Sondage et témoignage : Le bonheur des uns fait-il le votre ?

Lorsque vous constatez des gens heureux dans votre entourage, leur bonheur a-t-il tendance à rejaillir sur vous ou au contraire, cela vous rend-il malheureux de ne pas connaitre leur liesse ?

Réagissez-vous en fonction de l'étiquette sociale ou au contraire, assumez-vous votre ressentiment ?

Je suis heureuse de savoir mes proches heureux. Et inversement.

Je ne jalouse pas les autres, bien au contraire.

Et même si moi je ne le suis pas, leur malheur n'allègerait en rien ma peine, alors autant me réjouir pour eux.

Je ne sais pas encore quoi voter, car je me rends compte que cela dépend des circonstances. Il y a des bonheurs que je partage allégrement sans arrière-pensée et des bonheurs que je jalouse terriblement. De plus cela dépend étroitement de mon état d'esprit du moment, de mon moral.

Et non, quand je suis envieuse, je n'assume pas, j'ai honte.

c'est agréable de voir des personnes heureuses, et ça fait du bien en même temps

Il paraîtrait qu'on éprouve plus de plaisir à offrir quelque chose que de le garder pour soi.

Oui, ça me rend heureux de voir mes proches heureux, mais pas que mes proches ! Des gens heureux (et qui n'emmerdent pas les autres, à préciser), je trouve ça jouissif !

Le bonheur de ceux qui comptent me rend bien sûr heureuse.

Il y a même des moments où je me demande si je pourrais être vraimentment heureuse si eux ne l'étaient pas, mais c'est seulement quand j'empathise trop....

Moi, quand je lis vos posts, je ne peux m'empêcher de m'interroger. Oui, dans l'absolu, je partage la plupart de vos écrits. Pourtant, en ce jour de Saint Valentin, j'ai eu l'occasion d'observer autour de moi...

Alors que certains roucoulaient devant les attentions de leur moitié ou se targuaient de celles qu'ils avaient eu pour leur élu, laissant éclater un tant soit peu d'allégresse, la plupart des autres souriaient en retour. Pourtant, des lueurs d'envie, j'en ai lu dans les yeux de certains. Des pointes d'agacement plus ou moins furtives ont aussi transpiré. Quand d'autres ne levaient pas -plus ou moins discrètement- les yeux au ciel...

N'avez-vous jamais relevé chez une personne cette petite moue d'envie involontaire, alors que, nouvellement en couple, vous donniez de vos nouvelles en racontant avec délectation votre bonheur tout neuf ? Pourtant, quelques temps auparavant, n'aviez-vous pas ressenti ce désir de connaitre ce bonheur vieux de quelques temps que l'autre partageait alors que vous étiez vous-même célibataire ???

Le bonheur des autres fait-il toujours le notre ? Perso, je me pose des questions ce soir.

je comprends, et le corps dit tout haut ce qu'on pense ... mais il peut y avoir envie sur le moment, et ensuite plaisir pour les autres, après un temps

Ensuite, certains effectivement étalent et re étalent et s'étendent sur leur bonheur, en occupant tout l'espace, alors ok il peut y avoir envie, mais aussi lassitude

Enfin c'est le genre de question à retourner dans tous le sens, lol

cela dépend de tellement de facteurs

Il est toujours rassurant et réconfortant de trinquer avec des verres incassables

Moi s'qui m'énerve c'est de voir tous ces jeunes qui se la coulent douce. Toute cette génération qui arrive dans du coton. Les voitures ne polluent plus, la musique est gratuite sur le net. Il sont même pas intoxiqués par le tabac à 16 ans. Les cours au collège et au lycée deviennent intéressants et en plus ils apprennent le respect de la planète et à surmonter les différences raciales. Non, c'est vrai, ils sont même plus racistes les jeunes d'aujourd'hui. Et puis tous avec leurs portables à se donner des rendez-vous et à ce tenir au courant de tout ce qu'ils font, ce qui leur permet de garder le contact.

Non, moi, tout ce bonheur ça me dégoutte et c'est vraiment manquer de respect aux vielles générations qui ont nettement plus souffert. éa devrait être interdit. Voilà ce que j'en dit. Non, mais c'est vrai: il n'y a pas de raison que les générations futures souffrent moins. Alors, hein, bon !

Rassurez-vous,la violence des passions destructrices courtisent toujours les jeunes

Ca dépends jusqu'ou mes prochent "étalent" leur bonheur... Si c'est trop, oui ca m'enerve et jsuis jalouse

Après si c'est une bonne nouvelle du style "machine est enceinte !" hé bien je suis contente pour eux, mais ca ne me rends pas plus heureuse, et je ne vois pas pourquoi je le serai d'ailleurs

Bah j'me dis tant mieux pour eux, mais si je ne suis moi même pas heureux ça va rien changer.

Il paraîtrait qu'on éprouve plus de plaisir à offrir quelque chose que de le garder pour soi.

je suis d accord avec toi mais malheuresement ce n est pas le cas de tout le monde

Si l'on donne c'est parce qu'on cherche avant tout à ressentir la satisfaction d'avoir fait quelque chose de bien. Donc dans un sens c'est égoïste.

Je ne sais pas comment vous faîtes pour tirer du bonheur au bonheur des autres .

Perso , le bonheur des autres me laisse complétement indifférent .

De temps en temps je suis juste un peu envieux .

Je suis anesthésié :

Ni bonheur , ni souffrance

Ni plaisir ni douleur

Bref , indifférence envers tout ...

Je te plains, j'avais choisi aussi cette voie et j'en suis partie, qu'est ce que je me suis fait chier ! Bon maintenant j'en bave grave mais que de bons souvenirs me resteront pourtant...

Moi je suis très touchée par le bonheur que ressente les gens que j'aime, cela me rend super heureuse, car c'est vraiment ce que je leur souhaite du fond du coeur. Et leur joie est communicative.

Par contre... vis a vis de ceux que je n'aime vraiment pas et bien franchement leur bonheur limite me révolte, ils ne le méritent pas selon moi, je trouve ca injuste !

Voilà c'est un peu sectaire, pas très objectif mais je suis humaine lol !

le bonheur des autres me nourris incontestablement. Je pique tout ce qui déborde ^^

Oui, voir des gens heureux, que je les connaisse ou non, m'apporte un sentiment de joie. Cela va jusqu'à l'envie de les remercier de l'être. Je les envie quand je suis moi même insatisfaite, mais les envier ne m'empeche pas d'être heureuse pour eux. Donc le bonheur des uns fait le mien. Inversement, leur malheur contribue à diminuer ma joie, et quand il s'agit du malheur de mes proches, alors là, cela me rend carrément malheureuse.

Je plains les personnes qui se renfrognent devant le bonheur d'autrui et j'aimerai les serrer dans mes bras, elles doivent être terriblement tristes et amères pour ne plus savoir apprécier la joie à sa juste dimension.