En finir avec l'éducation différenciée garçons / filles dès la crèche

Et quelle est le problème si il n'y a plus d'éducation différencié entre filles et garçons ? Peur que des femmes risquent de prendre le pouvoir et qu'on risque de voir des hommes mettre à nu les sentiments ? (ok je l'avoue c'est terrible, on ne pourra plus être aussi condescendant envers les "femmes")

et donc au nom de cet égalitarisme forcené, il faut éradiquer maintenant dès le plus jeune âge toutes les différences jusqu'aux plus naturelles entre filles et garçons? ... La création de l'être unique nouveau est à ce prix!!!???... plus de différence homme / femme, plus de différence père / mère, plus de différence homo / hétéro un seul être parfaitement interchangeable doit subsister!!!

Quant aux femmes, elles ne sont plus concevables que comme futures employées dans l'entreprise ... moi j'appelle tout cela le pire des totalitarismes car il s'applique aux moeurs et touche aux racines. Pas étonnant que ce type de crèche expérimentale ait vu le jour à Saint Ouen, haut lieu de toutes les utopies totalitaires" anti-bourgeoises" depuis 1 siècle ...

Il n'y a pas d'éradication, juste le fait de ne pas forcer les individus dans un carcan qui n'est pas le leur.

pour une fois, je suis du coté de Casdenor, le carcan sexiste en place depuis des générations est un lourd handicap a la société, moi je suis de ceux qui pensent que les cours d'éducation domestique devraient revoir le jour comme les cours de travaux manuels, mais pour TOUS les élèves, garçons et filles, on leur enseignerait toutes les bases pour tenir une maison, de la cuisine a la couture en passant par le bricolage de base et les notions élémentaires de puériculture.

L'école actuelle forme de futurs chômeurs, rien d'autre, il faut la réformer mais pas de façon veule et économiste, la vocation de l'école n'est pas d'être rentable mais de donner a un maximum de gens les bases pour devenir de bons citoyens.

Le rôle de l'école est de s'occuper de l'instruction et non de l'éducation qui est celui des parents.

Dans le cas de cette crèche il s'agit d'abord de traquer toute trace de masculinité qui est assimilée au pouvoir machiste du mâle ... Mais pire, il s'agit aussi d'atténuer le rôle de la mère synonyme de toutes les soumissions selon eux .. Vous rendez vous compte pour nos apprentis sorciers de "l'être suprême" interchangeable, la "maman" cette création pétainiste ... ces femmes qui au lieu de se consacrer corps et âme à leur carrière professionnelle trouvent encore le temps de faire des petits gâteaux pour leurs rejetons!!! et ces autres qui allaitent encore en 2012 !!!

Dès la crèche? l'école se pose maintenant en rivale de la mère ... Or, l’éducation de la plus petite enfance, la transmission des valeurs, des comportements, de l’héritage familial, de la mémoire la plus étroite ou la plus ample, passent bien souvent par elle. Pas étonnant aux yeux de nos utopistes égalitaristes qu'elle devienne aussi dangereuse et aussi suspecte que le mâle machiste.

Le rôle de l'école est de s'occuper de l'instruction et non de l'éducation qui est celui des parents.

On voit aujourd'hui toute la réussite de cette façon de penser, la réforme de l'éducation nationale supprimant les cours de travaux manuels et domestiques était une bétise, il fallait les rendre mixtes, point.

j'y crois pas ou veux t'on nous emmener avec ces idées farfelus

je crois que mon post

http://www.forumfr.com/sujet467376-post360-un-jour-l-homme-allaitera-et-les-femmes-se-gratteront-l-entrejambe.html?p,7480795,hl,allaitera,fromsearch,1#entry7480795

était juste un avant gout

Plus que d'une décadence il s'agit d'un asservissement. Dans le cas de cette crèche, c'est une véritable manipulation mentale. En suède toujours à la pointe du totalitarisme utopique dans ce domaine, il est attribué des noms neutres aux enfants afin d'éviter de dire "il" ou elle". Le but est d’arracher l’être à son propre être pour éviter qu’il ne soit différencié.

"Un être enraciné dans un éthos ancestral, naturel et culturel à la fois, qui l’arme avec des représentations qui ont fait leur preuve, est beaucoup moins malléable, et plus rétif à l’asservissement ..."

L'asservissement réside dans le fait d'obliger implicitement les individus à s'enfermer dans des cases du style : un garçon sera viril, fort et sera le chef de la famille tandis que la fille devra s'occuper de la maison, des enfants et sera une petite chose fragile et discrète.

Ceci est de l'asservissement, or ce que prône les gender studies et ces formes de crèches qui en sont issues, c'est justement la volonté de dépasser ses rôles préconçus pour laisser les enfants choisir leur propre voie en étant le moins possible influencé.

Oui parce que l'influence ne commence pas à l'adolescence hein, ni par l'école, elle est permanente et autant présente à la maison qu'à la tv.

Le rôle de l'école est de s'occuper de l'instruction et non de l'éducation qui est celui des parents.

Dans le cas de cette crèche il s'agit d'abord de traquer toute trace de masculinité qui est assimilée au pouvoir machiste du mâle ... Mais pire, il s'agit aussi d'atténuer le rôle de la mère synonyme de toutes les soumissions selon eux .. Vous rendez vous compte pour nos apprentis sorciers de "l'être suprême" interchangeable, la "maman" cette création pétainiste ... ces femmes qui au lieu de se consacrer corps et âme à leur carrière professionnelle trouvent encore le temps de faire des petits gâteaux pour leurs rejetons!!! et ces autres qui allaitent encore en 2012 !!!

Dès la crèche? l'école se pose maintenant en rivale de la mère ... Or, l’éducation de la plus petite enfance, la transmission des valeurs, des comportements, de l’héritage familial, de la mémoire la plus étroite ou la plus ample, passent bien souvent par elle. Pas étonnant aux yeux de nos utopistes égalitaristes qu'elle devienne aussi dangereuse et aussi suspecte que le mâle machiste.

Le pire c'est que ces mesures sont appliquées en jouant du fait de l'ignorance du peuple quant à la psychologie. Peu de psychologues et psychiatres sont d'accord avec ces mesures. J'aurai aime connaître la réactions de Dolto ou de Lacan à ce sujet.

Vos réflexions bien que d'un humanisme criant sont dénuées de toutes cultures psychologiques. Et c'est bien la ou est le problème. On politise le psychologique. Alors que celui ci ne vous a pas attendu avant de réfléchir sur ces principes de liberté ou d'égalité. Ces mesures sont faussés, abjectes, avec un raisonnement qui a 130ans de retard et d'ignorance

L'asservissement réside dans le fait d'obliger implicitement les individus à s'enfermer dans des cases du style : un garçon sera viril, fort et sera le chef de la famille tandis que la fille devra s'occuper de la maison, des enfants et sera une petite chose fragile et discrète.

Ceci est de l'asservissement, or ce que prône les gender studies et ces formes de crèches qui en sont issues, c'est justement la volonté de dépasser ses rôles préconçus pour laisser les enfants choisir leur propre voie en étant le moins possible influencé.

Oui parce que l'influence ne commence pas à l'adolescence hein, ni par l'école, elle est permanente et autant présente à la maison qu'à la tv.

" laisser les enfants choisir leur propre voie en étant le moins possible influencé" ... Tu plaisantes ou quoi??? s'il y a bien bourrage de crâne, c'est bien là qu'il commence, dans ces crèches utopiques!!! . Une démarche aussi imbécile que d'obliger un gaucher à écrire avec la main droite. Faire en sorte d'attribuer des noms virtuels pour éviter qu'ils aient une connotation trop marquée masculin / féminin, demander aux garçons de faire pipi assis, donner des marteaux aux filles et des poupons aux garçons ... et tu crois encore que les manipulateurs de ces théories fumeuses attendent sagement sur un petit banc que les bambins contrarient leurs élucubrations?

Bientôt ils enverront aussi des "experts" pour vérifier les caisses à jouets des bambins à la maison dès fois que le petit Adrien joue encore avec des soldats et la petite Léa avec trop de barbies... Le totalitarisme est en marche cette fois, il est l'oeuvre de la coolitude ambiante ...

Boarf, l'idée n'est pas de "faire des garçons des filles" ou de créer un "humain asexué". C'est apparemment d'offrir plus d'ouverture dans l'éducation mais il est possible que concerne plus les parents que les enfants. De plus, ça peut entrer en conflit avec un modèle de société qui reste encore très clivé (à tort ou à raison) sur les genres. Les gamins, ils joueront avec ce qu'ils veulent. C'est une expérience qui ne va pas mener vers grand chose...Les enfants ne sont pas là pour "choisir leur éducation". Ils sont là pour être éduqués, c'est-à-dire proprement dressés (et oui !).

Ensuite, quand ils sont en âge de comprendre, on peut leur montrer que la cuisine n'est pas "un truc de fille" et que le bricolage n'est pas "un truc de garçon". Mais ça concerne l'éducation populaire, l'éducation de tous.

On ne remerciera jamais assez l'Etat et le PS de décerveler nos bambins dès la plus tendre enfance :

"Ce projet a été présenté à Najat Vallaud Belkacem, Ministre des droits des femmes et à Dominique Bertinotti, Ministre chargée de la famille, lors d’une visite sur place vendredi 7 septembre. .....

Les deux ministres se sont déclarées très favorables à promouvoir ce genre d’initiative, conscientes de l’intérêt de la généralisation de cette démarche dès le plus jeune âge et de son prolongement tout au long de la scolarité des enfants."

http://www.saint-ouen-socialiste.fr/?p=2304

J'ai du mal à comprendre ce raisonnement qui veut que ce sont nos jeux d'enfants qui nous dictes les fonctions que l'on exercera une fois adultes, quand j'étais gamin les petits garçons avaient tous leur panoplie de petit policier, il ne me semble pas qu'il ait eu un boom de vocation policière parmi les hommes de ma génération.

J'ai du mal à comprendre ce raisonnement qui veut que ce sont nos jeux d'enfants qui nous dictes les fonctions que l'on exercera une fois adultes, quand j'étais gamin les petits garçons avait tous leurs panoplies de petit policier, il ne me semble pas qu'il ait eu un boom de vocation policière parmi les hommes de ma génération.

Ces utopistes qui viennent tous du même moule ne savent plus quoi inventer pour façonner leur obsession de l'homme nouveau...euh! pardon, je voulais dire être du "genre nouveau" ...

Au XXe siècle ils ont échoué avec le prolétariat mythique maintenant, ils se recyclent à tout va sur les problèmes sociétaux : en finir avec le mâle dominant macho, extirper tous les déterminismes familiaux, ethniques, sociaux, diffuser la théorie du genre en SVT, mettre en place le mariage gay, faire de chaque enfant né un adopté en puissance, traquer la violences machiste qui sommeille chez les 0-3ans et j'en passe ...

Bientôt il deviendra honteux et "fachiiiiste" d'avoir des poils et une voix grave

Oulah le danger ! Un garçon jouer à la poupée quelle horreur ! Autant l'emasculer direct !

Nan mais sérieusement... J'ai eu une mallette de bricolage petite fille, je tapais du marteau, je sciais avec mon papa, cela ne m'a pas empêchée de devenir une femme, d'être hétérosexuelle, d'avoir un enfant, d'exercer des métiers plutôt féminins. Ce que j'en retiens c'est que je ne laisse pas le bricolage à mon conjoint, que c'était autrefois une activité de partage avec mon père. Il y en a qui s'effraient de peu. La diversité c'est enrichissant.

J'ai du mal à comprendre ce raisonnement qui veut que ce sont nos jeux d'enfants qui nous dictes les fonctions que l'on exercera une fois adultes, quand j'étais gamin les petits garçons avaient tous leur panoplie de petit policier, il ne me semble pas qu'il ait eu un boom de vocation policière parmi les hommes de ma génération.

Et bien sur , mais on va surement te dire que ça va bien plus loin que ça , que ça a influencé ta façon de voir le monde avec tout un baratin a la noix etc etc ...

Ma cousine a eu des poupées des son plus jeune age , moi j'avais des petites voitures et " ENSEMBLES " nous jouions a la dinette et oui .....et bien ça ne l'a pas empéché d'avoir aujourd'hui sa propre entreprise , et moi d'etre employé par une femme ...

On aime notre situation et on a pas eu besoin d'une creche a la con pour cela.....

Mais chuuuut dis pas ça tu va te faire traiter de menteur et moi de sexiste.....voir l'inverse ou les deux....

Le pire c'est que ces mesures sont appliquées en jouant du fait de l'ignorance du peuple quant à la psychologie. Peu de psychologues et psychiatres sont d'accord avec ces mesures. J'aurai aime connaître la réactions de Dolto ou de Lacan à ce sujet.

Vos réflexions bien que d'un humanisme criant sont dénuées de toutes cultures psychologiques. Et c'est bien la ou est le problème. On politise le psychologique. Alors que celui ci ne vous a pas attendu avant de réfléchir sur ces principes de liberté ou d'égalité. Ces mesures sont faussés, abjectes, avec un raisonnement qui a 130ans de retard et d'ignorance

Ne pas mélanger psychanalyse et psychologie, ce serait pas mal pour commencer. Ensuite, je ne vois absolument pas où tu as été chercher que ça allait à l'encontre de la psychologie actuelle et que la plupart des psychologues seraient contre. As-tu des sources pour étayer tes propos ?

" laisser les enfants choisir leur propre voie en étant le moins possible influencé" ... Tu plaisantes ou quoi??? s'il y a bien bourrage de crâne, c'est bien là qu'il commence, dans ces crèches utopiques!!! . Une démarche aussi imbécile que d'obliger un gaucher à écrire avec la main droite. Faire en sorte d'attribuer des noms virtuels pour éviter qu'ils aient une connotation trop marquée masculin / féminin, demander aux garçons de faire pipi assis, donner des marteaux aux filles et des poupons aux garçons ... et tu crois encore que les manipulateurs de ces théories fumeuses attendent sagement sur un petit banc que les bambins contrarient leurs élucubrations?

Bientôt ils enverront aussi des "experts" pour vérifier les caisses à jouets des bambins à la maison dès fois que le petit Adrien joue encore avec des soldats et la petite Léa avec trop de barbies... Le totalitarisme est en marche cette fois, il est l'oeuvre de la coolitude ambiante ...

C'est justement le contraire de ce que tu décris. Il n'est pas question d'obliger mais de laisser le choix. La comparaison avec le gaucher obligé de devenir droitier n'a rien à voir puisque ici on cherche à ce que l'enfant ne soit pas enfermé dans un rôle prédéfini en lui laissant le choix d'expérimenter toutes les choses qui l'intéressent, qu'elles soient soi-disant faites pour celles du sexe opposé, ex : un garçon peut jouer à la dinette sans qu'on lui dise que c'est fait pour les filles et que c'est une chiffe-molle s'il y joue, idem on ne traitera pas une fille qui joue à action man de garçon manqué pour autant.

En quoi c'est un bourrage de crâne ? Ça en serait un si on obligeait les enfants à faire quelque chose et, surtout, à faire quelque chose qui va à l'encontre de leurs désirs, ce qui n'est pas le cas ici.

Ensuite inciter les hommes à faire pipi, ça n'a rien à voir avec le sujet, c'est une question d'hygiène me semble-t-il. Ne pas tout mélanger ne serait pas mal (surtout qu'encore une fois c'est un conseil et non une obligation).

C'est fou de voir de la manipulation là où il n'y en a pas et de considérer comme normales les normes qu'on nous impose dès notre plus âge et de ne jamais les remettre en question, comme si elles étaient forcément toutes légitimes et issues de la nature.

J'ai du mal à comprendre ce raisonnement qui veut que ce sont nos jeux d'enfants qui nous dictes les fonctions que l'on exercera une fois adultes, quand j'étais gamin les petits garçons avaient tous leur panoplie de petit policier, il ne me semble pas qu'il ait eu un boom de vocation policière parmi les hommes de ma génération.

Ils ne définissent pas ce que l'on fera plus tard mais ils contribuent très fortement à ancrer des représentations déterminées et fermées de l'homme et de la femme au travers de quelques clichés circulant dans les jeux. En le faisant rentrer dans l'imaginaire de l'enfant, cela permet de le faire perdurer. Or, si on veut une réelle évolution des mœurs de ce côté-là, il faut commencer par modifier l'éducation faite aux enfants et cela passe notamment par les jouets qu'on leur donne.

Ben voilà, y'a pas de quoi capoter, Williama, respire. Je ne pense pas que le fait que l'on offre la possibilité aux garçons de jouer à la poupée et aux filles de tenir un marteau (houuuuu, quelle horreur) soit apocalyptique. En autant que cela ne soit pas imposé. De toute façon, que l'on le veuille ou non, je pense que les garçons, en général, iront naturellement vers les activités qui les feront dépensé de l'énergie, par exemple. Et puis bien sur qu'il faut évoluer, Imagine Williama si tout était resté comme il y a 100 ans et que la société se serait fié sur des à-priori, les femmes ne seraient jamais sorties de leur cuisine alors qu'on les retrouve maintenant dans toutes les sphères de la société. Faut tout de même être prudent car nous connaissons ici le problème inverse, i-e que l'on se demande si l'école primaire est bien adapté aux garçons vu le taux élevé de décrochage chez ces derniers et le fait qu'ils réussissent moins bien que les filles de façon général. Par exemple le nombre de filles en médecine est plus élevé. Alors on se demande si on a pas trop aseptisé l'école, par exemple, on a banni les jeux très actifs et plus agressifs dans la cour alors que l'on sait que les garçons ont besoin de bouger, et le fait aussi que les profs soient en majorité des femmes ....Enfin, faut rester vigilant à ne pas trop dilué les différences, justement.

Boarf, l'idée n'est pas de "faire des garçons des filles" ou de créer un "humain asexué". C'est apparemment d'offrir plus d'ouverture dans l'éducation mais il est possible que concerne plus les parents que les enfants. De plus, ça peut entrer en conflit avec un modèle de société qui reste encore très clivé (à tort ou à raison) sur les genres. Les gamins, ils joueront avec ce qu'ils veulent. C'est une expérience qui ne va pas mener vers grand chose...Les enfants ne sont pas là pour "choisir leur éducation". Ils sont là pour être éduqués, c'est-à-dire proprement dressés (et oui !).

Ensuite, quand ils sont en âge de comprendre, on peut leur montrer que la cuisine n'est pas "un truc de fille" et que le bricolage n'est pas "un truc de garçon". Mais ça concerne l'éducation populaire, l'éducation de tous.

donc ça sert a rien dans le principes?

sinon je vois pas en quoi

Oulah le danger ! Un garçon jouer à la poupée quelle horreur ! Autant l'emasculer direct !

Nan mais sérieusement... J'ai eu une mallette de bricolage petite fille, je tapais du marteau, je sciais avec mon papa, cela ne m'a pas empêchée de devenir une femme, d'être hétérosexuelle, d'avoir un enfant, d'exercer des métiers plutôt féminins. Ce que j'en retiens c'est que je ne laisse pas le bricolage à mon conjoint, que c'était autrefois une activité de partage avec mon père. Il y en a qui s'effraient de peu. La diversité c'est enrichissant.

non la on l'incites a jouer a de jeu de petite fille c'est différent

Ne pas mélanger psychanalyse et psychologie, ce serait pas mal pour commencer. Ensuite, je ne vois absolument pas où tu as été chercher que ça allait à l'encontre de la psychologie actuelle et que la plupart des psychologues seraient contre. As-tu des sources pour étayer tes propos ?

C'est justement le contraire de ce que tu décris. Il n'est pas question d'obliger mais de laisser le choix. La comparaison avec le gaucher obligé de devenir droitier n'a rien à voir puisque ici on cherche à ce que l'enfant ne soit pas enfermé dans un rôle prédéfini en lui laissant le choix d'expérimenter toutes les choses qui l'intéressent, qu'elles soient soi-disant faites pour celles du sexe opposé, ex : un garçon peut jouer à la dinette sans qu'on lui dise que c'est fait pour les filles et que c'est une chiffe-molle s'il y joue, idem on ne traitera pas une fille qui joue à action man de garçon manqué pour autant.

En quoi c'est un bourrage de crâne ? Ça en serait un si on obligeait les enfants à faire quelque chose et, surtout, à faire quelque chose qui va à l'encontre de leurs désirs, ce qui n'est pas le cas ici.

Ensuite inciter les hommes à faire pipi, ça n'a rien à voir avec le sujet, c'est une question d'hygiène me semble-t-il. Ne pas tout mélanger ne serait pas mal (surtout qu'encore une fois c'est un conseil et non une obligation).

C'est fou de voir de la manipulation là où il n'y en a pas et de considérer comme normales les normes qu'on nous impose dès notre plus âge et de ne jamais les remettre en question, comme si elles étaient forcément toutes légitimes et issues de la nature.

Ils ne définissent pas ce que l'on fera plus tard mais ils contribuent très fortement à ancrer des représentations déterminées et fermées de l'homme et de la femme au travers de quelques clichés circulant dans les jeux. En le faisant rentrer dans l'imaginaire de l'enfant, cela permet de le faire perdurer. Or, si on veut une réelle évolution des mœurs de ce côté-là, il faut commencer par modifier l'éducation faite aux enfants et cela passe notamment par les jouets qu'on leur donne.

laissons les enfants grandir comme il veut les crèche sont la pour les divertir pas changer leurs façon d'etre :gurp::gurp:

Et puis bien sur qu'il faut évoluer, Imagine Williama si tout était resté comme il y a 100 ans et que la société se serait fié sur des à-priori, les femmes ne seraient jamais sorties de leur cuisine alors qu'on les retrouve maintenant dans toutes les sphères de la société.

Hum, c'est peut-être une évolution qui gêne finalement. Et si les petites filles en jouant aux camions se mettaient à revendiquer l'égalité homme-femme à l'âge adulte ? terrible, tu imagines !:D

non la on l'incites a jouer a de jeu de petite fille c'est différent

Qu'un homme change les couches de son bébé n'a rien de dévirilisant. Qu'un petit garçon joue à changer un poupon ne l'empêchera pas non plus de savoir qu'il est un garçon et de devenir un homme.