Quand De Gaulle se moquait de la Bourse

[JUSTIFIER]

    Si aujourd'hui les politiques font tout pour « rassurer les marchés », le général de Gaulle n'a pas hésité à railler la Bourse.

« La politique de la France ne se fait pas à la corbeille » : il y a 45 ans, le général de Gaulle pouvait se moquer ouvertement de la Bourse sans que l'économie s'effondre. S'il était encore en poste aujourd'hui, pourrait-il encore prononcer cette phrase ? Ou devrait-il, selon l'expression désormais consacrée, tout faire pour « rassurer les marchés » ?

C'est le 28 octobre 1966, lors d'une conférence de presse à l'Elysée, que le général de Gaulle prononce sa fameuse petite phrase. Un journaliste lui demande, avec toute la déférence d'usage à l'époque, son analyse : pourquoi la Bourse va-t-elle mal… alors que l'économie va bien ?
La réponse peut surprendre aujourd'hui. La Bourse, ça va, ça vient, mais ça n'a aucune influence sur l'action du gouvernement, explique De Gaulle, applaudi par les journalistes.

C'était une autre époque. Une époque où la Bourse n'était pas encore dématérialisée, et où les agents de change négociaient les actions autour de la « corbeille » du palais Brongniart. Une époque où on ne parlait pas encore de CAC 40 (l'indice parisien a vu le jour en 1988) ou d'agences de notation. Une époque d'économie planifiée par l'Etat et, surtout, d'expansion économique : nous étions en pleines Trente Glorieuses.

De Gaulle n'était pourtant pas anticapitaliste. Lors de la même conférence de presse, il souligne le rôle important des investisseurs dans l'économie.

Aujourd'hui, chaque mot compte. Chaque geste aussi : la simple convocation d'une réunion à l'Elysée a suffi à alimenter la rumeur d'une faillite de la Société générale. Selon l'expression désormais consacrée par les médias, les hommes politiques doivent avant tout « rassurer les marchés ».



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À l'heure où le politique est soumis aux marchés, il est à se demander qui du peuple ou de la finance est le plus souverain.

«Ce qui nous incite à revenir en arrière est aussi humain et nécessaire que ce qui nous pousse à aller de l'avant.» Pasolini.

bonjour

le général n ' avait pas tord

c ' est ce qui ce fait en ce moment .

les marchés doivent ètres régulés pour éviter qu ' ils ne prennent l ' économie en otages

par leurs réaction en dents de scie et les spéculateurs qui ne pensent qu ' à leurs gains .

bonne journée .

Au delà de toute considération idéologique, il est frappant de constater combien ces 30 à 40 dernières années ont été une regression notamment démocratique.

Ce n'est plus le politique qui planifie l'économie mais l'économie qui planifie le politique. Le pouvoir politique élu par le peuple fut souverain depuis la Révolution, mais au dessus de ce pouvoir politique il y a dorénavant les marchés financiers qui dictent la conduite avec leurs caprices et leurs agences de notation ; c'est par l'amoindrissement des souverainetés nationales que le capitalisme a pris le pas sur la démocratie, il est désormais au dessus.

Totalement d'accord!

Les 30 Glorieuses c'étaient le controle strict de l'Etat sur l'économie, des entreprises publiques fonctionnant très bien.

Aujourd'hui, si on ose se montrer anti-mondialiste et protectionniste, on est rangé dans l'extreme-droite!

Le PS est aussi internationaliste et pro-néolibéral, et à mon avis les ouvriers touchés par les délocalisations l'ont compris!

mais c'est tout a fait logique,le monde s'est développé,l'économie aussi,

aujourd'hui il est presque impossible de faire du protectionnisme.

on vit dans la mondialisation et vu la dette abyssale des états,je ne vois pas

comment et si on a les moyens de le faire.

il faut réguler les marchés,surtout les banques leurs imposer la séparations des dépots

et de l'investissement.

si on pratique le protectionnisme,vous croyez que nos patenaires économiques vont faire quoi?

déjà nous foutre un proces devant l'omc et puis faire du protectionnisme,et vu qu'on importe

plus qu'on exporte,autant dire qu'on est cuit

Totalement d'accord!

Les 30 Glorieuses c'étaient le controle strict de l'Etat sur l'économie, des entreprises publiques fonctionnant très bien.

Aujourd'hui, si on ose se montrer anti-mondialiste et protectionniste, on est rangé dans l'extreme-droite!

Le PS est aussi internationaliste et pro-néolibéral, et à mon avis les ouvriers touchés par les délocalisations l'ont compris!

++++1

je suis bien de ton avis, helas, c'est pas prêt de changer.

mais c'est tout a fait logique,le monde s'est développé,l'économie aussi,

aujourd'hui il est presque impossible de faire du protectionnisme.

on vit dans la mondialisation et vu la dette abyssale des états,je ne vois pas

comment et si on a les moyens de le faire.

il faut réguler les marchés,surtout les banques leurs imposer la séparations des dépots

et de l'investissement.

si on pratique le protectionnisme,vous croyez que nos patenaires économiques vont faire quoi?

déjà nous foutre un proces devant l'omc et puis faire du protectionnisme,et vu qu'on importe

plus qu'on exporte,autant dire qu'on est cuit

je pense que nos partenaires économiques vont penser que nous sommes quand même 70 millions de clients, et ils feront comme dans le temps, les accords éxistaient avant l'Europe, le fait est que par la politique démentielle de bruxelle, nous avons équipés les nouveaux arrivants tel que la pologne/roumanie, une fois les infrascrutures mise à niveau, renault, michelin, machin, truc enfin le cac s'est empressé de fabriquer leurs machines dans ces pays en privant d'emplois nos ouvriers, donc chomage, donc precarité, donc surendettement de l'état du fait que l'impot s'amenuise...je parle même pas des merdes chinoise que nous importons un max pour enrichir nos supermarchés et vente en ligne sur le net..voila le resultat d'une politique (de gauche et d edroite) orientée vers la consomation contrairement aux allemands qui eux exportent en fabricant des bagnoles et machines outils de qualité, ajoutez à ça, des syndicats en dessous de tout pronant la gréve au lieu de la discution, les paralisies à outrance par des fonctionnaires de la sncf/ratp etc..qui de fait coutent à ce pays des fortunes journaliéres ...comment voulez vous que l'on ne pense pas à faire revenir nos usines piour fabriquer Français pour vendre aux Français?...comment voulez vous qu'on ne pense pas que depuis que lEurope est passée à 26/27 pays dont le dumping social a completement detruit notre industrie, rien ne va plus...alors pourquoi être tétu, l'Europe est un echec sauf pour les pays qui durant 20 ans ont vecu gracement grace à notre fric, genre la grece, charité bien ordonnée commence par soi même...le fait de sortir de cette mascarade ne va certainement pas être pire que ce que nous subissons actuellement, sans pour autant fermer nos frontiéres, je pense qu'un peu retour en arriére ne peut pas faire de mal, quand on avait un probléme d'export, on diminuait la valeur du franc et hop, on repartait, et qu'on arrete de dire que l'inflation etc...on est passé par là et autant que je me souvienne, y avait pas autant de malheureux dans les rues, alors, les excuses de bruxelle et de trichet, ça commence à nous les casser..depuis qu'on est de plein pied europeen, le chomage a triple en 25 ans, c'est pas beau l'europe?

dire que renault continue de nous vendre des caisses made in roumanie et qu'on continue de les acheter, moi ça me bouffe les c....s, achetez toyta, il reste une usine dans l'est.

tu n'es pas réaliste,sortir de l'euro comme tu le dis,c'est faire une inflation de 20 à 30 %,

tu te rends compte de ce que ça signifit pour nous tous.

sans parler de l'économie et de notre dette,elle exploserait :bad:

mais c'est tout a fait logique,le monde s'est développé,l'économie aussi,

aujourd'hui il est presque impossible de faire du protectionnisme.

on vit dans la mondialisation et vu la dette abyssale des états,je ne vois pas

comment et si on a les moyens de le faire.

il faut réguler les marchés,surtout les banques leurs imposer la séparations des dépots

et de l'investissement.

si on pratique le protectionnisme,vous croyez que nos patenaires économiques vont faire quoi?

déjà nous foutre un proces devant l'omc et puis faire du protectionnisme,et vu qu'on importe

plus qu'on exporte,autant dire qu'on est cuit

Nous on pourrait faire plusieurs procès contre la Chine à l'OMC:

-protectionnisme concernant les chantiers publics

- concurrence déloyale en gardant un yuan très sous-évalué

-recopiage de produits exportés là-bas.

Je suis pour un protectionnisme logique:

taxes d'importations pour des produits qu'on fait aussi ici.

Et puis, j'exhorte à la consommation nationale qui est bon pour l'emploi et l'économie.

tu reves,consommer français,c'est une blague

si tu as le smic,on vera combien tu paies les produits français.

nous ne sommes que 70 millions,on ne pourra rien faire contre les pays comme la chine,le brésil

les états unis ou meme l'inde.

et puis,je ne pense pas qu'on soit en situation de dicter quoique ce soit,a l'heure d'aujourd'hui,l'europe,ce sont les pays du nord,vu que ce sont eux qui sont entrain de nous sortir du caca

tu n'es pas réaliste,sortir de l'euro comme tu le dis,c'est faire une inflation de 20 à 30 %,

tu te rends compte de ce que ça signifit pour nous tous.

sans parler de l'économie et de notre dette,elle exploserait :bad:

oui, mais on pourrait devaluer et faire marcher la planche à billets, je ne pense pas qu'il faille le faire tout seul, si les allemands suivent, c'ets bon, sinon, ...

tu reves,consommer français,c'est une blague

si tu as le smic,on vera combien tu paies les produits français.

nous ne sommes que 70 millions,on ne pourra rien faire contre les pays comme la chine,le brésil

les états unis ou meme l'inde.

et puis,je ne pense pas qu'on soit en situation de dicter quoique ce soit,a l'heure d'aujourd'hui,l'europe,ce sont les pays du nord,vu que ce sont eux qui sont entrain de nous sortir du caca

deja, il faudrait qu'il y en ait des produits Français, si t'as pas les moyens de consommer étrangers, tu refais des usines et tu vends aux Français, le smic en euro ou en franc reste le smic asujetti au cout insee, au lieu d'acheter des tee chirts à 3 euros made in china, faudrait peut être en acheter moins à 20 farncs mais bon, ces 20 ablles iraient dans la poche d'usines qui embaucheraient au lieu de se barrer en chine..sans compter qu'il sera facile de vendre aux chinois vu que leur monnaie serait + forte que la notre, une des raisons également que la chine exporte c'est le mantien artificiel de leur monnaie au+ bas court par rapport à l'euro qui lui est trop fort, pour exporter il faut que les monnaies se valent sinon c'est pas equitable niveau commerce, nos produits ne s'exportent pas à cause en partie de ce fait, pas facile de vendre avec une monnaie trop forte

comment n'y ai je pas pensé??

tu devrais te présenter a la présidence,je suis soulagé nos problemes sont finis,mdrrrrrrrrrrrr

les seuls capables de sortir de l'euro sont des pays comme les pays bas,l'autriche ou l'allemagne

pour nous faut oublier cette solution

L'Allemagne n'a aucun intérêt à rester dans l'euro si la France en sort, et vice-versa. Retrouver une monnaie indépendante donne accès à un tas de leviers pour recontrôler l’économie. De plus en plus d'économistes de tous bords envisagent sérieusement la sortie de l'euro. Cette monnaie unique a été mal faite et on finira par en sortir, la question est de savoir si ce sera une volonté ou un accident ; mieux vaut pour nous en sortir volontairement avant d'être emporté dans sa faillite.

je suis d'accord avec toi napo,reste a prévenir les français qu'on va devoir serrer la ceinture

pendant un bon moment,car on ne change pas de monnaie comme on change de de slip.

l'inflation,l'euro équivaut a combien de francs?? qui le sait?? la dette extérieur,avec le change

on va a la faillite,franchement je doute de cette solution,

je pense que certains pays les plus faibles vont sortir temporairement.

ce qui est sur,c'est que ce sera long pour nous,car si on sort,les effort vont etre considérable.

On aurait du faire une UE des pays riches genre Allemagne, Pays-Bas, Autriche,...

L'Est a été ajouté pour faciliter les délocalisations.

Oui, la récente adhésion de la Grèce s'est faite contre l'avis de la commission européenne qui avait anticipé les problèmes.