addiction au jeu

pourquoi les jeunes sont t'ils adictent aux jeux videos?

Ils se creent un monde imaginaire dans lequels ils communiquent. De nombreux jeux comme lol, dofus et surtout world of warcraft font partis des plus dangereux comme en temoigne certains "on se rend plus compte de la realitee ce qui coupe ,nos liens sociaux meme si certaines video nous font bien rire http://www.youtube.com/watch?v=PbeZosrgotU

Faut pas faire des généralités ni tirer de conclusions trop faciles.

Déjà, le nombre de joueurs réellement addicts ne sont que des cas marginaux. L'immense majorité des joueurs n'ont aucun problème. De nos jours, on dirait qu'on a pas le droit d'aimer quelque chose et d'y consacrer son temps libre sans être considéré comme un drogué. Etre réellement addict, c'est ne plus dormir, rater des jours d'école ou de travail parce qu'on ne veut pas décrocher du jeu, ne plus avoir de vie sociale etc.... Y'a très peu de cas de ce genre et quand bien même, c'est leur propre choix, personne les force. Les éventuels addicts sont donc seuls responsables de leur addiction, le jeu n'a rien à y voir, d'autant plus que bon nombre de jeux comportent au cours de leur chargement des avertissements sur les phénomènes d'addiction et des conseils pour l'éviter. Ceux qui vont trop loin le font de leur propre chef, le jeu ne les retient pas prisonnier avec un phénomène de manque physique comme le fait la drogue. Aucun jeu n'est donc dangereux, les joueurs accroc sont seuls coupables de ce qui leur arrive.

Je suis de l'avis de Guy....On peut être passionné ou aimer une chose sans pour autant être accroc. J'aime ma cigarette du dimanche sans être taxé de tocico. J'aime mon verre de vin le samedi sans être taxé d'alcoolo. Et j'adore me taper une bonne côte de B¿uf sans qu'on me rappelle que je vais crever Cholestérol !

Yachire; attention à ce que tu racontes car d'autres diront que tu fais partie de cdeux ayant développé une forte accoutumance par habitude, étant donné que cela se produit par intervales réguliers et régulés, que rien au monde ne pourra déroger à cette règle sous peine de te voir gémir, menaçant de détruire la planète et la galaxie si ton rituel n'est pas respecté...

C'est ça la médecine et la psychologie sur les pathologies et addictions, de nos jours...

Je préfère alors encore creuver. Bientôt ils voudront nous rattacher un pot catalytique au derrière pour moins polluer.

Oui il ne faut pas généraliser.

Perso, j'ai un compte WOW depuis peu et je suis loin d'être accro.

Je joue quand il ne fait pas beau et que je ne peux pas sortir , quand il n'y a rien que j'aime à la télé ou que je n'ai rien d'autre à faire.En plus avec co de crotte qui m'empêche de jouer les week end et le mercredi, c'est très restreint .Mais j'aime bien faire quelques quêtes de temps en temps.

Il faut juste ne pas vouloir est un kikitoudure et jouer juste pour le plaisir

Il faut juste ne pas vouloir est un kikitoudure et jouer juste pour le plaisir

Faire l'amour tout en jouant à World of Warcraft... éa frôle l'overdose.

Bah, si on suivait la logique de certains, on serait accro à tout et n'importe quoi. Dans le fond c'est p't'être vrai, mais après tout, est-ce si mal que ça ?

Je suis accroc à mon épouse! C'est grave Docteur ?

Je trouve que vous éliminiez la possible addiction trop vite, ou que vous la marginalisez à outrance. J'ai personnellement joué à un MMORPG pendant quelques années, et même si je ne me considère pas comme un accroc, je pense que j'ai développé une forte d'addiction même si la forme n'y était pas forcément.

Je m'explique, voici la situation telle que je la vois avec le recul. Nombreuses discussions avec des gens connaissant le jeu avaient lieu, à n'importe quel moment de la journée et de la semaine, même en cours. Je planifiais des projets pour le jeu sur les bancs de la fac (histoire d'optimiser un peu). Je commençais à retarder l'heure du coucher pour jouer, à prendre les repas plus rapidement. Arrivé à un certain point, le matin j'avais du mal à me lever et je zappais les premiers cours de la journée. Au final, les personnes que j'ai connu dans le jeu sont devenus mes principaux amis.

Le tableau n'est pas tout rose... Il se trouve qu'aujourd'hui je ne joue plus car le jeu a changé par rapport à mes attentes. J'ai rencontré les gens avec qui je jouais et ce sont devenus de vrais amis que je revois alors qu'on ne joue plus depuis des mois. J'ai rencontré le premier amour de ma vie (dans la vie réelle) bien que ça ce soit terminé (après un peu plus de 3 ans et demi ensemble).

Mon histoire, je la trouve belle car elle se termine bien, mais je suis persuadé que le jeu en ligne peut rendre addict, à différents degrés.

D'accord mais une simple question = En quoi ce serait la faute du jeu ?

Pour moi, le mot "addiction" implique l'idée que l'objet auquel on est addict te retient indépendamment de ta volonté, comme la drogue qui créée des phénomènes de manque de part les substances qu'elle répand dans le sang. Un jeu ne fait rien pour te retenir, tu t'y retiens tout seul. D'ailleurs, la meilleure démonstration c'est que tu as décroché dés que le jeu t'as un peu déçu. On ne peut pas se débarrasser si facilement d'une véritable addiction.

Je pense quand même que les jeux en ligne sont faits pour proposer un contenu (souvent payant) tout le temps, sans interruption. Par ce besoin de faire du bénéfice, ils ont (volontairement ou non) la capacité d'être ressentis comme indispensables par les joueurs. C'est le cas pour toute activité en fait, dès que c'est une passion. Cependant, dans le cas des jeux en ligne, il y a un univers dans lequel il est facile de plonger, avec des personnes réelles et non une IA avec nous, tout ceci permettant à quiconque de se piéger malgré lui dedans. Pour peu qu'on veuille fuir un peu la réalité, c'est une source d'addiction psychologique à mon avis.

C'est sûr, il n'y a pas de molécule du jeu à mettre en cause qu'on consomme, si c'est ce que tu veux dire, mais l'effet peut être similaire au final du fait du caractère exutoire.

PS: mon arrêt du jeu s'est fait avant le changement du jeu tel qu'il ne me plaisait plus en fait, le changement m'a juste empêché de réessayer. Sans doute que j'étais mieux dans ma peau pour m'en passer.

D'accord sur le côté exutoire que le jeu peut avoir. D'ailleurs, je pense que ce côté exutoire existe même avec les jeux off-line. Cela dit, dans ce cas, alors l'addiction ne provient pas directement du jeu mais plutôt d'un mal être ou d'un sentiment d'ennui dans la vie réelle. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on est en fait pas addict au jeu, mais addict à la fuite du réel. Le jeu étant à la fois facile d'accès et permettant une imprégnation assez forte remporte du coup un succès important dans ce domaine, empiétant sur les exutoires qu'on se trouvait avant.

Dit comme ça oui, avec des facteurs aggravants que sont la présence des autres joueurs. Les effets sont très proches d'une réelle addiction au final. Après... c'est peut-être ma définition de l'addiction qui est à revoir. :x

edit: avec des définitions du style «Représente une triple dépendance : physique, psychologique et comportementale, déterminée par des facteurs biologiques, psychologiques et socioculturels», ça tend à dire que j'ai largement mis de côté la dépendante physique (pas de molécule du jeu).

Peut-être qu'il faut trouver un nouveau mot pour désigner ce phénomène, addiction me paraissant trop fort du fait qu'on ne peut quand même pas comparer cela aux effets d'une drogue, malgré que les symptômes soient ressemblants au moins sur l'aspect comportemental.

En attendant de trouver le bon mot (qu'il existe déjà ou non), les anglophones peuvent lire cet article complet de GameSpot sur la dépendance au jeu vidéo. Je n'ai pas encore lu l'intégralité de l'article, mais ils semblent eux aussi partir du principe que l'effet du jeu est comparable à celui d'une autre addiction en raison du plaisir généré (production de dopamine) mais la source, au départ, n'en reste pas moins intangible.

Dépendance au jeu d'origine non moléculaire? (dans le sens ou on n'ingère pas la molécule qui provoque la dépendance, puisqu'on est d'accord que les outils avec lesquels on joue sont tangibles)

Ca n'est pas vraiment de la dépendance... disons plutôt de la passion, poussée à l'extrême.

Oui, c'est clairement de la passion que de rester scotché devant son écran, de penser à comment faire pour améliorer ci ou ça, etc.

Je suis passé par là il y a quelques années, sur PES... je passais des jours à faire évoluer mon équipe, voir le potentiel et les statistiques de chaque joueur, quand je ne jouais pas j'y pensais aussi, les compos, les joueurs, analyser les ralentis pour décrypter les gestes techniques et j'en passe...

T'es coupé de la réalité, c'est clair...

Mais t'es pas drogué pour autant, juste "à fond dedans"... passionné.

Peut-être que ma personnalité est telle que je ne fais pas que des choix intelligents, mais je considère quand même avoir eu une forte dépendance à ce MMORPG quand ça affectait mon rythme de vie, ma scolarisation, mes rapports humains. J'avais développé un égoïsme sans précédent à l'époque vis à vis de ma famille ou de la réalité en général, je ne suis pas persuadé qu'une passion provoque ceci.

Bonsoir, je pense aussi quand un jeu affecte le rythme de vie, les relations...que l'on devient dépendant.

Dépendance aux jeux

Je pensais que tu parlais des jeux d'argent. Oh pour moi ya rien de mal à être accro aux jeux vidéo, on appelle ça des gamers !

Si on sait s'arrêter et définir ses priorités, si ça s'arrête aux loisirs, quel inconvénient ?

Les jeux d'argent par contre, en devenir accroc, est bien plus grave.