bienvenue dans la vraie vie.

Hi

Article 6 bis de la loi 83-634 du 13 juillet 1983 (loi constituant le titre Ier «droits et obligations» du statut général de la Fonction publique): «Aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut être faite entre les fonctionnaires en raison de leur sexe.»

La discrimination en raison de la situation familiale relève de la faute disciplinaire et peut (doit !) être dénoncée devant le tribunal administratif.

Je comprends tout à fait le problème que peut poser un congé maternité en pleine année de prépa, sauf que les remplaçants compétents, ça existe, et que rien n'empêche la titulaire de leur laisser ses cours déjà prêts.

Les femmes, on en veut guère en prépa, on les cantonne à la fac, et encore, pas en Master, des fois que leur vienne en cours d'année l'idée de perpétuer l'espèce.

En fait je pense avoir une solution : les femmes devraient arrêter de faire des bébés. Comme ça, dans quelques années, plus besoin de profs en prépa !

Ni en maternelle, ni nulle part d'ailleurs.

Comme les parcs vont être calmes, et les restos aussi.

De belles économies en perspective pour le ministère de l'éducation nationale....

Mon cher ministre, dis-moi merci.

Hi

Article 6 bis de la loi 83-634 du 13 juillet 1983 (loi constituant le titre Ier «droits et obligations» du statut général de la Fonction publique): «Aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut être faite entre les fonctionnaires en raison de leur sexe.»

Je ne sais pas si c'est le bon article.

Car si elle avait proposé ce poste qu'aux hommes célibataires et femmes célibataires, ça aurait été tout aussi scandaleux, mais ça n'aurait pas été une distinction en raison du sexe.

que dire d'autres à part que c'est débile. Faut être marginal pour être enseignant ? Et après on en manque ?

Ce qui est très bizarre puisqu'il me semblait (à l'iufm au moins) qu'on proposait des facilités aux mères de familles qui s'accroissaient en fonction du nombre d'enfants ?

Mais je me trompe peut être.

Hi

Article 6 bis de la loi 83-634 du 13 juillet 1983 (loi constituant le titre Ier «droits et obligations» du statut général de la Fonction publique): «Aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut être faite entre les fonctionnaires en raison de leur sexe.»

La discrimination en raison de la situation familiale relève de la faute disciplinaire et peut (doit !) être dénoncée devant le tribunal administratif.

Je comprends tout à fait le problème que peut poser un congé maternité en pleine année de prépa, sauf que les remplaçants compétents, ça existe, et que rien n'empêche la titulaire de leur laisser ses cours déjà prêts.

Les femmes, on en veut guère en prépa, on les cantonne à la fac, et encore, pas en Master, des fois que leur vienne en cours d'année l'idée de perpétuer l'espèce.

En fait je pense avoir une solution : les femmes devraient arrêter de faire des bébés. Comme ça, dans quelques années, plus besoin de profs en prépa !

Ni en maternelle, ni nulle part d'ailleurs.

Comme les parcs vont être calmes, et les restos aussi.

De belles économies en perspective pour le ministère de l'éducation nationale....

Mon cher ministre, dis-moi merci.

Quelle drôle d'idée qu'ont les femmes de faire des enfants!

Est-ce que nous, les hommes en faisons?

Prenez exemple sur nous.

En prépa, en intello ou en prolo.

France, en haut du palmarès de la natalité,

ça c'est chouette.

Salut

Slkpax

Ce qui est très bizarre puisqu'il me semblait (à l'iufm au moins) qu'on proposait des facilités aux mères de familles qui s'accroissaient en fonction du nombre d'enfants ?

Mais je me trompe peut être.

Il me semble que ce sont les mêmes avantages qui sont donnés aux papas et aux mamans.

Les femmes, elles sont surtout tout le temps entrain de se plaindre.

Les femmes, elles sont surtout tout le temps entrain de se plaindre.

Pardon

Oui moi je veux bien te pardonner car je sais que vous êtes faible et je suis magnanime.

Mais bon... je sais bien que vous allez recommencer.

Les femmes, elles sont surtout tout le temps entrain de se plaindre.

enfoiré !!

Au fait, Le Pen avait dit : la femme au foyer ... et sa fille ?