Guibal, coupable d'avoir immolé par le feu une mère de famille, va-t-il sortir de prison ?

Au bout de 20 ans derrière les barreaux, Michel Guibal, condamné en 1994 à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'assassinat d'une mère de famille le 18 mars 1991 cours Palmarole à Perpignan, va-t-il bientôt retrouver la liberté ? Ce prisonnier, coupable d'avoir immolé par le feu Anne-Marie Roudil dans des conditions atroces sous les yeux de ses deux enfants, est-il aujourd'hui "apte" à sortir ?

La suite.......

ne connaissant pas cette tragédie je ne sais pas pourquoi il a fait ça, on n'immole pas quelqu'un sans une raison m^me si elle n'est pas recevable - l'article ne le dit pas mais j'aimerai savoir comment il a tenté de justifier son geste

quant à la perpétuité ça me fait rigoler - depuis quand elle serait appliquée - je sais : la deuxième chance et blabla blabla mais il y a quand même des actes qui refroidissent les meilleures volontés non ?

merci d'avance pour les précisions

à lire : http://forum.anarchiste-revolutionnaire.org/viewtopic.php?f=74&t=3758

la perpéte est elle à géométrie variable ??? à quoi sert la prison : à ""ré éduquer"", à punir ?????

ne connaissant pas cette tragédie je ne sais pas pourquoi il a fait ça, on n'immole pas quelqu'un sans une raison m^me si elle n'est pas recevable - l'article ne le dit pas mais j'aimerai savoir comment il a tenté de justifier son geste

Résumé de l'affaire

Michel Guibal menait dans l'Hérault une vie tranquille avec sa femme et son fils. Il dirigeait une entreprise de nettoyage qui fonctionnait bien. Anne-Marie Roudil, elle, vivait à Perpignan avec son mari gynécologue et ses deux enfants. Rien ne semblait lier ces deux personnes et pourtant, le 18 mars 1991, Michel Guibal immolait Anne-Marie Roudil sous les yeux de ses enfants. Un crime gratuit, sans mobile apparent. Ils s'étaient connus plus jeunes, la vie les avait séparés. Elle était heureuse, mais lui ne l'était pas. Il s'est vengé, inspiré par des voyants et des magnétiseurs qui «voyaient», à la source de son malheur, une femme qu'il aurait connue des années avant.

...

La journaliste interroge le psychiatre chargé d'évaluer le meurtrier. Le médecin décrit un homme peu sûr de lui, doutant de ses capacités. Guibal a consulté des voyantes et des magnétiseurs pour régler ses problèmes de couple. Lors de ces séances, il a focalisé toute sa rancœur sur une ancienne relation, un flirt de quelques mois, une certaine Anne-Marie. Cette dernière n'aurait pas répondu à sa lettre de rupture... dix-sept ans auparavant ! L'enquête prouve que Guibal a longuement prémédité son crime.

http://www.roudil.co...rie-roudil.html

Pour moi c'est un de ces tarés qui a de la gélatine à la place du cerveau,et qui met tous ses malheurs sur le dos des autres,s'il sort il recommençera.Un tel cerveau ne se rééduque pas,il lui manque une case.NON A LA RECIDIVE!! Qu'il finisse ses jours en tole, il le vaut bien !!!!

Oui , cette charogne devrait sortir de taule mais les pieds devant.

merci Bananas

c'est encore pire que ce que je pouvais imaginer - en règle générale je suis plutôt pour la 2ème chance mais là c'est un peu trop !

il n'a pas sa place dehors avec la haine sur les lèvres - je crains que ce ne soit un "jusqu'auboutiste" et la famille victime en a bien assez supporté

Il n'a aucune chance de sortir : par deux fois la libération lui a été refusée, et les raisons de ce refus perdurent. La commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté a rendu un avis défavorable, cet avis va compromettre sa libération, et l'avis d'un ou deux psychologues en sa faveur ne va pas faire pencher la balance de l'autre côté.