Débat Aubry/Fillon

Une semaine après le débat entre François Hollande et Alain Juppé, celui qui a opposé hier soir, dans la même émission « Des paroles et des actes », sur France 2, François Fillon et Martine Aubry était lui aussi très attendu. Entre un Premier ministre tenace et la première secrétaire du PS, au caractère rugueux, l’affiche était alléchante.

Mais le duel n’allait pas tenir ses promesses. « J’aurais aimé vous entendre parler des atouts de la France », lance en préambule Aubry. Fillon se réjouit de pouvoir balayer « les contre-vérités qui ont coloré le débat politique ». Mais les deux débatteurs plongent aussitôt dans une bataille de chiffres. Déficit, projet Hollande, politique fiscale, et enfin la question du coût du travail. « Si vraiment c’était le sujet depuis trente ans, il aurait fallu le faire », lance Aubry. « Nous avons commencé à régler ce problème », répond Fillon. Le débat tourne en rond. « Je vous connais, vous avez beaucoup de caractère », finit par lâcher Fillon. « Oui, mais vous parlez trop et je ne peux pas montrer mon caractère », rétorque Aubry, qui a salué à plusieurs reprises « l’habileté » de son détracteur.

Match nul

La discussion s’anime enfin dans les cinq dernières minutes sur le terrain des valeurs. Après avoir convoqué le souvenir du mentor de Fillon, Philippe Séguin, et salué Jacques Chirac, la patronne du PS demande à son interlocuteur s’il a approuvé les discours de Nicolas Sarkozy sur l’Afrique, à Dakar — « l’homme africain n’est pas assez entré dans l’Histoire », avait-il déclaré — et celui de Grenoble sur les Roms en 2010. Fillon assure que « l’extrême droite est le principal adversaire du président de la République », mais ne se démarque ni du premier discours ni du second. « J’ai mes réponses », conclut Aubry avant de décerner un inattendu « bravo » à son interlocuteur sur le dossier Lejaby. Sourires sur les deux visages. Match nul.

Ahh, l'UMPS, mais pauvre de vous...., vous n'allez quand même pas revoter pour ces guignols ?

Il y une réelle différence idéologique entre l'UMP et le PS quoi que sous entende.

Lol Transporteur. T'as la foi !

Vivement Mi-Mai finalement.

Subie Coppé et Valls, la face de raie de Bergé, Sarkozy et Hollande dans les usines promettant une ré-industralisation, les émissions affligeantes de tiédeur et de non-dits, les petites phrases complétement idiotes et mesquines, d'avoir honte à chaque fois qu'on entend un militant UMP ou PS... rien ne nous sera épargné encore une fois. Quelle humiliation.

Vivement fin mai que cette farce démocratique prenne fin.

Immamouel se situe.

Aubry ou Fillon lequel vous a le plus convaincu?

Lol Transporteur. T'as la foi !

Vivement Mi-Mai finalement.

Subie Coppé et Valls, la face de raie de Bergé, Sarkozy et Hollande dans les usines promettant une ré-industralisation, les émissions affligeantes de tiédeur et de non-dits, les petites phrases complétement idiotes et mesquines, d'avoir honte à chaque fois qu'on entend un militant UMP ou PS... rien ne nous sera épargné encore une fois. Quelle humiliation.

Vivement fin mai que cette farce démocratique prenne fin.

Il faut voter FN alors?

Sur quel programme? Comme je l'ai déjà écrit, taper sur la gueule des immigrés, dont beaucoup n'entendent à cause de leur marteau-piqeur, ce n'est pas un programme, c'est un passe-temps.

Mais je m'emballe un peu peut-être, à part le choix entre la droite et la gauche, tu proposes quoi? Voter pour les extrêmes? Ne pas voter? Interdire la politique?

Je ne vois pas très bien la solution que tu proposes. Ce serait intéressant que tu explicites un peu ton idée.

Fillon, afin de nous démontrer (c’était sa mission) que la droite n’a pas oeuvré pour les capitalistes ces dernières années, a proféré un mensonge conséquent sur la fiscalité du capital.

Il a prétendu que le capital était presque autant imposé que le travail en faisant le raisonnement suivant :

Capital : Prélèvement libératoire 21% + CSG 15% = 34,5% (ce sont les chiffres qu’il a donnés)

Travail (taux marginal) : 41%

En réalité, les salaires subissent aussi la CSG (qui est prise sur le salaire brut).

Il faut bien évidemment comparer le taux marginal de l’IR (41% aujourd’hui, (52% en 2002)), au seul prélèvement libératoire de l’IR (21%) pour mesurer l’ampleur de la ristourne fiscale dont bénéficient les gros capitalistes grâce au prélèvement libératoire.

Pour la petite histoire, ce prélèvement libératoire a été mis en place pour ce qui est des revenus de placement fixes quand la droite est revenu au pouvoir en 1993 ; il a été étendu aux dividendes par Sarkozy-Fillon en 2007.

Il est bien dommage, mais pas si inattendu à mes yeux, que les journalistes ne l’aient pas contredit. Huit jours avant, l’économiste de service avait entubé Mélenchon avec le même argument bidon.

Aubry n’a pas non plus pu ou su répondre, ce qui était d’autant plus étonnant qu’Hollande a promis la suppression du prélèvement libératoire.

Si nous n'étions pas sous le joug d'une crise mondiale, je prendrais le temps de réfléchir. Mais la... c'est tout vu

Fillon, afin de nous démontrer (c’était sa mission) que la droite n’a pas oeuvré pour les capitalistes ces dernières années, a proféré un mensonge conséquent sur la fiscalité du capital.

Il a prétendu que le capital était presque autant imposé que le travail en faisant le raisonnement suivant :

Capital : Prélèvement libératoire 21% + CSG 15% = 34,5% (ce sont les chiffres qu’il a donnés)

Travail (taux marginal) : 41%

En réalité, les salaires subissent aussi la CSG (qui est prise sur le salaire brut).

Il faut bien évidemment comparer le taux marginal de l’IR (41% aujourd’hui, (52% en 2002)), au seul prélèvement libératoire de l’IR (21%) pour mesurer l’ampleur de la ristourne fiscale dont bénéficient les gros capitalistes grâce au prélèvement libératoire.

Pour la petite histoire, ce prélèvement libératoire a été mis en place pour ce qui est des revenus de placement fixes quand la droite est revenu au pouvoir en 1993 ; il a été étendu aux dividendes par Sarkozy-Fillon en 2007.

Il est bien dommage, mais pas si inattendu à mes yeux, que les journalistes ne l’aient pas contredit. Huit jours avant, l’économiste de service avait entubé Mélenchon avec le même argument bidon.

Aubry n’a pas non plus pu ou su répondre, ce qui était d’autant plus étonnant qu’Hollande a promis la suppression du prélèvement libératoire.

Aubry/ Fillon Bonnet blanc blanc bonnet : ils ne mangent juste pas dans la main du même banquier Mais l'un et l'autre se nourisse d'une banque.

Aucun des deux n'agira dans l'interet général puisque l'interet général va à l'encontre de leur interet personnel.

Il faut:

- dézinguer les politicards en place issus du meme moule et nourrit des meme sources

- exiger que les citoyens qui ne gouverneront pas ecrivent notre Constitution afin de mettre en place les contre pouvoir efficaces: à l'heure actuelle, notre constitution a été ecrite par des gens au pouvoir et qui souhaitait le conserver, ils l'ont donc ecrite en servant leur interet personnel et non l'interet général: une constitution democratique ne permettrait pas un renouvellement de mandat, une constitution democratique ne permettrait pas que le pouvoir en place agréer les futurs candidats à leur propre poste

- instaurer une nouveau systeme electif démocratique basé qur les principes de la democratie athénienne à savoir, le tirage au sort.

L'homme qui desire le pouvoir est forcément un mauvais gouvernant puisqu'il dirigera en fonction de son interet perso qui sera de conserver ce qu'il aime à sa voir le pouvoir. Il faut tirer au sort nos gouvernants. ( cf à consulter d'urgence les pensées d'Etienne Chouard).

Si nous n'étions pas sous le joug d'une crise mondiale, je prendrais le temps de réfléchir. Mais la... c'est tout vu

Justement faut prendre le temps de reflechir parce que la crise n'appauvrit que nous, la crise enrichot les riche, elle est à leur service: la crise c'est :

- augmentation des taux d'interet donc augmentation du taux de rentabilité d'un pret pour une banque

- baisse des salaires donc augmentation des revenus du capital

- baisse du retour social de l'etat au détriment du peuple qui en a besoin et au benefice des plus riche qui n'o,t donc plus besoin de cotiser autant ( cf bouclier fiscal )

Les chiffres parlent d'eux même les riches se sont enrichis depuis 2008 :-) la crise? quelle crise à part la notre? alors non, c'est le moment de cogiter.

Si nous n'étions pas sous le joug d'une crise mondiale, je prendrais le temps de réfléchir. Mais la... c'est tout vu

Justement faut prendre le temps de reflechir parce que la crise n'appauvrit que nous, la crise enrichot les riche, elle est à leur service: la crise c'est :

- augmentation des taux d'interet donc augmentation du taux de rentabilité d'un pret pour une banque

- baisse des salaires donc augmentation des revenus du capital

- baisse du retour social de l'etat au détriment du peuple qui en a besoin et au benefice des plus riche qui n'o,t donc plus besoin de cotiser autant ( cf bouclier fiscal )

Les chiffres parlent d'eux même les riches se sont enrichis depuis 2008 :-) la crise? quelle crise à part la notre? alors non, c'est le moment de cogiter.