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Rentrée – Une enseignante condamnée pour une liaison avec un élève de 12 ans

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metal guru

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Edit : Si l'histoire a commencé alors qu'il avait 12 ans, je vois mal comment on pourrait faire la confusion avec un ado de 15 ans... :o°

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Invité ella voyage
Invités, Posté(e)
Invité ella voyage
Invité ella voyage Invités 0 message
Posté(e)

Une question me taraude:

On parle beaucoup de choix, libre.

Mais qui, quoi, suggèrent, ce choix, ces choix, voire ces plaisirs, dits libres ?

Je ne suis toujours pas arrivée à répondre vraiment , certainement, à cette question.

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Y a pas de liberté avec un garçonnet face à un prof, qui aura de toute façon un ascendant spirituel.

C'est pas pour rien que même à la fac on interdit les coucheries profs élèves.

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Invité ella voyage
Invités, Posté(e)
Invité ella voyage
Invité ella voyage Invités 0 message
Posté(e)

J'élargis la question au-delà de ce cas présent:

Et s'il s'agit d'un garçonnet ou d'une fillette face à un esclave ou une esclave, ou une personne qui n'aura jamais pu, pour X raisons antérieures diverses, prendre conscience de l'ascendant qu'il ou elle a pu prendre sur l'enfant sur qui il/elle commet cet acte?

Modifié par ella voyage
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Invité ella voyage
Invités, Posté(e)
Invité ella voyage
Invité ella voyage Invités 0 message
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Laquelle S-Nova?

Ma dernière question , qui parle d'un cas différent de celui d'une prof avec un élève sur qui elle a un ascendant, ça c'est certain ?

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Membre, homme libre, 40ans Posté(e)
S-Nova Membre 1 760 messages
40ans‚ homme libre,
Posté(e)

J'élargis la question au-delà de ce cas présent:

Et s'il s'agit d'un garçonnet ou d'une fillette face à un esclave ou une esclave, ou une personne qui n'aura jamais pu, pour X raisons antérieures diverses, prendre conscience de l'ascendant qu'il ou elle a pu prendre sur l'enfant sur qui il/elle commet cet acte?

Je n'ai pas compris cette phrase.

Laquelle S-Nova?

Ma dernière question , qui parle d'un cas différent de celui d'une prof avec un élève sur qui elle a un ascendant, ça c'est certain ?

Pourquoi "c'est certain" ???????

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Invité ella voyage
Invités, Posté(e)
Invité ella voyage
Invité ella voyage Invités 0 message
Posté(e)

Je n'ai pas compris cette phrase. Laisses tomber ma question, pas grave, c'est un autre sujet et hors sujet de ce topic.

Pourquoi "c'est certain" ??????? de par sa position, enfin, peut-être, je ne sais pas.

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Membre, Posté(e)
chris10 Membre 782 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
C'est un peu ça le problème, un homme de 40 ayant une relation avec une gamine de 12 ans aurait pris 15 ans de taule et serait taxé, à juste titre, de pédophile....

Je ne vois pas ce qui justifie une si faible peine pour cette femme.

C'est de plus en plus fréquent que les femmes échappent en toute impunité aux sanctions de la loi.

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Invité som28
Invités, Posté(e)
Invité som28
Invité som28 Invités 0 message
Posté(e)

C'est de plus en plus fréquent que les femmes échappent en toute impunité aux sanctions de la loi.

?? tu peux développer ?:hu: j'ai peur de comprendre......:snif:

Modifié par som28
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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

C'est de plus en plus fréquent que les femmes échappent en toute impunité aux sanctions de la loi.

source ??

Pédophilie: les femmes aussi

Par Saubaber Delphine, publié le 25/07/2002

...

"L'inceste de la mère, celle qui est censée protéger, est vécu de manière insupportable. D'où la difficulté de le traiter." Et la nécessité de "faire reconnaître ces victimes de l'ombre par la justice".

Pas si simple, enfin. Car celle-ci "bute contre nos représentations mentales, analyse le juge Xavier Lameyre, spécialisé dans la criminalité sexuelle. Ces femmes sont si éloignées de l'image que nous avons de la bonne mère ou de la femme victime qu'on hésite entre deux extrêmes. Quand il n'y a pas eu de classement sans suite, soit elles sont, à fait égal, plus légèrement condamnées que les hommes, par réflexe de compassion. Soit, au contraire, elles le sont plus lourdement, tellement c'est inconcevable..."

Pourtant, les mentalités évoluent: "De plus en plus, souligne le juge, on songe à poursuivre des femmes pour ce type d'abus et c'est nouveau. On commence peut-être à penser la déviance sous l'angle de la parité..." Signe révélateur: le Collectif féministe contre le viol a récemment lancé une étude sur le sujet. Pour Océane, l'espoir est là: "S'il vous plaît, parlez-en pour qu'on nous croie, enfin."

http://www.lexpress....ssi_648895.html

Modifié par eklipse
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Membre, Charogne, 32ans Posté(e)
I.verik Membre 1 402 messages
32ans‚ Charogne,
Posté(e)

Sans vouloir rentrer dans un nouveau débat que les femmes soit jugées pour les mêmes faits plus durement ou légèrement en fonction des sentiments ne montre pas en plus qu'il y a un défaut dans la justice à ce niveau ?:hu:

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Membre, Dazzling blue², 52ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
52ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

La relation d’emprise

Date de publication : 25 Novembre 2008

Soraya Laouadi

La relation d’emprise dans la perversion est essentiellement spéculaire, duelle donc non médiatisée. Elle se développe essentiellement dans l’imaginaire. L’autre est aliéné, rendu étranger à lui-même. Il faut le paralyser, l’empêcher de penser afin qu’il ne prenne pas conscience du processus. Cet assujettissement permet d’éviter d’entrer en relation avec cet autre dont la différence terrifie.

Pour résumer, l’emprise chez le pervers vise l’autre comme objet désirant. Elle tend à la captation puis à la neutralisation du désir de l’autre par une entreprise de séduction. Le pervers s’approprie ainsi le désir de la victime pour le contrôler et en retirer la substance, avant de le délaisser en niant qu’il ait même pu exister. Le lien d’emprise est formé d’une volonté, avouée ou non, de détruire toute humanité en l’autre, pour l’utiliser à sa guise comme une marionnette.

Lorsque, par exemple, la mère ou tout autre substitut prodigue à l’enfant des soins érotisés (ambigus, imprévisibles, trop intenses et méprisants à la fois), la mémoire du corps de l'enfant et de son âme sera marquée par une sourde “haine de soi”. L’enfant prisonnier sera à la fois invité et empêché d’agir, de penser, voire d’imaginer.

Cette haine va se diriger vers les autres, comme autant de réponses érotisées, inappropriées, dans les relations d’amitié, de travail et d’amour. L’emprise se met en place dans toute relation de séduction niée et suscite un enfermement qui vise à ligoter autrui. La personne qui met sous emprise impose à l’autre aveuglement et mutisme, elle l’enferme dans un cercle clos, à double tour.

La victime de l’emprise

De son côté la personne sous emprise maintient son enfermement, pour se protéger de la douleur niée, annulée. Elle se piège dans cette double contrainte : obéir à ce qui la destitue, tout en restant dans la confusion, prisonnière d’un état de dépendance et d’impuissance à s’en défaire. C’est, en d’autres termes, un double lien.

La personne piégée dans une telle emprise n’a plus qu’un statut d’objet, d’instrument modelé et utilisé par le manipulateur, qui ne convoite que sa soumission et la jouissance qu’il en retire. La personne victime de l’emprise, dépossédée d’elle-même, aura tendance à imputer son état de misère intérieure à la réalité sociale, familiale ou à son environnement de travail.

La relation d’emprise se décline dans le registre de l’inceste psychique dans lequel l’enfant ne peut véritablement trouver sa place de sujet humain. Dans ce modèle faussé de relation réside une proximité entre l’autre et soi, où seul règne la confusion et l’arbitraire. “La loi c’est moi” est alors l’énoncé du pervers. La personne sous emprise est comme possédée, envoûtée.

http://www.sophia-analyse.fr/page/index.php?rub=20&art=29

Se défaire de l’emprise

En conséquence, il n’y a pas de cause unique, mais plutôt un faisceau de paramètres, parfois noués, enfouis qui sont mis au jour, au fil d’un travail personnel sur son désir d’être sujet et le courage d’être soi.

Se déprendre et se défaire de toute emprise, c’est oser dire “Je” et devenir qui je suis.

Pour conclure, je citerai cette phrase de Pascal Bruckner : “Plus les rapports humains sont soumis à l’emprise, plus ils se dégradent, s’étiolent. C’est le revers de la médaille. Les autres ne sont pas des serviteurs à étancher toutes mes soifs, assouvir toutes mes lubies. A chacun de nous de savoir s’il veut habiter cette terre en petit maître ou en poète, en parasite ou en ami.”

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 458 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)

Sans vouloir rentrer dans un nouveau débat que les femmes soit jugées pour les mêmes faits plus durement ou légèrement en fonction des sentiments ne montre pas en plus qu'il y a un défaut dans la justice à ce niveau ?:hu:

C'est très difficile pour la justice de trouver une condamnation qui satisfasse tout le monde dans chaque cas qui lui est présenté. Le législateur est obligé d'avoir une échelle de valeur et de tenir compte de tout un tas de paramètres qui vont des actes à la personalité du coupable en passant par celle de la victime. Dans les affaires de viols ou de pédophilie le fait pour une personne d'avoir été sexuellement pénétrée ou pas est très importante et c'est surtout cela qui permet de qualifier l'acte et ainsi de proposer un échantillon de peine correspondant à cette qualification. Le fait par exemple que l'acte soit commis par une personne ayant autorité sur la victime est par exemple une circonstance aggravante mais qui est jugée moins sévèrement que si celle-ci avait introduit son sexe, un doit ou un objet dans le sexe ou l'anus de sa victime.

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