kerviel

Je suis bien placé pour le savoir aussi je peux t'assurer qu'il absolument IMPOSSIBLE que la hierrarchie de Kerviel n'ai pas été au courant de ses agissements. Un type comme Kerviel ne pouvait en aucun cas prendre des positions en s'engageant à hauteur des fonds propres de sa banque sans avoir l'aval de ses supérieurs.

c'est évident, il n' a aucun doute là-dessus.

son seul tort est de s'être fait piéger en ne demandant aucun écrit concernant les instructions à suivre, les latitudes accordées.

comment peut-on penser qu'une banque ne sache pas exactement ce que font ses traders ?

ils ont trouvé un gars qui a pris des risques pour eux mais sans penser à se protéger : et pan, dans le nounours.

Je veux bien le croire, mais de là à dire que la banque l'a laissé faire avec je ne sais quelles coupables arrières pensées...? Peut-être ses supérieurs étaient-ils tout simplement curieux de voir si Kerviel était un génie qui avait un "truc". Peut-on pour autant dire qu'ils étaient complices ?

C'est très simple, 15 jours avant de "plonger" les positions de Kerviel étaient positives donc la banque pouvait espérer en retirer un joli bénéf, seulement tout c'est dégradé très rapidement et Kerviel qui n'était pas un grand trader n'a pas su anticiper.

Lorsqu'une banque commet des malversations en cascade comme le Crédit Lyonnais (Executive life, affaire Tapie et bien d'autres affaires douteuses ...) c'est l'Etat qui vole au secours de la banque et les dirigeants de la dite banque qui votent leur propre impunité en conseil d'administration!!! ... Lorqu'il s'agit d'un individu c'est de la prison ferme et une amende telle qu'elle ne lui laisse d'autre choix que le pistolet sur la tempe. L'oligarchie financière sait toujours se protéger...

Lorsqu'une banque commet des malversations en cascade comme le Crédit Lyonnais (Executive life, affaire Tapie et bien d'autres affaires douteuses ...) c'est l'Etat qui vole au secours de la banque et les dirigeants de la dite banque qui votent leur propre impunité en conseil d'administration!!! ... Lorqu'il s'agit d'un individu c'est de la prison ferme et une amende telle qu'elle ne lui laisse d'autre choix que le pistolet sur la tempe. L'oligarchie financière sait toujours se protéger...

bonjour

il faut dire aussi que , l'affaire kerviel est tombée au bon moment pour masquer les pertes énormes , plusieurs dizaines de milliards , de la banque dans l'affaire des sub-prime .

toute l'attention à étée détournée sur kerviel pour que l'on ne parle pas trop des sub-prime .

bonne journée

J'ai vu que des taggeurs ont fait pour 700000 euros de dégâts à la ratp et autre à vôtre avis il vont avoir combien d'amende...500 euros??

Ils se réclament anarchistes...250?

La même journée en banlieue parisienne, un type sans permis, enfin retiré depuis belle lurette,qui roulait à vive allure dans une contre allée avec une bagnole dite de sport, est jugé pour avoir tué un petit garçon de 4 ans, il l'a heurté de plein fouet et l'enfant a été retrouvé à 40 mètres, il dit ne pas avoir eu conscience du danger .....La pauvre mère effondrée ne s'en remettra jamais mais le type prend 5 ans dont 3 ferme!!!

Une injustice comme celle là, y a qu'en FRANCE que l'on voit ça....

On ne peut pas tondre un oeuf et KERVIEL ne peut plus rien avoir à son nom....il est complètement plumé jusqu'à la fin de sa vie de toutes façons, et la SG se dit compréhensive sur ses remboursements .....

J'ai vu que des taggeurs ont fait pour 700000 euros de dégâts à la ratp et autre à vôtre avis il vont avoir combien d'amende...500 euros??

Ils se réclament anarchistes...250?

bonjour

je crois que la peine est plus sévere que cela .

70000 euros d'amende et cinq ans de prison plus le remboursement des frais de nettoyage ( à vérifier ) .

bonne journée

La même journée en banlieue parisienne, un type sans permis, enfin retiré depuis belle lurette,qui roulait à vive allure dans une contre allée avec une bagnole dite de sport, est jugé pour avoir tué un petit garçon de 4 ans, il l'a heurté de plein fouet et l'enfant a été retrouvé à 40 mètres, il dit ne pas avoir eu conscience du danger .....La pauvre mère effondrée ne s'en remettra jamais mais le type prend 5 ans dont 3 ferme!!!

Une injustice comme celle là, y a qu'en FRANCE que l'on voit ça....

On ne peut pas tondre un oeuf et KERVIEL ne peut plus rien avoir à son nom....il est complètement plumé jusqu'à la fin de sa vie de toutes façons, et la SG se dit compréhensive sur ses remboursements .....

bonjour

oui,la justiçe est trop tendre ,cela risque la naissance de groupes de vengeurs qui feront leurs propre justice .

bonne journée

bonjour

je crois que la peine est plus sévere que cela .

70000 euros d'amende et cinq ans de prison plus le remboursement des frais de nettoyage ( à vérifier ) .

bonne journée

bonjour

oui,la justiçe est trop tendre ,cela risque la naissance de groupes de vengeurs qui feront leurs propre justice .

bonne journée

Les groupes vengeurs s'appellent des milices et elles sont déjà en place dans certaines villes. Oui cela risque d'être à la mode.....

Cette condamnantion est la preuve que la justice marche main dans la main avec les politiques et les puissants de ce monde

Kerviel a été "exécuté" pour décourager toute personne à s'attaquer à l'oligarchie mondiale

oui, le fusible plus le PDG, qui a sauté mais retrouvera du travail.

La même journée en banlieue parisienne, un type sans permis, enfin retiré depuis belle lurette,qui roulait à vive allure dans une contre allée avec une bagnole dite de sport, est jugé pour avoir tué un petit garçon de 4 ans, il l'a heurté de plein fouet et l'enfant a été retrouvé à 40 mètres, il dit ne pas avoir eu conscience du danger .....La pauvre mère effondrée ne s'en remettra jamais mais le type prend 5 ans dont 3 ferme!!!

Une injustice comme celle là, y a qu'en FRANCE que l'on voit ça....

On ne peut pas tondre un oeuf et KERVIEL ne peut plus rien avoir à son nom....il est complètement plumé jusqu'à la fin de sa vie de toutes façons, et la SG se dit compréhensive sur ses remboursements .....

Oui, ce sont ces gens qui font leur europe.

J'ai toujours été contre l'europe des golfs.

Des clubs, et surtout du fric, mais il semblerait que nous en avons encore pris pour cinq ans.

bonjour

je crois que la peine est plus sévere que cela .

70000 euros d'amende et cinq ans de prison plus le remboursement des frais de nettoyage ( à vérifier ) .

bonne journée

Bonne journée!

Mais je pense que là c'est juste la peine demandé, pas la peine réelle, je fais le pari que ce ne sera rien ou presque, les contribuables ont remboursés!

700000euros de dégâts, dont la plus grande part remis en état donc poiur ce qui est du nettoyage?

A SUIVRE!!!!!!

bonjour

oui,la justiçe est trop tendre ,cela risque la naissance de groupes de vengeurs qui feront leurs propre justice .

bonne journée

Oui, je pense même qu'il serait temps d'y penser, à réfléchir!!:smile2:

https://www.youtube.com/watch?v=xnGDoc0T_JA

L'inévitable condamnation de Jérôme Kerviel

À la lecture des 105 pages de l’arrêt qui condamne Jérôme Kerviel – dont les attendus ont été mis en ligne dès mercredi par Mediapart, et que l’on peut lire ici – une évidence s’impose. L’ancien trader de la Société générale a joué la carte médiatique, mais il n’a absolument pas convaincu les magistrats de la cour d’appel de Paris, pas plus qu’il n’avait su persuader de son innocence le tribunal correctionnel en 2010, ni le juge d’instruction Renaud Van Ruymbeke en 2008.

Un livre publié par le trader déchu, des interviews (de son avocat ou de lui-même) dans les grands médias, une plainte annoncée en fanfare, n'ont rien pu y faire : comme le jugement, très sévère, rendu voici deux ans en première instance, l’arrêt signé le 24 octobre par la 12e chambre de la cour d‘appel de Paris est en tout point accablant pour Jérôme Kerviel.

Quant au pourvoi en cassation annoncé dès mercredi soir par son nouvel avocat, David Koubbi, il a bien peu de chances de changer quoi que ce soit, la plus haute juridiction du pays n’examinant que la régularité de la procédure et le respect du droit – mais pas le fond du dossier.

Jérôme Kerviel a donc été reconnu coupable d’abus de confiance, d’introduction frauduleuse de données dans un système de traitement automatisé, ainsi que de faux et d’usage de faux.

Comme en première instance, il a été condamné à cinq ans de prison dont deux ans avec sursis (la cour n’a pas délivré de mandat d’arrêt à l’audience), et à 4,9 milliards d’euros (4 915 610 154 euros précisément) de dommages et intérêts, soit le montant des sommes qu'il a fait perdre à la banque.

Colossale, cette addition est essentiellement symbolique, puisque le jeune homme sera incapable de la régler, et elle donnera certainement lieu à une transaction future. Jérôme Kerviel se voit, en outre interdit « à titre définitif d’exercer directement ou indirectement une ou plusieurs activités professionnelles, en l’espèce les activités d’opérateur de marché et toute activité relative aux marchés financiers ».

Pour arriver à cette décision, la cour d’appel note d’abord que la défense de Jérôme Kerviel a beaucoup varié pendant la procédure : « au départ, il a reconnu que la banque ne savait rien de ses positions », « puis a laissé entendre qu’elle ne pouvait ignorer », puis ensuite que ses supérieurs « savaient et l’ont laissé faire », et a, finalement, assuré devant la cour d’appel, avec des accents complotistes, que « toute la hiérarchie de la banque au plus niveau et les services de contrôle savaient, et qu’en définitive, dès 2006, il avait été victime d’une machination qui avait pour but d’occulter les pertes occasionnées par la crise dite des “subprimes” et de les lui faire supporter. »

Une affirmation « totalement inconcevable », juge la cour d’appel, « la banque ne pouvant laisser un de ses salariés l’engager à hauteur de 30 milliards, représentant la totalité de ses fonds propres, et engendrant une perte de 2,5 milliards d’euros soit deux fois le résultat de GEDS (Global Equities and Derivates Solutions), c’est-à-dire le travail de 1 400 personnes ».

La cour ajoute qu’il est « tout aussi inconcevable » que la banque « l’ait laissé prendre en janvier 2008 une position directionnelle de 50 milliards d’euros qui engageait une fois et demie les fonds propres de la banque et faisait exploser son ratio cook ».

Pas la moindre circonstance atténuante

Les magistrats relèvent que Jérôme Kerviel a longtemps dépassé les autorisations d’engagement dont il disposait (la limite était de 125 millions d’euros pour l’ensemble du desk dont il faisait partie), cela dans des proportions sans précédent, et que les agissements du trader n’ont été découverts qu’à l’occasion de contrôles internes. La théorie de la « machination » brandie par la défense est, elle aussi, balayée.

Jérôme Kerviel se voit également reprocher d’avoir saisi puis annulé plusieurs centaines d’opérations fictives, cela pour masquer les positions non-autorisées qu’il avait prises.

De même, il doit répondre de la confection de sept faux courriels « qui engageaient financièrement et juridiquement la banque », et dont il a fait usage au préjudice de son employeur.

« L’intention frauduleuse de Jérôme Kerviel s’illustre dans son ingéniosité et sa réactivité à confectionner des faux au fur et à mesure des interrogations des services de contrôles aux fins de cacher ses positions directionnelles frauduleuses par des positions fictives qu’il justifiait grâce à ses faux mails », écrivent les magistrats.

« Pour dissimuler sa fraude, Jérôme Kerviel a fait preuve d’une ingéniosité confiant jusqu’au machiavélisme, pour manipuler l’ensemble de ses interlocuteurs (internes ou externes à la banque), sachant s’adapter et contourner l’obstacle de chacun des contrôles, ayant recours à divers stratagèmes, allant jusqu’à inventer un faux client (…). », ajoutent-ils.

Ces « stratagèmes », tout comme « l’ampleur exceptionnelle des détournements commis, révèlent une volonté et une capacité sans limite du prévenu de s’affranchir de toute règle, tant au plan légal que professionnel et social », assènent les magistrats.

Jugeant très sévèrement la fuite en avant de Jérôme Kerviel, allant « jusqu'à impliquer devant la cour l'ensemble de sa hiérarchie au plus haut niveau et, jusqu'à l'absurde, l'ensemble des services de contrôle », les magistrats s'interrogent en ces termes : « cette attitude ne peut qu'inquiéter sur son évolution future, tant au plan social, professionnel que personnel », et « elle ne constitue pas un gage de réinsertion. »

Du même coup, les éléments de contexte – la folle ambiance qui règne dans les salles de marché, l'éternelle course aux profits, les défaillances des systèmes de contrôle et les responsabilités de la hiérarchie – ont été mis de côté par la justice, qui n'a pas accordé la moindre circonstance atténuante au trader, peut-être aveuglé par sa propre stratégie.

Source de l'article : Mediapart

De sa chute, en janvier 2008, à son procès en appel, en 2012, Jérôme Kerviel a fait évoluer nettement sa position, en même temps qu'il remodelait radicalement son équipe de défense.

Il était initialement défendu par une avocate discrète, Me Élisabeth Meyer, épaulée ponctuellement par le bâtonnier Charrière-Bournazel. Alors que Me Meyer semble s'orienter vers une stratégie classique et aussi peu tonitruante que possible, elle est remerciée. Elle donne son explication dans un entretien au Figaro, recueilli le 3 juillet 2008: «Nos stratégies ne sont plus en phase. (...) Dans le dossier, ma stratégie, dès l'origine, a été de vider de leur substance les chefs d'accusation. (…) Depuis le premier jour, Jérôme Kerviel et moi, nous ne nous sommes pas comportés en accusateurs à l'encontre de la Société générale et de ses salariés. Nous n'avons fait que répondre aux accusations outrancières. Notre stratégie a été gagnante: dès le premier soir, deux chefs d'accusation (la tentative d'escroquerie et la circonstance aggravante d'abus de confiance, NDLR) sont tombés et, dès ma première demande, j'ai obtenu sa mise en liberté. Ma volonté aurait été de poursuivre dans cette voie où Jérôme Kerviel défendait ses intérêts dans le respect de l'institution bancaire. Si Jérôme Kerviel voit les choses différemment, c'est bien évidemment son choix. C'est sa vie.»

Fabrication de faux

Place à un trio, Mes Francis Tissot, Caroline Wassermann et Bernard Benaïem, bientôt rejoints, à leur initiative, par Me Éric Dupond-Moretti, qui, du fait de la notoriété engendrée par son talent, fait immédiatement figure de meneur. Mais à l'approche du premier procès, il en arrive à ne plus être en phase, lui non plus, avec son client. Me Dupond-Moretti semble opter pour une défense raisonnable, consistant à reconnaître des erreurs pour mieux placer la Société générale devant les criantes insuffisances de ses contrôles internes. Ce n'est pas la relaxe qui est visée, mais une peine avec sursis ou, à tout le moins, aménageable, Jérôme Kerviel ayant reconnu chez le juge Van Ruymbeke la fabrication de faux.

Plusieurs grands noms du barreau de Paris affirment avoir été, en toute discrétion, consultés par l'ex-trader; tous lui auraient conseillé une stratégie proche de celle de Me Dupond-Moretti dont il se sépare cependant au profit de Me Olivier Metzner. Ce dernier, patron d'un cabinet d'affaires renommé, parle habituellement à l'oreille du CAC 40; il estime possible de plaider que «la banque savait», comme le souhaite son client. Il s'y emploie avec ténacité et malice lors du premier procès, en 2010, avec son associé, Me Nicolas Huc-Morel, un fin juriste très à son aise avec ce dossier d'une rare complexité. Le tandem exaspère la partie civile, mais c'est de bonne guerre, et sa posture à la fois offensive et judiciaire n'est pas dénuée d'arguments.

Mais le tribunal correctionnel, présidé par un Dominique Pauthe qui a, lui aussi, bien révisé les us, coutumes et jargon des traders, inflige un cinglant désavœu à Me Metzner: M. Kerviel est condamné à cinq ans de prison dont trois fermes, plus 4,9 milliards de dommages et intérêts (le montant de la perte subie par la banque). Toutefois, les juges ne délivrent pas de mandat de dépôt, ainsi le prévenu ne sera-t-il pas privé de liberté dans l'attente de son procès en appel, qui a lieu en juin 2012.

Un procès qui tourne au cirque

Quelques semaines avant l'audience, coup de théâtre: Me Metzner est débarqué. Il est supplanté par Me David Koubbi, qui s'est rendu célèbre en n'obtenant pas de procès pour Tristane Banon, laquelle accusait DSK de tentative de viol. De cet échec judiciaire, le quadragénaire fera un triomphe médiatique. Sous son impulsion, le procès en appel de Jérôme Kerviel tourne au cirque. Me Koubbi se comporte comme un touriste au pays de la procédure pénale, indisposant la présidente Mireille Filippini, prenant à parti l'avocat général Dominique Gaillardot, poussant ses confrères de la partie civile à bout, donnant des leçons de droit de son cru à tout le monde, un peu comme si Hervé Vilard se mettait en tête d'apprendre à chanter à Placido Domingo.

Surtout, il adopte une stratégie jusqu'au-boutiste: non seulement la banque savait, mais, mieux encore, elle organisait tout: les opérations délirantes de M. Kerviel étaient couvertes en secret par un «desk» mystérieux, de sorte que ce n'est pas le brave trader de Pont-l'Abbé qui a perdu 4,9 milliards, mais la Société générale elle-même, dans la crise des subprimes.

Me Koubbi joue, sans génie mais astucieusement, au pot de terre contre le pot de fer, asticote l'opinion publique, qui n'aime pas spécialement les banques, au nom d'un certain bon sens. Il est vrai qu'il est difficile d'imaginer qu'un établissement qui rappelle ses clients à l'ordre pour un découvert de 50€ puisse ne pas remarquer qu'un de ses salariés a placé 50 milliards sur les marchés. Au premier jour des débats, l'avocat estime aux portes du prétoire que la relaxe est acquise. Il verse des documents, cite des témoins, le tout in extremis, au mépris des usages, mais qu'importe, la défense peut briser les codes, indisposer l'institution judiciaire, faire hurler la presse. À une seule condition: il faut que son client y gagne.

La cour d'appel de Paris n'a pas été sensible à cette stratégie. Elle a condamné l'ancien trader à 5 ans de prison dont trois ferme et à 4,9 milliards d'euros de dommages et intérêts.

Source de l'article : Le figaro

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Le texte complet de l'arrêt de la cour d'appel de Paris :

Première partie

seconde partie

Le gars il fait son chemin de croix entre Rome et Paris, et en plus de ça il a été reçu par le pape. Non mais franchement, celui-là on devrait le mettre en prison et jeter les clés. Savez vous combien de SDF on pourrait loger avec 5 milliards €, combien de personnes on pourrait nourrir avec 5 milliards €, etc... etc....

Ah franchement ça me débecte au plus au point qu'on lui fasse de la publicité à ce gars là. Et quand je vois cet abruti de Melenchon lui servir la soupe, je n'ai envie que d'une chose c'est de prendre mon téléviseur et de le jeter par la fenêtre.

Si on en arrive à donner du temps d'antenne à un pareil escro c'est une preuve supplémentaire que l'on vit vraiment dans un monde de merde.

Ne pas oublier que Kerviel n'a rien volé à sa banque. Il lui a fait perdre, c'est pas pareil !

c'est sûr c'est pas pareil je trouve toutefois ta remarque indécente, car en prenant le risque de faire tapis avec tous les fonds propres de sa banque au casino, il a juste pris le risque de mettre toute l'économie française par terre. Donc c'est pas moins grave non plus

Et je parle même pas de toutes les opportunités manqués quand t'as 5 milliards € qui partent comme ça en fumée et j'ajoute pour rien du tout, parce que même s'il avait fait un pari gagnant, il n'aurait de toute façon pas pu gagner plus que les 100 000€ de bonus max définis contractuellement.

Quel est l'intérêt d'aller placer 50 milliards € au casino dans ces conditions? Faut vraiment être un abruti fini!

Et au lieu d'aller se faire oublier dans une grotte en antartique, il nous fait le cinéma de la repentance. Non mais ça suffit d'essayer de nous prendre systématiquement pour des idiots!

http://www.leparisie...014-3687797.php

Ce brave trader se sent soulagé de ne pas payer 5 milliards à sa banque, et ça peut se comprendre, mettons nous à sa place, il aura guère de taule à faire et puis on va bien finir par le blanchir,avec sa marche qui lui donne des soutiens, il se sent moins seul maintenant

Et avez vous remarqué quelles couleurs il a choisies pour faire son chemin de pénitence!

Le rouge et le noir, exactement les couleurs de...................................;; la Société Générale!!!!

oui je sais j'suis à la limite de la diffamation.