la qualité de vie est elle relative à la croissance économique ?

doit-on travailler plus pour vivre mieux ou vivre mieux en travaillant moins ? la qualité de vie est directement relative aux libertés individuelles et donc au temps libre: nous somme libre de travailler plus et encore, mais somme nous libre de travailler moins. somme nous égaux devant la valeur du travail et le temps libre qui en découle ?

Tu n'as pas de fric, tu ne peux profiter de rien du tout.... comment peut-on demander à un smicard ( par ex ) de ne pas faire d'heures supplémentaires si c'est pour lui la seule solution pour changer de bagnole , pour partir en vacances ou tout simplement pour bouffer un peu mieux... la philosophie concernant ce sujet, c'est surtout pour ceux qui ne connaissent pas les problèmes de fin de fin de mois difficiles quand il faut racler les fonds de tiroirs.:blush:

Il n'y a pas de réponse unique. Chacun a la conception qu'il veut du "mode d'emploi" de sa vie. Reste à savoir laquelle est la bonne ?

le probleme est meme plus complexe que cela.

car pour y repondre on est tente de considerer que le travail paie, et que donc la richesse se merite.

et helas force est de constater que ce n'est pas toujours vraie.

bref vivre DECEMMENT et HEUREUX est bien plus difficile que cela ne parait!

(monde de merde! )

femzi 17/20 citation à point nommer, chauxneuve 3/20 parce que t'a mis la date , mais peut-on parler de conception de sa vie la ou il sagit de perception, parler de conception de son environnement n'est ce pas dénier que l'on subit et que l'on est une pièce du système dans lequel on à été contraint à faire des choix de conformité comme sur un Q C m de formulaire formaté et que c'est ce cheminement qui constitue sa situation dans ce système ?

La qualité de vie ne dépend que peu de la croissance économique. Pour cela il faut que les salaires soient à peu près égaux ou qu'il y aie redistribution des richesses.

La différence entre PIB et IDH le démontre clairement.

Il y a des pays comme l'Inde ou la Chine dans lesquels ce ne sont qu'une minorité qui profitent de l'argent créé par le pays, l'immense majorité habitant dans des bidonvilles et étant exploités jusqu'à la corde.

désir et servitude ...

représentations poétiques de la société de consommation (a liao)

la stabilité économique n'est elle pas préférable à la croissance, la croissance comme seul exutoire à la crise qui est généré par les spéculations qui elles même génèrent les inégalité à l'origine du malaise sociale, le producteur de primeur qui cultive un hectare de légumes qui lui suffise à acheter sont pain devra t'il en cultiver trois ou cinq et dans quelles conditions pour demain ? à tout les niveaux la croissance économique est liée à la démographie qui atteindra ces limites liées à la qualité de vie .

Certains modèles économiques avaient été proposés pour que le système prenne en compte l'interdépendance et le bien être collectif. Voir par exemple les conditions de la concurrence pure et parfaite qui ne sont plus remplies aujourd'hui pour les raisons évoquées en fin d'article.

Appliquer les lois anti-trust ou démantaler les oligopoles serait un bon début.

doit-on travailler plus pour vivre mieux ou vivre mieux en travaillant moins ?

La première partie de la phrase représente le système actuel, et ramène l'idée de vivre mieux à la notion d'argent.

La seconde partie de la phrase remet en avant une idée plus humaniste qui voudrait que l'évolution de nos sociétés consiste à vivre plus confortablement, avec une nécessité de labeur moindre.

Ce qui signifie que l'on part du principe, dans la seconde partie, d'une modification de la société permettant de travailler moins en gagnant autant que si l'on avait travaillé plus en conservant le système actuel, ou que du moins la modification de la société permette de vivre mieux en dépensant moins.

Bref, la question qui en découle, ce serait : "Est-il normal ou utile de travailler autant pour vivre convenablement ?"

Et la réponse d'interroger sur le fonctionnement de notre système.

la qualité de vie est directement relative aux libertés individuelles et donc au temps libre: nous somme libre de travailler plus et encore, mais somme nous libre de travailler moins.

Majoritairement non, nous ne sommes pas libre de travailler moins.

Car déjà, la durée légale de temps de travail ne permets pas de nos jours de vivre convenablement, ne garantissant pas d'obtenir le minimum : se loger et se nourrir décemment.

Une société qui ne permet pas cela n'est pas suffisamment évoluée, et prive en effet la majorité des individus d'une liberté, leur imposant un mode de vie au delà du humainement raisonnable (et le fait qu'il y ait bien pire ailleurs ne change rien).

somme nous égaux devant la valeur du travail et le temps libre qui en découle ?

La valeur du travail n'existe pas, ou n'est pas uniformément reconnue dans notre société.

Du moins, ce serait une valeur très fluctuante, qui ne dépend aucunement du temps consacré au travail, ou de l'investissement physique ou mental de chacun.

Le travail n'étant pas justement considéré, il en découle forcément de grande différence en terme de confort de vie, aussi bien au niveau des salaires que du temps libre.

Personnellement, je ne me reconnais pas trop dans la société moderne de consommation. Les meilleurs moments que j'ai passés étaient en Asie du sud-est au contact de gens "pauvres" de la campagne qui ne pouvaient pas se permettre d'avoir une voiture ou de se laver à l'eau chaude. Je possède tout ce qu'il faut sur le plan matériel et je suis pourtant plutôt malheureux alors je crois que le mieux seraient de revoir notre mode de vie.....m'emmerder dans les transports pour payer des factures et consommer ne me procure aucune satisfaction.