violence conjugale

Pour ce qui est de la communication aux personnes...c'est déjà en cours (notamment collège,familles amis...)

mes filles savent déjà qu'elles peuvent se confier à certaines personnes...voir un un psy (le médecin nous en a déjà conseillé un)

c'est vrai que çà pourrait l'aider de venir participer de temps en temps à un forum comme celui ci par exemple,c'est un bon défouloir,mais elle communique très facilement dans la vie quotidienne et connais beaucoup de monde,de plus a également des activités annexes ....

Bonjour,

bonne résolution, triste, dommageable et sans doute très dure, mais ce sera sans doute une bonne chose pour toi, pour elle, pour vous, vos enfants, votre famille.

Je vous souhaite bien du courage, et je m'interroge, pardon. :blush:

Mais quand toi tu viens nous parler de ces soucis là, ta femme a t'elle un "défouloir" aussi? A t'elle un forum, des amis, un lieu ou exprimer sa colère, ses peurs, ses rancoeurs, ses sentiments, tout simplement?

Pour moi, qui suis de tendance dépressive, ce forum a été d'une grande utilité, ta femme a t'elle un truc du genre pour s'exprimer?

Peut être, suite à cette hospitalisation (qui aboutira, je vous le souhaite à un diagnostique pas trop lourd) pourrais tu lui conseiller de s'investir dans une communauté de passionnés ('fin si elle est passionnée par quelquechose, hein) :D

Sinon, je te souhaite d'être fort, pour sauvegarder ton équilibre, rassurer tes enfants (très important, et n'oublies pas que l'hospitalisation de leur maman sera dure à digérer pour eux, fais les suivre si besoin, parles en aux enseignants, et autres personnes en contact avec eux, entraineur sportif, parents d'amis, etc...) et soutenir ton épouse.

N'hésite pas à aller la voir, elle va t'en vouloir et te maudire, mais tout cela sera (je vous le souhaite) juste un mauvais souvenir sous peu.

Reviens nous donner de ses, tes, vos nouvelles, ce serait sympa. :)

l'étape de m'en vouloir à me maudire est passée ....

au contraire ,elle éprouve désormais beaucoup de regrets...

Double peine pour toi...

Au delà de la faire hospitaliser, il va te falloir la rassurer. Si elle est consciente de cet état second, il se peut que toi aussi tu culpabilises, et ça, c'est pas bon.

Explique lui que si elle est malade, elle n'y est pour rien, on ne choisit pas cet état, exprime lui juste ton amour, sans condescendance, sans nier les souffrances qu'elle t'as fait vivre, parle lui simplement de tout ça.

N'en fait pas une victime, et ne la juge pas (apparemment ce ne sera pas le cas), mais le juste milieu entre la compassion et la compréhension est parfois difficile à trouver. Il se peut qu'elle t'en veuille de ta patience et de ton amour (je te l'assure, la maladie dépressive peut parfois nous faire haïr les gens qu'on aime le plus) alors je te le redis simplement : courage ! :)

merci beaucoup,

je suis en phase avec toi...tu as l'air de maitriser le sujet ..

merci beaucoup,

je suis en phase avec toi...tu as l'air de maitriser le sujet ..

J'ai souffert et je souffre encore de ça.On n'en guérit pas, on vit juste avec... Et l'on apprend de ses erreurs.

Mon mari a entendu les pires horreurs, je l'ai maudit, lui reprochant de m'aimer et de me soutenir (c'est horrible à dire, avec le recul), mais il m'a soutenue, mes enfants aussi.

Je sais que je suis dépressive, et je refuse les cachets, je ne suis jamais violente, cependant, je peux avoir des crises de dépression. Alors j'écris, je pleure, je chante,et le pire est que je repousse ces crises au jour où je n'ai pas mes deux dernières (puisqu'elles passent au moins un jour par semaine chez mes beaux parents).

Je suis consciente de ma maladie, je sais ce qu'il faut faire pour la contrer (non, l'apaiser plutôt), mais je sais que je peux être une pourrie aussi, si la crise m'emporte.

Donc j'essaye d'extérioriser (et merci aux potes du forum, ils me font le plus grand bien).

Parfois mon mari me reproche d'avoir passé ma journée sur le net (en dehors de ça, tout ce qui a trait à l'entretien de la maison, de la famille est fait) et je lui répond simplement "sans ça, ce soir, tu ne manges pas, c'est ma bouée de sauvetage, j'aurais tôt fait d'étouffer dans ma vie actuelle,ce n'est pas ta faute, je sais que j'ai tout pour être heureuse, cependant, j'ai parfois besoin de souffler"

Je ne suis pas du genre à sortir, pour dire de sortir, je n'ai plus les moyens physiques de pratiquer un sport, je n'ai pas non plus un mari super conciliant (déjà qu'une réunion par mois ça le gonfle, alors que j'ai réunion en bas de la maison, quand c'est pas dans la cuisine) :D bref à quelque part il fait de son mieux, et je le lui ai reproché, une fois, une seule, mais je m'en rappelle comme d'un furoncle au cul. J'en souffre à chaque fois que j'y pense.

Je suis un ange selon l'entourage, et j'ai bien conscience d'être un vrai diable pour ceux que j'aime, parfois.

Je suis malade, je le sais, je m'en veux, mais je fais tout pour m'en sortir, mais la dépression (pour ne parler que de ce "petit truc") est une maladie sourde, latente, et qui ronge celui qui en souffre, mais aussi son entourage, c'est pour ça que je te souhaite beaucoup de courage, les gens qui entourent les dépressifs sont un peu des cibles vivantes, non seulement ils subissent les critiques, supportent les erreurs mais en plus doivent se flageller de leur état de "bien portant". Non, tu n'as rien à te reprocher, soit simplement là pour elle, sans lui mentir, sans avoir de pitié, soit l'homme qu'elle a épousé, soit celui sur qui elle peut se reposer, sans pour autant devoir supporter son fardeau à elle....

C'est compliqué, mais puisque tu vis ça depuis quelques années, tu sauras faire

tu as tout faux.....mauvaise piste...

au boulot .... elle a eu un conflit avec une personne, elle a dénoncé une maltraitance ,et l'a très mal vécu...

et ce conflit a eu lieu en même temps que vos problèmes ? Parce que dénoncer de la maltraitance, c'est limite venant d'elle, pire la personne a peut-être vécu ce que vous avez enduré et elle a été victime de votre femme.

Bonjour sphynxxxix,

A vous lire, je ne suis pas qualifié pour vous conseiller, mais je pensais la chose suivante…

Lorsqu’un homme comme vous se rend seul chez un spécialiste pour décrire le comportement étrange de sa femme. Ce dernier écoute, tout en mettant systématiquement en doute la description du plaignant, sans le dire évidemment, c’est tout à fait normal.

Par contre, si vous consultiez ce spécialiste, sans votre épouse dans un premier temps, accompagné de vos deux filles de 11 ans et 14 ans pour corroborer vos propos et confirmer les symptômes que vous décrivez auprès du médecin. Cela contribuerait à vous crédibiliser avec la complicité de vos filles pour vous inscrire dans un règlement familial de demande de soins.

Pour obtenir, les conseils et la procédure à suivre, pour amener votre épouse chez ce médecin, mais cela avec la complicité implicite de vos deux filles, pour vous sentir moins seul dans cette épreuve.

(Je n'avais pas lu nonobonobo, mais son expérience me semble la plus pertinente)

Par contre, si vous consultiez ce spécialiste, sans votre épouse dans un premier temps, accompagné de vos deux filles de 11 ans et 14 ans pour corroborer vos propos et confirmer les symptômes que vous décrivez auprès du médecin. Cela contribuerait à vous crédibiliser avec la complicité de vos filles pour vous inscrire dans un règlement familial de demande de soins.

Pour obtenir, les conseils et la procédure à suivre, pour amener votre épouse chez ce médecin, mais cela avec la complicité implicite de vos deux filles, pour vous sentir moins seul dans cette épreuve.

Par pitié, non, n'impliquez pas vos enfants là dedans !

Bonjour sphynxxxix,

A vous lire, je ne suis pas qualifié pour vous conseiller, mais je pensais la chose suivante…

Lorsqu’un homme comme vous se rend seul chez un spécialiste pour décrire le comportement étrange de sa femme. Ce dernier écoute, tout en mettant systématiquement en doute la description du plaignant, sans le dire évidemment, c’est tout à fait normal.

Par contre, si vous consultiez ce spécialiste, sans votre épouse dans un premier temps, accompagné de vos deux filles de 11 ans et 14 ans pour corroborer vos propos et confirmer les symptômes que vous décrivez auprès du médecin. Cela contribuerait à vous crédibiliser avec la complicité de vos filles pour vous inscrire dans un règlement familial de demande de soins.

Pour obtenir, les conseils et la procédure à suivre, pour amener votre épouse chez ce médecin, mais cela avec la complicité implicite de vos deux filles, pour vous sentir moins seul dans cette épreuve.

(Je n'avais pas lu nonobonobo, mais son expérience me semble la plus pertinente)

le médecin est venu à la maison et a vu ma femme en crise...a constaté la violence qui se dégageait d'elle envers moi surtout...mais aussi le danger potentiel pour une de mes filles présentes...

et ce conflit a eu lieu en même temps que vos problèmes ? Parce que dénoncer de la maltraitance, c'est limite venant d'elle, pire la personne a peut-être vécu ce que vous avez enduré et elle a été victime de votre femme.

décidemment .... tu n'y es pas du tout...

J'ai souffert et je souffre encore de ça.On n'en guérit pas, on vit juste avec... Et l'on apprend de ses erreurs.

Mon mari a entendu les pires horreurs, je l'ai maudit, lui reprochant de m'aimer et de me soutenir (c'est horrible à dire, avec le recul), mais il m'a soutenue, mes enfants aussi.

Je sais que je suis dépressive, et je refuse les cachets, je ne suis jamais violente, cependant, je peux avoir des crises de dépression. Alors j'écris, je pleure, je chante,et le pire est que je repousse ces crises au jour où je n'ai pas mes deux dernières (puisqu'elles passent au moins un jour par semaine chez mes beaux parents).

Je suis consciente de ma maladie, je sais ce qu'il faut faire pour la contrer (non, l'apaiser plutôt), mais je sais que je peux être une pourrie aussi, si la crise m'emporte.

Donc j'essaye d'extérioriser (et merci aux potes du forum, ils me font le plus grand bien).

Parfois mon mari me reproche d'avoir passé ma journée sur le net (en dehors de ça, tout ce qui a trait à l'entretien de la maison, de la famille est fait) et je lui répond simplement "sans ça, ce soir, tu ne manges pas, c'est ma bouée de sauvetage, j'aurais tôt fait d'étouffer dans ma vie actuelle,ce n'est pas ta faute, je sais que j'ai tout pour être heureuse, cependant, j'ai parfois besoin de souffler"

Je ne suis pas du genre à sortir, pour dire de sortir, je n'ai plus les moyens physiques de pratiquer un sport, je n'ai pas non plus un mari super conciliant (déjà qu'une réunion par mois ça le gonfle, alors que j'ai réunion en bas de la maison, quand c'est pas dans la cuisine) :D bref à quelque part il fait de son mieux, et je le lui ai reproché, une fois, une seule, mais je m'en rappelle comme d'un furoncle au cul. J'en souffre à chaque fois que j'y pense.

Je suis un ange selon l'entourage, et j'ai bien conscience d'être un vrai diable pour ceux que j'aime, parfois.

Je suis malade, je le sais, je m'en veux, mais je fais tout pour m'en sortir, mais la dépression (pour ne parler que de ce "petit truc") est une maladie sourde, latente, et qui ronge celui qui en souffre, mais aussi son entourage, c'est pour ça que je te souhaite beaucoup de courage, les gens qui entourent les dépressifs sont un peu des cibles vivantes, non seulement ils subissent les critiques, supportent les erreurs mais en plus doivent se flageller de leur état de "bien portant". Non, tu n'as rien à te reprocher, soit simplement là pour elle, sans lui mentir, sans avoir de pitié, soit l'homme qu'elle a épousé, soit celui sur qui elle peut se reposer, sans pour autant devoir supporter son fardeau à elle....

C'est compliqué, mais puisque tu vis ça depuis quelques années, tu sauras faire

évidemment si tu ne te soignes pas çà n'évoluera guère...as tu des éléments déclencheurs à tes crises ?

ou bien est ce simplement cyclique ?

de mon coté,j'espère de tout coeur qu'elle ira mieux après sa thérapie,qu'il y aura une évolution ...pour notre couple ,pour nos enfants car moi je ne veux pas revivre de telles crises....il en est hors de question.

Bonjour Sphynxxxix,

Je vois que la situation de ta femme aura finalement eu la conclusion que tu redoutais. Et, bien que cela soit douloureux et malgré tout regrettable, je pense que c'était nécessaire et inévitable.

Je trouve cela très courageux de ta part car il n'est pas facile de prendre une telle décision pour la personne que l'on aime, mais c'est justement une belle preuve d'amour que d'avoir décidé de la faire soigner plutôt que de choisir la solution de facilité de la quitter.

Je souhaite de tout cœur que cette "hospitalisation" lui soit bénéfique et que ce soit pour votre famille le début d'une renaissance.

Je vous souhaite plein de courage. Tiens nous au courant.

c'est justement c'est espoir qui me fait tenir....mais c'est néanmoins très lourd

oui j'imagine et j'espère que tu es toi même suffisamment entouré pour t'aider à surmonter cette épreuve car du coup, tu te retrouves le pilier de tout le monde.

N'hésites donc pas toi même à te faire aider si besoin est car beaucoup de choses vont désormais reposer sur toi et cela peut parfois être difficile à porter seul.

Courage !

oui j'imagine et j'espère que tu es toi même suffisamment entouré pour t'aider à surmonter cette épreuve car du coup, tu te retrouves le pilier de tout le monde.

N'hésites donc pas toi même à te faire aider si besoin est car beaucoup de choses vont désormais reposer sur toi et cela peut parfois être difficile à porter seul.

Courage !

effectivement j'en parle un peu autour de moi,le plus souvent sans rentrer dans les détails mais çà fait du bien...

le forum m'aide aussi à évacuer tout çà...

évidemment si tu ne te soignes pas çà n'évoluera guère...as tu des éléments déclencheurs à tes crises ?

ou bien est ce simplement cyclique ?

de mon coté,j'espère de tout coeur qu'elle ira mieux après sa thérapie,qu'il y aura une évolution ...pour notre couple ,pour nos enfants car moi je ne veux pas revivre de telles crises....il en est hors de question.

En effet, je refuse les cachets. La thérapie, c'est fait,et au bout de 3 séances la psy m'a considérée guérie. Guérie, non. Diagnostiquée, oui. Quand déjà l'on sait de quoi on souffre, la peine est moins lourde. Et puis j'ai plein de choses qui font que je vais mieux.

Je crois que c'est cyclique, parce que même subir des décès coup sur coup ne pas envoyée au fin fond du vide dépressif, mais il se peut que demain, en cassant un verre, je pique une crise. Mais bon pas de violence chez moi, juste des pleurs et un gros coup de blues. Avoir mes enfants, les voir vivants (parfois super chiants) en bonne santé est le meilleur des remèdes.

Je ne me plains pas, et je ne demande pas qu'on s'apitoie sur mon sort, j'ai bien plus que nombre de gens.

(si je refuse les traitements médicamenteux, c'est parce que je devrais déjà avaler 8 pilules par jour pour un problème physique, ce que je me refuse à faire, j'ai une mère qui est un vidal et une pharmacie ambulante, et aussi parce que mon frère aîné a réussi son suicide avec des cachetons, donc pas de médocs pour moi)

ah ok....tout s'explique

c'est vrai qu'avec un diagnostique on explique et comprend plus facilement les choses,cela permet peut etre également d'anticiper,de s'adapter pour aténuer les crises.

On peut également améliorer les choses en modifiant notre façon de vivre ...se poser,penser un peu plus à nous..

on ne prend pas le temps de respirer... entre le boulot,les activités annexes...il reste peu de temps .

Pas évident de trouver un équilibre entre profession,famille et vie associative....

C'est exactement ça.... trouver l'équilibre.

Perso j'ai fait un choix difficile pour une hyper active : rester mère au foyer, mais j'ai la chance d'aimer bricoler, cuisiner, jardiner, entretenir les bêtes, tester de nouveaux truc (genre tanner une peau de lapin et en faire une trousse, ou alors fabriquer moi même ma lessive, et en m'amusant faire des économies substantielles). J'avoue, j'aime pas trop faire le ménage, mais quand on vit en campagne, on s'en fout un peu :D

Une concession pour moi, mais un bienfait pour ma famille (et puis je dois être un peu fainéante, mais je ne conçois pas de me lever chaque matin à 5h pour préparer les gosses, les poser chez une nounou, aller au taff, et faire tout ce que je fais en dehors des heures de travail.... et 4 gosses, c'est un emploi à temps plein)

Bref prends du temps pour elle, elle en aura besoin, mais prends aussi du temps pour toi (c'est vital) et pour tes filles (essentiel).

Bon courage, encore....

oui une vie d'équilibriste ...limite acrobate

Pas simple de jongler avec des boules de feu, quand on est en tongs sur un fil d'acier tendu au dessus d'un vide immense, avec une rivière de verre pilé en bas.....

C'est ça aussi la vie, un challenge de chaque instant.

J'allais presque oublier de te dire que je suis fière de causer avec un type comme toi, qui relève le défi d'une vie, sans baisser les bras, en parlant, et tentant de résoudre ses problèmes... Fais lire ça à ta femme un jour, elle saura que t'es quelqu'un de bien (quand dans paril cas bien des bonhommes se seraient barrés, avec à la clé des misères judiciaires pires que ça) ^^

Allez donne lui le bonjour de ma part, quand elle ira mieux, et dis lui que même dans ce monde de merde, y'a encore des gens sympa. :)

c'est gentil ce que tu dis là....merci..

mais bon çà me parrait tout simplement naturel,chacun sa façon de voir les choses...

je ne suis pas parfait non plus,j'ai aussi mes démons....et mes mauvais cotés comme tout le monde.

peut etre simplement une carapace plus solide,un bouclier invisible qui me pritège un peu plus...

Des nouvelles sphynxxxix ? Ca se passe bien son hospi ?

Oui dans l'ensemble.....

il y a des hauts et des bas...

elle a passé un cap....elle travaille ....et à fait un grand pas hier en parlant d'un épisode survenu à l'age de 14 ans à une infirmière....à défaut d'en parler au psy avec lequel elle a du mal à se lacher malheureusement.

Malgré çà elle a donné l'autorisation à l'infirmière (entre infirmières elles se comprennent ) de transferer cet entretien au psy.

Il reste tout un travail à faire autour de çà.....mais on a avancé