Un policier écroué pour avoir violé une femme dans un commissariat

Malheureusement, pas de source, hormis mon oncle, avocat, qui m'a dit ça à l'instant en m'expliquant que l'avocat a 99% de chance d'emporter la victoire, au vu de la situation. (le seul problème étant, à son sens, le fait que ce soit un flic)

Il m'a expliqué que le fait d'être ivre avait une influence, puisqu'on considère qu'une personne peut être consentante, mais ici, ce n'est pas le cas, vu que la femme ne pouvait pas l'être (elle n'a pas le droit de consentir sexuellement avec un policier en ayant été arrêté). Du coup, on change de domaine, et on entre dans le viol de manière obligatoire.

Nul n'est censé ignorer la loi, mais justement, le policier, lui, l'a totalement ignoré.

Donc en gros, qu'elle que soit la situation, des relations sexuelles entre un prisonnier et un policier sera toujours un viol de la part du flic ? Se serait de l'abus d'autorité, que la personne soit consentante ou non ?

Ce que je voulais dire, c'est qu'elle soit ivre ou pas, elle sera tout de même considérer comme étant en possession de tout ses moyens, vu que c'est elle qui c'est bourré la gueule.

On peut très bien envisager que la femme était consentante sur le moment et le policier un peu trop "tendu", et qu'a nouveau sobre, elle aie regretté le moment. Je suis tout a fait d'accord pour que le policier soit viré ( déontologie, tout ça) ,mais vu le peu d’élément, l'accusation de viol ne tient pas la route pour moi.

la police n'est pas au dessus des lois

un viol est un viol alcool ou pas

L'ivresse est plus souvent considéré comme facteur aggravant que comme un facteur d’excuse, personne ne l'a obligé a boire ^^ Le probleme de cette histoire, c'est qu'il n'y a que le témoignage des deux intéressés.

effectivement, il y a de très fortes probabilités que le dossier soit classé sans suite, à moins qu'il y a une violence sexuelle et donc preuves visibles, il s'agit plus d'un viol par incapacité de se défendre lié à l'alcool, dans ce cas aucune lésion, donc sa parole à elle contre sa parole à lui.... donc classé sans suite fautre de preuves.L'avocat du flic jouera sur le taux d'alcoolémie, si elle était consciente, si elle est alcoolique, il dirait qu'elle était apte à refuser la relation sexuelle, que si elle l'avait refusér, son client n'aurait pas poursuivi..... que c'est une faute déontologie et qu'un blame est une sanction suffisante....

Il ne faut pas croire, mais une femme violée doit le prouver. Ce n'est pas la loi, mais c'est la réalité dans de très nombreux tribunaux et c'est aussi pour ça que beaucoup de victimes ne portent plus plainte car les victimes sont accusées de tout, d'avoir allumé l'agresseur, de n'avoir pas vraiment refusé, j'ai même connu une victime à qui on a dit qu'elle y avait pris du plaisir..... Bref, c'est une horreur pour les victimes et beaucoup de dossiers sont classés sans suite, ce qui pour les victimes est un nouveau traumatisme.

Encore une qui veut gratter des ronds auprès de l'état !!!

On devrait enfermer cette merde avec les droits communs et dire à ses co-détenus qu'il est flics.

pin pon pin pon, des pervers, ils sont pas finis...

C'est marrant.

Où est passé la sacro-sainte "présomption d'innocence"?

La loi française est suffisamment claire: un suspect est innocent jusqu'à ce que preuve soit faite de son crime.

Le procès n'a même pas commencé et vous exigez déjà qu'on le lynche?

Et s'étonne que les policiers en aient assez de ce climat anti-flic?

Exactement.

Encore une qui veut gratter des ronds auprès de l'état !!!

tu vas les chercher ou :gurp::gurp:

Je comprends même pas comment l'optique de "relation sexuelle consentie" alors qu'il était manifestement en service peut lui octroyer une éventuelle porte de sortie.

Qu'il se fasse avoiner la gueule comme il se doit celui là ! :bad:

Compte tenu que les analyses ont du prouver qu'il y a bien eu rapport avec ce monsieur (ADN, etc...), sa seule défense est de dire qu'elle était consentante.

Le jour on comprendra qu'une police républicaine est au service des citoyens, et que les givrés qui constituent une minorité marginale dans la police sauront qu'ils paieront vraiment pour ce qu'ils font en se croyant au-dessus des lois, la police, la population et les principes de la république auront fait un grand pas en avant (oui, je sais, comme on est au bord du gouffre....)

Donc en gros, qu'elle que soit la situation, des relations sexuelles entre un prisonnier et un policier sera toujours un viol de la part du flic ? Se serait de l'abus d'autorité, que la personne soit consentante ou non ?

Si elle avait été consentante, pourquoi aurait-elle porté plainte?

Si tu connaissais un tant soit peu le calvaire que représente pour une femme le dépôt d'une plainte pour viol (commissariat, frais d'avocat, soupçon sur la réalité du viol, confrontation, ...) contre un violeur lambda, tu comprendrais ce qu'il faut de courage à une femme quand il s'agit d'un flic.

Encore une qui veut gratter des ronds auprès de l'état !!!

N'importe quoi !

C'est vrai que des femmes violées devenues riches en portant plainte, ça court les rues.

A la "présomption de légitime défense", la présomption de "chaleur excessive".

Je serais curieux d'ailleurs de ce savoir ce que représente exactement ce concept de "présomption de légitime défense".

Pour que Guéant ait été contre pendant des années, avant de changer d'avis pendant la campagne électorale, ça doit être grassouillet comme matelas pour flinguer à tout va !

Je suis affolé par certaines réactions.

Quand je lis que c'est la victime supposée qui est responsable de son viol alors qu'elle était en garde à vue, je m'interroge si les gens qui disent ça le font par pur machisme ou si c'est une forme de révérence béate envers toute personne disposant d'un soupçon d'autorité ?

Je comprends même pas comment l'optique de "relation sexuelle consentie" alors qu'il était manifestement en service peut lui octroyer une éventuelle porte de sortie.

Qu'il se fasse avoiner la gueule comme il se doit celui là ! :bad:

Compte tenu que les analyses ont du prouver qu'il y a bien eu rapport avec ce monsieur (ADN, etc...), sa seule défense est de dire qu'elle était consentante.

Le jour on comprendra qu'une police républicaine est au service des citoyens, et que les givrés qui constituent une minorité marginale dans la police sauront qu'ils paieront vraiment pour ce qu'ils font en se croyant au-dessus des lois, la police, la population et les principes de la république auront fait un grand pas en avant (oui, je sais, comme on est au bord du gouffre....)

Donc en gros, qu'elle que soit la situation, des relations sexuelles entre un prisonnier et un policier sera toujours un viol de la part du flic ? Se serait de l'abus d'autorité, que la personne soit consentante ou non ?

Si elle avait été consentante, pourquoi aurait-elle porté plainte?

Si tu connaissais un tant soit peu le calvaire que représente pour une femme le dépôt d'une plainte pour viol (commissariat, frais d'avocat, soupçon sur la réalité du viol, confrontation, ...) contre un violeur lambda, tu comprendrais ce qu'il faut de courage à une femme quand il s'agit d'un flic.

Encore une qui veut gratter des ronds auprès de l'état !!!

N'importe quoi !

C'est vrai que des femmes violées devenues riches en portant plainte, ça court les rues.

A la "présomption de légitime défense", la présomption de "chaleur excessive".

Je serais curieux d'ailleurs de ce savoir ce que représente exactement ce concept de "présomption de légitime défense".

Pour que Guéant ait été contre pendant des années, avant de changer d'avis pendant la campagne électorale, ça doit être grassouillet comme matelas pour flinguer à tout va !

ben dis donc que dire quand les flics se font allumer par les protituées

Si elle avait été consentante, pourquoi aurait-elle porté plainte?

Elle aurait pu ne pas assumer son comportement quand elle était ivre et couloir faire peser la faute sur le policier. Certe beaucoup de conjoncture, et le flic mérite au minimum d’être viré, personne consentante ou pas.

Comme d'habitude, sur ce genre de sujet, bien que personne ne sache ce qui s'est passé, bien qu'il n'y ai aucun jugement de rendu, certains veulent à tout prix que le flic soit lynché et d'autres qui accusent la femme d'avoir cherché ce qui lui est arrivé.

et le pire, dans tout ça, c'est que je pense que la justice, contrairement à ce qu'on peut croire, réagit de la même façon...

Le flic n'aurait jamais du faire ça. Que la fille soit demandeuse ou non.

Le flic n'aurait jamais du faire ça. Que la fille soit demandeuse ou non.

Malheureusement, pas de source, hormis mon oncle, avocat, qui m'a dit ça à l'instant en m'expliquant que l'avocat a 99% de chance d'emporter la victoire, au vu de la situation. (le seul problème étant, à son sens, le fait que ce soit un flic)

Il m'a expliqué que le fait d'être ivre avait une influence, puisqu'on considère qu'une personne peut être consentante, mais ici, ce n'est pas le cas, vu que la femme ne pouvait pas l'être (elle n'a pas le droit de consentir sexuellement avec un policier en ayant été arrêté). Du coup, on change de domaine, et on entre dans le viol de manière obligatoire.

Nul n'est censé ignorer la loi, mais justement, le policier, lui, l'a totalement ignoré.

Bonjour,

Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol » (article 222-23 du Code pénal).

Il y a recours à la surprise lorsque l'auteur utilise un stratagème pour surprendre sa victime ou encore lorsque la victime était inconsciente ou en état d'alcoolémie.

Vosdroits

Une des circonstances aggravantes : lorsqu'il est commis par une personne qui abuse de l'autorité que lui confèrent ses fonctions.

AviBitton

Je comprends même pas comment l'optique de "relation sexuelle consentie" alors qu'il était manifestement en service peut lui octroyer une éventuelle porte de sortie.

Parce que coucher avec une gardée à vue, c'est juste une faute professionnelle, c'est beaucoup moins grave qu'un vol qui est un crime.

Une personne ivre peut être considérée comme consentante uniquement si la compagnie, elle l'a trouvé elle-même, or, ce n'est pas le cas, vu qu'elle a été arrêté.

Ça vient d'où ce truc ?

Le flic n'aurait jamais du faire ça. Que la fille soit demandeuse ou non.

Le flic n'aurait jamais du faire ça. Que la fille soit demandeuse ou non.

Nous sommes bien d'accord. D'ailleurs, que la femme soit demandeuse, qu'elle soit ivre ou non, un flic n'a pas à avoir de relations sexuelles au commissariat, et encore moins avec quelqu'un qui est arrêté et enfermé.

L'histoire va être enterrée.