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Elais

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  1. metal guru pudibond??! Les faits divers et faits d'actualité débattus sur le forum ne sont que les points de départ de discussion de comptoir. Ce topic pas plus qu'un autre. C'est le sujet de dissert de la semaine! Chacun profite du support du forum pour mettre à l'épreuve ses idées et raisonnements à celles et ceux des autres, on s'en fout d'avoir les éléments réels, on les devance avec les hypothèses: il est fou? ou pas? si oui moi je pense que, si non moi je pense que, et blabla... c'est le fond de commerce de FFR.
  2. Je n'ai pas dis que tu spychologisais, mais que nous le faisions tous de plus en plus. Je ne te stigmatise absolument pas dans mes propos, je tiens à la préciser. Recourir à la logique et la causalité est nécéssaire. Le lien de causalité entre valeur et vie en société est d'ailleurs fondamental et créateur justement du groupe social. Analyser en effet les causes et leurs conséquences est également indispensable, d'où l'intérêt de maintenir un enseignement de l'Histoire, toutefois, la cause n'est pas forcément une justification, mais une simple explication. Concernant la sémantique, "valeur" n'est pas antagoniste à "principe", et ce n'est pas plus un machin qu'un principe, puisque la valeur est ce qui est conventionnellement réputé vrai pour une société donnée, ce qui donc définit la société elle même. C'est le principe de la valeur elle est variable d'une société à l'autre certes, mais si elle varie au sein de sa société, c'est que cette dernière est en train d'imploser. C'est symptomatique. Pour ce qui est de ta critique du système politique, je n'ai rien à ajouter qui serait dans le sujet, à part vite fait, que je suis bien d'accord avec toi sur ce point.
  3. Merci, c'est gentil! Je reviendrai
  4. " Et si c'était précisément l'inverse: défendre la folie pour excuser la sienne?
  5. De compassion pour qui? Le problème, et je crois que c'est cela qui exaspère Pirlouit , c'est la dilution des valeurs. A trop vouloir comprendre, expliquer, psychologiser, psychiatriser , on perd de vue les fondamentaux: un être en a tuer un autre. Quand on regarde bien, pas un seul état ne l'admet, pas une seule religion ne le tolère. Et au final, nous, nous l'euphémisons. En nous autorisant à comprendre, excuser, compatir pour le bourreau, nous banalisons son acte et le rendons tolérable car justifiable. Justifiable parce qu'elle était méchante, parce qu'il était à bout, parce qu'il était fou donc irresponsable, ou elle folle donc responsable de sa propre chute d'une certaine manière. C'est là que cela déconne et c'est cela il me semble que Pirlouit relève: à un moment donné, cela dépasse la question du droit et la question de la maladie, pour se jouer sur la question sociétale: notre société excuse-t-elle tout au nom du pragmatisme ou tend-t-elle vers un idéal? Choisir la première voie est définitivement nous réifier, choisir la seconde, relève d'un projet plus ambitieux, qui exclut toute concession face aux valeurs. Pour en revenir à Sauvage, le droit l'a condamné, le politique l'a gracié, si je reformule, la valeur a dominé la règle. Ps: on peut faire un parallèle avec l'éducation des enfants, un parent aujourd'hui se pose mille questions avant de punir un enfant ou d'exiger de lui un acte...résultat effondrement de l'acquisition des savoirs, intolérance à la frustration, et augmentation des consultations chez les pédopsy et entre-nous, augmentation des têtes à claques incultes et clairement mal élévés : on a malheureusement un problème avec la règle et son respect; nous sommes plus promptes à justifier son irrespect qu'à s'attendre à ce qu'elle soit respectée! C'est à mon sens alarmant. Le présent topic en est drôle: un mec tue sa nana, et le post qui fustige le criminel est au final minoritaire. Franchement, tournons-nous bien ronds? arf et voilà, je nous justifie, nous psychologise, bref j'ouvre la possibilité de justifier notre bêtise
  6. Tout à fait! je vois bien qu'on est d'accord la dessus. bon ne trouvant rien sur ce que j'ai pu penser pour l'affaire sauvage, et me connaissant, je pense l'avoir soutenu à fond! Par contre, je vois bien du coup la contradiction... laisse moi réfléchir! ( un peu)
  7. Je ne sais plus ! je vais regarder si j'ai posté sur le forum la dessus et je te dis!
  8. Roger Lococo, j'ai cité ce post mais c'est plus à ton propos gobal que je répond. Je suis assez d'accord avec toi sur la partie générale, oui oui, on peut tous péter un plomb ( grosso merdo c'est ce que tu dis avec des termes plus techniques), mais c'est pas vraiment le sujet. On peut tous péter les plombs, mais quand on les fonds, y'a des conséquences, on le sait, c'est tout. Et quand on bute quelqu'un, on paie. C'est tout aussi, c'est tout aussi vrai que ton propos, et c'est une nécéssité à la vie en communauté, tout groupe social animal, exclut de son groupe le corps récalcitrant ou qui met en danger la préservation de l'espèce. Alors bon, on est de humains, on est plus élaborés, plus intelligents, plus blablala, plus tout quoi, mais on écarte celui qui suit pas la règle. C'est comme cela, et c'est parfait. On écarte pas assez à mon gout d'ailleurs mais bon, j'ai la flemme de faire des lois.
  9. là, c'est top lol! Lumbroso... ! j'te jure! Ceci dit comment ne pas y penser quand on lit (en diagonale, c'est suffiant*) certains posts. Bref, je suis assez d'accord avec tes propos et ceux d'Alinéa: ce mec est un criminel, il a toute sa tete de criminel, il a même tellement conscience d'avoir merdé qu'il a tenté de tout maquiller, et qu'il continue de maquiller en disant que ce n'est pas de sa faute mais celle de sa victime. Le pauvre chou. Le schéma est parfaitement classique: y'a que les tarés qui assument le criminel exempt de toute pathologie cherche à se justifier en toute sincérité pour racheter sa propre conscience, le taré n'a pas ce type de préoccupations. Maintenant, pour les sauveurs du monde, ce n'est pas en justifiant par de la maladie mentale imaginaire un crime que l'on rend la société plus propre. Parfois les choses sont simples, moches, mais simples et dans l'affaire Darval, c'est le cas, c'est un sale type qui a tué sa femme parce qu'elle le saoulait, c'est tout. Parfaitement banal. Ceux qui lui trouvent des circonstances atténuantes à part son avocat bien entendu sont aux fraises. *contraction de suffisant et chiant
  10. Mais dire certaines vérités peut être méchant.
  11. C'est en effet mon propos, l'imaginaire masculin le plus féministe espère que nous devenions l'égal de l'homme; je dis que nous valons bien mieux que cela et que nos capacités nous ont permis depuis bien longtemps, non pas de l'égaler, mais de le surpasser. C'est d'ailleurs sans doute ce qui nous vaut tant d'infamies. Dans le cas inverse, nous serions effectivement traitées comme des égales. "Cachez soigneusement votre supériorité de crainte de vous faire des ennemis" A.Schopenhauer
  12. La différence entre ta proposition et la mienne, c'est que la tienne est fausse.
  13. Citer Soral n'est vraiment pas judicieux. Et si nous sommes parfois des coups d'un soir, sachez que vous l'êtes aussi parfois tout autant :). Concernant la Justice, soit, il y a plus de femmes que d'hommes mais comme indiqué, ce sont les hommes qui y occupent les plus hautes fonctions, et à moins de considérer que les femmes ne peuvent être professionnelles au point de faire passer leurs idéaux qui seraient de fait misandriques, je ne vois pas pourquoi, les jugements devraient devenirs des jugements partiaux. Il est assez malvenu d'ailleurs de conspuer la Justice d'aujourd'hui du fait de sa prévalence féminine quand pendant longtemps la justice a été le fait unique des hommes, et au temps de cette justice exclusivement masculine, l'Histoire nous en a démontré sa partialité la plus crasse. Je rongeais mon frein jusqu'à présent, mais au final, je vais être tout à fait claire: je ne me sens pas féministe et je ne me considère pas comme misandre, j'ose espérer tendre au plus près d'un regard objectif ( si cela est possible) sur les hommes et les femmes que nous pouvons être, pour cela j'observe , je vis donc j'expérimente au grès de mes rencontres, je suis consciente que tout cela n'est qu'un échantillonnage au regard du nombre d'individus que nous sommes à constituer la race humaine, mais mon échantillon de vie me fait dire et penser aujourd'hui à 40 ans, que les femmes ne sont pas les égales de l'homme, mais qu'elles lui sont qualitativement et quantitativement supérieures. Les petites filles et femmes du monde entier ont de tout temps et encore aujourd'hui affrontées les pires horreurs, des horreurs que vous n'auriez jamais pu subir, mais que vous faites subir, et en dépit de cela leurs voix se font toujours entendre, nos stratégies de sortie sont de plus en plus élaborées quand votre stratégie d'étouffement à toujours été la même: la force physique. Il ne s'agit pas pour moi de dire que les hommes sont moins biens, ils sont bien, mais la contribution d'une femme au bien commun est éminemment supérieur. Le dire peut blesser, et je le regrette, mais le taire pour épargner, n'épargne pas au final , celles qui méritent de l'entendre mais surtout de le savoir. Alors, je fais le choix d'épargner la femme car elle le mérite bien plus au regard de son histoire dans l'Histoire de l'Humanité. Bises. PS pour les MGTOW, des psychothérapeutes existent et sont salutaires.
  14. L'article expose parfaitement mon propos: - les hommes ne demandent que très minoritairement la garde - les hommes préfèrent embrasser les carrières juridiques qui les mettent en valeur plutôt que celles nécessitant abnégation et austérité ( on en revient à la question de la véracité de ton postulat que le Père serait le mieux placé pour représenter le labeur...) - toutefois en dépit du fait que les magistrates sont plus nombreuses que les magistrats, ce sont toujours des magistrats que l'on retrouve aux plus hautes fonctions hiérarchiques Quant à l'impartialité de la justice, vu le nombre de voies de recours possibles contre une décision, on peut toujours de donne foi y croire, toutefois, le perdant criera toujours à l'injuste.
  15. Je n'ai dit nulle part que le père ne servait pas à grand chose. Je remercie iMalie de souligner la caricature. Mais travestir est tout à fait banale dès que l'on aborde ce sujet où toute critique de l'homme ou constat de sa défaillance ou d'ailleurs, en l'occurrence, constat qu'il n'a pas un premier rôle génère immédiatement des propos satiriques afin de masquer ou de réduire les champs du possible de la réflexion. Est-ce si difficile? délicat? impossible? de parler d'un sujet où l'homme n'est pas au premier plan? oui, fatalement, sinon bien entendu que le clivage homme/femme ne serait pas si grand. Etre une fée du logis, que l'on soit un homme ou une femme, n'est pas qu'une question d'intendance, mais aussi une question d'hygiène, et c'est loin d'être secondaire. Ne t'en déplaise :). C'est également loin d'être par le Père que se transmet l'impératif du labeur, tes propos sur l'intendance du foyer montrent d'ailleurs que le labeur n'est pas l'apanage du Père. Et tes propos suivants qui postulent qu'au final si les pères ne sont que 20 % à demander la garde est du fait d'un combat perdu d'avance remet largement en cause leur combativité d'une part, mais portent encore une fois l'idée que si l'homme est en difficulté ce n'est que de la faute des autres: ce sera la faute du juge partial dans un cas, la faute des féministes dans un autre, la faute des mères qui accusent à tort les pères d'attouchements ! ( c'est du même acabit que l'anecdote sur l'utilisation des fonds de préservatifs usagés) , et si les enfants deviennent des délinquants c'est alors la faute des mères célibataires esseulées et dépressives! Bon dieu que la femme est vilaine! Et que l'homme est opprimé. C'est bien évidemment dans un pays en paix, dans un foyer stable, aimant, sans difficultés matérielles, ni de santé que l'enfant s'épanouit le mieux. Enfonçons ensemble les portes ouvertes, après tout c'est gratuit, mais la Vie n'est pas faite que de contextes idéaux. La faute à qui? Aux féministes névrosées? sérieusement .... Au final peu importe la réponse à cette question, c'est la manière dont on aborde le contexte qui compte, et la manière dont on va se l'approprier pour armer nos enfants, à justement, cette Vie qui n'est pas faite de fils d'or et de soie. En revanche, ce n'est pas en ignorant le sexisme et l'idiotie d'un mouvement tel que celui objet du sujet que nous pouvons envisager d'être des éducateurs de premiers choix et encore moins en l'édulcorant sous couvert que ces hommes sont clairement fragilisés. Etre fragilisés n'autorisent pas à dire n'importe quoi, c'est en autorisant le n'importe quoi sous couvert d'une fragilité que précisément on forge des délinquants. La responsabilité, cela commence aussi et surtout par savoir appeler un chat un chat et avoir le courage de la réaction en conséquence plutôt que la faiblesse de la permissivité. Ces MGTOW ont sans doute manqué d'une mère accomplie et libre pour s'être construit avec une image de la femme si déconnectée de la réalité et des possibilités de ce sexe qui sont égales en tout point à l'autre.
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