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Frelser

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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C'est vrai. Un paramètre infini suffit à faire s'affaisser mathématiquement tout l'Univers. L'infini est un concept mathématique qui ne peut pas avoir de réalité physique. Même l'image d'un espace euclidien infini s'est effondré avec la physique avancée. L'espace relativiste se déforme, donc il ne se place pas dans un genre de sous-espace euclidien. Autrement, le soleil ne pourrait pas déformer son voisinage. Et l'intrication quantique, avec la violation des inégalités de Bell a prouvé que chaque point de l'Univers est relié à tout autre point et en est inséparable... L'illusion du temps et de l'espace s'est effondrée de même que l'illusion des sons, teintes, saveurs et parfums qui ne sont pas cachés en la matière. Tout n'est que le lieu des manifesations de D.ieu, et il n'y a rien d'autre que ses manifestations.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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Le raisonnement est simple. Moi je suis possible et probable, avec ma durée de vie et ma faculté à lancer un dé. Si l'Univers est infini ou éternel, alors je dois avoir existé en nombre infini. Comme les probabilité se vérifient aux lancers de dés, cela est la preuve absolue que je n'existe pas en nombre infini, et que l'Univers a une origine dans le temps.

Ton raisonement est fallacieux. Parceque chaque Frelser ne pourra lancer son dé qu'entre un seul et 3.000.000.000 fois. Il ne pourra pas lancer 1,3 fois. Comme il en existera une infinité, chaque nombre de lancer situé entre 1 et 3.000.000.000 se produira une infinité de fois. Pour chaque Frelser lançant son dé n fois, cela se produirait une infinité de fois. Tu veux comparer un lancer de 100 coups avec un lancer de 101 coups. Mais il y aura une infinité de 100 coups détruisant la série 100, et une infinité de 101 coups détruisant la série 101... Parceque chaque lot probale situé entre 1 et 3.000.000.000 serait sorti une infinité de fois. Cqfd. (Et je suis lassé de tes interventions à côté du sujet. Je ne désire plus tourner en boucle pour un point aussi élémentaire.)

Bon je vais te donner une suite infinie pour un lancer de pièces qui converge vers 1 / racine de 2 (c'est à dire un nombre réel) histoire de te faire comprendre le problème. Concaténons:

s0 = 1 pile et 1 face

s1 = 2 piles et 1 face

s2 = 5 piles et 2 faces

s3 = 12 piles et 5 faces

s4 = 29 piles et 12 faces

s5 = 70 piles et 29 faces

...

sn = [2 x Nombre de piles + Nombre de faces] piles et [Nombre de piles] faces

Voilà tu l'as obtenue ta suite ; la probabilité d'obtenir pile est de 1 / racine de 2 lorsque n tend vers l'infini. En fait, la suite converge vers cette valeur : c'est un algorithme. Pourtant la pièce n'a pas été lancée un multiple de racine de 2! Bizarre? Non, juste mathématique mdr...

Et j'ai juste envie de poser une question : quelle différence entre une infinité de Frelser qui produisent des suites finies et une infinité de Frelser qui produisent des suites infinies sachant qu'on pourra toujours imaginer qu'on concatène les suites obtenues? En plus tu réutilises le terme équipotentialité ou équiprobabilité alors qu'il n'est clairement pas adapté en la circonstance...

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Une suite finie est une suite finie, une suite infinie est une suite infinie. La fragmentation d'une infinité de suites indépendantes n'a pas les mêmes conséquences qu'une suite infinie unie chevauchante et continue. L'histoire de te montrer la différence. n tend vers 6^3.000.000.000!. Les tribus sont dénombrables et dénombrés. (Même identifiés et décrits n fois). L'univers est donc mesurable et l'espace probabilisable. Le franc va finir par tomber.

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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De toute façon, un univers éternel n'est pas nécessaire pour obtenir une infinité de Frelser composant des suites finies. La comparaison devient imparfaite : L'univers n'est pas limité dans le temps puisqu'il en est la condition même ; une vie humaine si. Il n'est donc pas possible de faire une comparaison entre l'origine de l'univers et le début de notre expérience aléatoire admettant une fin bien définie.

Une simple question donc : Que se passera-t-il lorsque tous les Frelser vivant 3.000.000.000 de secondes mourront? Y aura-t-il une autre génération spontanée de Frelser ou n'y en aura-t-il plus? Dans le second cas (si il n'y a plus jamais d'autres Frelser) pourquoi ne pourraient-ils pas réapparaître puisqu'ils sont probables?

Dans le premier cas, pourquoi découper les lancers d'une certaine façon (en prenant pour maximum le nombre de lancers au cours d'une vie de Frelser) plutôt que d'une autre, d'autant plus que, je te le rappelle, l'équiprobabilité, qui est le pivot de ton argumentation n'est garantie que pour une suite infinie pour les décimales d'un nombre normal?

Et si Frelser réapparaît en plusieurs exemplaires, pourquoi ne referait-il pas exactement les même gestes et ne prendrait-il pas le dé exactement de la même façon pour obtenir exactement les même suites?

Sinon effectivement, lorsqu'on lance un dé, il n'y a aucune garantie absolue que les probabilités seront effectivement respectées. Comme je te le disais c'est la différence entre la réalité et les mathématiques.

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
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Si toutes les suites possibles surgissent une infinité de fois, alors cela signifie pour un lanceur L, que pour toute série S, il pourra strictement obtenir n'importe quelle configuration possible de façon équipotentielle. Or, si on teste, on obtient toujours des séries qui respectent les lois de proportions équitables (1\6e par face) et de suite aléatoires... Si les lanceurs étaient plus nombreux que les suites probables, cela ne serait pas ainsi. Ce qui prouve avec une certitude tendant exponentiellement à l'infini que l'Univers a une origine dans le temps, et qu'il n'y a pas une infinité d'humains depuis l'éternité.

Non, ça ne prouve rien du tout, à part que chaque suite finie sera tirée avec une probabilité de 1.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Il n'est pas nécessaire que les lanceurs vivent en même temps, ni qu'ils se connaissent. C'est uniquement une question de quantité de lanceurs. Ils ne referont pas les gestes en boucle, autrement, il faudrait admettre le principe anthropique et une finalité absolue déterminée physiquement. Il faudrait des lois pour canaliser les mouvements d'un dé pour le guider entièrement. Pure spéculation et absurdité. Pour l'équiprobabilité, pas d'accord. La notion de probabilité égale à 1 n'est pas antimathématique. Et toute probabilité est fondée sur des fractions de 1.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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Il faudrait des lois pour canaliser les mouvements d'un dé pour le guider entièrement. Pure spéculation et absurdité.

Spéculation certes, mais absurdité cela reste à prouver. C'est une hypothèse comme une autre, et d'ailleurs pas si absurde que l'idée qu'il existe une infinité de Frelser jetant des dés toute leur vie depuis l'éternité. Heureusement il n'y en a qu'un mdr...

Pour l'équiprobabilité, pas d'accord.

Bon alors là permets moi de m'auto-quoter :

Faisons un calcul simple avec un individu qui ne vivrait que 10 secondes pour faire 10 lancers de pièces (un par seconde). Il y a 1024 suites possibles (2^10). Le nombre de suites possibles respectant les probabilités est de 10! / 5! x 5! = 252 (permutation avec répétition). Le nombre de suites respectant les probabilités avec du 60/40 serait 2 x 10! / 4! 6! = 2 x 210 = 420.

Cela fait P = 252 + 420 / 1024 = 672 / 1024 = 0.65625 (plus de 65% de chances) comme probabilité d'obtenir une suite dont les probabilités respectives sont [0.5 ; 0.5] ou [0.4 ; 0.6].

Le nombre de suites possibles ne les respectant pas du tout (uniquement les même résultats) seraient égales à 2 (celles avec uniquement des pile ou celles avec uniquement des faces). Ce qui revient à une probabilité de 2 / 1024 = 0.001953125 (moins de deux chances sur mille)

En gros, les suites ayant des valeurs de probabilités proches de celles que l'on est en droit d'attendre sont plus nombreuses que les suites ayant des valeurs de probabilité les respectant pas ou peu. C'est une loi normale.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Je vais reformuler encore une fois ce que tu semble ne pas accepter dans mon raisonnement. A partir du moment où le nombre d'essai suffisant pour produire chaque suite probable est atteint et dépassé, toutes les séries probables tendent à être obtenues de façon quasi certaine. Plus le seuil critique est dépassé, plus cette certitude s'affine. Après une infinité d'essais, cette certitude tendrait également à l'infini. Pour une suite de 6 lancers au dé, les suites possibles seront de 6^6. Or le nombre de suites respectant les lois de proportions seraient : 6!. Donc, la probabilité de se trouver dans le domaine respectant la loi des proportions stables tendrait vers 6!/6^6. Pour une série d'une longueur tendant à l'infini, notre chance de s'éloigner du respect des proportions tendrait à l'infini. Mais la suite la plus longue ne dépassera jamais 3^9 pour un humain.

Rmq. Au jeu de pile ou face, le respect de la loi des proportions serait de 10^2\2^10.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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P.S. Les suites ne respectant pas les lois de proportions seraient 10 piles ; 10 faces ; 9 piles et 1 face, avec le face distribué respectivement dans les dix rangs ; 9 faces et 1 pile, avec le pile distribué respectivement dans les 10 rangs ; 8 piles et 2 faces, avec les 2 faces distribuées respectivement dans les 10 rangs, etc. Les suites désordonnées seront beaucoup plus nombreuses, et cela ira en croissant proportionellement à la longueur des lancers. Je peux avoir fait des erreurs de calculs dans les deux derniers posts. Je t'écris à la volée entre 1000 activités. Je reviens vers toi dès que je suis disponible. Amitié.

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
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Je vais reformuler encore une fois ce que tu semble ne pas accepter dans mon raisonnement. A partir du moment où le nombre d'essai suffisant pour produire chaque suite probable est atteint et dépassé, toutes les séries probables tendent à être obtenues de façon quasi certaine.

Et alors ?
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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Tu n'as pas lu les posts précédents. Si l'Univers existe depuis l'éternité, et que je suis possible puisque j'existe et que je sais lancer un dé, il faut que des répliques de moi existent depuis l'éternité. Des répliques à l'identique, qui réécrivent ce post à l'identique, mais aussi des répliques qui écrivent des posts variants d'une virgule, d'une lettre... Puisque après une éternité, tout ce qui est probable a du se répéter une infinité de fois. Y compris une infinité d'Univers absurdes.

Or, dans un tel cas de figure, lorsque je lance un dé 6 fois. En réalité, je le lance une infinité de fois. En me focalisant sur ce moment dans lequel je le lance 6 fois, il faut que j'ai lancé mon dé 6 fois, mais que ces 6 lancers aient été répétés une infinité de fois. En sorte que je ne sois que l'une des infinies réliques lançant mon dé 6 fois... Là surgit le paradoxe absolu. Parcequ'alors, il faudrait que je puisse me situer dans une d'entre les infinies situations possibles. C'est-à-dire que je devrais avoir autant de chances d'obtenir 6 fois six que des suites 1, 2, 3, 4, 5, 6. Puisqu'en réalité j'ai obtenu chaque suite probable une infinité de fois. Mais chaque tentative aboutit à des séries de 6 lancers respectant la loi des proportions (1\6e de chaque face en moyenne) et de suites aléatoires (pas de suites ordonnées suivant d'algorithme). Ce qui est illogique, puisque pour une suite de 6 lancers de dé, je devrais obtenir 6^6 suites possibles avec strictement la même probabilité. Puisque j'ai lancé mon dé une infinité de fois six fois... Mais je n'obtiens jamais des suites violant les lois des probabilités. Qui ressèrent les résultats dans la marge des 6! possibilités, avec une équilibre entre l'apparition de chaque face de façon équiprobable. Ce qui est la preuve formelle, que je ne viens pas de lancer mon dé une infinité de fois 6 fois. Et ce paradoxe tend à l'infini à mesure que je prolonge la longueur de mes lancers. Jusqu'à l'absurde. Notre Univers qui respecte strupuleusement les lois des proportions et de suites aléatoires prouve qu'il ne se répète pas depuis l'éternité, et porte la signature mathématique typique d'un Univers unique ayant une origine dans le temps. Autrement, s'il avait une infinité de répliques, tout événement probable même de façon infinitésimale aurait fini par se produire une infinité de fois parmi l'infinité d'univers jumeaux et le notre ne serait qu'un de ces infinis univers sans aucne garantie de cohérence, or l'Univers est rigoureusement cohérent. Donc, la probabilité de se trouver dans un Univers sans incohérence tendrait asymptotiquement à zéro, et la probabilité de la réalisation d'absolument n'importe quelle chose probable même de façon infinitésimale tendrait exponentiellement à l'infini. Ce qui serait la mort de la science et que l'Univers réfute avec une puissance infinie.

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
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Là surgit le paradoxe absolu
Là ne surgit aucun paradoxe.
Parcequ'alors, il faudrait que je puisse me situer dans une d'entre les infinies situations possibles.
Il n'y a qu'un nombre fini de tirages possibles.

En réalité, en lançant un dé 6 fois, vous avez 46656 possibilités. Il n'y a pas d'infini ici.

C'est-à-dire que je devrais avoir autant de chances d'obtenir 6 fois six que des suites 1, 2, 3, 4, 5, 6.

C'est une vérité mathématique, aucun paradoxe.

Vous avez autant de chance d'obtenir la suite 1 2 3 4 5 6 que la suite 6 6 6 6 6 6.

Et c'est vrai même dans un univers fini, rien à avoir avec un univers infini.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Je suis saturé. J'ai répondu en détails plus haut. Si les lancers sont limités à 6 : la chance d'avoir un respect des proportions équilibrées et des suites aléatoires est effective, dans le cas de lancers infinis, n'importe quelle suite de 6 possible est strictement quiprobable et il n'y a plus de raison que les lois des proportions équilibrées et de suites aléatoires soient vérifiées, et encore moin systématiquement et pour toute longueur d'essais tendant à 3.000.000.000 sur toute une vie humaine.

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Membre, Le gremlins à lunette, 36ans Posté(e)
Elhyareno Membre 4 313 messages
36ans‚ Le gremlins à lunette,
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La probabilité d'obtenir une suite de 6 est la même que probabilité d'avoir une suite de 1, de 2, de 3, de 4 ou de 5. Puisque les calculs sont les même.

Sinon la seule proba qui tend vers 1 à l'infini, c'est que les événement probable deviennent possible, toute proportion gardées.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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La probabilité d'avoir 6 est de 1/6 à chaque lancer. Donc je devrai avoir un 6 sur six sur la suite de lancers, quelle qu'en soit la longueur... Mais si je lançais une infinité de fois, la probabilité se porterait non pas sur chaque lancer isolé, mais sur les suites possibles par longueur de suite. Puisque j'obtiendrais chaque suite possible de longueur N une infinité de fois, obtenir une suite de 120 lancers serait strictement équiprobable au fait d'obtenir strictement n'importe quelle autre suite possible de 120 lancers consécutifs : indépendament des lois de proportions équilibrées et de suites aléatores. La probabilité portant sur la suite entière, et non sur chaque lancer. Je ne sais pas comment je peux expliquer autrement. Et très honnêtement, je continue de répondre par courtoisie, je suis franchement saturé par le sujet d'une évidence flagrante.

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Membre, Le gremlins à lunette, 36ans Posté(e)
Elhyareno Membre 4 313 messages
36ans‚ Le gremlins à lunette,
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Non

On dit que deux évènements sont indépendants lorsque le fait de connaître le résultat du premier évènement ne nous aide pas pour prévoir le second et inversement. C'est le cas lorsque la réalisation d'un évènement n'influence pas la probabilité que l'autre se réalise.

Par exemple lorsque l'on lance deux dés à la suite le résultat obtenu au premier dé ne va pas influencer le deuxième dé. Le fait de connaître le résultat du premier dé ne nous aide en rien pour prévoir le résultat du deuxième. On a toujours une chance sur 6 d'obtenir un 6 au deuxième jet de dé quel que soit le résultat du premier dé. Ce n'est pas parce que l'on a obtenu un 6 au premier jet de dé que cela change la probabilité d'obtenir un 6 au deuxième. Souvent si on mène deux expériences séparément (par exemple lancer un dé) le résultat de la première expérience n'influe pas sur la deuxième et on a alors une indépendance des résultats de la première expérience par rapport à la deuxième.

Cette notion d'indépendance intervient dans de nombreux théorèmes par exemple dans la loi des grands nombres et le théorème central limite exposés plus bas. En terme mathématique, deux évènements A et B sont indépendants si et seulement s'ils vérifient : 9d111b1fc8ff22fa8c79b2f4da26e27e.pnga512c3ba0326ccc2ee922280d814e102.png est la probabilité d'avoir à la fois A et B. On pourrait montrer grâce aux probabilités conditionnelles que cette définition recoupe bien l'idée que l'on se fait de l'indépendance.

On peut par exemple vérifier que la probabilité d'obtenir un 6 à un premier jet de dé est indépendante de celle d'obtenir un 6 à un deuxième lancer avec cette définition . La probabilité d'obtenir un 6 au premier dé vaut 1/6 (A), celle d'obtenir un 6 au deuxième dé vaut 1/6 (B). On peut grâce aux combinatoires montrer que la probabilité d'obtenir un double 6 vaut 1/36. On a alors :

b36fe2153c0d35dbabbd7b70fb8fbcfb.png

Le fait d'obtenir un 6 au premier dé est donc bien indépendant du fait d'obtenir un 6 au deuxième dé.

wiki

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Deux personnes qui lancent un dé sont indépendantes, mais leur chance à deux d'obtenir un 6 augmente à 1/3, s'ils sont à six, l'un des six aura très probablement un 6. Avec une infinité de lanceurs indépendants, les lois des probabilités s'affaissent mathématiquement. Si tu n'es pas d'accord, c'est ton choix. La démonstration est fournie plus haut. Alors, pense ce que tu veux. Mais laisse moi tranquille s'il-te-plaît. J'ai assez perdu du temps comme ça. Que tu ne parvienne pas à comprendre la démonstration ne change en rien les démonstrations. Si je ne répondais plus, sache que ce n'est pas par manque de respect, mais je suis franchement lassé.

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

Frelser : Deux personnes qui lancent un dé sont indépendantes, mais leur chance à deux d'obtenir un 6 augmente à 1/3, s'ils sont à six, l'un des six aura très probablement un 6.

Genesiis : Dès l'instant où vous examinez la probabilité de deux lancés ils ne sont plus indépendants. Le calcul devient 5/6*5/6=25/36 d'échouer à avoir un 6 et donc 11/36 d'obtenir un 6 sur 2 lancés d6. Pour 6 lancés nous avons 5^6/6^6 d'échouer et donc 1-5^6/6^6 de réussir. Cette probabilité tend bien vers 100% en augmentant le nombre de lancés. Ceci est valable aussi pour toutes séries puisqu'aucune série n'est indépendante dès lors qu'on la compare à une autre.

Je considère hors sujet ces considérations vu que le Dieu que je connais n'est pas soumis à la logique.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Alors essaye de faire lancer un dé dix fois à six personnes et teste ta théorie faite maison. Et passe mon bonjour à ton dieu. :p

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Membre, Posté(e)
BaLizto Membre 10 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Si on considère que dieu n'a pas de visage, alors chacun a son dieu qui le réconforte en cas d'erreur.

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