Français, qui ne sont pas à une contradiction prête, ont été pratiquement les seuls à décapiter leur roi et leur reine en Europe, et restent majoritairement des admirateurs nostalgiques de la représentation monarchique des États voisins.

Il ne vous a pas échappé sans doute, que je n’appartiens pas à cette majorité nostalgique.