Le prophète Muhammad et les femmes.

mahomet historique et respect des femmes?

Mansour Fahmy et la polygamie de Mahomet

L'Égyptien Mansour Fahmy, dans une thèse soutenue en 1913 à la Sorbonne sous la direction de Levy Bruhl, sur la condition de la femme dans l'islam, distingue dans la vie du Prophète de l'islam ces deux périodes conjugales totalement opposées. Fahmy, accusé d'avoir rédigé un travail sacrilège sous la houlette d'un « professeur juif » fut persécuté jusqu'à la fin de ses jours.

Mais cet Égyptien courageux montre qu'à Médine l'attitude du Prophète est souvent en contradiction avec le Coran. La polygamie est permise (sourate 4, verset 3) mais lorsqu'Ali, son cousin et son gendre, époux de sa fille Fatima, veut, en vertu de ce verset, prendre une seconde épouse, le Prophète déclare en chaire : « Si Ali veut se remarier, qu'il divorce auparavant. Ma fille est une partie de moi-même. Ce qui lui fait mal me fait mal, ce qui la bouleverse me bouleverse. » En fait Mahomet réagit là en Arabe blessé dans son honneur de père. Il refuse à Ali la polygamie alors qu'il la pratique abondamment.

Selon Fahmy, il s'attribuait des privilèges prophétiques, comme cette polygamie quasi illimitée, pour masquer qu'il n'était pas maître de ses inclinations. Pour se justifier, il disait avoir mangé d'un mets céleste que lui avait présenté l'ange Gabriel et avoir ressenti ensuite pour les femmes un désir et un amour exagérés (Ibn Saad, tome VIII).

Les femmes pressentaient cette faiblesse de Mahomet. Aïcha a dit : « J'étais jalouse de mes co-épouses qui s'offraient d'elles-mêmes à l'Envoyé de Dieu et je disais : "Comment une femme s'offre-t-elle ainsi ? " Lorsque Dieu le Très Haut révéla le verset (sourate 33, verset 51) "Tu peux donner de l'espoir (pour plus tard) à celles d'entre elles que tu voudras et celle que tu désires de nouveau après l'avoir négligée", je dis : "Je trouve que Dieu a hâte de satisfaire tes désirs". »

Sur sa désinvolture vis-à-vis de ses femmes, la même tradition se montre en revanche prolixe. L'historien Tabari (838-923), persan avisé, rapporte dans ses Annales : « Aïcha se plaignit d'une migraine. Le Prophète déjà fort malade dit : "Ô Aïcha, ce serait à moi de me plaindre, non à toi. Si l'on aime quelqu'un on regrette de lui survivre. Puis quel mal y aurait-il, ô Aïcha, si tu mourais avant moi, si je t'ensevelissais, si je priais pour toi et te déposais dans la tombe ? " Et celle-ci de rétorquer : "Oui, tu veux, en revenant de mon enterrement, faire un nouveau mariage". »

Le Prophète, nous dit Tabari, sourit en entendant cette réplique acerbe. Le Mahomet de Médine avait l'autorisation coranique de contracter autant de mariages qu'il voulait, aussi bien avec des épouses auxquelles on donne une dot, qu'avec « des esclaves qu'Allah a données par fait de guerre » ou avec des femmes croyantes qui se donnent au Prophète si ce dernier veut les prendre en mariage (sourate 33, verset 50).

Mais cela ne semblait pas lui suffire si on comprend bien ce verset du Coran : « II n'est point licite à toi, Prophète, de prendre encore d'autres femmes en dehors de tes esclaves, ni de les changer contre d'autres épouses, fusses-tu ravi par leur beauté » (sourate 33, verset 52). Même Muhammad Hamidullah dans Le Prophète de l'islam voit là « un point de quelque complication » (sic). Il est vrai, d'après Aïcha, qu'en général elle s'efforce de « satisfaire sans retard les passions de son Prophète » ! Ainsi Mahomet, qui est déçu par ses nombreuses épouses stériles et qui avoue être un époux jaloux, ne peut qu'être comblé par la Révélation qui déclare d'abord que « ses épouses sont les mères des croyants » (sourate 6) et qui défend ensuite aux musulmans « d'épouser jamais ses épouses après lui » (sourate 33, verset 53).

Loin d'être un Prophète féministe comme voudraient le faire croire les apologistes musulmans modernes, Mahomet était même parfois misogyne. Il trouvait au sexe faible moins d'intelligence et de piété, moins de capacité juridique aussi. Il ne faisait là que suivre ou précéder le Coran pour qui le témoignage d'un seul homme équivaut à celui de deux femmes (sourate 2, verset 282).

C'est également le Coran (sourate 4, verset 34) qui commande de frapper les femmes si elles persistent dans l'indocilité. Mahomet avait interdit de les frapper mais Omar vint trouver le Prophète et lui dit : « Les femmes s'enhardissent vis-à-vis de leurs époux ». À ces propos le Prophète autorisa les hommes à frapper leurs femmes, tout en reconnaissant que les hommes qui font cela ne sont pas parmi les meilleurs.

Le Prophète de l'islam, même s'il était amateur de femmes, n'était pas particulièrement indulgent envers le sexe féminin ! Le Coran punit l'adultère de cent coups de fouet. Or Imrân Husayni raconte qu'une femme de la tribu de Juhayna vint trouver le Prophète, alors qu'elle était enceinte après avoir commis l'adultère. Elle lui dit : « Envoyé de Dieu j'ai transgressé un interdit. » L'Envoyé de Dieu fit appeler son tuteur et lui dit : « Montre-toi bienveillant envers elle et quand elle aura accouché ramène-la moi. » Celui-ci fit ce qui lui avait été demandé et le Prophète ordonna d'attacher la femme avec ses habits ; puis il la fit lapider et dirigea la prière mortuaire.

Dans l'Évangile, Jésus évita la lapidation de la femme adultère en posant une condition impossible à ceux qui voulaient appliquer la loi juive de la lapidation : « Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre. » Et tous de se retirer, les plus âgés en premier. Jésus dit à la femme : « Va et ne pèche plus ! » Mais Mahomet, lui, ne pardonna pas à la femme adultère. Il faut la foi des musulmans pour voir dans cette punition de la femme fornicatrice autre chose qu'une mise à mort inacceptable pour une conscience moderne.

Zaynab a raconté a Zayd (fils adoptif de Mohammed) que Mohammed la convoitait Zayd s'est senti obligé de divorcer. Comme Zaynab était la femme de son fils: Mohammed s'est retrouvé en porte à faux par rapport aux textes sur l'inceste et il a fallu une révélation spéciale pour abolir l'adoption dans l'islam (d'où les conséquences tragiques aujourd'hui pour beaucoup d'orphelins dans tous les pays musulmans)

Sourate 33 AL-AHZAB (LES PARTIS) Post-Hégire, verset 37.

Quand tu disais à celui qu'Allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l'avais comblé : «Garde pour toi ton épouse et crains Allah», et tu cachais en ton âme ce qu'Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c'est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand ZAYD eût cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu'il n'y ait aucun empêchement pour les croyants d'épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d'Allah doit être exécuté.

mahomet historique et respect des femmes? Mansour Fahmy et la polygamie de Mahometgue liste de hadiths authentiques sur les rapports de Muhammad aux femmes que je tinvite à relire. L'Égyptien Mansour Fahmy, dans une thèse soutenue en 1913 à la Sorbonne sous la direction de Levy Bruhl, sur la condition de la femme dans l'islam, distingue dans la vie du Prophète de l'islam ces deux périodes conjugales totalement opposées. Fahmy, accusé d'avoir rédigé un travail sacrilège sous la houlette d'un « professeur juif » fut persécuté jusqu'à la fin de ses jours.

J'ai commencé le topic en postant une longue liste de hadiths sahih acceptés comme authentiques montrant les rapports de Muhammad aux femmes. Je te propose de serrer les dents et de lire une fois jusqu'au bout.

Mais cet Égyptien courageux montre qu'à Médine l'attitude du Prophète est souvent en contradiction avec le Coran. La polygamie est permise (sourate 4, verset 3) mais lorsqu'Ali, son cousin et son gendre, époux de sa fille Fatima, veut, en vertu de ce verset, prendre une seconde épouse, le Prophète déclare en chaire : « Si Ali veut se remarier, qu'il divorce auparavant. Ma fille est une partie de moi-même. Ce qui lui fait mal me fait mal, ce qui la bouleverse me bouleverse. » En fait Mahomet réagit là en Arabe blessé dans son honneur de père. Il refuse à Ali la polygamie alors qu'il la pratique abondamment.

Ali voulant épouser la fille d'abu Jahl, un des pires ennemis du père de Fatimah, la fille de Muhammad demanda à son père de l'en dissuader. Muhammad dit : "Celui qui blesse ma fille Fatimah me blesse moi. Jamais je ne laisserai ma fille être coépouse avec une femme qu'elle détsete. Qu'Ali la quitte d'abord si il veut l'épouser." Muhammad n'a pas interdit la polygamie à Ali, il s'est opposé à ce mariage qui dérangeait sa fille.

Selon Fahmy, il s'attribuait des privilèges prophétiques, comme cette polygamie quasi illimitée, pour masquer qu'il n'était pas maître de ses inclinations. Pour se justifier, il disait avoir mangé d'un mets céleste que lui avait présenté l'ange Gabriel et avoir ressenti ensuite pour les femmes un désir et un amour exagérés (Ibn Saad, tome VIII).

Les femmes pressentaient cette faiblesse de Mahomet. Aïcha a dit : « J'étais jalouse de mes co-épouses qui s'offraient d'elles-mêmes à l'Envoyé de Dieu et je disais : "Comment une femme s'offre-t-elle ainsi ? " Lorsque Dieu le Très Haut révéla le verset (sourate 33, verset 51) "Tu peux donner de l'espoir (pour plus tard) à celles d'entre elles que tu voudras et celle que tu désires de nouveau après l'avoir négligée", je dis : "Je trouve que Dieu a hâte de satisfaire tes désirs". »

Le nombre de mariages de Muhammad est en tout et pour tout de 13 femmes. Et il avait trois captives avec lesquelles il entretenait des relations sexuelles. Ce verset n'a jamais été suivi de nombreux mariage. Les ouvrages d'histoire sont formels, Muhammad n'a jamais épousé de femmes après ce verset.

Sur sa désinvolture vis-à-vis de ses femmes, la même tradition se montre en revanche prolixe. L'historien Tabari (838-923), persan avisé, rapporte dans ses Annales : « Aïcha se plaignit d'une migraine. Le Prophète déjà fort malade dit : "Ô Aïcha, ce serait à moi de me plaindre, non à toi. Si l'on aime quelqu'un on regrette de lui survivre. Puis quel mal y aurait-il, ô Aïcha, si tu mourais avant moi, si je t'ensevelissais, si je priais pour toi et te déposais dans la tombe ? " Et celle-ci de rétorquer : "Oui, tu veux, en revenant de mon enterrement, faire un nouveau mariage". »

Aycha se plaignait d'une migraine, et Muhammad lui a répondu que lui était plus en situation de se plaidre de ce mal. Aycha a encore vécue en effet de longues années, or Muhammad est mort quelques semaines plus tard. Il a sourit de la jalousie de sa jeune épouse qui devait augmenter son amour pour elle.

Le Prophète, nous dit Tabari, sourit en entendant cette réplique acerbe. Le Mahomet de Médine avait l'autorisation coranique de contracter autant de mariages qu'il voulait, aussi bien avec des épouses auxquelles on donne une dot, qu'avec « des esclaves qu'Allah a données par fait de guerre » ou avec des femmes croyantes qui se donnent au Prophète si ce dernier veut les prendre en mariage (sourate 33, verset 50).

Mais cela ne semblait pas lui suffire si on comprend bien ce verset du Coran : « II n'est point licite à toi, Prophète, de prendre encore d'autres femmes en dehors de tes esclaves, ni de les changer contre d'autres épouses, fusses-tu ravi par leur beauté » (sourate 33, verset 52). Même Muhammad Hamidullah dans Le Prophète de l'islam voit là « un point de quelque complication » (sic). Il est vrai, d'après Aïcha, qu'en général elle s'efforce de « satisfaire sans retard les passions de son Prophète » ! Ainsi Mahomet, qui est déçu par ses nombreuses épouses stériles et qui avoue être un époux jaloux, ne peut qu'être comblé par la Révélation qui déclare d'abord que « ses épouses sont les mères des croyants » (sourate 6) et qui défend ensuite aux musulmans « d'épouser jamais ses épouses après lui » (sourate 33, verset 53).

Encore une fois, ce verset a autorisé Muhammad a contracter des mariages, mais le nombre de ses mariages n'a pas dépassé nen tout treize femmes. D'après Montgommery Watt, tous ses mariages avaient des buts de resserer des liens tribaux pour faire des tribus amis. A part Aycha, toutes ces épouses étaient veuves, et um Salama était déjà ménopausée lors de leur mariage. Modifié le 31 décembre 2012 par Frelser

Loin d'être un Prophèteféministe comme voudraient le faire croire les apologistes musulmansmodernes,

Remarque hors sujet, le féminisme est une idéologie née plus d'un millénaire après Muhammad. Et je ne connais que peu de musulmans prétendant que Muhammad serait féministe.

Mahomet était même parfois misogyne. Il trouvait au sexefaible moins d'intelligence et de piété, moins de capacitéjuridique aussi. Il ne faisait là que suivre ou précéder le Coranpour qui le témoignage d'un seul homme équivaut à celui de deuxfemmes (sourate 2, verset 282).

Muhammad était un homme de son temps. Il était humain, avec ses faiblesses et tout son génie. D'apèrs l'avis des historiens comme Motgommery Watt, Maxime Rodinson et toute une longue liste d'historiens, il a réformé de fond en comble le statut de la femme. De son temps, les femmes en Arabie étaient très peu cultivées généralement, elles étaient opprimées, et avaient peu d'occasions de s'épanouïr intellectuellement. A part quelques rares dames hors pairs qui furent de grandes poétesses, la gent féminine de son temps étaient peu cultivées. Muhammad parlait de son propre milieu. Les femmes étant peu spécialisées dans les complexes procédés commerciaux des Arabes vivant du commerce, le Coran commande deux dames "pour que l'une puisse être confrontée à la seconde en sorte de déterminer les clauses complexes qu'elles ne maîtrisaient que très rarement".

C'est également le Coran(sourate 4, verset 34) qui commande de frapper les femmes si ellespersistent dans l'indocilité. Mahomet avait interdit de les frappermais Omar vint trouver le Prophète et lui dit : « Les femmess'enhardissent vis-à-vis de leurs époux ». À ces propos le Prophète autorisa les hommes à frapper leurs femmes, tout enreconnaissant que les hommes qui font cela ne sont pas parmi lesmeilleurs.

Aucun commentaire du Prophète n'inculque ce sens à ce terme ضَرَبَ qui est polysémique. Il existe de nombreuses divergences sur ce passage chez les anciens, et d'après Abu Bakr ibn al 'Arabi, Ata, Mujâhid et Cha'bi disaient qu'il s'agissait des femmes adultérines avant les peines définie par le pouvoir.

Le Prophète de l'islam, même s'il était amateurde femmes, n'était pas particulièrement indulgent envers le sexeféminin ! Le Coran punit l'adultère de cent coups de fouet. OrImrân Husayni raconte qu'une femme de la tribu de Juhayna vinttrouver le Prophète, alors qu'elle était enceinte après avoircommis l'adultère. Elle lui dit : « Envoyé de Dieu j'aitransgressé un interdit. » L'Envoyé de Dieu fit appeler son tuteuret lui dit : « Montre-toi bienveillant envers elle et quand elleaura accouché ramène-la moi. » Celui-ci fit ce qui lui avait étédemandé et le Prophète ordonna d'attacher la femme avec seshabits ; puis il la fit lapider et dirigea la prière mortuaire.

Encore une preuve de totale méconnaissance de l'islam. La peine contre l'adultère concerne autant les mâles que les femmes.

Dans l'Évangile, Jésus évita la lapidation de la femmeadultère en posant une condition impossible à ceux qui voulaientappliquer la loi juive de la lapidation : « Que celui qui n'a jamaispéché lui jette la première pierre. » Et tous de se retirer, lesplus âgés en premier. Jésus dit à la femme : « Va et ne pècheplus ! » Mais Mahomet, lui, ne pardonna pas à la femme adultère.Il faut la foi des musulmans pour voir dans cette punition de lafemme fornicatrice autre chose qu'une mise à mort inacceptable pourune conscience moderne.

Ce passage est apocryphe, et ne figure pas dans les plus anciennes versions de l'évangile selon Jean.

Zaynab a raconté a Zayd (fils adoptif de Mohammed) que Mohammed la convoitait Zayd s'est sentiobligé de divorcer. Comme Zaynab était la femme de son fils:Mohammed s'est retrouvé en porte à faux par rapport aux textes surl'inceste et il a fallu une révélation spéciale pour abolir l'adoption dans l'islam (d'où les conséquences tragiquesaujourd'hui pour beaucoup d'orphelins dans tous les paysmusulmans)

Sourate 33 AL-AHZAB (LES PARTIS)Post-Hégire, verset 37.

Quand tu disais à celui qu'Allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l'avais comblé : «Garde pour toi ton épouse et crains Allah», et tu cachais en ton âme ce qu'Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c'est Allahqui est plus digne de ta crainte. Puis quand ZAYD eût cessé touterelation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu'il n'y aitaucun empêchement pour les croyants d'épouser les femmes de leursfils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d'Allah doit être exécuté.

Oui, les fils adoptifs n'étant pas du sang de leurs père adoptif, il était permis à leurs pères adoptifs de les épouser si elles sont répudiées. Selon les lois en rigueur en France, un père peut épouser sa belle-fille si son fils biologique la quitte. Par ailleurs, l'adoption en islam n'existe pas, parceque cela engendrait des confusions sur les lignées et les taboux matrimoniaux. Mais il demeure autorisé de parainer des orphelins et de leur léguer jusqu'à un tiers de ses biens avec un testament. Modifié le 31 décembre 2012 par Frelser

oui il est fort le mahomet, un bon gourou comme on en connait, il dicte des règles et les enfreints lui meme, car Dieu le lui aurait permis :smile2:

en clair faite ce que je dis, pas ce que je fais

Oui, les fils adoptifs n'étant pas du sang de leurs père adoptif, il était permis à leurs pères adoptifs de les épouser si elles sont répudiées. Selon les lois en rigueur en France, un père peut épouser sa belle-fille si son fils biologique la quitte. Par ailleurs, l'adoption en islam n'existe pas, parceque cela engendrait des confusions sur les lignées et les taboux matrimoniaux. Mais il demeure autorisé de parainer des orphelins et de leur léguer jusqu'à un tiers de ses biens avec un testament.

Mais qui le ferait?? Et qui trouverait ça sain de le faire?? En réalité c'est une abomination morale et ceux qui comme toi imitent ou défendent l'exemple ignoble de Mahomet se dégradent moralement... Cet exemple montre simplement que ce type n'avait aucune limite pour imposer ses désirs...

En islam, il est interdit de se marier avec une veuve de son propre fils. Zayd était biologiquement un étranger pour le Prophète.

Un cas parmis d'autres, nombreux.

Les mariages avec la veuve de son fils biologique, ou la fille biologique de son ex-épouse sont fréquents. Tu as juste dû ne pas en rencontrer...

La cour d'arbitrage de Verviers légalise le mariage avec sa belle-fille par son ex-épouse.

Modifié le 1 janvier 2013 par Frelser

C'est d'une moralité exemplaire également d'avoir de multiple femmes et esclaves sexuelles :smile2:

Il y a aussi plusieurs mariages qui ont comme seul raison des enjeux politiques, c'est dire l'importance de l'amour que met Mahomet dans le mariage

Modifié le 1 janvier 2013 par juuken

Au moins, c'est moralement plus honnête que de mettre quatre-cent cornes à sa femme unique et chérie.

Modifié le 1 janvier 2013 par Frelser

Ce n'est pas la même chose, dans les cas que tu cites il s'agit de remariage avec un enfant de son ex-époux... Même si c'est déjà très limite moralement, ce n'est pas ça qui est en question avec Mahomet, mais du remariage avec la femme de son fils, ce qui est bien plus ignoble, que le fils soit adoptif ou pas ne change strictement rien au caractère moralement ignoble de ce mariage... D'ailleurs Aïcha ne s'y était pas trompée en notant que la "révélation" divine tombait juste au bon moment pour permettre à Mahomet d'accomplir son ignoble désir, "ton Dieu est bien empressé à satisfaire ton désir" a-t-elle dit...

Enfin bref, pour tout être moral et normalement constitué la supercherie de Mahomet ne fait absolument aucun doute et il faut une corruption morale profonde ainsi qu'un avauglement intellectuel impressionant pour ne pas le comprendre...

Au moins, c'est moralement plus honnête que de mettre quatre-cent cornes à sa femme unique et chérie.

tu ne trouve pas mieux comme réponse pour ces agissement de la part d'une personne qui recoit les paroles de Dieu et son enseignement

D'ailleurs Aïcha ne s'y était pas trompée en notant que la "révélation" divine tombait juste au bon moment pour permettre à Mahomet d'accomplir son ignoble désir, "ton Dieu est bien empressé à satisfaire ton désir" a-t-elle dit...

ou l'art de s'octroyer des droits supérieurs à ces sujets, car mandaté par DIEU

Arrête de fantasmer Florent. Le mariage avec la veuve de son propre fils biologique est légal en France et pratiqué souvent... Zaynab n'avait aucun lien filial avec lui. Moralité machin truc. On dirait un témoin de Jéova version athée. :D

tu ne trouve pas mieux comme réponse pour ces agissement de la part d'une personne qui recoit les paroles de Dieu et son enseignement

ou l'art de s'octroyer des droits supérieurs à ces sujets, car mandaté par DIEU

Ça c'est quand tu as à l'avance décidé de penser qu'il n'est pas le serviteur aimé de Dieu : "Habibullah".

Modifié le 1 janvier 2013 par Frelser

et toujours rien sur la place de l'amour dans le mariage d'un homme ayant 13 femmes, dont d'anciennes esclaves et pour d'autres marié dans un but politique ?

Ça c'est quand tu as à l'avance décidé de penser qu'il n'est pas le serviteur aimé de Dieu : "Habibullah".

ah biensur et les autres homme non, il est au dessus des loi du commun des mortel

Modifié le 1 janvier 2013 par juuken

Au passage en France le soit-disant prophète, on l'appelle Mahomet.

Arrête de fantasmer Florent. Le mariage avec la veuve de son propre fils biologique est légal en France et pratiqué souvent... Zaynab n'avait aucun lien filial avec lui. Moralité machin truc. On dirait un témoin de Jéova version athée. :D

Encore une fois il ne s'agit pas du mariage avec la veuve de son fils, mais du mariage avec l'ex-épouse de son fils encore bien vivant... Tu t'arranges toujours pour ne pas regarder le cas précis en face, tu parles d'autres cas, car à toi-même, au fond de ce qui te reste de conscience morale tu te rends bien compte du caractère ignoble de l'action de ton prophète... Aïcha était plus lucide que toi là-dessus...

De toute façon et quel que soit le sujet qui traite du prétendu prophète

frelser

s'évertue a en donner une version idyllique, magnifiée, extraordinaire, sublimée même s'il faut pour cela:

ignorer certains faits historiques

justifier les pires excès

jouer avec la sémantique et les traductions, voire corriger les traductions

refuser les historiens qui n'abondent pas dans son sens

traiter les sites qui parlent de manière critique de "prosélytes" ce qui est savoureux venant de sa part

refuser tout argument pouvant le contredire...

Il a sa vue du momo et veut l'imposer à tous.........toute discussion en devient impossible.

nb: Il y a eu sur le forum des sujets genre science et religion y en a-t-il un sur croyance et objectivité?

Blablablabla... Vous ne cessez de poster les mêmes idées toutes faites, sans jamais rien prendre des réponses données.

1) Muhammad n'est pas un français du XXIeS, mais un Arabe du VIeS.

2) Ces mariages sont des mariages diplomatiques et politiques, car il avait pour devoir d'unir les tribus et renforcer les liens filiaux. Les tribus liées par le sang se défendant mutuellement.

3) Les mariages avec les veuves de ses propres enfants biologiques étant légaux en France, on n'est pas bien placés pour juger de son mariage avec la veuve de son fils d'adoption. Lui n'ayant couché ni avec la maman de Zayd, ni la maman de Zaynab, chose permise en France. Epouser la veuve de son fils adoptif est LEGAL en France.

4) En tant que chef de tribu, il était normal qu'il puisse contracter davantage de mariages car cela immunisait sa communauté contre des attaques sanglants de tribus devenues soeurs.

5) Il avait personnellement affranchi Zayd et marié celui-ci avec la fille de sa tante biologique, et quand ils ont rompus, il a lui-même épousé Zaynab car elle était veuve. De même pou Hafsa que Umar proposait en ,mariage aux gens mais que nul n'a souhaité épouser.

Quand on observe la situation froidement, sans préjugés, voilà le pragmatisme et l'humanité qui resortent de ces mariages. Quand à la questions de mariages d'amour, Muhammad n'avait pas le temps de trainer dans les discothèques et cinémas parcequ'il était perpétuellement occupé avec des devoirs : arbitrer des conflits, repousser des attaques de tribus ennemies, s'occuper de sa famille et de ses enfants, faire prier les cinq prières à la Grande Mosquée, légiférer des réformes, ...

Au passage en France le soit-disant prophète, on l'appelle Mahomet.

Mahomet est une insulte faite par les juifs sur Muhammad ( c'est ça son vrai nom et pas Mohamed ) ..

Blablablabla... Vous ne cessez de poster les mêmes idées toutes faites, sans jamais rien prendre des réponses données.

C'est toi qui comme à ton habitude ne répond pas au sujet. Pour la millième fois il ne s'agit pas dans le cas dont on parle d'épouser une veuve mais d'épouser l'ex femme de son fils adoptif de son vivant, et à part Mahomet tu n'as aucun autre exemple à citer, car cela reste une saloperie avant, pendant et après la pseudo révélation prophètique...

Donc toutes tes remarques sont out par rapport à ça, je réponds juste à une seule :

1) Muhammad n'est pas un français du XXIeS, mais un Arabe du VIeS.

C'est bien noté, donc les les hommes du XXIe Siècle n'ont pas à s'occuper des remarques d'un homme du Moyen âge, chacun reste dans son époque et les choses se passeront bien. Je te conseille d'appliquer cette leçon de bon sens, point final.

Mahomet est une insulte faite par les juifs sur Muhammad ( c'est ça son vrai nom et pas Mohamed ) ..

Antisémitisme et paranoïa classiques sur ce sujet de la part de certains musulmans...

Epouser la veuve de son fils, biologique ou adoptif est permis et pratiqué en France. Même la fille de son ex-épouse par un ancien amant est permis en France... Alors tu devrais calmer tes ardeurs.

Continue à faire la sourde oreille, tu montres bien ce que tu es... Épouser la veuve c'est différent, même si moralement chacun comprend que c'est loin d'être idéal. Ici, que tu le veuilles ou pas, on parle d'épouser de son vivant l'ex-femme de son fils, et qu'il soit adoptif ou pas tu n'as strictement aucun autre exemple à citer que ton regrettable prophète, car les hommes n'ont pas eu besoin de prétendue révélation divine pour comprendre que cela n'a rien de morale et rien de sain...

Garde ton exemple du Moyen-âge pour le Moyen-âge, je te rappelle ce conseil irréfutable.