Le Guen favorable aux "salles de shoot"

Voilà :)

si Genève est devenue si merveilleuse, pourquoi toute la Suisse n'a-t-elle pas adoptée ces salles de shoot? pourquoi Lausanne etc... les ont refusé etc ...

http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Plainpalais-le-nouveau-supermarche-de-la-coke/story/15596127?cache=9efAwefu

Et dans quel monde de haine et d'intolérance où les drogués sont tous de dangereux criminels vivez-vous au juste ?

je vis dans un monde de père de famille qui ferait tout pour désintoxiquer son fils plutôt que de le retrouver confortablement soustrait à votre vue dans une salle de shoot!

si Genève est devenue si merveilleuse, pourquoi toute la Suisse n'a-t-elle pas adoptée ces salles de shoot? pourquoi Lausanne etc... les ont refusé etc ...

http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Plainpalais-le-nouveau-supermarche-de-la-coke/story/15596127?cache=9efAwefu

C'est dingue toute cette mauvaise foi concentrée. Vous ne voyez vraiment que ce que vous voulez voir. Les lausannois sont les seuls qui ont formellement rejeté

l'idée. Un referendum visant à interdire ces centres a montré que 70% des gens étaient favorables à ceux-ci.

Vous êtes vraiment allé chercher l'exception pour confirmer

votre fantasme.

je vis dans un monde de père de famille qui ferait tout pour désintoxiquer son fils plutôt que de le retrouver confortablement soustrait à votre vue dans une salle de shoot!

Vous présentez les choses comme ça vous arrange. Reflechissez plus de trois secondes et dépassez vos préjugés, peut-être qu'alors on pourra avoir une discussion, qui sait ?

je vis dans un monde de père de famille qui ferait tout pour désintoxiquer son fils plutôt que de le retrouver confortablement soustrait à votre vue dans une salle de shoot!

! les salles de shoot peuvent permettre d' aider un tox à tenter de décrocher en étant en contact avec une équipe médicale et des pros ! la sortie de cette merde est très longue, pénible pour le tox et ses proches ! c 'est rare qu' un tox s' en sorte de lui même ou avec l' aide de non professionnel !

tu préféres que des seringues traînent un peu partout ?? dans un bac à sable , dans un caniveau, sous un porche, dans une cours d' école, dans un bosquet ?????

ces salles de shoot ne sont qu' un des moyens pour aider des tox à s' en sortir et pour éviter que des gens choppent le sida, l' hépathie C !!!!

Williama donne l'impression qu'il préférerait tuer quelqu'un que d'essayer de l'aider.

C'est très perturbant.

Un médecin m'avait dit un jour qu'il aurait bien aimé pouvoir injecter lui-même l'héroïne à quelqu'un, histoire qu'il sache que ce n'était pas de la merde qu'il se foutait dans les veines, tant c'était écoeurant de voir les massacres commis, non par la drogue, mais par la merde avec laquelle des connards la coupait.

Il ne l'a jamais fait, par peur de se voir interdit d'exercer. mais ça donne une idée.

C'est dingue toute cette mauvaise foi concentrée. Vous ne voyez vraiment que ce que vous voulez voir. Les lausannois sont les seuls qui ont formellement rejeté

l'idée. Un referendum visant à interdire ces centres a montré que 70% des gens étaient favorables à ceux-ci.

Vous êtes vraiment allé chercher l'exception pour confirmer

votre fantasme.

Vous présentez les choses comme ça vous arrange. Reflechissez plus de trois secondes et dépassez vos préjugés, peut-être qu'alors on pourra avoir une discussion, qui sait ?

D'abord tous les cantons n'ont pas la même attitude face à ce problème ... ensuite, Genève est loin d'être devenu le paradis tant vanté en début de topic. Si la conso d'héroïne a baissé, phénomène qui n'est pas propre à cette ville, celles de la coke et de l'ecstasy ont explosées... curieusement les chiffres annoncent une baisse de la délinquance et de la conso de drogue à Genève mais pas de celle du nombre des dealers, c'est curieux non? .... Ils ne parlent pas non plus du climat qui a envahi certains quartiers réputés tranquilles et devenus en quelques années des Bronx.

Enfin il n'y a rien de très nouveau, ces centres de shoot ne sont rien d'autres que les concentrations dans un parc pour drogués expérimentées à Zurich dès les années 80. Cette utopie en plein air c'est terminée par un désastre ... Ces concentrations atteignaient en effet plus de 4000 toxicos par jour avec toutes les conséquences autour. Par cars entiers ils ont été renvoyés dans leur cantons d'origine tant la situation était devenue intenable ...

je vis dans un monde de père de famille qui ferait tout pour désintoxiquer son fils plutôt que de le retrouver confortablement soustrait à votre vue dans une salle de shoot!

! les salles de shoot peuvent permettre d' aider un tox à tenter de décrocher en étant en contact avec une équipe médicale et des pros ! la sortie de cette merde est très longue, pénible pour le tox et ses proches ! c 'est rare qu' un tox s' en sorte de lui même ou avec l' aide de non professionnel !

tu préféres que des seringues traînent un peu partout ?? dans un bac à sable , dans un caniveau, sous un porche, dans une cours d' école, dans un bosquet ?????

ces salles de shoot ne sont qu' un des moyens pour aider des tox à s' en sortir et pour éviter que des gens choppent le sida, l' hépathie C !!!!

cela fait 40ans que la société se came dans les grandes largeurs et cela fait 40ans que nous allons d'échec en échec sur cette question ... tout a commencé avec des centres d'hébergement gentillet comme celui du Patriarche dans les années70 ... depuis on ne compte plus les trouvailles aussi mièvres et inutiles les unes que les autres.... Toutes baignent dans l'autosatisfaction de leurs créateurs et durent à peine quelques années avant d'imploser. La vérité est que personne ne veut faire d'examen de conscience. Tout le monde participe à la promotion de la drogue en tant que parents, médias, gouvernants, mais bien sûr cette question sur la responsabilisation des uns et des autres n'est pas dans l'air du temps ...

Williama donne l'impression qu'il préférerait tuer quelqu'un que d'essayer de l'aider.

C'est très perturbant.

Un médecin m'avait dit un jour qu'il aurait bien aimé pouvoir injecter lui-même l'héroïne à quelqu'un, histoire qu'il sache que ce n'était pas de la merde qu'il se foutait dans les veines, tant c'était écoeurant de voir les massacres commis, non par la drogue, mais par la merde avec laquelle des connards la coupait.

Il ne l'a jamais fait, par peur de se voir interdit d'exercer. mais ça donne une idée.

Ce n'est pas moi qui tue! mais la toxicomanie pousse aussi au vol, aux violences et aux crimes parfois ... ce sont souvent les médecins qui en font les frais.

Dans notre société les fous dangereux sont libérés, les prisonniers pour délits sexuels n'ont aucune obligation de soin durant leur incarcération et les toxicos aucune obligation de suivre une cure de désintoxication ...

C'est quoi au juste cette société qui place une idée fictive de la bonté de l'homme au-dessus de tout et qui préfère ensuite ignorer les victimes ? il est temps d'inverser les pôles ...

Ce n'est pas moi qui tue! mais la toxicomanie pousse aussi au vol, aux violences et aux crimes parfois ... ce sont souvent les médecins qui en font les frais.

Dans notre société les fous dangereux sont libérés, les prisonniers pour délits sexuels n'ont aucune obligation de soin durant leur incarcération et les toxicos aucune obligation de suivre une cure de désintoxication ...

C'est quoi au juste cette société qui place une idée fictive de la bonté de l'homme au-dessus de tout et qui préfère ensuite ignorer les victimes ? il est temps d'inverser les pôles ...

Et l'exemple Suisse nous montre que la délinquance liée à la toxicomanie chute avec les lieux dédiés aux toxs. Les fous dangereux sont repérés, encadrés tout de suite avant de passer à l'acte. C'est tout bénéf. Il faut les accompagner dans les cures, pas leurs donner un ticket qui ne sera suivi de rien car un dealer arrivera avant pour les faire replonger. On veut la même chose. Et ça, c'est un moyen qui fonctionne. Pourquoi ne pas essayer, même à petite échelle ? On jugera sur les résultats...

Oui c'est tellement mieux que les drogués se passent des seringues sales.

La connerie c'est ici.

Les stéribox vendues dans toutes les pharmacies coutent 1€, des toxico qui se refilent des seringues sales ça n'existe quasiment plus.

si Genève est devenue si merveilleuse, pourquoi toute la Suisse n'a-t-elle pas adoptée ces salles de shoot? pourquoi Lausanne etc... les ont refusé etc ...

http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Plainpalais-le-nouveau-supermarche-de-la-coke/story/15596127?cache=9efAwefu

Tiens, tu as été faire les poubelles ? C'est quoi l'intérêt de cet article ? C'est sensé prouvé quoi ? L'article parle de coke et du quartier de Plainpalais, alors que le centre d'injection se trouve dans le quartier de Cornvin !!! T'es vraiment prêt à exhumer n'importe quoi pour donner du corps à ton propos !! C'est con là, la ficelle est un peu énorme.

Sinon, si c'est juste pour souligner qu'il y a des dealers à Genève, wahouu, quel scoop !!!

Lausanne n'a pas rejeté l'initiative parce que ça marche pas, mais parce qu'il y a beaucoup de personnes à l'esprit étriqué, et merci au matraquage de l'extrême-droite. Tu parles de Lausanne, c'est justement un bon exemple, parce que la ville ne manque carrément pas de toxicos. Viens faire un tour place de la Riponne, ou place St Laurent, tu verras comme c'est super de voir des hordes de paumés se faire des injections sur les marches de l'église ou devant l'entrée du métro.

je vis dans un monde de père de famille qui ferait tout pour désintoxiquer son fils plutôt que de le retrouver confortablement soustrait à votre vue dans une salle de shoot!

Quand ton fils sera héroïnomane, tu lui feras ses injections toi-même je pense. Ben ton fils a de la chance, mais tu vois, tous les toxicos ne sont pas aussi bien lotis.

Les salles d'injection ne sont pas là pour faire la promotion de la consommation de drogue, mais pour aider les toxicos qui sont en détresse.

cela fait 40ans que la société se came dans les grandes largeurs et cela fait 40ans que nous allons d'échec en échec sur cette question ... tout a commencé avec des centres d'hébergement gentillet comme celui du Patriarche dans les années70 ... depuis on ne compte plus les trouvailles aussi mièvres et inutiles les unes que les autres.... Toutes baignent dans l'autosatisfaction de leurs créateurs et durent à peine quelques années avant d'imploser. La vérité est que personne ne veut faire d'examen de conscience. Tout le monde participe à la promotion de la drogue en tant que parents, médias, gouvernants, mais bien sûr cette question sur la responsabilisation des uns et des autres n'est pas dans l'air du temps ...

heu tu ne savais pas que le problème est nettement plus ancien ???

la came était en vogue dès les années 20, réservés à une élite (cocaïne et héroïne avaient un coût élevée !!) puis s' est démocratisée rapidos !

promotion de la drogue ???? pas dans ce topic !!! au delà des idées politiques qui nous sépara toujours, je te demande d' être rationnel ! tu préféres que les tox continuent à semer les seringues un peu partout, à dealer des produits coupés avec n' importe quoi , à en proposer à des gosses ???

Les stéribox vendues dans toutes les pharmacies coutent 1€, des toxico qui se refilent des seringues sales ça n'existe quasiment plus.

C'est un début d'action, mais insuffisant. Déjà les pharmacie n'en vendent pas toutes, de plus pas la nuit, et pour un tox, 1 € c'est 1 €.

Mais surtout, la stéribox ne discute pas accompagnement en centre de désintoxication.

Tes derniers chiffres sortent de nulle part, williama. Et tes sources ?

Pour le reste, oublie tes préjugés et informe-toi.

C'est un début d'action, mais insuffisant. Déjà les pharmacie n'en vendent pas toutes, de plus pas la nuit, et pour un tox, 1 € c'est 1 €.

Mais surtout, la stéribox ne discute pas accompagnement en centre de désintoxication.

Si si, toutes le pharmacies en ont et la nuit il y a des pharmacies de garde et les tox ne sont pas profondément débiles non plus ils savent très bien l'intérêt qu'ils ont à investir quelques euros dans ces kit d'injection et ils en achètent en général un stock. Et quand bien même il arrive qu'il n'ait plus de stéribosx au moment voulou, il est rare que les tox se prêtent leurs seringues, chacun en ayant en général une usagée qui n'a servi qu'à lui. Quand tu dépense 40 par gramme de came ou 80 pour de la CC, plus les clopes, la fumette et le reste tu n'es pas à quelques euros près, crois-moi.

Je ne suis pas persuadé qu'un mec sur le point de se faire un shoot traverse la ville pour trouver la pharmacie de garde.

Quoi qu'il en soit, la stéribox ne répond pas aux besoin sociaux d'accompagnement des toxicomanes. Les salles de shoot servent surtout à ça. Une prise en charge des malades pour les sortir de leur dépendance.

Existe t-il une désintox box en libre service ?

Les salles de consommation à moindre risque : un dispositif validé par la science et l’expérience de terrain

Act Up-Paris – Aides – Fédération Addiction – Gaïa – Médecins du Monde – Réseau Réduction des risques – Safe - Sidaction – SOS Hépatites Fédération

Suite à l’interpellation du gouvernement par Jean-Marie Le Guen, nos associations rappellent qu’elles demandent l’ouverture de salles de consommation à moindre risque depuis de nombreuses années.

Pourquoi ce dispositif ?

Les actions de réduction des risques existantes ont fait leur preuve en matière de diminution de certains risques associés à la consommation de drogues (transmission du VIH, VHC, infections, abcès, overdose, etc.). Mais toute une partie des usagers et usagères de drogues, les plus précaires, les plus exclu-es, ne peuvent pleinement bénéficier de ces actions.

Expérimentées et validées dans de nombreux pays, les salles de consommation à moindre risque (SCMR) permettent précisément de toucher ce public. En réduisant les risques liés à l’usage de drogues grâce à un environnement sécurisé, elles instaurent un contact avec ces personnes exclues, leur permettant d’intégrer un parcours de soins et des dispositifs sociaux. L’intérêt de l’action va donc bien au-delà de la mise à disposition, par ailleurs nécessaire, d’un environnement sécurisé.

Quand la science contredit les préjugés

L’intérêt des salles de consommation dans les situations identifiées par les associations a été validé scientifiquement par l’INSERM dans une expertise collective, qui s’est appuyée sur la littérature scientifique mondiale et les expériences des salles déjà existantes.

L’INSERM démontre les bénéfices des salles de consommation (page 28 de la synthèse de leur analyse) : les usager-ères à hauts risques sont atteint-es, la consommation est plus sûre, les comportements à risque, ainsi que la morbidité associée au VIH, au VHC ou aux abcès, ou encore les overdoses mortelles diminuent. Enfin, l’accès aux soins est amélioré.

L’INSERM montre aussi que la consommation dans les lieux publics diminue, qu’il n’y a pas d’augmentation de délits associés à l’usage de drogues. Dans certaines structures, comme à Vancouver, l’ouverture de salles de consommation a été associée avec une augmentation des inscriptions dans des programmes de substitution. La science montre bien à quel point on est loin de l’incitation à la drogue, critique martelée sans justification par les opposant-es au dispositif.

Au-delà de la politique politicienne

L’urgence sanitaire que nous constatons sur le terrain mérite bien mieux qu’un débat partisan stérile. A celles et ceux qui parlent sans savoir de « laxisme », d’ « incitation à la drogue », nous demandons de fonder scientifiquement leur avis. À celles et ceux qui voudraient résumer le débat entre la gauche et la droite, nous rappelons que les salles de consommation à moindre risque ont reçu le soutien de personnalités de droite aussi diverses que Roselyne Bachelot-Narquin, Jean-Claude Gaudin, Nadine Morano ou Michel Heinrich. D’autres, André Rossinot ou Alain Juppé par exemple, sans prendre ouvertement position, se sont déclarés ouverts au débat.

Les mots sont importants

Enfin, nous regrettons que les journalistes continuent d’utiliser l’expression « salles de shoot » pour qualifier ce dispositif. Cette expression méprisante et réductrice est utilisée par les opposants à ce type d’action. L’objectivité impose d’utiliser un terme neutre : « salles de consommation à moindre risque », par exemple.

http://www.actupparis.org/spip.php?article4948

L'INSERM, Bachelot, Gaudin et consorts, c'est tous la même engeance de gauchos, bobos, drogués.

Caloli c'est vraiment un plaisir d'avoir un débat avec quelqu'un d'aussi fermé d'esprit que toi.

Et je m'efforce de rester poli.

As-tu déjà entendu parlé de second degré ?

Ah zut, je n'avais pas vu que c'était toi, les avatars buguent sur mobile. Sinon j'aurais su que tu faisais du second degré. Mais si on ne connaît pas la personne qui poste, au vu des gens qui traînent parfois dans les parages, ça aurait très bien pu être du premier degré. (suivez mon regard...)