Présidentielles 2012 : Nicolas Sarkozy - Discussion générale

Méfiez-vous de vos amis, surtout quand ils sont en campagne et prêts à tout pour gagner… C’est à l’évidence ce que pensent de Nicolas Sarkozy un certain nombre de dirigeants politiques européens. Depuis qu’il a remis en cause les accords de Schengen et proposé la mise en place d’un protectionnisme à l’européenne lors de son discours de Villepinte le 11 mars dernier, la crispation est évidente.

Le coup d’envoi a été donné par Guy Verhostadt, ancien premier ministre belge et chef de l’Alliance des démocrates et libéraux pour l’Europe (ADLE) au Parlement européen : « Je me demande qui est en fait le candidat de l’extrême droite. Est-ce que c’est Le Pen ou Sarkozy ? » L’inénarrable Jean-François Copé a vu dans cette réaction d’un libéral pur jus une « manœuvre de l’extrême gauche » !

En Espagne aussi, le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy n’a guère goûté que son pays soit comparé à la Grèce par Sarkozy, le 5 avril : « La situation que connaissent aujourd’hui nos amis espagnols après celle qu’ont connue nos amis grecs nous rappelle à des réalités », déclarait Nicolas Sarkozy. Le lendemain, le ministre de l’Economie, Luis de Guindos, protestait sur les ondes de la Radio Nacional : « C’est un non sens de comparer l’Espagne avec le Grèce. »

Mais ceux que le candidat-président commence à chatouiller gentiment, ce sont les Allemands. Ils n’ont vraiment pas apprécié que Sarkozy soit venu quémander le soutien de la chancelière Merkel qui, le 6 février, assurait qu’effectivement elle le soutiendrait « quoi qu’il fasse ». Pour ensuite faire savoir que non, finalement, l’élection était une affaire française. Un mal pour un bien, car à la CDU les dernières prises de positions de Sarkozy mettent Angela Merkel et ses partisans dans un certain embarras : pour le ministre des affaires étrangères Guido Westerwelle, « le contrôle aux frontières risquerait de mettre en danger la monnaie unique ». Bon débarras, finalement.

Méfiez-vous de vos amis, surtout quand ils sont en campagne et prêts à tout pour gagner… C’est à l’évidence ce que pensent de Nicolas Sarkozy un certain nombre de dirigeants politiques européens. Depuis qu’il a remis en cause les accords de Schengen et proposé la mise en place d’un protectionnisme à l’européenne lors de son discours de Villepinte le 11 mars dernier, la crispation est évidente.

Le coup d’envoi a été donné par Guy Verhostadt, ancien premier ministre belge et chef de l’Alliance des démocrates et libéraux pour l’Europe (ADLE) au Parlement européen : « Je me demande qui est en fait le candidat de l’extrême droite. Est-ce que c’est Le Pen ou Sarkozy ? » L’inénarrable Jean-François Copé a vu dans cette réaction d’un libéral pur jus une « manœuvre de l’extrême gauche » !

En Espagne aussi, le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy n’a guère goûté que son pays soit comparé à la Grèce par Sarkozy, le 5 avril : « La situation que connaissent aujourd’hui nos amis espagnols après celle qu’ont connue nos amis grecs nous rappelle à des réalités », déclarait Nicolas Sarkozy. Le lendemain, le ministre de l’Economie, Luis de Guindos, protestait sur les ondes de la Radio Nacional : « C’est un non sens de comparer l’Espagne avec le Grèce. »

Mais ceux que le candidat-président commence à chatouiller gentiment, ce sont les Allemands. Ils n’ont vraiment pas apprécié que Sarkozy soit venu quémander le soutien de la chancelière Merkel qui, le 6 février, assurait qu’effectivement elle le soutiendrait « quoi qu’il fasse ». Pour ensuite faire savoir que non, finalement, l’élection était une affaire française. Un mal pour un bien, car à la CDU les dernières prises de positions de Sarkozy mettent Angela Merkel et ses partisans dans un certain embarras : pour le ministre des affaires étrangères Guido Westerwelle, « le contrôle aux frontières risquerait de mettre en danger la monnaie unique ». Bon débarras, finalement.

C'est ce que l'on appelle une stature de Président. Droit dans ses bottes, une volonté de fer et une direction confuse

Entendu ce soir la raclure de l'Elysée lécher le cul de Le Pen en déclarant : "Il ne faut pas confondre la température et le baromètre" !!

Vous avez bien lu : "le baromètre".

Si c'est ça qu'il s'introduit quand il a de la fièvre on comprend mieux qu'il croie que les français sont prêt à tout se faire mettre.

Je ne l'ai pas regardé ce soir !

Mais sans meprisance, ça voulait quoi ?

En tout cas, il est vivement déconseillé de prendre la température avec un baromètre :gurp:

dernière connerie de Sarkozy enlever le voile sur les carte d'identité

la peur de la religion islamique chez lui est de plus en plus grave ou électorale voir les 2

Sur la carte vitale. Et la faire biométrique ...

Sarkozy sera t-il re-elu comme president de la republique en 2012? Un petit test de prevision a mourir de rire .. :smile2: avec une medium.

Tout les jours une nouvelle proposition parfois contradictoire avec celle de la veille.

C'est la panique !!

hollande avait raison quand il a dit que le programme de Sarkozy était une pochette surprise

il pioche un peu partout

tout en nous faisant un remake de 2007

Qu'il ai vendu son âme, perso balec.....par contre là, c'est la notre qu'il a vendu...

www.marianne2.fr/Incroyable-la-France-laisse-Francfort-speculer-sur-sa-dette-_a216960.html

:mef:

Mais quel en :censored: :censored: :censored: :censored: :censored: :censored: et en plus il no :censored: et encore si i :censored: :censored: , voilà! Conn

Entendu ce soir la raclure de l'Elysée lécher le cul de Le Pen en déclarant : "Il ne faut pas confondre la température et le baromètre" !!

Vous avez bien lu : "le baromètre".

Si c'est ça qu'il s'introduit quand il a de la fièvre on comprend mieux qu'il croie que les français sont prêt à tout se faire mettre.

:plus::plus::plus:

Le 14 juillet dernier, à la Bastille, une centaine de militants des droits de l’homme étaient réunis pour protester contre la politique sécuritaire du gouvernement.

Parmi eux figurait Raymond Aubrac, 97 ans, qui a lu ce court discours :

Depuis bientôt un an, les plus hautes autorités de l’Etat s’acharnent à dresser les citoyens les uns contre les autres. Elles ont successivement jeté à la vindicte publique les Roms et les gens du voyage, les Français d’origine étrangère, les habitants des quartiers populaires, les chômeurs et précaires qualifiés d’“assistés”... Elles ont ressorti le vieux mensonge d’une immigration délinquante, elles pratiquent la politique de la peur et de la stigmatisation.

Nous avons manifesté le 4 septembre 2010, dans toute la France, contre ce dévoiement de la République. Aujourd’hui, chacun mesure la terrible responsabilité de ceux qui ont donné un label de respectabilité aux idées d’extrême droite, à la xénophobie, à la haine et au rejet de l’autre. De dérapages verbaux en pseudo-débats, de crispations identitaires en reculs sociaux, la voie a été grande ouverte à une crise démocratique encore plus grave que celle du 21 avril 2002.

Parce que nous sommes attachés aux valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité, nous ne supportons plus que la République soit ainsi défigurée, la laïcité instrumentalisée au service de la stigmatisation de millions de nos concitoyens, la xénophobie banalisée dans les propos de ministres et de députés qui prétendent parler en notre nom à tous. Nous refusons que la peur soit utilisée pour faire reculer nos libertés, que les inégalités soient encouragées par l’injustice fiscale, le recul des droits sociaux et la démolition des services publics.

Nous refusons cette République défigurée ; celle que nous voulons, c’est la République “laïque, démocratique et sociale” que proclame notre Constitution ; celle du 14 juillet 1789, du Rassemblement populaire de 1936, celle enfin du Conseil national de la Résistance. Celle qui s’attache inlassablement à garantir à tous l’égalité en dignité et en droits, l’égale liberté, l’égal respect de la part de ceux qui les gouvernent.

C’est pourquoi nous lançons un appel solennel au rassemblement de toutes et tous, à la mobilisation des consciences pour le retour de cette République que nous voulons plus que jamais libre, égale et fraternelle.

Deux cent vingt-deuxième anniversaire de la prise de la Bastille, ce 14 Juillet est le dernier avant l’échéance présidentielle de 2012. Sachons nous en saisir, nous rassembler pour fêter la République de la meilleure manière qui soit : en appelant nos concitoyennes et concitoyens à faire respecter ses valeurs, aujourd’hui et demain. »

:plus::plus:

Un vieil homme à l'esprit libre et clair, et au courage sans faille.

Puissent tous les gens qui vont voter l'entendre et se rappeler qu'il a guidé la résistance contre le nazisme.

Avec les hyènes de la Gestapo qui le suivaient à la trace, ce n'était sûrement pas une promenade santé.

Son texte est clair et juste comme une note cristalline. Rien à enlever, rien à rajouter.

Curieusement BFM n'en n'en a pas fait un buzz pendant une semaine. Pourquoi?

Peut-être parce qu'il aurait fallu remarquer la coincidence qui fait que le regretté Aubrac soit mort le même jour que François Brigneau le milicien fondateur du FN.

La droite de Sarko et Le Fn sont restés très discrets sur cette nouvelle...

Sarkozy confond tout.

Il a été flashé à 190 km/h dernièrement d'après RTLTV (avec vidéo policière à l'appui).

S'il a vérifié la pression de ses pneus avec un thermomètre, il a eu du pot d'arriver.

Le président candidat ne peut financer sa campagne aux frais de l’Etat. Le 15 février, jour de son entrée en campagne, Nicolas Sarkozy avait affirmé que, conformément à la loi, le dispositif de sécurité des voyages présidentiels n’avait plus de raison d’être.

Pourtant le 7 avril, près de 400 policiers ont été mobilisés pour assurer sa sécurité, lors de son déplacement au Palais des sports de Saint Raphaël. Les autres candidats ne bénéficient pas du même traitement de faveur.

Lire la suite sur Impôts et économie

Il va falloir contrôler ses comptes. Le député Dosière (PS) a demandé au parlement qu'on lui confirme que le salaire de Guaino (19 000€/mois) soit basculé sur les comptes de campagne puisqu'il travaille à 100% pour ça.

Il faut noter que ce même député s'est aperçu que Sarkozy coûte 2 fois plus cher qu'Obama et 3 fois plus que Merkel ou que la reine d'Angleterre, bref, les efforts, ce n'est pas pour tout le monde.

C'est mesquin : Guaino est conseillé depuis des années du Président. Est-ce qu'on doit imputer sur les comptes de campagnes l'indemnité de tous les élus qui bossent pour chaque candidat ?

Je n'aime pas ce genre de petits coups sous la ceinture. Pendant ce temps-là, on ne parle pas des enjeux pour la France...

Comment ça mesquin ? on rêve ! Guaino a admis lui-même qu'il travaillait à 100% pour la campagne de Sarkozy : je ne vois pas pourquoi les émolûments de quelqu'un totalement dédié à la campagne présidentielle de Sarkozy serait à la charge des contribuables. Un des enjeux de la campagne n'est -il pas aussi la république irréprochable ? pour moi cela en fait partie.

Il faut noter que ce même député s'est aperçu que Sarkozy coûte 2 fois plus cher qu'Obama et 3 fois plus que Merkel ou que la reine d'Angleterre, bref, les efforts, ce n'est pas pour tout le monde.

N'est pas maitre du monde qui veut et encore d’après Carla ils vivent simplement. :gurp:

Je pense qu'ils mettent tout de coté pour plus tard et les enfants