Salles de shoot: Touraine veut des expérimentations avant fin 2012

du calme! sombre imbécile n'était pas nécessaire .

Visiblement, c'est le genre de propos indispensable pour vous forcer à relire correctement mes réponses. Je le retire volontiers, mais soyez plus réfléchi avant de m'apostropher à nouveau de la sorte.

... c'est effectivement allumer un grand feu vert à toutes les conso de drogue : "Allez-y!!! et si les choses tournent mal, ne vous inquiétez pas, on vous fournira le fauteuil et le p'it café"

Être dépendant et consommer des quantités importantes de stupéfiants n'est pas une partie de plaisir. Bien des gens ont conscience des dangers découlant de la drogue. Ouvrir ces centres ne veut pas dire "Consommez de la drogue, ça craint rien."

Il me paraîtrait même logique que ces centres soient des antennes relais des services hospitaliers spécialisés, dans lesquels on peut trouver un personnel qui peut nous aider à décrocher.

non et m'en fout

Ça on avait remarqué.

ce gouvernement est démagogue quant il promet ce qu'il ne peut pas donner , trop facile ça!

Par contre dès qu'il fait quelque chose c'est une mesure de gaucho inutile, c'est ça ?

Pas du tout. Tu penses que l'ambiance sera comment ? Joviale, avec des jeux comme "Qui se pique le plus vite !" ? Pitié...

Ce sont tous les consommateurs de drogue qui seront encouragés, pas seulement ceux qui pourraient un jour avoir recours à ces centres de shoot.

Le collégien fumeur de pét' sera psychologiquement tout autant dans l'assistanat que le grand drogué avec son centre de shoot bien chauffé. L'interdit et la responsabilité de l'individu auront totalement disparu.

On encourage ainsi l'avènement d'une société d'abrutis mollassons qui goberont tout et n'importe quoi.

Vous n'avez surtout absolument rien compris, ni à la psychologie de la plupart des drogués, ni à comment fonctionnent ces centres.

et vous, vous n'avez absolument rien compris à la psychologie de celui qui veut se sortir de tout cela, et qui n'a pas envie d'un "Etat pouponnière" pour le maintenir à vie dans son état de dépendance.

Non puisque la toxicomanie a reculé dans les pays qui les ont expérimentés. La France est en retard.

C'est faux.

«Salles de shoot»: un bilan mondial plutôt négatif 22/10/2012 « Consommation en hausse » ...

    Alors que la ministre de la Santé prévoit des ouvertures d'ici à la fin de l'année, des expérimentations à l'étranger incitent à la prudence.

L'objectif était de réduire la mortalité des toxicomanes, d'endiguer les infections ainsi que les troubles à l'ordre public. Vingt-six ans après l'ouverture, à Berne, de la première salle d'injection, il en existe aujourd'hui plus de quatre-vingts, dans une dizaine de pays, principalement en Europe. Mais le nombre de consommateurs de drogue a-t-il baissé pour autant?

Certainement pas, répondent les associations de lutte contre la drogue dans les différents pays concernés. Les nombreux rapports ont beau souligner que ces salles «aident à améliorer l'état de santé des usagers», «peuvent réduire le nombre de décès par overdose» ou encore «avoir un impact sur les taux d'infection au VIH et à l'hépatite C», elles passent sous silence bien d'autres aspects. «En réalité, elles entretiennent la dépendance aux drogues au lieu d'aider les gens à s'en débarrasser», assène Joséphine Baxter, vice-présidente de la Fédération mondiale contre les drogues. Dans son pays, l'Australie, la salle d'injection de King's Cross, créée en 2001 à Sydney, est très controversée. Aucun parti politique ne milite plus, d'ailleurs, pour d'autres ouvertures.

L'association Drug Free Australia a démontré en 2006 que le risque était trente-six fois plus important d'avoir une overdose dans la salle que dans le quartier alentour! «Les toxicomanes utilisent la présence de personnel médical comme une assurance contre les risques d'expérimenter des dosages plus forts d'héroïne», explique l'association. Comme dans les autres pays, la salle attire les dealers à ses portes. «Ces endroits créent un effet “pot de miel”, note Joséphine Baxter, où les dealers se regroupent pour vendre leur drogue aux acheteurs qui entrent ensuite dans la salle d'injection.»

Un sondage a également démontré l'effet pervers de l'ouverture de tels lieux: alors que 1,6 % des Australiens avouent avoir déjà utilisé de l'héroïne, ils sont plus du double (3,6 %), en Nouvelle-Galles du Sud, à affirmer qu'ils en auraient consommé si une salle était à leur disposition! En Allemagne, qui compte une vingtaine de salles, le nombre de décès liés à la drogue a baissé de 20 % l'an dernier par rapport à 2010. Mais, dans le même temps, le nombre de nouveaux consommateurs a grimpé de près de 15 %…

Suite de l'article...

Source: Le Figaro

*Une salle coûterait entre 300.000 et 1 million d'euros.

Si le bilan est si négatif, ça demande en effet réflexion.

Par contre une phrase a relevé mon attention :

L'association Drug Free Australia a démontré en 2006 que le risque était trente-six fois plus important d'avoir une overdose dans la salle que dans le quartier alentour!

J'ai envie de dire : Forcément, puisqu'il y a une concentration beaucoup plus élevée de consommateurs dans la salle que dans le quartier.

Ou alors j'ai mal compris la statistique, mais ça me paraît un peu débile.

C'est faux.

«Salles de shoot»: un bilan mondial plutôt négatif 22/10/2012 « Consommation en hausse » ...

    Alors que la ministre de la Santé prévoit des ouvertures d'ici à la fin de l'année, des expérimentations à l'étranger incitent à la prudence.

L'objectif était de réduire la mortalité des toxicomanes, d'endiguer les infections ainsi que les troubles à l'ordre public. Vingt-six ans après l'ouverture, à Berne, de la première salle d'injection, il en existe aujourd'hui plus de quatre-vingts, dans une dizaine de pays, principalement en Europe. Mais le nombre de consommateurs de drogue a-t-il baissé pour autant?

Certainement pas, répondent les associations de lutte contre la drogue dans les différents pays concernés. Les nombreux rapports ont beau souligner que ces salles «aident à améliorer l'état de santé des usagers», «peuvent réduire le nombre de décès par overdose» ou encore «avoir un impact sur les taux d'infection au VIH et à l'hépatite C», elles passent sous silence bien d'autres aspects. «En réalité, elles entretiennent la dépendance aux drogues au lieu d'aider les gens à s'en débarrasser», assène Joséphine Baxter, vice-présidente de la Fédération mondiale contre les drogues. Dans son pays, l'Australie, la salle d'injection de King's Cross, créée en 2001 à Sydney, est très controversée. Aucun parti politique ne milite plus, d'ailleurs, pour d'autres ouvertures.

L'association Drug Free Australia a démontré en 2006 que le risque était trente-six fois plus important d'avoir une overdose dans la salle que dans le quartier alentour! «Les toxicomanes utilisent la présence de personnel médical comme une assurance contre les risques d'expérimenter des dosages plus forts d'héroïne», explique l'association. Comme dans les autres pays, la salle attire les dealers à ses portes. «Ces endroits créent un effet “pot de miel”, note Joséphine Baxter, où les dealers se regroupent pour vendre leur drogue aux acheteurs qui entrent ensuite dans la salle d'injection.»

Un sondage a également démontré l'effet pervers de l'ouverture de tels lieux: alors que 1,6 % des Australiens avouent avoir déjà utilisé de l'héroïne, ils sont plus du double (3,6 %), en Nouvelle-Galles du Sud, à affirmer qu'ils en auraient consommé si une salle était à leur disposition! En Allemagne, qui compte une vingtaine de salles, le nombre de décès liés à la drogue a baissé de 20 % l'an dernier par rapport à 2010. Mais, dans le même temps, le nombre de nouveaux consommateurs a grimpé de près de 15 %…

Suite de l'article...

Source: Le Figaro

*Une salle coûterait entre 300.000 et 1 million d'euros.

La progression de consommation d'héroïne est générale à toute l'Europe. Dans ce contexte, la comparaison des pays qui disposent de ces dispositifs avec ceux qui n'en n'ont pas me donne raison. Est-ce que je suis le seul à me marrer sur l'efficacité de la police australienne eu égard "l'effet pot de miel" ? ^^"

s

Ça on avait remarqué.

Par contre dès qu'il fait quelque chose c'est une mesure de gaucho inutile, c'est ça ?

c'est démago des l'instant qu'il promet sachant qu'il ne pourra le faire . F Hollande n'est pas aidé avec toutes ses femme ministres qui pour démontrer qu'elle existent font des proclamations que le gv ne pourra tenir par manque de moyen

F Hollande n'est pas aidé avec toutes ses femme ministres qui pour démontrer qu'elle existent font des proclamation que le gv ne pourra tenir par manque de moyen

Ouais c'est emmerdant une femme hein ?

La progression de consommation d'héroïne est générale à toute l'Europe. Dans ce contexte, la comparaison des pays qui disposent de ces dispositifs avec ceux qui n'en n'ont pas me donne raison.

Pas même, car un lien de causalité est établi entre l'augmentation de la consommation de drogue et la fréquentation des salles de shoot, dans les pays concernés.

Deux études réalisées en Suisse ont constaté que plus de toxicomanes ont déclaré une augmentation de leur prise de drogue qu'une diminution. À Rotterdam également, 12 % des clients ont rapporté une baisse de leur usage de drogue, alors que 16 % reconnaissaient une consommation en hausse depuis leur fréquentation de la salle d'injection…

La salle de shoot est un exemple manifeste de la fausse bonne idée, bien qu'une majorité de Français (55%) ait la lucidité d'y voir une mauvaise idée tout court.

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Ben oui, c'est le principe d'ailleurs. De toute façon personnellement, je légaliserais TOUT, que chaque personne majeure et vaccinée décide de ce qui est bon pour elle ou pas, point à la ligne.

(Vous pouvez maintenant me tirer des tomates pourries si vous le voulez)

Disons qu'il ne s'agit pas de fumette, mais de drogues dures... Même les Hollandais qui ont l'esprit plus qu'ouvert sur la chose ne se risquent pas à les légaliser, et à juste titre. L'effet est totalement destructeur, il faut dire ce qui est.

Est-ce qu'ils peuvent vraiment décider aussi une fois qu'ils sont totalement addict ?

Est-ce qu'il se doutaient qu'ils ne pourraient se désaccoutumer en un claquement de doigt ?

Je n'en suis pas si sûre.

Dans tous les cas, c'est interdit, il est totalement incohérent de penser à ouvrir ces salles de shoot... Mais bon l'incohérence au sein de ce gouvernement, on commence à avoir l'habitude. Incohérence et immobilisme...le changement c'est maintenant : ah bah bravo

(Non tout de même, "on" est civilisé ).

(Pauvres de vous ! )

Mais c'est complètement débile ce projet de loi.... La drogue est interdite en France, que ce soit sa consommation ou sa revente...

Encore le cannabis, de la beuh, soit les drogues douces, on pourrait les légaliser à ce compte là (ce serait des recettes non négligeables), mais des salles de shoot, c'est de l'argent de gaspillé purement et simplement. Après ils vont monter les impôts parce qu'ils en manquent...