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L'usager devrait payer plus pour financer les transports


Invité David Web

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Invité David Web
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Invité David Web
Invité David Web Invités 0 message
Posté(e)

L'usager devrait payer plus pour financer les transports

Alors que le trafic des transports urbains explose, un rapport préconise une hausse des tarifs pour financer le développement des infrastructures.

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Dans un rapport publié ce mardi, l'Institut Montaigne plaide pour une hausse des tarifs des transports publics pour financer leur fonctionnement et leur développement. Crédit: François BOUCHON / Le Figaro.

Les transports publics en France sont «à bout de souffle». Dans un rapport publié ce mardi, l'Institut Montaigne tire la sonnette d'alarme sur le risque de dégradation des infrastructures et des services, tant ferroviaires que routiers. «Les administrations publiques, que ce soit l'État ou les collectivités territoriales, financent à plus de 70% les réseaux de transports collectifs», explique au figaro.fr François Goulard, président du conseil général du Morbihan et ancien secrétaire d'État aux Transports, qui a coordonné ce rapport. Les régions consacrent ainsi près de 4 milliards d'euros par an aux transports urbains. «Dans le contexte budgétaire actuel, les finances publiques ne pourront pas assumer le développement nécessaire d'un réseau largement saturé dans plusieurs régions.»

Rien qu'en Ile-de-France, par exemple, le trafic ferroviaire a augmenté de 25 % entre 2000 et 2010, alors que l'offre commerciale ne s'est étoffée que de 7 %. Et la SNCF prévoit une explosion de 60% du nombre de voyages d'ici à 2030 (de 2,8 millions par jour à 4,5 millions). «Cette demande va nécessiter de lourds investissements de capacité pour lesquels il est urgent de trouver d'autres sources de financements», souligne François Goulard. Cet effort pourra difficilement être demandé aux entreprises qui ont déjà subi l'augmentation régulière du Versement transport (VT), un prélèvement qui aide à financer les transports utilisés par les salariés pour rejoindre leur lieu de travail. Cet impôt a rapporté 6,1 milliards d'euros en 2010, dont la moitié pour la seule région Ile-de-France. Laurence Parisot, la présidente du Medef, s'est dite «scandalisée» ce mardi par la hausse de ce prélèvement.

Lire la suite (Le Figaro)

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Membre, 82ans Posté(e)
papy75 Membre 6 062 messages
Baby Forumeur‚ 82ans‚
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Le transport devient une priorité que la crise pour le moment oblige de freiner les dépenses .Les chômeurs sont les premières victimes et hésitent de travailler au SMIG vu qu'avec le prix des transports ajoutés ,ils préfèrent rester chez eux et toucher le chômage ou ils sont gagnants ???alors si on augmentent encore le prix du billet ,ce qui va arriver le gv sera obligé de faire comme l"Allemagne qui diminue de 100 euros l'allocation de chômage a chaque fois que le chômeur refuse une place proposée par l'anpe.

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Membre, 44ans Posté(e)
Gardiane Membre 1 068 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)

Je ne comprends pas trop ... les compagnies qui utilisent ces voies n'hésitent pas à augmenter leurs tarifs. Parfois même, c'est totalement exagéré ( je pense à la SNCF avec le Paris / Lille dont le tarif est surelevé côté coût / km ). Pourquoi les taxes ne se reportent elles pas sur les compagnies qui utilisent les infrastructures plutôt que sur les usagers qui paient déjà les hausses de tarifs ?

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Membre, 42ans Posté(e)
carnifex Membre 5 710 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)

L'usager devrait payer plus pour financer les transports

Les transports publics sont un bienfait pour la nation, son économie, son écologie, la qualité de la vie des citoyens.

Ils doivent être développés, et leur utilisation doit être encouragée, et non découragée comme c’est le cas aujourd’hui.

On pousse aujourd’hui financièrement les gens à préférer l’automobile ou l’avion au train. C’est absurde.

Beaucoup trop de gens n’ont d’autre choix que d’acheter une automobile. C’est absurde.

Il faut au contraire réduire substanciellement les prix des transports publics, voire instaurer la gratuité, pour les trajets intra-urbains.

Bien sûr, cela signifie que ce qui n’est pas financé par l’usager doit l’être par l’impôt. Mais c’est précisément le rôle de l’impôt de financer des dépenses particulièrement utile à la collectivité dans son ensemble, dans l’intérêt du plus grand nombre.

Le gouvernement vient d’annoncer récemment la création d’un nouveau crédit d’impôt de 20 milliards par an au profit des entreprises. Payons-nous des impôts pour qu’ils soient distribués aux actionnaires des entreprises capitalistes, ou pour financer des services publics ?

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Membre, Ne se refuse rien, 36ans Posté(e)
cricket Membre 3 815 messages
36ans‚ Ne se refuse rien,
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Dans un rapport publié ce mardi, l'Institut Montaigne plaide pour une hausse des tarifs des transports publics pour financer leur fonctionnement et leur développement.

Voilà personnellement je m'arrête ici...

Je sais d'avance que je ne serais pas convaincue.

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Membre, 30ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

On est clairement dans la préparation de la privatisation complète des chemins de fer, puisque le but n'est plus de servir les citoyens mais de ne plus faire trop de pertes ( notion de rentabilité).

La Commission Européenne va publier en décembre le 4 ème paquet ferroviaire, càd un ensemble de directives encourageant la privatisation du rail.

Faut-il y voir un rapport ?

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Membre, 64ans Posté(e)
caprepublic Membre 421 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

"une explosion de 60% du nombre de voyages d'ici à 2030 (de 2,8 millions par jour à 4,5 millions)."

Avec un tel nombre d'usagers les contribuables et les usagers sont pratiquement les mêmes.

Par contre faire payer les usagers poussera certains à ne pas utiliser ces équipements publics.Ceci augmenterait le cout public par kilometre passager puisque il y aura moins de passagers.La gratuité des transports optimise ce cout par kilomètre passager en favorisant la fréquentation malgré un surcout de financement.

les décisions politiques sont prises ,normalement ,pour atteindre des objectifs.Si l'objectif est de promouvoir les transports collectifs à la place de l'automobile polluante il faut financer le transport public par l’impôt et taxer les automobiles en milieu urbain.( ça c'est déjà fait)

Un service public privatisé est soi disant mieux géré mais aux bénéfices des actionnaires qui profitent de leur situation de monopole vis à vis des usagers:voir les autoroutes,gdf.

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Invité Syfher
Invités, Posté(e)
Invité Syfher
Invité Syfher Invités 0 message
Posté(e)

C'est quoi l'institut Montaigne ?

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Membre, 32ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Le problème c'est que les contribuables et les usagers ne sont pas la même personne ou il faut le prouver et le nombre de voyage (je reprend le chiffre de 2,8 m par jour) étant inférieur à la population active l'hypothèse n'est pas valide.

On reporte donc le coût d'un moyen de transport sur ceux qui ne l'utilisent pas.

Prenons l'hypothèse que la voiture est favorisée comme je l'ai vu. L'essence est taxée, l'accès y est difficile réglementairement (permis) et non permanent (retrait de permis en hausse), l'usage de la voiture peut présenter des coûts imprévus (pv en hausse aussi d'ailleurs) entre autres. L'hypothèse est donc non valide, l'usage de la voiture n'est pas favorisé car les coûts d'utilisation sont augmentés artificiellement.

On a donc d'un coté les transports publics dont les coûts pour les usagers sont pris en partie en charge par le reste de la population et de l'autre la voiture (et généralement les transports individuels) dont les coûts sont augmentés par la réglementation.

Au final je poserai la question: Pourquoi ce comportement? Pourquoi favoriser les transports collectifs sur les transports individuels? A t'on la preuve empirique de l'avantage des uns sur les autres?

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Membre, 30ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

Le problème c'est que les contribuables et les usagers ne sont pas la même personne ou il faut le prouver et le nombre de voyage (je reprend le chiffre de 2,8 m par jour) étant inférieur à la population active l'hypothèse n'est pas valide.

Tout le monde profite indirectement de ce service public.

Si je prends la voiture, il y aura moins de monde sur la route grâce à la SNCF et le métro . Il me semble logique qu'il faut payer un peu pour cet avantage.

On reporte donc le coût d'un moyen de transport sur ceux qui ne l'utilisent pas.

Prenons l'hypothèse que la voiture est favorisée comme je l'ai vu. L'essence est taxée, l'accès y est difficile réglementairement (permis) et non permanent (retrait de permis en hausse), l'usage de la voiture peut présenter des coûts imprévus (pv en hausse aussi d'ailleurs) entre autres. L'hypothèse est donc non valide, l'usage de la voiture n'est pas favorisé car les coûts d'utilisation sont augmentés artificiellement.

C'est une bonne politique de décourager l'utilisation de la voiture, l'inverse serait tout simplement irresponsable au vu des problèmes climatiques.

Encourager les services publics de transports est par contre responsable puisqu'ils sont plus écologiques.

On a donc d'un coté les transports publics dont les coûts pour les usagers sont pris en partie en charge par le reste de la population et de l'autre la voiture (et généralement les transports individuels) dont les coûts sont augmentés par la réglementation.

Au final je poserai la question: Pourquoi ce comportement? Pourquoi favoriser les transports collectifs sur les transports individuels? A t'on la preuve empirique de l'avantage des uns sur les autres?

Si ce n'était que par volonté de lutter contre la réchauffement climatique...

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Membre, 32ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Je peux renverser la logique, tout le monde profite dans les transports collectifs des transports individuels, si je prends le train ou le bus, il y aura moins de monde grâce à ceux qui utilisent la voiture. Et augmenter la fréquence n'est pas toujours possible, à Bordeaux le matin le tram est bondé et augmenter la fréquence revient à ce que les trams se suivent les uns et les autres ce qui diminuerait leur vitesse.

Sans débattre de la réalité ou de la gravité des problèmes climatiques, les transport en commun ne sont pas forcément plus efficaces énergétiquement que les transports individuels, si un bus a un taux d'usage faible, il devient plus polluant qu'une voiture. Il faut donc qu'il y ait beaucoup de personnes voulant emprunter le même trajet au même moment, ce qui est assez difficile à réaliser, vouloir imposer les transports en commun partout est un non sens, on ne va pas affréter un train (ni un bus) pour les 3/4 mecs qui vivent à Trifouillis les Oies et qui en plus ne veulent pas aller au même endroit (donc plusieurs bus?).

Vouloir forcer une solution unique est inutile, on ne peut standardiser les besoins (une autre des raisons pour laquelle une économie planifiée ne pourrait pas fonctionner d'ailleurs). Un mix des deux me parait raisonnable et les transports en communs sont pour moi plus utiles là où il y a un fort besoin de déplacement (donc forte densité, typiquement les villes).

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Membre, 30ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

Je peux renverser la logique, tout le monde profite dans les transports collectifs des transports individuels, si je prends le train ou le bus, il y aura moins de monde grâce à ceux qui utilisent la voiture. Et augmenter la fréquence n'est pas toujours possible, à Bordeaux le matin le tram est bondé et augmenter la fréquence revient à ce que les trams se suivent les uns et les autres ce qui diminuerait leur vitesse.

Et tu les récompenses comment ?

Dans le cas inverse, on peut récompenser ceux qui prennent les transports en commun ( en proposant des prix bon marché financées par l’impôt)

Sans débattre de la réalité ou de la gravité des problèmes climatiques, les transport en commun ne sont pas forcément plus efficaces énergétiquement que les transports individuels, si un bus a un taux d'usage faible, il devient plus polluant qu'une voiture.

D'où l’intérêt de proposer des transports bon marché et de qualité afin d'attirer un maximum de gens.

Il faut donc qu'il y ait beaucoup de personnes voulant emprunter le même trajet au même moment, ce qui est assez difficile à réaliser, vouloir imposer les transports en commun partout est un non sens, on ne va pas affréter un train (ni un bus) pour les 3/4 mecs qui vivent à Trifouillis les Oies et qui en plus ne veulent pas aller au même endroit (donc plusieurs bus?).

Evidemment c'est difficile. Cependant, il faut à tout prix maintenir des bus scolaires le matin pour les enfants à la campagne.

La voiture sera toujours nécessaire à la campagne.

En outre, cette problématique montre l’intérêt d'une organisation du territoire par l'Etat ( afin d'éviter d'avoir des maisons isolées et tout ça ) plutôt que par l'anarchie.

Vouloir forcer une solution unique est inutile, on ne peut standardiser les besoins (une autre des raisons pour laquelle une économie planifiée ne pourrait pas fonctionner d'ailleurs). Un mix des deux me parait raisonnable et les transports en communs sont pour moi plus utiles là où il y a un fort besoin de déplacement (donc forte densité, typiquement les villes).

On est d'accord.

( je suis content que vous soyez de retour sur le forum ceci dit en passant wink1.gif)

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Membre, 32ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

On peut faire la même chose qu'avec les transports en communs, on peut subventionner les voitures ou l'essence (quoique dans ce cas baisser les taxes suffise).

Ensuite même si les transports en communs sont bon marché et de qualité cela ne veut pas dire qu'ils sont utilisés.

Les bus scolaires je les ais pris 4 ans pour aller au collège et je ne les ais pas pris pour aller au lycée car ils passaient trop top (vers 7 h du matin je crois). C'est ma mère qui m'amenait en voiture.

Cette problématique montre surtout que quand l'état veut organiser un truc (les transports en commun) il se crée d'autres problèmes (gestion des territoires pour réduire les coûts des transports en commun) et encore c'est sans compter le travail ou les activités nécessitant les transports en commun. Typiquement on ne va pas faire passer une ligne de bus 10 fois dans la journée (ce qui est encore peu si on veut se déplacer quand on veut) dans un village de 350 habitants, pourtant les individus ont des contraintes horaires spécifiques. Il faut alors standardiser les besoin (comme fait précédemment avec la gestion du territoire), bien sûr plus on s'engage dans ce sens plus il devient couteux d'arrêter et vu qu'on parle d'un état (qui peut perdurer indéfiniment) et pas d'une entreprise privée (qui fait faillite si elle fait n'importe quoi), il est plus couteux de revenir sur une décision que de la laisser en place, ce qui fait qu'au bout d'un moment les problèmes d'organisation en entrainant d'autres on se retrouve avec un état qui organise tout et l'économie est planifiée. Si c'est le but tant mieux mais l'économie planifiée ne peut fonctionner démocratiquement (mettons d'accord tout le monde pour savoir si on doit construire l'aéroport ici ou là bas), d'autant plus que le plan porte sur toute l'économie (et non on ne peut faire des minis plans par secteur sinon on se retrouve fatalement avec des politiques contradictoires) ce qui amène fatalement à une direction par des experts qui concentrent les pouvoirs exécutifs (ça se passe aussi en France d'ailleurs, dans une moindre mesure, je pense au CSA là).

Et sans moi ce forum est trop consensuel, ça sert à quoi de parler politique économique si on peut pas se foutre sur la gueule avec l'idéologie opposée ^^

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Membre, 79ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 826 messages
Mentor‚ 79ans‚
Posté(e)

Vouloir forcer une solution unique est inutile, on ne peut standardiser les besoins (une autre des raisons pour laquelle une économie planifiée ne pourrait pas fonctionner d'ailleurs). Un mix des deux me parait raisonnable et les transports en communs sont pour moi plus utiles là où il y a un fort besoin de déplacement (donc forte densité, typiquement les villes).

Le vrai mix ne se résume pas aux transports en commun et a la voiture mais doit être étendu a la marche a pied et au vélo.

Ni la voiture, ni les transports en commun ne peuvent résoudre tous les problèmes de déplacement l'avantage des uns par rapport aux autres doit se résonner au niveau: de la sécurité, des nuisances, de la pollution, de l'encombrement de l'espace public, de l'emploi, des couts, etc....

Actuellement, nous sommes qu'au début de la conversion aux transports en commun et on peut tout a fait imaginer qu'avec son développement cette solution pourra rendre les mêmes services que la voiture.

Aussi, pour accélérer le mouvement il faut rendre le transport en commun de plus en plus attractif et pas l'inverse.

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Membre, 32ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Il y a des choses que le transport en commun ne peut pas faire contrairement au transport individuel sinon il n'existerait pas ces deux modes de transports. Ce que je vois venir c'est les voitures automatiques (comme celle de google), le modèle qui me parait le plus probable c'est des entreprises possédant une flotte de voiture et qui les loues par voyage. Bien sûr ces entreprises voudront faire des économies d'échelle et mettrons sans doute en place des formes de covoiturage/transport en commun, diverses réduction pouvant être mise en place comme le fait d'accepter les voyages avec d'autres personnes, de changer de véhicule en cours de voyage ou d'autres. Ce mode de transport réduira fortement le parc automobile (vu que les voitures à l'arrêt n'existeront quasiment plus), les congestions (et donc la pollution), la place prise par les voies routières, les places de parking disparaitrons à terme. Enfin tout ça peut se passer avec les technologie dont nous disposons (nous avons les voitures automatiques), mais ça va être difficile en France (les taxis risquent de gueuler).

Par contre si tu veux bien m'expliquer comment des transport en commun vont pouvoir rendre les même services que les transports individuels, je veux bien voir ça (pour avoir vécu à la campagne, ça me ravirait mais bizarrement je n'y crois pas).

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