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Avis aux "Assistés"...


nadoo

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Membre, Maitre de l'overdrive, 30ans Posté(e)
emasik Membre 10 172 messages
30ans‚ Maitre de l'overdrive,
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Bon, c'est officiel, on va renommer ce topic "le coin du forumeur rageur".

Bon puisque tu as besoin d'explications, les voici :

Je dis qu'elle est stupide de se considérer comme une sous-merde parce qu'elle est malade et que son état justifie qu'elle ne travaille pas et qu'elle perçoivent l'AAH.

C'est plus clair ou tu le veux en Braille

Je ne parlais pas pour toi, Mitsakie à édité son message avant que tu ne le lise.

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Invité Tchook
Invités, Posté(e)
Invité Tchook
Invité Tchook Invités 0 message
Posté(e)

Nadoo : Je parle parfois des assistés pour condamner leur caractère parasite. Mais il est une différence fondamentale entre Solidarité et assistanat.

Pour les mêmes allocations et les mêmes droits, on peut se trouver dans l'une ou l'autre de ces catégories.

Celui qui se retrouve au chômage puis au RSA contre son gré fait partie de ceux que la Solidarité Nationale doit épauler lors de cette période difficile ... Il doit tout faire pour se réinsérer, quitte en changeant de profession. La société lui doit écoute, conseils, formation et respect ...

Celui qui se complaît dans cette situation, jugeant que cet état lui sied et qu'avec quelques petits arrangements (larcins, travail au noir, trafic en tous genres) il gagne plus qu'avec un salaire déclaré est un parasite, un assisté. Il doit être condamné pour cette escroquerie aux contribuables et cotisants.

Il faut comprendre que les aides seraient plus importantes pour ceux qui malgré leurs efforts ne trouvent pas de solution à leur précarité s'il n'y avait pas ces parasites, ces "profession : assisté".

Certains retraités qui ont travaillé au SMIC (SMIG) toute leur vie ne reçoivent pas le montant du RSA ...

Voilà à mon sens, la différence qe l'on doit faire entre les individus .... Certains méritent notre respect, d'autres notre dégoût.

Exactement mon ressentiment et la différence que j'y accorde entre ces deux cas. Soucis étant qu'il est difficile pour l'état de condamner une partie sans condamner l'autre. Enfin moi, personnellement, je n'arrive pas à voir de solutions pour séparer clairement ces deux catégories de personnes.

Et pour répondre au fait qu'il est dit "anormal" que le travail soit une valeur si fondamentale... Je répondrai qu'il suffit de regarder les jeunes entre 25/30ans qui ne bossent pas pour X raison, et ceux qui bossent. Arrivez ensuite à me dire que le travail ne fait pas parti d'un apprentissage de la vie, que ce soit social ou culturel. :)

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Invité Grenadine33
Invités, Posté(e)
Invité Grenadine33
Invité Grenadine33 Invités 0 message
Posté(e)

Le travail a une valeur très importante, et c'est normal. Cela donne une utilité et un but de vie à une personne. Perso, je suis en invalidité (aah) et je me sens comme une sous-merde. :sleep:

Tu es stupide ! Si ton état justifie l'AAH, et que la demande n'a pas été appuyée par un médecin complaisant (maladie nerveuse simulée), tu dois te sentir fière d'être dans une société solidaire, car si tu étais valide tu cotiserais pour d'autres malades.. Les sous-merdes sont ceux qui profitent de ce système ,pas tous ceux qui en bénéficient.

Je sais bien, mais c'est le ressenti que j'ai. J'ai tellement bossé avant et pour des clopinettes. Qu'il m'est difficile d'accepter de n'avoir plus aucune utilité maintenant. Si je travaillais, cela ne me poserait pas de problème de cotiser pour les gens vraiment malades.

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Membre, Maitre de l'overdrive, 30ans Posté(e)
emasik Membre 10 172 messages
30ans‚ Maitre de l'overdrive,
Posté(e)

Et pour répondre au fait qu'il est dit "anormal" que le travail soit une valeur si fondamentale... Je répondrai qu'il suffit de regarder les jeunes entre 25/30ans qui ne bossent pas pour X raison, et ceux qui bossent. Arrivez ensuite à me dire que le travail ne fait pas parti d'un apprentissage de la vie, que ce soit social ou culturel. :)

Il y a bien des manière de faire l'apprentissage de la vie. Les voyages et les rencontres en sont un bon exemple. Je connais un adulte (Jeune adulte) qui n'a jamais travaillé et à arrêté ses études, mais c'est quelqu'un de très cultivé, intéressant et avec beaucoup de personnalité:)

Et au passage, pour éviter de me faire insulter à tord une seconde fois, je n'ai jamais dit que travailler était inutile.

Le travail a une valeur très importante, et c'est normal. Cela donne une utilité et un but de vie à une personne. Perso, je suis en invalidité (aah) et je me sens comme une sous-merde. :sleep:

Tu es stupide ! Si ton état justifie l'AAH, et que la demande n'a pas été appuyée par un médecin complaisant (maladie nerveuse simulée), tu dois te sentir fière d'être dans une société solidaire, car si tu étais valide tu cotiserais pour d'autres malades.. Les sous-merdes sont ceux qui profitent de ce système ,pas tous ceux qui en bénéficient.

Je sais bien, mais c'est le ressenti que j'ai. J'ai tellement bossé avant et pour des clopinettes. Qu'il m'est difficile d'accepter de n'avoir plus aucune utilité maintenant. Si je travaillais, cela ne me poserait pas de problème de cotiser pour les gens vraiment malades.

Tu n'es pas seul dans ce cas, mon grand-père pense comme toi. Mais sache que si tu n'es pas utile au niveau professionnel, ça ne t'empêche pas de l'être au niveau humain!

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Invité Grenadine33
Invités, Posté(e)
Invité Grenadine33
Invité Grenadine33 Invités 0 message
Posté(e)

Et pour répondre au fait qu'il est dit "anormal" que le travail soit une valeur si fondamentale... Je répondrai qu'il suffit de regarder les jeunes entre 25/30ans qui ne bossent pas pour X raison, et ceux qui bossent. Arrivez ensuite à me dire que le travail ne fait pas parti d'un apprentissage de la vie, que ce soit social ou culturel. :)

Il y a bien des manière de faire l'apprentissage de la vie. Les voyages et les rencontres en sont un bon exemple. Je connais un adulte (Jeune adulte) qui n'a jamais travaillé et à arrêté ses études, mais c'est quelqu'un de très cultivé, intéressant et avec beaucoup de personnalité:)

Et au passage, pour éviter de me faire insulter à tord une seconde fois, je n'ai jamais dit que travailler était inutile.

Le travail a une valeur très importante, et c'est normal. Cela donne une utilité et un but de vie à une personne. Perso, je suis en invalidité (aah) et je me sens comme une sous-merde. :sleep:

Tu es stupide ! Si ton état justifie l'AAH, et que la demande n'a pas été appuyée par un médecin complaisant (maladie nerveuse simulée), tu dois te sentir fière d'être dans une société solidaire, car si tu étais valide tu cotiserais pour d'autres malades.. Les sous-merdes sont ceux qui profitent de ce système ,pas tous ceux qui en bénéficient.

Je sais bien, mais c'est le ressenti que j'ai. J'ai tellement bossé avant et pour des clopinettes. Qu'il m'est difficile d'accepter de n'avoir plus aucune utilité maintenant. Si je travaillais, cela ne me poserait pas de problème de cotiser pour les gens vraiment malades.

Tu n'es pas seul dans ce cas, mon grand-père pense comme toi. Mais sache que si tu n'es pas utile au niveau professionnel, ça ne t'empêche pas de l'être au niveau humain!

Merci.:coeur:

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

" Que tous ceux qui ne sont pas rentables se flagellent ! "

Voilà le message moderne. Or, rentable pour qui ? Rentable dans quelle mesure ?

Exactement mon ressentiment et la différence que j'y accorde entre ces deux cas. Soucis étant qu'il est difficile pour l'état de condamner une partie sans condamner l'autre. Enfin moi, personnellement, je n'arrive pas à voir de solutions pour séparer clairement ces deux catégories de personnes.

Et pour répondre au fait qu'il est dit "anormal" que le travail soit une valeur si fondamentale... Je répondrai qu'il suffit de regarder les jeunes entre 25/30ans qui ne bossent pas pour X raison, et ceux qui bossent. Arrivez ensuite à me dire que le travail ne fait pas parti d'un apprentissage de la vie, que ce soit social ou culturel. :)

La notion de mérite est assez variable. Sur quels critères peut-on définir qui mérite quels aides ? Doit-on ériger de nouveau mode de discrimination des méritants aux aides ? Doit-on les faire faire des travaux d'intérêt général pour les punir de ne pas trouver d'emploi voire -sacrilège ultime- d'en refuser certains ? Peut-on les exploiter ? Peut-on reprocher à quelqu'un de ne pas vouloir faire 3 heures de RER par jour pour un taff ingrat qui va finalement lui pomper un max d'énergie, d'estime pour s'avérer si peu rentable financièrement ?

Le travail est une valeur un peu hypocrite dans nos sociétés modernes. Si travailler était à coup sûr un idéal, ça ne se passerait pas comme ça et on aurait raison de conspuer les fainéants et les profiteurs.

Le travail peut autant être un espace d'accomplissement personnel qu'un calvaire. Si un jeune cadre créatif ou un conseiller bancaire va se sentir bien dans son métier, un ouvrier à la chaîne ou une femme de ménage m'ont l'air beaucoup moins accomplis socialement et culturellement. Il y a des métiers peu enrichissants (sur tous les plans) et en plus méprisés.

Dans mon métier actuel, je me sens très bien mais j'ai fait certains boulots que je ne me voyais pas faire toute ma vie et que je ne referais probablement plus. On a réhaussé le niveau de la dignité humaine et ont promeut encore certains boulots d'esclavagiste en louant la valeur du travail. Y'a des trucs à changer, quand en plus on constate que des fainéants, il y en a aussi pas mal dans le monde du travail, payés à rien foutre.

C'est beaucoup plus compliqué que "la faute aux assistés". Ne tombons pas dans ces raccourcis !

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Invité Tchook
Invités, Posté(e)
Invité Tchook
Invité Tchook Invités 0 message
Posté(e)

Tu dis ça à quelqu'un qui fait en partie du travail à la chaîne et de l'aide de production dans une usine de textile. Je sais ce qu'est un travail pénible et dévalorisé par les autres. Rien que quand je prononce le mot "ouvrière" on me regarde comme une inculte.

Mais comme tu dis, on ne se cultive pas et ne s'épanouit pas que dans le travail. Moi, je m'éveille aussi à côté. Les week-end, lors de mes soirées etc... Ce qui ne m'empêche pas d'apprendre aussi énormément de choses dans mon boulot d'ouvrière de production.

Quand Emasik, tu dis qu'Il y a bien des manière de faire l'apprentissage de la vie. Les voyages et les rencontres en sont un bon exemple. Je connais un adulte (Jeune adulte) qui n'a jamais travaillé et à arrêté ses études, mais c'est quelqu'un de très cultivé, intéressant et avec beaucoup de personnalité :)

Rien empêche la personne de bosser à côté, même pour un truc merdique, afin de participer à ce qu'on appelle "la solidarité" des retraites.

Certes, on peut penser à sa tronche royalissime, s'épanouir et penser à sa propre vie. Par contre, de mon point de vue, je trouve ça égoïste.

Mais c'est un argument qui se défend pour ce qui est de ne pas bosser et de vivre SA vie. Je le concède :)

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Membre, Posté(e)
Touchstone Membre 301 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je crois qu'il n'y a de toute façon, aucun juste milieu.

Dans une même famille, il aura toutes les facettes socio-professionnelles. Un exemple simple : moi :)

J'ai un frère qui bosse sous contrat 35h par semaine. La réalité veut qu'il en fasse 45/48. Il déteste son boulot et il n'a pas d'heure sup, ni de récupération. En gros il ne bosse pas pour la gloire, mais pour les actionnaires. Pas d'épanouissement, pas d'évolution et grosse production de fatigue aussi bien nerveuse que physique et de grave troubles du sommeil.

Mais il sait une chose, il a un exemple près de lui : moi :)

Je ne travaille pas. Ce n'est pas un choix, plus une fatalité. Il prend conscience à quel point travailler de nos jours, c'est dur, mais c'est aussi une chance. On peut quitter un boulot, mais pour en trouver un autre, les choses se compliquent. Alors il continue dans ce boulot.

L'exemple du technicien de surface est intéressant, car même si on peut "dénigrer" ce métier, il est tout de même inaccessible. Combien de fois n'ai-je pas postulé pour ce boulot, mais je n'ai pas la formation adéquate. Triste ! Avec un Bac+2, 6 mois d'expérience dans l'entretien, me demander un diplôme bep pour changer un sac d'aspirateur. C'est pourtant la dure réalité et c'est tous les secteurs qui sont touchés. Regardez les annonces pour faire la plonge "2 saisons exigées ou BEP service bar brasserie". Ce n'est pourtant pas le boulot qui manque dans ce secteur, mais les employeurs sont exigeants !

Je n'ai jamais refusé un boulot, mais on m'a souvent refusé du boulot. J'ai passé plus de 4h par jours à chercher du travail, aller à droite-à -gauche. Faire des formations ridicules sans lendemain (toujours payées par l'Etat).

Je n'ai pas de chômage, ni de RSA : je vis sur mon trésor de guerre, car j'ai tout de même pu travailler avant la mise en place absurde de la logique actuelle et j'ai appris qu'il valait mieux mettre de côté que de tout dépenser. J'épargne maintenant mon temps de recherche à la préparation de 2 concours de la fonction publique, au moins le temps passé est plus rentable pour avoir du boulot que d'aller en Interim où on me demande de ne plus appeler car la demande est saturée et les entreprises préfèrent l'apprentissage (et contrat de professionnalisation) pour une main d'oeuvre très jeune et peu chère. Sinon j'en ai enfilé du stage, du matelot gratuit à l'assitant en exploitation transport.

Bref, je crois qu'on a tous des situations différentes, on ne peut pas généraliser. Des jeunes de 25 ans qui se tournent les pouces, y'en a, mais est-ce réellement leur faute? Leur proposer un mi temps à 2h de chez eux dans une ZAC perdue est-ce une solution? Avoir limiter l'apprentissage à 25 ans, est-ce judicieux? Travailler plus pour faire gagner plus aux actionnaire, est-ce s'épanouir?

Bon dimanche !

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Membre, Maitre de l'overdrive, 30ans Posté(e)
emasik Membre 10 172 messages
30ans‚ Maitre de l'overdrive,
Posté(e)

Merci.:coeur:

de rien :)

Tu dis ça à quelqu'un qui fait en partie du travail à la chaîne et de l'aide de production dans une usine de textile. Je sais ce qu'est un travail pénible et dévalorisé par les autres. Rien que quand je prononce le mot "ouvrière" on me regarde comme une inculte.

Mais comme tu dis, on ne se cultive pas et ne s'épanouit pas que dans le travail. Moi, je m'éveille aussi à côté. Les week-end, lors de mes soirées etc... Ce qui ne m'empêche pas d'apprendre aussi énormément de choses dans mon boulot d'ouvrière de production.

Quand Emasik, tu dis qu'Il y a bien des manière de faire l'apprentissage de la vie. Les voyages et les rencontres en sont un bon exemple. Je connais un adulte (Jeune adulte) qui n'a jamais travaillé et à arrêté ses études, mais c'est quelqu'un de très cultivé, intéressant et avec beaucoup de personnalité :)

Rien empêche la personne de bosser à côté, même pour un truc merdique, afin de participer à ce qu'on appelle "la solidarité" des retraites.

Certes, on peut penser à sa tronche royalissime, s'épanouir et penser à sa propre vie. Par contre, de mon point de vue, je trouve ça égoïste.

Mais c'est un argument qui se défend pour ce qui est de ne pas bosser et de vivre SA vie. Je le concède :)

égoïste d'un point de vue financier(quoique si l'état gérais mieux ses sous-sous on aurait pas à s'inquiéter pour les retraites), mais croit moi, il est du genre à aider les gens! Mais c'est comme tout: ce mode de vie convient à certaines personnes, à d'autre pas, et je comprend que ça puisse rebuter les travailleurs :)

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Tu dis ça à quelqu'un qui fait en partie du travail à la chaîne et de l'aide de production dans une usine de textile. Je sais ce qu'est un travail pénible et dévalorisé par les autres. Rien que quand je prononce le mot "ouvrière" on me regarde comme une inculte.

Mais comme tu dis, on ne se cultive pas et ne s'épanouit pas que dans le travail. Moi, je m'éveille aussi à côté. Les week-end, lors de mes soirées etc... Ce qui ne m'empêche pas d'apprendre aussi énormément de choses dans mon boulot d'ouvrière de production.

On peut toujours apprendre des trucs, quel que soit le métier.

Mais sachant que le temps de travail tend à s'allonger et la masse de travail tend augmenter (plus les cadences) -simplement parce que l'idéal profiteur serait que nous soyions de robots travailleurs et consommateurs- le travail peut phagocyter la vie.

Pour beaucoup de gens en quête de travail, ça phagocyte toutes leurs journées et quand ils veulent souffler un peu, s'amuser, y'a toujours des cons pour juger ou des voisins pour déblatérer sur le mode de vie de la personne. D'autres personnes savent gérer avec zénitude une situation d'assistanat, ne s'arrêtent pas à ça et profitent de la vie. On le leur reproche aussi.

Ceux qui triment au travail sont souvent les critiques les plus dures. Les gens épanouis critiquent moins les choix des autres : ils sont dans la position avantagée à leurs yeux.

Ensuite, les analyses sociales, il y en a autant que d'individus. Chacun voit midi à sa porte et les boucs émissaire émergent très vite (de sans-emploi, on passe à inactif, puis assistés et enfin parasite. Pourquoi pas cancer de la société ? Ah non, ça a été dit ! C'est indigne pour beaucoup de gens.)

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Invité Elaïs
Invités, Posté(e)
Invité Elaïs
Invité Elaïs Invités 0 message
Posté(e)
" Que tous ceux qui ne sont pas rentables se flagellent ! "

Voilà le message moderne. Or, rentable pour qui ? Rentable dans quelle mesure ?

Est-ce si moderne que cela?

La rentabilité fait partie intégrante d’une organisation sociétale quel qu’elle soit, et ce, depuis les premières sociétés de chasseurs cueilleurs : Les hommes chassaient car leur physique leur permettait une optimalisation des profits de la chasse, les femmes s’assignaient aux travaux du foyer et aux soins de l’engeance car c’est à ces tâches qu’elles rapportaient le plus au groupe. Cette division sexuelle du travail n’était fondée que sur une notion de rentabilité et de profitabilité. ( on note la ressemblance encore persistante de nos jours).

L’amour, l’amitié, toute interaction humaine en fait est soumise a ces même mécanismes : si ta compagne ne t’est plus rentable, si elle ne t’apporte plus suffisamment, tu t’en débarrasses comme un jouet cassé, comme un employeur se débarrasse de son employé usé dont la rentabilité ne lui est plus efficiente. En amour, cela se traduit par un banal " je ne t'aime plus" mais au final ce n'est qu'un licenciement.

Et la notion de rentabilité se retrouve dans des espèces autres que l’espèce humaine. Je pense notamment aux loups, dont les oméga sont la traduction de cette équation entre capital investi et bénéfices obtenus ; je suis convaincue qu’elle se retrouve chez certains insectes.

Depuis la nuit des temps la rentabilité prédomine, elle est question de survie. Les especes non rentables et ne profitant pas à l'ensemble de la chaine alimentaire disparaissent.

Pour l’auto flagellation, elle n'est que redondance, puisque les rentables s’en charge, enfin, ceux qui se pensent rentables : ils sont les premiers à pousser l’oméga supposé dans les limbes de l’assistanat ( licenciement, et avant celui-ci mise au placard, refus d’embauche, salaires minimum) au lieu de le former ou de l’orienter dans une voie ou celui-ci pourrait produire en fonction de sa compétence, mais cela nécéssite de l'investissement, or investir sur ce qui semble non rentable semble exorbitant de l'ordinnaire.

La notion de mérite est assez variable. Sur quels critères peut-on définir qui mérite quels aides ? Doit-on ériger de nouveau mode de discrimination des méritants aux aides ? Doit-on les faire faire des travaux d'intérêt général pour les punir de ne pas trouver d'emploi voire -sacrilège ultime- d'en refuser certains ? Peut-on les exploiter ?

Comment reprocher une société d’établir un étalon général sur le mérite quand les individus composant cette société en établissent eux-mêmes dans leur vie quotidienne ?

Ceux qui triment au travail sont souvent les critiques les plus dures. Les gens épanouis critiquent moins les choix des autres : ils sont dans la position avantagée à leurs yeux.

Et les noirs ont un gros sexe? :)

Quelles sont les sources de ces affirmations afin d’en vérifier la véracité ?

. Si travailler était à coup sûr un. idéal, ça ne se passerait pas comme ça et on aurait raison de conspuer les fainéants et les profiteurs.

Pourquoi aurait-t-on tort aujourd’hui de conspuer les fainéants et les profiteurs ?

Les profiteurs sont à conspuer si l’on estime que la rentabilité naturelle peut être contrecarrée par une rentabilité culturelle : la rentabilité culturelle serait celle qui s’autolimiterait pour justement diminuer le désir de profit. Les profiteurs etant le moteur même de la création d’assistés que ces profiteurs soient en haut de l’echelle bancaire ou en bas.

En etant un assisté du bas volontaire ( donc un profiteur) on augmente les charges sociales et patronales, augmentations de ces charges qui reduisent les profits du capital ( profiteurs du haut de l'échelle) qui en réponse a cette diminution de ses profits agit sur la diminution des profits de ses inférieurs.( baisse des emplois, stagnation des salaires, augmentation des prix de vente pour augmenter le prix de revient , donc la rentabilité et in fine leur propres revenus).

C’est un cercle vicieux.

Pour les feignasses, la problématique est différente, ils ne sont pas nécessairement des profiteurs, mais leur improductivité en font des oméga qui ralentissent la rentabilité du groupe. Ceci dit, comme des omegas, ils permettent de centrer sur eux un trop plein d’agressivité ainsi, s’ils ralentissent la rentabilité, ils en sont tout de même producteur.

Il y a des métiers peu enrichissants (sur tous les plans) et en plus méprisés.

Oui, par exemple, on peut voir parfois des propos avancant que les femmes de menages semblent moins accomplis culturellement que des conseillers de clientèle.

Et pourtant, qu’il y a des femmes de ménage a bac +5 qui parce qu’elles sont courageuses, préfèrent un travail non idyllique et en dessous de leur compétences en temps de pénurie , plutot que de pointer au pole emploi ( dans mon entourage, cette femme de ménage est en fait caissière ).

C'est beaucoup plus compliqué que "la faute aux assistés". Ne tombons pas dans ces raccourcis !

Certes.

Mais sachant que le temps de travail tend à s'allonger et la masse de travail tend augmenter (plus les cadences)

En même temps, si la masse de travail augmente il est a parier que le temps de travail pour l’effectuer va également augmenter, à moins d’augmenter sa cadence de manière proportionnelle, ce qui est le cas de la France il me semble dont els travailleurs ont un taux de productivité plus elevés que la moyenne européenne . ( à vérifier).

Pour beaucoup de gens en quête de travail, ça phagocyte toutes leurs journées et quand ils veulent souffler un peu, s'amuser, y'a toujours des cons pour juger ou des voisins pour déblatérer sur le mode de vie de la personne.

La plupart des personnes ayant un emploi voient leur journée phagocyter par celui-ci, et pareillement, quand ils veulent souffler un peu , s’amuser, y’a toujours des cons pour juger ou des voisins ou proches pour déblatérer sur le mode de vie de la personne.

Et oui, y’a pas que les assistés à être emmerdé !

Ceci dit les assistés de France ont au moins la chance d’avoir ce statut d’assistés, dans la plupart des pays du monde, ce mot n’existe pas, et cette assistanat est existant aussi grâce a ceux qui n’attendent pas de trouver un travail idéal pour prendre leur courage a deux mains et se mettre au charbon.

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Membre, 112ans Posté(e)
oh-dae-soo Membre 802 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
" Que tous ceux qui ne sont pas rentables se flagellent ! "

Voilà le message moderne. Or, rentable pour qui ? Rentable dans quelle mesure ?

Est-ce si moderne que cela?

La rentabilité fait partie intégrante d’une organisation sociétale quel qu’elle soit, et ce, depuis les premières sociétés de chasseurs cueilleurs : Les hommes chassaient car leur physique leur permettait une optimalisation des profits de la chasse, les femmes s’assignaient aux travaux du foyer et aux soins de l’engeance car c’est à ces tâches qu’elles rapportaient le plus au groupe. Cette division sexuelle du travail n’était fondée que sur une notion de rentabilité et de profitabilité. ( on note la ressemblance encore persistante de nos jours).

L’amour, l’amitié, toute interaction humaine en fait est soumise a ces même mécanismes : si ta compagne ne t’est plus rentable, si elle ne t’apporte plus suffisamment, tu t’en débarrasses comme un jouet cassé, comme un employeur se débarrasse de son employé usé dont la rentabilité ne lui est plus efficiente. En amour, cela se traduit par un banal " je ne t'aime plus" mais au final ce n'est qu'un licenciement.

Et la notion de rentabilité se retrouve dans des espèces autres que l’espèce humaine. Je pense notamment aux loups, dont les oméga sont la traduction de cette équation entre capital investi et bénéfices obtenus ; je suis convaincue qu’elle se retrouve chez certains insectes.

Depuis la nuit des temps la rentabilité prédomine, elle est question de survie. Les especes non rentables et ne profitant pas à l'ensemble de la chaine alimentaire disparaissent.

Pour l’auto flagellation, elle n'est que redondance, puisque les rentables s’en charge, enfin, ceux qui se pensent rentables : ils sont les premiers à pousser l’oméga supposé dans les limbes de l’assistanat ( licenciement, et avant celui-ci mise au placard, refus d’embauche, salaires minimum) au lieu de le former ou de l’orienter dans une voie ou celui-ci pourrait produire en fonction de sa compétence, mais cela nécéssite de l'investissement, or investir sur ce qui semble non rentable semble exorbitant de l'ordinnaire.

La notion de mérite est assez variable. Sur quels critères peut-on définir qui mérite quels aides ? Doit-on ériger de nouveau mode de discrimination des méritants aux aides ? Doit-on les faire faire des travaux d'intérêt général pour les punir de ne pas trouver d'emploi voire -sacrilège ultime- d'en refuser certains ? Peut-on les exploiter ?

Comment reprocher une société d’établir un étalon général sur le mérite quand les individus composant cette société en établissent eux-mêmes dans leur vie quotidienne ?

Ceux qui triment au travail sont souvent les critiques les plus dures. Les gens épanouis critiquent moins les choix des autres : ils sont dans la position avantagée à leurs yeux.

Et les noirs ont un gros sexe? :)

Quelles sont les sources de ces affirmations afin d’en vérifier la véracité ?

. Si travailler était à coup sûr un. idéal, ça ne se passerait pas comme ça et on aurait raison de conspuer les fainéants et les profiteurs.

Pourquoi aurait-t-on tort aujourd’hui de conspuer les fainéants et les profiteurs ?

Les profiteurs sont à conspuer si l’on estime que la rentabilité naturelle peut être contrecarrée par une rentabilité culturelle : la rentabilité culturelle serait celle qui s’autolimiterait pour justement diminuer le désir de profit. Les profiteurs etant le moteur même de la création d’assistés que ces profiteurs soient en haut de l’echelle bancaire ou en bas.

En etant un assisté du bas volontaire ( donc un profiteur) on augmente les charges sociales et patronales, augmentations de ces charges qui reduisent les profits du capital ( profiteurs du haut de l'échelle) qui en réponse a cette diminution de ses profits agit sur la diminution des profits de ses inférieurs.( baisse des emplois, stagnation des salaires, augmentation des prix de vente pour augmenter le prix de revient , donc la rentabilité et in fine leur propres revenus).

C’est un cercle vicieux.

Pour les feignasses, la problématique est différente, ils ne sont pas nécessairement des profiteurs, mais leur improductivité en font des oméga qui ralentissent la rentabilité du groupe. Ceci dit, comme des omegas, ils permettent de centrer sur eux un trop plein d’agressivité ainsi, s’ils ralentissent la rentabilité, ils en sont tout de même producteur.

Il y a des métiers peu enrichissants (sur tous les plans) et en plus méprisés.

Oui, par exemple, on peut voir parfois des propos avancant que les femmes de menages semblent moins accomplis culturellement que des conseillers de clientèle.

Et pourtant, qu’il y a des femmes de ménage a bac +5 qui parce qu’elles sont courageuses, préfèrent un travail non idyllique et en dessous de leur compétences en temps de pénurie , plutot que de pointer au pole emploi ( dans mon entourage, cette femme de ménage est en fait caissière ).

C'est beaucoup plus compliqué que "la faute aux assistés". Ne tombons pas dans ces raccourcis !

Certes.

Mais sachant que le temps de travail tend à s'allonger et la masse de travail tend augmenter (plus les cadences)

En même temps, si la masse de travail augmente il est a parier que le temps de travail pour l’effectuer va également augmenter, à moins d’augmenter sa cadence de manière proportionnelle, ce qui est le cas de la France il me semble dont els travailleurs ont un taux de productivité plus elevés que la moyenne européenne . ( à vérifier).

Pour beaucoup de gens en quête de travail, ça phagocyte toutes leurs journées et quand ils veulent souffler un peu, s'amuser, y'a toujours des cons pour juger ou des voisins pour déblatérer sur le mode de vie de la personne.

La plupart des personnes ayant un emploi voient leur journée phagocyter par celui-ci, et pareillement, quand ils veulent souffler un peu , s’amuser, y’a toujours des cons pour juger ou des voisins ou proches pour déblatérer sur le mode de vie de la personne.

Et oui, y’a pas que les assistés à être emmerdé !

Ceci dit les assistés de France ont au moins la chance d’avoir ce statut d’assistés, dans la plupart des pays du monde, ce mot n’existe pas, et cette assistanat est existant aussi grâce a ceux qui n’attendent pas de trouver un travail idéal pour prendre leur courage a deux mains et se mettre au charbon.

Que de propos pertinents!!!:plus:

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Membre, Posté(e)
rejanou Membre 3 925 messages
Baby Forumeur‚
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tiens il m'avait échappé celui là - j'ai pas tout lu car ça me fiche en colère - pour rmi on disais rmiste - pour rsa je dis ressayiste - tu parles ! j'ai 37 ANS 1/2 de boulot derrière moi donc j'ai pas mes annuités et sans annuités totales avant c'était 65 ans maintenant c'est 67 - trouvez moi un boss qui va embaucher une vioque, pas en très bonne santé, mais très qualifiée pour 15 h par semaine juste pour pas (et encore) crever la dalle - je ne me sens pas assistée j'ai assez cotisée ou alors je suis trop conne pour abuser du système comme il y en a des

bien le bonsoir les biens pensants et rappelez moi que pendant plusieurs années j'ai cumulé 2 boulots mais pas double trimestre

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Invité Employecommunal
Invités, Posté(e)
Invité Employecommunal
Invité Employecommunal Invités 0 message
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Ben moi j'aime pas assistés !

Je suis employé communal payé à 1100 euros , bon c'est vrai je suis pas très fut fut , j'ai pas fait beaucoup d'études , mais y en a qui sont pauvres comme moi mais eux souffrent pas , ils glandent toute la journée , ben c'est pas normal alors je vais voter marine parce que tout le monde doit souffrir de son travail c'est normal ! et moi mon chef ben il me dit ben alphonse tu travailles bien et dur , je suis fier de toi , ben moi aussi du coup !

Moi j'ai un copain aussi qui n'a pas fait d'études mais semble dire moins con que moi parce qu'il nettoie pas les chiottes et se rabaisse pas comme moi devant tout le monde avec mon étiquette de brave travailleur mais moi je vois les filles qui passent et les dames car je suis balayeur chez les riches la commune ben soit ils me voient pas soit je suis une merde , mais si je serai chômeur tout le monde me montrerait du doigt en disant je suis assisté et puis je suis pas assez courageux pour être chômeur parce qu'il faut être parait-il drôlement intelligent et malin pour un tel combat : à savoir échapper au salariat comme il dit , il dit l'esclavage , il dit la double peine pas d'argent pas de liberté oui mais au moins avec ma fierté lamentable et pathétique quand je vois des amis , ma boulangère etc , je peux dire je travaille ,et puis je vais voter marine en 2012 comme celà ben les assistés y en aura plus mais y aura bien plus d'imbéciles parait il pour faire fonctionner ce monde merveilleux , et sinon y en a ben dans leur combat pour la liberté , la dignité , le respect de leur propre personne ben ils sont prêts à aller en prison moi je préfère voter marine wacko.gifwacko.gifwacko.gif

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Invité allez-savoir
Invités, Posté(e)
Invité allez-savoir
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J'ai envie de gerber, quand je lis des S....s avec leurs leçons de morale qui seraient prêts (sous prétexte qu'eux font leur devoir de bon petit esclave) à retirer le pain de la bouche (et pourtant dieu sait que le morceau de pain n'est pas gros!) à de plus miséreux qu'eux..

Vous faîtes un amalgame de tout vraiment ... je m'étonne d'ailleurs qu'on n'en soit pas encore arrivé aux "profiteurs de banlieues" puisque disons le mot c'est là que vous voulez en arriver .. au racisme ..

Certains ont le beurre, la tartine, le couteau et vous demandent encore de leur beurrer leurs tartines et là vous ne trouvez rien à redire ??? Vous beurrez :D :D :D sans protester, parce que vous êtes fier d'avoir le boulot de beurreurs de tartines... C'est moral , ca fait bien ! Eh bien bravo , vous êtes de bons petits soldats ! Allez beurrez plus vite svp .. ils ont faim, ils sont de plus en plus gourmands même ... il faut qu'ils aillent en vacances au Maroc , faire du tourisme ....

Et pendant ce temps , de pauvres travailleurs, après leur travail de beurreur de tartines, font les poubelles pour ramener à manger à leurs enfants , parce que les 11OO euros ne suffisent pas aux 5 bouches à nourrir ..

Lamentable ... quand je vois que vous préfèrez critiquer ceux qui "profitent du système en touchant 450 euros tous les mois" que ceux hauts placés qui profitent de tous les travailleurs ??? c'est à n'y rien comprendre vraiment .. les misérables qui envient et critiquent de plus misérables ??? cherchez l'erreur!!!

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Membre, Posté(e)
poupoux Membre 30 messages
Baby Forumeur‚
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D'accord avec toi "allez savoir", que dire des parachutes dorés, des patrons peu scrupuleux qui exploitent les salariés. Ce sont eux qui sont à blâmer et pas les pauvres RMIstes qui touchent à peine 400 euros par mois. Pensez-vous qu'ils ne veulent pas sortir de cette précarité? Ce ne sont pas eux qui coûtent chers à l’État mais plutôt ces fonctionnaires, ces planqués qui n'en foutent pas une et qui se mettent en maladie dès qu'ils ont le nez bouché.

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Invité allez-savoir
Invités, Posté(e)
Invité allez-savoir
Invité allez-savoir Invités 0 message
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Exactement , et qui est le responsable ?

Je vais vous le dire ... la preuve en image ...

Alors je ne sais plus qui a fait le topic, mais c'est à lui qu'il faut que tu t'adresses, ce n'est pas le tout de promettre, mais là nous sommes 4 ans après , le double de temps qu'il s'était promis... et ??? toujours rien Pinocchio !

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Membre, 48ans Posté(e)
wapo Membre 300 messages
Baby Forumeur‚ 48ans‚
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C'est moi ou nous sommes dans une société où les gens qui ne bossent pas sont considérés comme des sous-merdes? Je trouve ridicule de placer le travail au dessus de toute valeur.

J'ai un peu la flemme de lire les longs développements suivants ce message (pour les grosses lectures j'ai un Balzac et un Hugo qui m'attendent...) mais j'aime bien cette indignation d'un gamin de 16 ans.
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Invité allez-savoir
Invités, Posté(e)
Invité allez-savoir
Invité allez-savoir Invités 0 message
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Quel manque de savoir vivre wapo ... Oser faire attendre Balzac et Hugo ? ca c'est un scandale ! :D :D

Mais au moins tu nous laisseras croire que tu sais lire!

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Membre, La main qui mord, 44ans Posté(e)
Ame errante Membre 11 839 messages
44ans‚ La main qui mord,
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Ouaip, d'accord avec toi.....

On ne se contente que de la forme, et non du fond.... et on cite des écrivains célèbres histoire de se crédibiliser un minimum...

Wapo, la réponse à ta super indignation se trouvait justement dans les proses suivantes... tu n'as rien compris à ce qui a été énoncé, et de ce fait tu te couvres de ridicule...

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