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Relativité, en physique.

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fauxrhum

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

merci laxactif, demain je vous parlerai des contractions de Lorentz, des rotations de référentiels en relativité et des quadrivecteurs, si vous êtes d'accord...

A moins que ce soit Gallium qui en parle, c'est comme il veut.

Ps: je ne crois pas qu'il m'ait engueulé pour ma parenthèse pro-éther c'était pour ouvrir le débat.

Je ne conteste en aucun cas les résultats de la relativité maintes fois vérifiés par l'expérience, à part quelques incohérences, mais c'est l'histoire de la science...

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Que deviennent les changements de référentiels ?on va encore faire appel à nos très français Durand et Dupont⿦

La contraction de Lorentz

On va maintenant essayer de passer d'un système de coordonnées S (celui de Dupont arrêté et qui observe⿦arrêté mais par rapport à quoi⿦ c'est ça la relativité⿦) (x,y,z,t) en 4 dimensions ! et S' (celui de Durand en mouvement, mais qui lui s'en fout, parce qu'il ne sait pas qu'il est en mouvement⿦) (x',y',z',t').

Nous avons vu dans l'expérience de Michelson et Morley que le bras transversal, ne subit pas de contraction (mais c'est celui-ci par le triangle de Pythagore qui nous a permis de démontrer la contraction du temps ! une expérience qui ne montre rien mais qui montre tout !!!!) alors que le bras longitudinal BE doit apparaitre plus court d'un facteur ⿿(1-u²/c²)

Supposons que Durand se déplace le long de x du système S , supposons qu'il s'amuse a mesurer un lit dans son engin spatial avec son mètre perso (celui écrasé par la vitesse mais qui mesure 1 mètre pour lui⿦)

Durand va faire sa mesure et compter x' mètre avec sa règle.

Le très indiscret Dupont observe Durand entrain de mesurer et constate que Durand mesure son lit avec une règle raccourcie (pour Durand elle mesure 1 mètre) d'un facteur ⿿(1-u²/c²)

Dans S, la distance mesurée du lit est donc : x'⿿(1-u²/c²)

Alors, si le système S' est éloigné de la distance ut du système S (vitesse multiplié par temps donne une distance, par exemple si vous roulez à 100 km pendant 30 mn vous avez parcouru 50 km⿦je sais c'est très difficile⿦)

Donc dans le système S Dupont dira que le bout du lit mesuré à x' par Durand est à la coordonnée x dans S :

x=x'⿿(1-u^2/c^2 ))+ut ou x'=(x-ut)/⿿(1-u²/c²)

On voit donc que pour passer d'un système de coordonnées à une autre il faut tenir compte des contractions avec la vitesse de la longueur dans le sens du mouvement.

Dupont en observant Durand trouve qu'il a une drôle de tête comme s'il s'était pris un mur il est écrasé dans le sens du mouvement.

Je vous rassure Durand ne s'en rend pas compte lui , pour lui tout est normal.

On va s'amuser à imaginer une autre explication au mécanisme pour ouvrir le débat : dans la théorie à particule unique, le vide est rempli de cordes d'hyperfluide (ou éther) faite de lignes de champs électriques produits en permanence par les masses et détruites en permanence par les masses en mouvement.

Les propriétés du superfluide sont l'hyperélasticité, ce qui veut dire que le masses en mouvement sont traversées par ces cordes beaucoup plus petites en diamètres que les cordes de la matière.

Les propriétés hyperélastiques de l'éther expliquent l'absence de frottement (du moins jusqu'à une certaine vitesse proche de c) .

Un impact avec une corde d'éther entraine une augmentation de la masse de la masse par l'équivalence masse ⿿énergie que nous verrons plus tard. La corde ainsi déplacée dans le sens du mouvement est tendue et repart dans le sens opposé et se met donc à osciller avec une probabilité de restituer la quantité de mouvement acquise à la masse par un impact dans le sens du mouvement.

Ces impacts augmentent l'inertie de la masse.

Le flux d'éther qui traverse la masse presque vide pour une masse de densité peu importante (jusqu'à l'étoile à neutron) va écraser la masse dans le sens du mouvement comme une éponge en mouvement dans l'eau qui s'écrase dans le sens du mouvement.

La masse ne se rendra pas compte de cette déformation, car elle s'applique également de manière homogène à tout son environnement local.

Un autre phénomène va apparaitre avec le mouvement, c'est le régime turbulent qui peut entraîner l'éclatement de la masse, le régime turbulent fait appel au nombre de Reynolds, les régimes turbulents sont difficiles à modéliser en physique⿦

Une masse très dense ne subira donc pas les effets relativistes !

Je vous fais un rappel de ce que j'ai écrit dans la théorie à particule unique :

Ralentissement des mouvements d'une masse avec la vitesse

L'éther a une vitesse quasi identique à celle de son environnement qui lui a donné naissance.

Les Us qui la composent sont de petite taille, elles résultent d'un processus d'écrasement incomplet par manque de traction en avant et en arrière dans la corde.

Les grands attracteurs de ces Us sont donc de grande taille et on absorbé une grande partie des galaxies environnantes, la force gravitationnelle résultante de ces grands attracteurs est faible ce qui explique la très faible résistance des cordes de l'éther.

L'éther sert de support pour le transport des ondes lumineuses

Les Us d'un objet en mouvement ont peu de chance de percuter un U d'une ligne de champs de l'éther.

Cette probabilité d'impaction existe, est faible mais augmente avec la vitesse de l'objet

En cas d'impaction, tous les U ont la même masse et la même inertie, ce qui change, c'est leur volume, la corde de l'éther cassera et non celui de la masse en mouvement.

Plus une corde est tendue plus ses Us sont volumineux, les cordes des grosses masses sont plus résistantes à la traction.

Les effets de la vitesse sur la masse sont de 3 types en fonction du type de masse en mouvement :

2 .1) Cas d'une masse peu dense mais volumineuse

Cette masse présente une surface frontale d'attaque au mouvement Sf, une masse M.

Cette masse subit trois types de phénomènes avec la vitesse : une force de frottement avec l'éther, un front énergétique lumineux sur la surface frontale de cette objet et enfin une augmentation de l'inertie avec la vitesse.

La force de frottement avec l'éther :

La matière peu dense ressemble à un grillage dont les trous empilés sur la distance l (longueur de l'objet dans l'axe du mouvement) pourrait être apparentés à des canaux de longueur l et de rayon r.

On peut assimiler un objet peu dense à un filtre traversé par un flux, le flux d'éther traversant l'objet peut s'écrire :

Ͽ=Sf*v*ρ_éther Le flux est proportionnel à la surface frontale, la vitesse de l'objet et enfin à la masse volumique de l'éther. Le coefficient de filtration peut s'écrire :

Kf=(N_C*Ͽ*r^4)/(8μ_éther*l) Nc est le nombre de canaux de l'objet qui est proportionnel au volume frontal et à la masse volumique de l'objet μ_éther est le coefficient de viscosité de l'éther, r est proportionnel à la masse volumique de l'objet. Il existe une relation entre Kf et la force qui s'oppose au mouvement qui peut s'écrire :Ͽ=Kf*Force

Force de frottement=Ͽ/K_f =(8μ_(eth*l*S_f*v*ρ_éth ))/(N_c*Ͽ*r^4 )

On voit dans cette formule qu'il est possible de déterminer Nc, r, Sf , l On pourrait déterminer μ_(éther )par la fatigue de la lumière et en mesurant F on pourrait expérimentalement mesurer la masse volumique de l'éther grâce un objet circulant dans l'espace à grande vitesse, F peut être déduite par la décélération observée (=m*décélération)

La diminution des mouvements de l'objet avec la vitesse (apparenté à la relativité restreinte) :

Prenons l'exemple d'une sphère en mouvement rotatoire avec une vitesse angulaire Ͽ_0 à 2Ͽ/seconde cette sphère de masse volumique ρ homogène

Cette sphère compte les secondes puisqu'elle tourne à 1 tour par seconde, son énergie cinétique angulaire initiale à vitesse relative par rapport à l'éther nulle s'écrit :

E_(C V0)=1/2 㿿Ͽ_0㿿^2 ⿫⿿㿿ρ_(total v0) r_i ² dV㿿=1/2 㿿Ͽ_0㿿^2 ρ_(total v0) ⿫⿿㿿 r_i ² dV㿿

Toute la démonstration suivante va être axée sur la masse volumique de la sphère :

Cette sphère est en grande partie remplie d'éther, la masse volumique de la sphère observée au repos est en fait la masse volumique de la sphère sans éther additionnée à la masse volumique de l'éther : ρ_(total v0)=ρ_(sans éther)+ ρ_éther

Avec la vitesse l'énergie cinétique de l'éther traversant la sphère est : E_(C éther)=1/2 ρ_éther v²*Volume sphère

Cette énergie peut être considérée comme une masse si on le divise par le Volume de la sphère on va retomber sur la formule avec la vitesse

ρ_(total v)=ρ_(sans éther)+ ρ_éther+ 1/2 ρ_éther v²

Avec la vitesse l'énergie cinétique rotatoire de la sphère reste constante mais étant donné que la masse volumique de la sphère a changé, la vitesse angulaire a également changé, on peut écrire :

Ec V0=1/2 㿿Ͽ_0㿿^2 ρ(total v0) ⿫㿿 r_i ² dV㿿=1/2 㿿Ͽ_v㿿^2 ρ_(total v) ⿫㿿 r_i ² dV㿿

Ou encore : 㿿Ͽ_0㿿^2 ρ_(total v0)=㿿Ͽ_v㿿^2 ρ_(total v)

㿿Ͽ_0㿿^2 㿿(ρ㿿_(sans éther)+ ρ_éther )=㿿Ͽ_v㿿^2 㿿(ρ㿿_(sans éther)+ ρ_éther+ 1/2 ρ_éther v²)

㿿Ͽv㿿^2/㿿Ͽ0㿿^2 =㿿㿿(ρ㿿_(sans éther)+ ρ_éther ) 㿿_ /(ρ(sans éther)+ ρ_éther+ 1/2 ρ_éther v²))

Ͽ_v/Ͽ_0 =⿿((㿿_(sans éther)+ ρ_éther ) 㿿_ /((ρ(sans éther)+ ρ_éther+ 1/2 ρ_éther v²)))

Cette fraction montre le pourcentage de ralentissement rotatoire de la sphère avec la vitesse sans que le temps soit intervenu.

Tout se passe comme si l'inertie de la masse augmentait avec la vitesse ce qui ralentit tous les mouvements et donne une fausse impression de ralentissement temporel. La sphère tournera moins vite avec la vitesse.

Le temps n'est qu'une simple mesure du mouvement, on ne peut faire subir de transformation au temps, ce paramètre ayant été inventé par l'observateur des mouvements.

Etant donné que l'éther est fabriquée par les masses environnantes, sa vitesse est celle des masses environnantes ce qui explique que les lois physiques soient les mêmes quelque soit le référentiel.

En résumé, un objet par exemple un engin spatial qui prend de la vitesse va accumuler de l'énergie lumineuse sur sa surface frontale au mouvement jusqu'à plusieurs millions de degré à l'approche de c, va subir une force de frottement qui va aller en augmentant, cette force de frottement va faire chauffer l'engin à des températures extrêmes et les mouvements à l'intérieur de l'engin vont devenir de plus en plus lents.

Le voyage spatial à très grande vitesse semble très compromis, mais reste possible à petite vitesse (quelques millions de kilomètre par heure).

2.2) Cas d'une masse très dense type trou noir

La masse est si dense que tout l'éther sera cassé par le trou noir, il y aura un front lumineux très intense comme vu précédemment dans le chapitre du franchissement du mur de la lumière, les forces de frottement de l'éther sont négligeable vu la masse du trou noir et la faible masse volumique de l'éther

Il n'y a aucun effet de ralentissement du mouvement interne avec la vitesse car la masse volumique de l'éther est négligeable par rapport à la masse volumique du trou noir.

Un prébigbang en mouvement sera visible par son mur lumineux sur sa surface frontale avec un cône sans lumière possible derrière ce prébigbang correspondant à une zone sans éther (vrai vide !) qui ne permet pas la transmission de la lumière.

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  • 2 semaines après...
Membre, Posté(e)
plasmaUnivers Membre 17 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

bonjours pour y voir clair dans la relativité la première chose à faire est de relativisé Einstein en premier lieu.

Pour bien percevoir Einstein Jeudi 29 Avril 2010 D. E. Scott

Pour le simple quidam, par réflexe, les mots « Einstein » et « relativité » sont automatiquement synonymes de « complexité, » d’« inintelligibilité, » et de l'idée que ça suppose des maths plutôt obscures. » Thunderbolts, D. E. Scott, 27 avril 2010

Nous savons tous qu’Albert Einstein a inventé la Relativité Restreinte et son extension, la Relativité Générale. Mais de quoi s’agit-il ? Ces théories sont-elles justes ? Sont-elles utiles ? Faut-il être physicien ou mathématicien pour les comprendre ? En règle générale, toute recherche à la bibliothèque ou sur Internet pour obtenir une explication claire sur à quoi se résume la théorie de la relativité, tombe d’habitude rapidement dans un fouillis de concepts du style espace de Minkowsky, dilatation du temps et d’autres hypothèses, toutes impénétrables pour le non-initié. Ou du moins, elles l’étaient jusqu'à présent.

J'ai cherché pendant des années une explication simple à ces idées. Cette recherche fut désespérément stérile. J'ai pris conscience très tôt qu’à la fois la Relativité Restreinte et Générale sont controversées. Les opinions sur la question de leur validité sont acerbes de part et d’autre. D'un côté, les Cosmologistes et les Astrophysiciens acceptent, défendent et se servent des idées d'Einstein pour faire avancer leur travail. Ils revendiquent la réussite absolue de leurs modèles découlant du recours à ses théories. Ils dénigrent tous ceux qui se laissent aller à mettre en doute la solidité de leurs convictions.

Plusieurs sceptiques (1, 2) affirment avoir identifié des défauts dans la cuirasse de l'œuvre d'Einstein et dans la validité et la précision des expériences ultérieures qui l'auraient confortée. Seulement, la compréhension des chicanes et des répliques de l’argumentation nécessite une maîtrise en mathématiques du niveau universitaire dans le domaine de l’analyse tensorielle. Aussi, jusqu'à récemment, même le lecteur instruit et intéressé n'a pas vraiment pu les comprendre, et n’a donc aucune chance d’avoir une opinion éclairée. Tout cela changea pour moi avec la lecture d’un livre écrit par l'astronome Hilton Ratcliffe.

Hilton Ratcliffe

Dans le onzième chapitre de son premier ouvrage (3), Ratcliffe expose quelques questions, hypothèses et objectifs fondamentaux, qui motivèrent l’œuvre d'Einstein. Il le fait uniquement en prose, sans mathématiques (4). Ces pages me fournirent une clé pour forcer les concepts ésotériques qui m'échappaient depuis si longtemps. Ratcliffe commence par faire remarquer que l'un des postulats ou objectifs (ce point n'est pas très clair) primitifs d’Einstein, fut de démontrer l'impossibilité de l'existence d’un temps universel absolu et la simultanéité réelle des événements.

L'un des outils nécessaires pour évaluer l'argumentation d'Einstein réside dans le concept de « cadre de référence » [référentiel ou système de coordonnées] et ce qui arrive quand deux référentiels se déplacent relativement l’un par rapport à l’autre.

Les cadres de référence

Prenez trois règles graduées. Disposez-en deux à plat sur votre bureau, à angle droit l’une par rapport à l’autre. Posez maintenant la troisième règle verticalement à la jonction des deux premières et fixez le tout ensemble de sorte que les angles (de 90°) entre elles soient fixes. Baptisez les deux règles horizontales x et y. Appelez la règle verticale z. La position instantanée d'un objet (mouche, grain de poussière, etc) peut être décrite de manière unique par la mesure de sa distance le long de chaque règle, par exemple, x = 3 cm, y = 4 cm et z = 8 cm. La position de l'objet est définie. Le jeu de règles constitue donc un « référentiel » dans lequel il est possible de décrire la position d'un point quelconque. Tout changement de cette position mesure un « mouvement » de l'objet dans ce référentiel. Naturellement, les règles doivent être droites et leurs marques de graduation doivent être espacées régulièrement et elles ne doivent pas se déplacer les unes par rapport aux autres.

100426etrain.jpg

Figure 1. Exemple d’Einstein de deux coups de foudre s’abattant simultanément sur les points A et B.

Un autre référentiel (jeu de règles) peut être construit et placé sur un manège tournant. La position de tout objet (disons par exemple un insecte immobile posé sur le manège) peut être mesurée à la fois dans les deux référentiels. Dans l'un d'eux (celui du manège) la vitesse de l’insecte est nulle. L'autre référentiel décrira l’insecte comme se déplaçant en cercle. Quand l’un des référentiels se déplace par rapport à l’autre, différentes mesures de mouvement peuvent être enregistrées pour un même événement.

L’effet Coriolis

Le fameux effet Coriolis est un exemple de cela. Supposons que nous ayons un manège à l’arrêt sur lequel deux personnes se font face aux extrémités de l'un des diamètres du plateau. L’une d’elles lance un ballon directement vers l'autre personne qui l'attrape. Les deux référentiels (l’un fixé au sol et l’autre sur le manège) témoigneront que, vu de dessus, le ballon voyage en ligne droite.

À présent, faisons tourner le manège en sens contraire des aiguilles d'une montre (vu d'en haut) à une vitesse angulaire constante. Nous pourrons observer la trajectoire du ballon en plaçant au-dessus du manège une caméra de télévision braquée vers le bas. Or, si la caméra est fixée à la Terre immobile, nous verrons que, bien que le ballon aille au début directement vers l'autre personne, celle-ci sera déportée par la rotation hors de sa position initiale et ne sera plus là pour attraper le ballon quand il arrivera. Car le ballon se déplace toujours en ligne droite.

Si nous montons une autre caméra braquée vers le bas – celle-ci fixée sur le manège en rotation –, les deux personnes sembleront immobiles et la trajectoire du ballon paraîtra s’incurver vers la droite. Plusieurs présentations de Youtube font la démonstration de cet effet. (5) Il est important de réaliser que la perception qu’a l'observateur d’un événement dépend de son référentiel.

Exemple de relativité

Ratcliffe décrit une expérience proposée par Einstein. Elle implique un observateur en chemin de fer. Deux coups de foudre se produisent simultanément – l’un tombant du ciel vers le point A sur le sol, et l'autre sur le point B. À cet instant, il se trouve que train est placé de sorte que son extrémité avant passe sur le point A et son extrémité arrière sur le point B. La situation est montrée dans le schéma du haut de la figure 1 ci-dessus.

Le train se déplace à vitesse, v, constante vers la droite. En supposant que la lumière voyage à une vitesse finie, l'observateur au point M n’aura pas conscience de l’éclair avant que s’écoule le temps, T, [de sa propagation jusqu’à l’observateur]. Mais le train s'est déplacé vers la droite pendant cet intervalle de temps. Le schéma du bas montre la position du train après que le temps, T, soit passé. À présent en position Mnew, l'observateur voit l'éclair du coup de foudre B. Or, puisque la lumière de A doit venir de plus loin, il ne l’a toujours pas vue.

L'observateur conçoit donc que le coup de foudre B est arrivé avant le coup de foudre A. La raison en est naturellement dans le fait que le référentiel de l'observateur se déplace relativement au contexte inertiel fixe – la Terre. Einstein en arrive ensuite à conclure que, dans le référentiel de l'observateur, qui se déplace vers la droite, les deux événements n'étaient pas vraiment simultanés.

Pouvez-vous voir l'erreur ? S'il avait dit que la perception de l'observateur sur ce qui s'est passé était que le coup de foudre B s’est produit en premier, il aurait eu raison. Seulement, son interprétation énonce que, dans le référentiel en mouvement de l'observateur, les deux événements ne sont pas en réalité simultanés.

Einstein a confondu la perception de la réalité de l’observateur avec la réalité elle-même.

Une autre interprétation encore plus confuse et fausse de ce qui s'est réellement passé dans cette expérience, c’est que le temps, tel qu’il est mesuré par un chronomètre tenu par l'observateur, aurait ralenti. C'est parce que l'intervalle entre le coup de foudre B et son observation en Mnew a aussi diminué. Le chronomètre en mouvement mesure un peu moins de nanosecondes [puisqu’il avance vers l’événement] – comme ça, Einstein déclara, « Les horloges ralentissent dans un référentiel en mouvement. » Il s’agit bien évidemment de balivernes.

Ratcliff réfute facilement l'hypothèse selon laquelle une horloge en mouvement ralentirait, grâce à l'exemple suivant. Considérons deux horloges, A et B, se déplaçant l’une vers l’autre sur une ligne droite commune. Les Relativistes considèrent qu'une horloge se déplaçant dans un référentiel quelconque par rapport à une autre immobile, tourne plus lentement. En appliquant cela à A, B tournera plus lentement. En appliquant cela à B, A sera plus lente. Or, chaque horloge ne peut pas tourner plus lentement que l'autre. Cette idée est donc contradictoire.

Pour citer Ratcliffe, « L'erreur faite [par Einstein], celle qu’il commet constamment dans le développement de la théorie de la Relativité Restreinte, c'est qu'il confond ses référentiels et ne fait pas de correction pour les différents temps de trajet à vitesse constante des signaux couvrant des distances différentes. »

Plus important encore, j’ajouterais que, par erreur, Einstein ne s’étend pas sur la distinction entre perception de la réalité d'un observateur et réalité elle-même. La réalité existe. La réalité continuera d'exister même quand vous et moi serons morts et incapables de la percevoir.

Si Einstein avait observé l'expérience de Coriolis, qui implique le lancer d’un ballon dans un manège, il aurait conclu à tort que le ballon incurve vraiment sa trajectoire dans la « réalité » du référentiel en rotation. C'est ce que perçoit l'observateur. Mais ce n'est pas ce qui se passe dans la réalité. « Voir c'est croire » devient parfois « voir c'est induire en erreur. » Les perceptions d’un observateur ne doivent pas être indûment défendues comme ayant une validité égale à la réalité. Les perceptions sont souvent infidèles.

« Ma réalité est tout aussi valable que la tienne » n'est pas universellement vrai.

Conclusion

L’ouvrage The Virtue of Heresy de Ratcliffe fournit une critique solide à la portée de tous sur les erreurs fondamentales dans la logique de la Relativité Restreinte et Générale qui sont passées inaperçues dans le passé, même de gens dotés d’une expérience exceptionnelle en physique et en mathématiques. Il attaque les fondements de la théorie eisnteinienne avec clarté, contre-exemples, et décorticage fin de certains résultats imprécis de la « pensée expérimentale » qui furent construits à toute vitesse à l'appui de ces idées.

Ce livre est un atout qui a de l’impact. En le combinant aux analyses dévastatrices de Steve Crothers, sur les erreurs dans l’analyse tensorielle, qui se dressait jusqu’ici efficacement comme une barrière impénétrable à toute critique de la Relativité Restreinte et Générale, normalement les gens intelligents ne doivent plus se sentir intimidés.

Nous devons nous souvenir que le modèle erroné de la Terre au centre de l'Univers de Ptolémée a perduré pendant au moins mille ans. Mais c'était avant que les esprits curieux aient accès aux livres et à Internet. Désormais, peut-être que nous n’aurons plus à attendre longtemps avant que soient écartées les fausses théories de la relativité.

Notes

1. Stephen Crothers :

www.sjcrothers.plasmaresources.com/index.html

2. Sid Deutsch – Einstein's Greatest Mistake (Les plus grandes erreurs d’Einstein), iUniverse, 2006.

3. Hilton Ratcliffe, The Virtue of Heresy (Vertu de l’hérésie), 2008 : http://www.booksurge.com

4. Encore qu’en page 286 il houspille les défenseurs de la théorie électrique en disant : « Donnez-nous des chiffres ! Faites un résumé et dites-nous quelles formules appliquer systématiquement à l'étude du cosmos. »

5.

Original : thunderbolts.info/tpod/2010/arch10/100427einstein.htm

Traduction copyleft de Pétrus Lombard

source http://www.alterinfo.net/Pour-bien-percevoir-Einstein_a45564.html?print=1

Autre article.

http://www.alterinfo.net/La-theorie-d-Einstein-refutee_a10817.html?print=1

J'ai particulièrement apprécié la théorie de l'univers électrique on trouve ici de nombreux liens compilés que j'ai dévoré.

http://novusordoseclorum.discutforum.com/t6563-theorie-de-l-univers-electrique

J'espère que vous aurez apprit qu'il existe bien des points de vue sur terre. Un bon scientifique se doit de connaitre les autres scientifiques. La vérité scientifique ne vient jamais d'un consensus mais bien d'une élite.

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Invité Nejah Baazouzi
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bonjours pour y voir clair dans la relativité la première chose à faire est de relativisé Einstein en premier lieu.

Pour bien percevoir Einstein Jeudi 29 Avril 2010 D. E. Scott

Pour le simple quidam, par réflexe, les mots « Einstein » et « relativité » sont automatiquement synonymes de « complexité, » d’« inintelligibilité, » et de l'idée que ça suppose des maths plutôt obscures. » Thunderbolts, D. E. Scott, 27 avril 2010

Nous savons tous qu’Albert Einstein a inventé la Relativité Restreinte et son extension, la Relativité Générale. Mais de quoi s’agit-il ? Ces théories sont-elles justes ? Sont-elles utiles ? Faut-il être physicien ou mathématicien pour les comprendre ? En règle générale, toute recherche à la bibliothèque ou sur Internet pour obtenir une explication claire sur à quoi se résume la théorie de la relativité, tombe d’habitude rapidement dans un fouillis de concepts du style espace de Minkowsky, dilatation du temps et d’autres hypothèses, toutes impénétrables pour le non-initié. Ou du moins, elles l’étaient jusqu'à présent.

J'ai cherché pendant des années une explication simple à ces idées. Cette recherche fut désespérément stérile. J'ai pris conscience très tôt qu’à la fois la Relativité Restreinte et Générale sont controversées. Les opinions sur la question de leur validité sont acerbes de part et d’autre. D'un côté, les Cosmologistes et les Astrophysiciens acceptent, défendent et se servent des idées d'Einstein pour faire avancer leur travail. Ils revendiquent la réussite absolue de leurs modèles découlant du recours à ses théories. Ils dénigrent tous ceux qui se laissent aller à mettre en doute la solidité de leurs convictions.

Plusieurs sceptiques (1, 2) affirment avoir identifié des défauts dans la cuirasse de l'œuvre d'Einstein et dans la validité et la précision des expériences ultérieures qui l'auraient confortée. Seulement, la compréhension des chicanes et des répliques de l’argumentation nécessite une maîtrise en mathématiques du niveau universitaire dans le domaine de l’analyse tensorielle. Aussi, jusqu'à récemment, même le lecteur instruit et intéressé n'a pas vraiment pu les comprendre, et n’a donc aucune chance d’avoir une opinion éclairée. Tout cela changea pour moi avec la lecture d’un livre écrit par l'astronome Hilton Ratcliffe.

Hilton Ratcliffe

Dans le onzième chapitre de son premier ouvrage (3), Ratcliffe expose quelques questions, hypothèses et objectifs fondamentaux, qui motivèrent l’œuvre d'Einstein. Il le fait uniquement en prose, sans mathématiques (4). Ces pages me fournirent une clé pour forcer les concepts ésotériques qui m'échappaient depuis si longtemps. Ratcliffe commence par faire remarquer que l'un des postulats ou objectifs (ce point n'est pas très clair) primitifs d’Einstein, fut de démontrer l'impossibilité de l'existence d’un temps universel absolu et la simultanéité réelle des événements.

L'un des outils nécessaires pour évaluer l'argumentation d'Einstein réside dans le concept de « cadre de référence » [référentiel ou système de coordonnées] et ce qui arrive quand deux référentiels se déplacent relativement l’un par rapport à l’autre.

Les cadres de référence

Prenez trois règles graduées. Disposez-en deux à plat sur votre bureau, à angle droit l’une par rapport à l’autre. Posez maintenant la troisième règle verticalement à la jonction des deux premières et fixez le tout ensemble de sorte que les angles (de 90°) entre elles soient fixes. Baptisez les deux règles horizontales x et y. Appelez la règle verticale z. La position instantanée d'un objet (mouche, grain de poussière, etc) peut être décrite de manière unique par la mesure de sa distance le long de chaque règle, par exemple, x = 3 cm, y = 4 cm et z = 8 cm. La position de l'objet est définie. Le jeu de règles constitue donc un « référentiel » dans lequel il est possible de décrire la position d'un point quelconque. Tout changement de cette position mesure un « mouvement » de l'objet dans ce référentiel. Naturellement, les règles doivent être droites et leurs marques de graduation doivent être espacées régulièrement et elles ne doivent pas se déplacer les unes par rapport aux autres.

100426etrain.jpg

Figure 1. Exemple d’Einstein de deux coups de foudre s’abattant simultanément sur les points A et B.

Un autre référentiel (jeu de règles) peut être construit et placé sur un manège tournant. La position de tout objet (disons par exemple un insecte immobile posé sur le manège) peut être mesurée à la fois dans les deux référentiels. Dans l'un d'eux (celui du manège) la vitesse de l’insecte est nulle. L'autre référentiel décrira l’insecte comme se déplaçant en cercle. Quand l’un des référentiels se déplace par rapport à l’autre, différentes mesures de mouvement peuvent être enregistrées pour un même événement.

L’effet Coriolis

Le fameux effet Coriolis est un exemple de cela. Supposons que nous ayons un manège à l’arrêt sur lequel deux personnes se font face aux extrémités de l'un des diamètres du plateau. L’une d’elles lance un ballon directement vers l'autre personne qui l'attrape. Les deux référentiels (l’un fixé au sol et l’autre sur le manège) témoigneront que, vu de dessus, le ballon voyage en ligne droite.

À présent, faisons tourner le manège en sens contraire des aiguilles d'une montre (vu d'en haut) à une vitesse angulaire constante. Nous pourrons observer la trajectoire du ballon en plaçant au-dessus du manège une caméra de télévision braquée vers le bas. Or, si la caméra est fixée à la Terre immobile, nous verrons que, bien que le ballon aille au début directement vers l'autre personne, celle-ci sera déportée par la rotation hors de sa position initiale et ne sera plus là pour attraper le ballon quand il arrivera. Car le ballon se déplace toujours en ligne droite.

Si nous montons une autre caméra braquée vers le bas – celle-ci fixée sur le manège en rotation –, les deux personnes sembleront immobiles et la trajectoire du ballon paraîtra s’incurver vers la droite. Plusieurs présentations de Youtube font la démonstration de cet effet. (5) Il est important de réaliser que la perception qu’a l'observateur d’un événement dépend de son référentiel.

Exemple de relativité

Ratcliffe décrit une expérience proposée par Einstein. Elle implique un observateur en chemin de fer. Deux coups de foudre se produisent simultanément – l’un tombant du ciel vers le point A sur le sol, et l'autre sur le point B. À cet instant, il se trouve que train est placé de sorte que son extrémité avant passe sur le point A et son extrémité arrière sur le point B. La situation est montrée dans le schéma du haut de la figure 1 ci-dessus.

Le train se déplace à vitesse, v, constante vers la droite. En supposant que la lumière voyage à une vitesse finie, l'observateur au point M n’aura pas conscience de l’éclair avant que s’écoule le temps, T, [de sa propagation jusqu’à l’observateur]. Mais le train s'est déplacé vers la droite pendant cet intervalle de temps. Le schéma du bas montre la position du train après que le temps, T, soit passé. À présent en position Mnew, l'observateur voit l'éclair du coup de foudre B. Or, puisque la lumière de A doit venir de plus loin, il ne l’a toujours pas vue.

L'observateur conçoit donc que le coup de foudre B est arrivé avant le coup de foudre A. La raison en est naturellement dans le fait que le référentiel de l'observateur se déplace relativement au contexte inertiel fixe – la Terre. Einstein en arrive ensuite à conclure que, dans le référentiel de l'observateur, qui se déplace vers la droite, les deux événements n'étaient pas vraiment simultanés.

Pouvez-vous voir l'erreur ? S'il avait dit que la perception de l'observateur sur ce qui s'est passé était que le coup de foudre B s’est produit en premier, il aurait eu raison. Seulement, son interprétation énonce que, dans le référentiel en mouvement de l'observateur, les deux événements ne sont pas en réalité simultanés.

Einstein a confondu la perception de la réalité de l’observateur avec la réalité elle-même.

Une autre interprétation encore plus confuse et fausse de ce qui s'est réellement passé dans cette expérience, c’est que le temps, tel qu’il est mesuré par un chronomètre tenu par l'observateur, aurait ralenti. C'est parce que l'intervalle entre le coup de foudre B et son observation en Mnew a aussi diminué. Le chronomètre en mouvement mesure un peu moins de nanosecondes [puisqu’il avance vers l’événement] – comme ça, Einstein déclara, « Les horloges ralentissent dans un référentiel en mouvement. » Il s’agit bien évidemment de balivernes.

Ratcliff réfute facilement l'hypothèse selon laquelle une horloge en mouvement ralentirait, grâce à l'exemple suivant. Considérons deux horloges, A et B, se déplaçant l’une vers l’autre sur une ligne droite commune. Les Relativistes considèrent qu'une horloge se déplaçant dans un référentiel quelconque par rapport à une autre immobile, tourne plus lentement. En appliquant cela à A, B tournera plus lentement. En appliquant cela à B, A sera plus lente. Or, chaque horloge ne peut pas tourner plus lentement que l'autre. Cette idée est donc contradictoire.

Pour citer Ratcliffe, « L'erreur faite [par Einstein], celle qu’il commet constamment dans le développement de la théorie de la Relativité Restreinte, c'est qu'il confond ses référentiels et ne fait pas de correction pour les différents temps de trajet à vitesse constante des signaux couvrant des distances différentes. »

Plus important encore, j’ajouterais que, par erreur, Einstein ne s’étend pas sur la distinction entre perception de la réalité d'un observateur et réalité elle-même. La réalité existe. La réalité continuera d'exister même quand vous et moi serons morts et incapables de la percevoir.

Si Einstein avait observé l'expérience de Coriolis, qui implique le lancer d’un ballon dans un manège, il aurait conclu à tort que le ballon incurve vraiment sa trajectoire dans la « réalité » du référentiel en rotation. C'est ce que perçoit l'observateur. Mais ce n'est pas ce qui se passe dans la réalité. « Voir c'est croire » devient parfois « voir c'est induire en erreur. » Les perceptions d’un observateur ne doivent pas être indûment défendues comme ayant une validité égale à la réalité. Les perceptions sont souvent infidèles.

« Ma réalité est tout aussi valable que la tienne » n'est pas universellement vrai.

Conclusion

L’ouvrage The Virtue of Heresy de Ratcliffe fournit une critique solide à la portée de tous sur les erreurs fondamentales dans la logique de la Relativité Restreinte et Générale qui sont passées inaperçues dans le passé, même de gens dotés d’une expérience exceptionnelle en physique et en mathématiques. Il attaque les fondements de la théorie eisnteinienne avec clarté, contre-exemples, et décorticage fin de certains résultats imprécis de la « pensée expérimentale » qui furent construits à toute vitesse à l'appui de ces idées.

Ce livre est un atout qui a de l’impact. En le combinant aux analyses dévastatrices de Steve Crothers, sur les erreurs dans l’analyse tensorielle, qui se dressait jusqu’ici efficacement comme une barrière impénétrable à toute critique de la Relativité Restreinte et Générale, normalement les gens intelligents ne doivent plus se sentir intimidés.

Nous devons nous souvenir que le modèle erroné de la Terre au centre de l'Univers de Ptolémée a perduré pendant au moins mille ans. Mais c'était avant que les esprits curieux aient accès aux livres et à Internet. Désormais, peut-être que nous n’aurons plus à attendre longtemps avant que soient écartées les fausses théories de la relativité.

Notes

1. Stephen Crothers :

www.sjcrothers.plasmaresources.com/index.html

2. Sid Deutsch – Einstein's Greatest Mistake (Les plus grandes erreurs d’Einstein), iUniverse, 2006.

3. Hilton Ratcliffe, The Virtue of Heresy (Vertu de l’hérésie), 2008 : http://www.booksurge.com

4. Encore qu’en page 286 il houspille les défenseurs de la théorie électrique en disant : « Donnez-nous des chiffres ! Faites un résumé et dites-nous quelles formules appliquer systématiquement à l'étude du cosmos. »

5.

Original : thunderbolts.info/tpod/2010/arch10/100427einstein.htm

Traduction copyleft de Pétrus Lombard

source http://www.alterinfo...64.html?print=1

Autre article.

http://www.alterinfo...17.html?print=1

J'ai particulièrement apprécié la théorie de l'univers électrique on trouve ici de nombreux liens compilés que j'ai dévoré.

http://novusordosecl...vers-electrique

J'espère que vous aurez apprit qu'il existe bien des points de vue sur terre. Un bon scientifique se doit de connaitre les autres scientifiques. La vérité scientifique ne vient jamais d'un consensus mais bien d'une élite.

magnifique, mercismile.gif

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alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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bonjours pour y voir clair dans la relativité la première chose à faire est de relativisé Einstein en premier lieu.

Pour bien percevoir Einstein Jeudi 29 Avril 2010 D. E. Scott

Pour le simple quidam, par réflexe, les mots « Einstein » et « relativité » sont automatiquement synonymes de « complexité, » d’« inintelligibilité, » et de l'idée que ça suppose des maths plutôt obscures. » Thunderbolts, D. E. Scott, 27 avril 2010

Nous savons tous qu’Albert Einstein a inventé la Relativité Restreinte et son extension, la Relativité Générale. Mais de quoi s’agit-il ? Ces théories sont-elles justes ? Sont-elles utiles ? Faut-il être physicien ou mathématicien pour les comprendre ? En règle générale, toute recherche à la bibliothèque ou sur Internet pour obtenir une explication claire sur à quoi se résume la théorie de la relativité, tombe d’habitude rapidement dans un fouillis de concepts du style espace de Minkowsky, dilatation du temps et d’autres hypothèses, toutes impénétrables pour le non-initié. Ou du moins, elles l’étaient jusqu'à présent.

J'ai cherché pendant des années une explication simple à ces idées. Cette recherche fut désespérément stérile. J'ai pris conscience très tôt qu’à la fois la Relativité Restreinte et Générale sont controversées. Les opinions sur la question de leur validité sont acerbes de part et d’autre. D'un côté, les Cosmologistes et les Astrophysiciens acceptent, défendent et se servent des idées d'Einstein pour faire avancer leur travail. Ils revendiquent la réussite absolue de leurs modèles découlant du recours à ses théories. Ils dénigrent tous ceux qui se laissent aller à mettre en doute la solidité de leurs convictions.

Plusieurs sceptiques (1, 2) affirment avoir identifié des défauts dans la cuirasse de l'œuvre d'Einstein et dans la validité et la précision des expériences ultérieures qui l'auraient confortée. Seulement, la compréhension des chicanes et des répliques de l’argumentation nécessite une maîtrise en mathématiques du niveau universitaire dans le domaine de l’analyse tensorielle. Aussi, jusqu'à récemment, même le lecteur instruit et intéressé n'a pas vraiment pu les comprendre, et n’a donc aucune chance d’avoir une opinion éclairée. Tout cela changea pour moi avec la lecture d’un livre écrit par l'astronome Hilton Ratcliffe.

Hilton Ratcliffe

Dans le onzième chapitre de son premier ouvrage (3), Ratcliffe expose quelques questions, hypothèses et objectifs fondamentaux, qui motivèrent l’œuvre d'Einstein. Il le fait uniquement en prose, sans mathématiques (4). Ces pages me fournirent une clé pour forcer les concepts ésotériques qui m'échappaient depuis si longtemps. Ratcliffe commence par faire remarquer que l'un des postulats ou objectifs (ce point n'est pas très clair) primitifs d’Einstein, fut de démontrer l'impossibilité de l'existence d’un temps universel absolu et la simultanéité réelle des événements.

L'un des outils nécessaires pour évaluer l'argumentation d'Einstein réside dans le concept de « cadre de référence » [référentiel ou système de coordonnées] et ce qui arrive quand deux référentiels se déplacent relativement l’un par rapport à l’autre.

Les cadres de référence

Prenez trois règles graduées. Disposez-en deux à plat sur votre bureau, à angle droit l’une par rapport à l’autre. Posez maintenant la troisième règle verticalement à la jonction des deux premières et fixez le tout ensemble de sorte que les angles (de 90°) entre elles soient fixes. Baptisez les deux règles horizontales x et y. Appelez la règle verticale z. La position instantanée d'un objet (mouche, grain de poussière, etc) peut être décrite de manière unique par la mesure de sa distance le long de chaque règle, par exemple, x = 3 cm, y = 4 cm et z = 8 cm. La position de l'objet est définie. Le jeu de règles constitue donc un « référentiel » dans lequel il est possible de décrire la position d'un point quelconque. Tout changement de cette position mesure un « mouvement » de l'objet dans ce référentiel. Naturellement, les règles doivent être droites et leurs marques de graduation doivent être espacées régulièrement et elles ne doivent pas se déplacer les unes par rapport aux autres.

100426etrain.jpg

Figure 1. Exemple d’Einstein de deux coups de foudre s’abattant simultanément sur les points A et B.

Un autre référentiel (jeu de règles) peut être construit et placé sur un manège tournant. La position de tout objet (disons par exemple un insecte immobile posé sur le manège) peut être mesurée à la fois dans les deux référentiels. Dans l'un d'eux (celui du manège) la vitesse de l’insecte est nulle. L'autre référentiel décrira l’insecte comme se déplaçant en cercle. Quand l’un des référentiels se déplace par rapport à l’autre, différentes mesures de mouvement peuvent être enregistrées pour un même événement.

L’effet Coriolis

Le fameux effet Coriolis est un exemple de cela. Supposons que nous ayons un manège à l’arrêt sur lequel deux personnes se font face aux extrémités de l'un des diamètres du plateau. L’une d’elles lance un ballon directement vers l'autre personne qui l'attrape. Les deux référentiels (l’un fixé au sol et l’autre sur le manège) témoigneront que, vu de dessus, le ballon voyage en ligne droite.

À présent, faisons tourner le manège en sens contraire des aiguilles d'une montre (vu d'en haut) à une vitesse angulaire constante. Nous pourrons observer la trajectoire du ballon en plaçant au-dessus du manège une caméra de télévision braquée vers le bas. Or, si la caméra est fixée à la Terre immobile, nous verrons que, bien que le ballon aille au début directement vers l'autre personne, celle-ci sera déportée par la rotation hors de sa position initiale et ne sera plus là pour attraper le ballon quand il arrivera. Car le ballon se déplace toujours en ligne droite.

Si nous montons une autre caméra braquée vers le bas – celle-ci fixée sur le manège en rotation –, les deux personnes sembleront immobiles et la trajectoire du ballon paraîtra s’incurver vers la droite. Plusieurs présentations de Youtube font la démonstration de cet effet. (5) Il est important de réaliser que la perception qu’a l'observateur d’un événement dépend de son référentiel.

Exemple de relativité

Ratcliffe décrit une expérience proposée par Einstein. Elle implique un observateur en chemin de fer. Deux coups de foudre se produisent simultanément – l’un tombant du ciel vers le point A sur le sol, et l'autre sur le point B. À cet instant, il se trouve que train est placé de sorte que son extrémité avant passe sur le point A et son extrémité arrière sur le point B. La situation est montrée dans le schéma du haut de la figure 1 ci-dessus.

Le train se déplace à vitesse, v, constante vers la droite. En supposant que la lumière voyage à une vitesse finie, l'observateur au point M n’aura pas conscience de l’éclair avant que s’écoule le temps, T, [de sa propagation jusqu’à l’observateur]. Mais le train s'est déplacé vers la droite pendant cet intervalle de temps. Le schéma du bas montre la position du train après que le temps, T, soit passé. À présent en position Mnew, l'observateur voit l'éclair du coup de foudre B. Or, puisque la lumière de A doit venir de plus loin, il ne l’a toujours pas vue.

L'observateur conçoit donc que le coup de foudre B est arrivé avant le coup de foudre A. La raison en est naturellement dans le fait que le référentiel de l'observateur se déplace relativement au contexte inertiel fixe – la Terre. Einstein en arrive ensuite à conclure que, dans le référentiel de l'observateur, qui se déplace vers la droite, les deux événements n'étaient pas vraiment simultanés.

Pouvez-vous voir l'erreur ? S'il avait dit que la perception de l'observateur sur ce qui s'est passé était que le coup de foudre B s’est produit en premier, il aurait eu raison. Seulement, son interprétation énonce que, dans le référentiel en mouvement de l'observateur, les deux événements ne sont pas en réalité simultanés.

Einstein a confondu la perception de la réalité de l’observateur avec la réalité elle-même.

Une autre interprétation encore plus confuse et fausse de ce qui s'est réellement passé dans cette expérience, c’est que le temps, tel qu’il est mesuré par un chronomètre tenu par l'observateur, aurait ralenti. C'est parce que l'intervalle entre le coup de foudre B et son observation en Mnew a aussi diminué. Le chronomètre en mouvement mesure un peu moins de nanosecondes [puisqu’il avance vers l’événement] – comme ça, Einstein déclara, « Les horloges ralentissent dans un référentiel en mouvement. » Il s’agit bien évidemment de balivernes.

Ratcliff réfute facilement l'hypothèse selon laquelle une horloge en mouvement ralentirait, grâce à l'exemple suivant. Considérons deux horloges, A et B, se déplaçant l’une vers l’autre sur une ligne droite commune. Les Relativistes considèrent qu'une horloge se déplaçant dans un référentiel quelconque par rapport à une autre immobile, tourne plus lentement. En appliquant cela à A, B tournera plus lentement. En appliquant cela à B, A sera plus lente. Or, chaque horloge ne peut pas tourner plus lentement que l'autre. Cette idée est donc contradictoire.

Pour citer Ratcliffe, « L'erreur faite [par Einstein], celle qu’il commet constamment dans le développement de la théorie de la Relativité Restreinte, c'est qu'il confond ses référentiels et ne fait pas de correction pour les différents temps de trajet à vitesse constante des signaux couvrant des distances différentes. »

Plus important encore, j’ajouterais que, par erreur, Einstein ne s’étend pas sur la distinction entre perception de la réalité d'un observateur et réalité elle-même. La réalité existe. La réalité continuera d'exister même quand vous et moi serons morts et incapables de la percevoir.

Si Einstein avait observé l'expérience de Coriolis, qui implique le lancer d’un ballon dans un manège, il aurait conclu à tort que le ballon incurve vraiment sa trajectoire dans la « réalité » du référentiel en rotation. C'est ce que perçoit l'observateur. Mais ce n'est pas ce qui se passe dans la réalité. « Voir c'est croire » devient parfois « voir c'est induire en erreur. » Les perceptions d’un observateur ne doivent pas être indûment défendues comme ayant une validité égale à la réalité. Les perceptions sont souvent infidèles.

« Ma réalité est tout aussi valable que la tienne » n'est pas universellement vrai.

Conclusion

L’ouvrage The Virtue of Heresy de Ratcliffe fournit une critique solide à la portée de tous sur les erreurs fondamentales dans la logique de la Relativité Restreinte et Générale qui sont passées inaperçues dans le passé, même de gens dotés d’une expérience exceptionnelle en physique et en mathématiques. Il attaque les fondements de la théorie eisnteinienne avec clarté, contre-exemples, et décorticage fin de certains résultats imprécis de la « pensée expérimentale » qui furent construits à toute vitesse à l'appui de ces idées.

Ce livre est un atout qui a de l’impact. En le combinant aux analyses dévastatrices de Steve Crothers, sur les erreurs dans l’analyse tensorielle, qui se dressait jusqu’ici efficacement comme une barrière impénétrable à toute critique de la Relativité Restreinte et Générale, normalement les gens intelligents ne doivent plus se sentir intimidés.

Nous devons nous souvenir que le modèle erroné de la Terre au centre de l'Univers de Ptolémée a perduré pendant au moins mille ans. Mais c'était avant que les esprits curieux aient accès aux livres et à Internet. Désormais, peut-être que nous n’aurons plus à attendre longtemps avant que soient écartées les fausses théories de la relativité.

Notes

1. Stephen Crothers :

www.sjcrothers.plasmaresources.com/index.html

2. Sid Deutsch – Einstein's Greatest Mistake (Les plus grandes erreurs d’Einstein), iUniverse, 2006.

3. Hilton Ratcliffe, The Virtue of Heresy (Vertu de l’hérésie), 2008 : http://www.booksurge.com

4. Encore qu’en page 286 il houspille les défenseurs de la théorie électrique en disant : « Donnez-nous des chiffres ! Faites un résumé et dites-nous quelles formules appliquer systématiquement à l'étude du cosmos. »

5.

Original : thunderbolts.info/tpod/2010/arch10/100427einstein.htm

Traduction copyleft de Pétrus Lombard

source http://www.alterinfo...64.html?print=1

Autre article.

http://www.alterinfo...17.html?print=1

J'ai particulièrement apprécié la théorie de l'univers électrique on trouve ici de nombreux liens compilés que j'ai dévoré.

http://novusordosecl...vers-electrique

J'espère que vous aurez apprit qu'il existe bien des points de vue sur terre. Un bon scientifique se doit de connaitre les autres scientifiques. La vérité scientifique ne vient jamais d'un consensus mais bien d'une élite.

magnifique, mercismile.gif

Bonjour,

De nombreuses expériences ont confirmé les effets relativistes, notamment une horloge atomique sur terre et dans un avion ont pu mesurer l'effet relativiste de ralentissement du temps à 10^-12 près!, des antiparticules produites en accélérateurs et qui ont un vie de 10^-9 secondes accélérés près de la vitesse de la lumière ont eu une durée de vie de quelques secondes.

La relativité générale intègre la gravitation dans les effets relativistes.

Je pense qu'on ne peut pas mettre en doute ce qui est observé, on pourrait se poser la question par quel mécanisme ces effets se produisent (trame espace temps ou l'éther à l'origine des effets relativistes)

Les théories d'EINSTEIN étaient géniales (ou de sa première femme, mais c'est un détail)

Le but n'est pas de détruire Einstein mais essayer d'aller plus loin...

;)

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alexandreW Membre 314 messages
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bonjours pour y voir clair dans la relativité la première chose à faire est de relativisé Einstein en premier lieu.

Pour bien percevoir Einstein Jeudi 29 Avril 2010 D. E. Scott

Pour le simple quidam, par réflexe, les mots « Einstein » et « relativité » sont automatiquement synonymes de « complexité, » d’« inintelligibilité, » et de l'idée que ça suppose des maths plutôt obscures. » Thunderbolts, D. E. Scott, 27 avril 2010

Nous savons tous qu’Albert Einstein a inventé la Relativité Restreinte et son extension, la Relativité Générale. Mais de quoi s’agit-il ? Ces théories sont-elles justes ? Sont-elles utiles ? Faut-il être physicien ou mathématicien pour les comprendre ? En règle générale, toute recherche à la bibliothèque ou sur Internet pour obtenir une explication claire sur à quoi se résume la théorie de la relativité, tombe d’habitude rapidement dans un fouillis de concepts du style espace de Minkowsky, dilatation du temps et d’autres hypothèses, toutes impénétrables pour le non-initié. Ou du moins, elles l’étaient jusqu'à présent.

J'ai cherché pendant des années une explication simple à ces idées. Cette recherche fut désespérément stérile. J'ai pris conscience très tôt qu’à la fois la Relativité Restreinte et Générale sont controversées. Les opinions sur la question de leur validité sont acerbes de part et d’autre. D'un côté, les Cosmologistes et les Astrophysiciens acceptent, défendent et se servent des idées d'Einstein pour faire avancer leur travail. Ils revendiquent la réussite absolue de leurs modèles découlant du recours à ses théories. Ils dénigrent tous ceux qui se laissent aller à mettre en doute la solidité de leurs convictions.

Plusieurs sceptiques (1, 2) affirment avoir identifié des défauts dans la cuirasse de l'œuvre d'Einstein et dans la validité et la précision des expériences ultérieures qui l'auraient confortée. Seulement, la compréhension des chicanes et des répliques de l’argumentation nécessite une maîtrise en mathématiques du niveau universitaire dans le domaine de l’analyse tensorielle. Aussi, jusqu'à récemment, même le lecteur instruit et intéressé n'a pas vraiment pu les comprendre, et n’a donc aucune chance d’avoir une opinion éclairée. Tout cela changea pour moi avec la lecture d’un livre écrit par l'astronome Hilton Ratcliffe.

Hilton Ratcliffe

Dans le onzième chapitre de son premier ouvrage (3), Ratcliffe expose quelques questions, hypothèses et objectifs fondamentaux, qui motivèrent l’œuvre d'Einstein. Il le fait uniquement en prose, sans mathématiques (4). Ces pages me fournirent une clé pour forcer les concepts ésotériques qui m'échappaient depuis si longtemps. Ratcliffe commence par faire remarquer que l'un des postulats ou objectifs (ce point n'est pas très clair) primitifs d’Einstein, fut de démontrer l'impossibilité de l'existence d’un temps universel absolu et la simultanéité réelle des événements.

L'un des outils nécessaires pour évaluer l'argumentation d'Einstein réside dans le concept de « cadre de référence » [référentiel ou système de coordonnées] et ce qui arrive quand deux référentiels se déplacent relativement l’un par rapport à l’autre.

Les cadres de référence

Prenez trois règles graduées. Disposez-en deux à plat sur votre bureau, à angle droit l’une par rapport à l’autre. Posez maintenant la troisième règle verticalement à la jonction des deux premières et fixez le tout ensemble de sorte que les angles (de 90°) entre elles soient fixes. Baptisez les deux règles horizontales x et y. Appelez la règle verticale z. La position instantanée d'un objet (mouche, grain de poussière, etc) peut être décrite de manière unique par la mesure de sa distance le long de chaque règle, par exemple, x = 3 cm, y = 4 cm et z = 8 cm. La position de l'objet est définie. Le jeu de règles constitue donc un « référentiel » dans lequel il est possible de décrire la position d'un point quelconque. Tout changement de cette position mesure un « mouvement » de l'objet dans ce référentiel. Naturellement, les règles doivent être droites et leurs marques de graduation doivent être espacées régulièrement et elles ne doivent pas se déplacer les unes par rapport aux autres.

100426etrain.jpg

Figure 1. Exemple d’Einstein de deux coups de foudre s’abattant simultanément sur les points A et B.

Un autre référentiel (jeu de règles) peut être construit et placé sur un manège tournant. La position de tout objet (disons par exemple un insecte immobile posé sur le manège) peut être mesurée à la fois dans les deux référentiels. Dans l'un d'eux (celui du manège) la vitesse de l’insecte est nulle. L'autre référentiel décrira l’insecte comme se déplaçant en cercle. Quand l’un des référentiels se déplace par rapport à l’autre, différentes mesures de mouvement peuvent être enregistrées pour un même événement.

L’effet Coriolis

Le fameux effet Coriolis est un exemple de cela. Supposons que nous ayons un manège à l’arrêt sur lequel deux personnes se font face aux extrémités de l'un des diamètres du plateau. L’une d’elles lance un ballon directement vers l'autre personne qui l'attrape. Les deux référentiels (l’un fixé au sol et l’autre sur le manège) témoigneront que, vu de dessus, le ballon voyage en ligne droite.

À présent, faisons tourner le manège en sens contraire des aiguilles d'une montre (vu d'en haut) à une vitesse angulaire constante. Nous pourrons observer la trajectoire du ballon en plaçant au-dessus du manège une caméra de télévision braquée vers le bas. Or, si la caméra est fixée à la Terre immobile, nous verrons que, bien que le ballon aille au début directement vers l'autre personne, celle-ci sera déportée par la rotation hors de sa position initiale et ne sera plus là pour attraper le ballon quand il arrivera. Car le ballon se déplace toujours en ligne droite.

Si nous montons une autre caméra braquée vers le bas – celle-ci fixée sur le manège en rotation –, les deux personnes sembleront immobiles et la trajectoire du ballon paraîtra s’incurver vers la droite. Plusieurs présentations de Youtube font la démonstration de cet effet. (5) Il est important de réaliser que la perception qu’a l'observateur d’un événement dépend de son référentiel.

Exemple de relativité

Ratcliffe décrit une expérience proposée par Einstein. Elle implique un observateur en chemin de fer. Deux coups de foudre se produisent simultanément – l’un tombant du ciel vers le point A sur le sol, et l'autre sur le point B. À cet instant, il se trouve que train est placé de sorte que son extrémité avant passe sur le point A et son extrémité arrière sur le point B. La situation est montrée dans le schéma du haut de la figure 1 ci-dessus.

Le train se déplace à vitesse, v, constante vers la droite. En supposant que la lumière voyage à une vitesse finie, l'observateur au point M n’aura pas conscience de l’éclair avant que s’écoule le temps, T, [de sa propagation jusqu’à l’observateur]. Mais le train s'est déplacé vers la droite pendant cet intervalle de temps. Le schéma du bas montre la position du train après que le temps, T, soit passé. À présent en position Mnew, l'observateur voit l'éclair du coup de foudre B. Or, puisque la lumière de A doit venir de plus loin, il ne l’a toujours pas vue.

L'observateur conçoit donc que le coup de foudre B est arrivé avant le coup de foudre A. La raison en est naturellement dans le fait que le référentiel de l'observateur se déplace relativement au contexte inertiel fixe – la Terre. Einstein en arrive ensuite à conclure que, dans le référentiel de l'observateur, qui se déplace vers la droite, les deux événements n'étaient pas vraiment simultanés.

Pouvez-vous voir l'erreur ? S'il avait dit que la perception de l'observateur sur ce qui s'est passé était que le coup de foudre B s’est produit en premier, il aurait eu raison. Seulement, son interprétation énonce que, dans le référentiel en mouvement de l'observateur, les deux événements ne sont pas en réalité simultanés.

Einstein a confondu la perception de la réalité de l’observateur avec la réalité elle-même.

Une autre interprétation encore plus confuse et fausse de ce qui s'est réellement passé dans cette expérience, c’est que le temps, tel qu’il est mesuré par un chronomètre tenu par l'observateur, aurait ralenti. C'est parce que l'intervalle entre le coup de foudre B et son observation en Mnew a aussi diminué. Le chronomètre en mouvement mesure un peu moins de nanosecondes [puisqu’il avance vers l’événement] – comme ça, Einstein déclara, « Les horloges ralentissent dans un référentiel en mouvement. » Il s’agit bien évidemment de balivernes.

Ratcliff réfute facilement l'hypothèse selon laquelle une horloge en mouvement ralentirait, grâce à l'exemple suivant. Considérons deux horloges, A et B, se déplaçant l’une vers l’autre sur une ligne droite commune. Les Relativistes considèrent qu'une horloge se déplaçant dans un référentiel quelconque par rapport à une autre immobile, tourne plus lentement. En appliquant cela à A, B tournera plus lentement. En appliquant cela à B, A sera plus lente. Or, chaque horloge ne peut pas tourner plus lentement que l'autre. Cette idée est donc contradictoire.

Pour citer Ratcliffe, « L'erreur faite [par Einstein], celle qu’il commet constamment dans le développement de la théorie de la Relativité Restreinte, c'est qu'il confond ses référentiels et ne fait pas de correction pour les différents temps de trajet à vitesse constante des signaux couvrant des distances différentes. »

Plus important encore, j’ajouterais que, par erreur, Einstein ne s’étend pas sur la distinction entre perception de la réalité d'un observateur et réalité elle-même. La réalité existe. La réalité continuera d'exister même quand vous et moi serons morts et incapables de la percevoir.

Si Einstein avait observé l'expérience de Coriolis, qui implique le lancer d’un ballon dans un manège, il aurait conclu à tort que le ballon incurve vraiment sa trajectoire dans la « réalité » du référentiel en rotation. C'est ce que perçoit l'observateur. Mais ce n'est pas ce qui se passe dans la réalité. « Voir c'est croire » devient parfois « voir c'est induire en erreur. » Les perceptions d’un observateur ne doivent pas être indûment défendues comme ayant une validité égale à la réalité. Les perceptions sont souvent infidèles.

« Ma réalité est tout aussi valable que la tienne » n'est pas universellement vrai.

Conclusion

L’ouvrage The Virtue of Heresy de Ratcliffe fournit une critique solide à la portée de tous sur les erreurs fondamentales dans la logique de la Relativité Restreinte et Générale qui sont passées inaperçues dans le passé, même de gens dotés d’une expérience exceptionnelle en physique et en mathématiques. Il attaque les fondements de la théorie eisnteinienne avec clarté, contre-exemples, et décorticage fin de certains résultats imprécis de la « pensée expérimentale » qui furent construits à toute vitesse à l'appui de ces idées.

Ce livre est un atout qui a de l’impact. En le combinant aux analyses dévastatrices de Steve Crothers, sur les erreurs dans l’analyse tensorielle, qui se dressait jusqu’ici efficacement comme une barrière impénétrable à toute critique de la Relativité Restreinte et Générale, normalement les gens intelligents ne doivent plus se sentir intimidés.

Nous devons nous souvenir que le modèle erroné de la Terre au centre de l'Univers de Ptolémée a perduré pendant au moins mille ans. Mais c'était avant que les esprits curieux aient accès aux livres et à Internet. Désormais, peut-être que nous n’aurons plus à attendre longtemps avant que soient écartées les fausses théories de la relativité.

Notes

1. Stephen Crothers :

www.sjcrothers.plasmaresources.com/index.html

2. Sid Deutsch – Einstein's Greatest Mistake (Les plus grandes erreurs d’Einstein), iUniverse, 2006.

3. Hilton Ratcliffe, The Virtue of Heresy (Vertu de l’hérésie), 2008 : http://www.booksurge.com

4. Encore qu’en page 286 il houspille les défenseurs de la théorie électrique en disant : « Donnez-nous des chiffres ! Faites un résumé et dites-nous quelles formules appliquer systématiquement à l'étude du cosmos. »

5.

Original : thunderbolts.info/tpod/2010/arch10/100427einstein.htm

Traduction copyleft de Pétrus Lombard

source http://www.alterinfo...64.html?print=1

Autre article.

http://www.alterinfo...17.html?print=1

J'ai particulièrement apprécié la théorie de l'univers électrique on trouve ici de nombreux liens compilés que j'ai dévoré.

http://novusordosecl...vers-electrique

J'espère que vous aurez apprit qu'il existe bien des points de vue sur terre. Un bon scientifique se doit de connaitre les autres scientifiques. La vérité scientifique ne vient jamais d'un consensus mais bien d'une élite.

magnifique, mercismile.gif

Bonjour,

De nombreuses expériences ont confirmé les effets relativistes, notamment une horloge atomique sur terre et dans un avion ont pu mesurer l'effet relativiste de ralentissement du temps à 10^-12 près!, des antiparticules produites en accélérateurs et qui ont un vie de 10^-9 secondes accélérés près de la vitesse de la lumière ont eu une durée de vie de quelques secondes.

La relativité générale intègre la gravitation dans les effets relativistes.

Je pense qu'on ne peut pas mettre en doute ce qui est observé, on pourrait se poser la question par quel mécanisme ces effets se produisent (trame espace temps ou l'éther à l'origine des effets relativistes)

Les théories d'EINSTEIN étaient géniales (ou de sa première femme, mais c'est un détail)

Le but n'est pas de détruire Einstein mais essayer d'aller plus loin... je vous parlerai du paradoxe des jumeaux et de la trame espace temps, ca pourrait ouvrir le débat passionné (je suis pour les débats même dans ces sujets qui peuvent paraître sacrés)

;)

Modifié par alexandreW
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Membre, Posté(e)
plasmaUnivers Membre 17 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Bonjour,

De nombreuses expériences ont confirmé les effets relativistes, notamment une horloge atomique sur terre et dans un avion ont pu mesurer l'effet relativiste de ralentissement du temps à 10^-12 près!, des antiparticules produites en accélérateurs et qui ont un vie de 10^-9 secondes accélérés près de la vitesse de la lumière ont eu une durée de vie de quelques secondes.

La relativité générale intègre la gravitation dans les effets relativistes.

Je pense qu'on ne peut pas mettre en doute ce qui est observé, on pourrait se poser la question par quel mécanisme ces effets se produisent (trame espace temps ou l'éther à l'origine des effets relativistes)

Les théories d'EINSTEIN étaient géniales (ou de sa première femme, mais c'est un détail)

Le but n'est pas de détruire Einstein mais essayer d'aller plus loin...

Mais c'est bien ce que j'essaye de faire je ne suis pas un réactionnaire, de plus si Einstein à majoritairement copié des théories déjà existantes c'est qu'il doit bien y avoir quelques éléments probants intéressants à analyser, mais entre les faits et la théorie que Einstein à développé il y a une différence. Et c'est là qu'est le débat scientifique et théorique.

"horloge atomique sur terre et dans un avion"

Prenons juste une autre réalité scientifique liée aux problèmes de ce genre de mesure.

Si on considère qu'un appareillage du même type en double exemplaire suffit pour faire une comparaison il y a tout de même un problème (dont de nombreux scientifiques sont au courant du fait) de champ d'énergie fluctuant qui ne sera pas le même d'un endroit à la l'autre.

Comme par exemple le problème de l'électromagnétisme terrestre qui même à un endroit donné peut varier d'un jour à l'autre. Donc prendre en considération ce genre de problème pour une mesure et analyse d'un spectre (donc électromagnétique) est très important à prendre en compte.

On ce prend d'ailleurs plus de particule radioactive en altitude que dans des régions plus basse. On est aussi plus proche de région nuageuse qui sont chargé électriquement et on est aussi plus proche de la ionosphère bref tout cela risque fort de perturber l'appareil de mesure voir de changer les conditions même de l'expérience.

On a donc pas besoin de la relativité pour expliquer une différence notable due à un changement de condition.

Relativisons donc ce genre de soit disant "preuve". Et attachons nous réellement à comprendre la logique d'Einstein qui est plus philosophique (mathématique) en premier lieu que réellement "matérialiste" (physique ). Une bonne théorie ce doit de simplifier la vie dans sa compréhension et pas de faire de la réalité (compréhension de celle ci) un film de science fiction qui ne pourra jamais être mesuré et donc prouvé scientifiquement.

Pour ce que j'en comprends le "relativisme absolu" est une sorte de négation de la science. J'ai, bien entendu comme vous, un point de vue personnel sur ce que veulent dire ces mots et ce n'est surement pas le même point de vue des autres. La aussi une expérience peut changer de signification quand on passe d'un champ intellectuel à un autre.

On ne crois pas la même chose parce qu'on ne sait pas les mêmes choses ça va de soit.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Oui effectivement, mais dans ce cas là on aurait pas une telle précision dans les prédiction, on aurait un delta important, ce qui n'est pas le cas dans les résultats expérimentaux.

La discussion est intéressante.

:sleep:

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Membre, Posté(e)
Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
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On a donc pas besoin de la relativité pour expliquer une différence notable due à un changement de condition.

Tous les satellites du systèmes GPS (plus d'une vingtaine) nécessitent, pour fonctionner correctement, qu'on tienne compte de la relativité, notamment au niveau des décalages d'horloge. Si le décalage de l'horloge de ces satellites était du aux rayons cosmiques ou aux champs électrique, ca serait quand même un drole de hasard si les équations d'Einstein permettait de prévoir sa valeur, non ?

Et attachons nous réellement à comprendre la logique d'Einstein qui est plus philosophique (mathématique) en premier lieu que réellement "matérialiste" (physique ).

Absolument pas : la relativité restreinte est née du constat que la vitesse de la lumière semble constante dans tous les référentiels inertiels. Le reste de la théorie en découle logiquement. Les oppositions à la théorie de la relativité par contre, toi compris, sont souvent motivés par la défense d'un dogme philosophique.

Pour ce que j'en comprends le "relativisme absolu" est une sorte de négation de la science.

Le relativisme absolu ? Dire que tout est relatif ? Ca n'a rien a voir avec la relativité d'Einstein.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

LES QUADRIVECTEURS DANS LA RELATIVITE

Nous avons vu les changements de coordonnées dans la physique Newtonienne (rappel dans le chapitre précédent avec sa démonstration trigonométrique) , on avait pour une rotation de référentiel :

x^'=x cos⁡θ+y sinθ et y^'=y cosθ-x sinθ

La transformation de Lorenz dans la relativité est analogue à une rotation mais cette fois-ci dans l’espace et dans le temps

Le fait d’introduire le temps fait que nous passons dans un espace à 4 dimensions dont le temps est intimement lié à l’espace, c’est ce que nous appelons l’espace-temps, concept très difficile à imaginer dans nos têtes car contre-intuitif.

x^'2+y^'2+z^'2-c^2 t^'2=x²+y²=z²-c²t²

Cette équation permet de passer d’un référentiel à un autre , les 3 premiers termes en étant une addition de carré des coordonnées nous donne une distance à un point central donc cette addition décrit la surface d’une sphère (c’est comme ça en maths quand on fixe une condition, on obtient un ensemble de points qui répond à cette condition, tous à la même distance d’un point central=surface d’une sphère…), il reste une quatrième composante c^2 t^'2 et c²t², c’est cette composante qui permet de passer d’un référentiel à l’autre, le temps vous l’avez vu ne s’écoulera pas de la même manière en fonction de la vitesse (on pourrait remplacer t’ par t/√(1-v²/c²)) on voit donc que la transformation d’un référentiel à l’autre pas entrainer un écrasement si l’objet en prime est en mouvement, alors t’ sera beaucoup plus grand que t et la distance au point central de la sphère sera d’autant diminué d’où l’écrasement dans le sens du mouvement)

La quatrième composante qui est temporel correspond à l’énergie ( cette composante traduit la notion de mouvement intimement lié à la notion d’énergie cinétique mais dans un espace en 4 dimensions)

DYNAMIQUE RELATIVISTE

Je vous rappelle que la force est la dérivé de la quantité de mouvement p=mv

F=(d mv)/dt

p=mv=(m_0 v)/√(1-v²/c²)

On voit tout de suite que la force à appliquer pour faire varier la quantité de mouvement soit accélérer une masse devient infinie quand on s’approche de c (on s’approche de la division par 0 pour la quantité de mouvement, la dérivé tend également vers l’infini)

Si une force constante agit sur une masse l’objet n’aura pas une accélération constante plus on s’approchera de c moins l’objet accéléra, mais l’objet lui ne s’en rend pas compte, il aura l’impression d’accélérer de manière constante par ce que son temps va se ralentir…

On triche…

Mais c’est la réalité et ça dépend de qui observe, la personne à l’arrêt ou l’objet en mouvement… tout est relatif…ça vous dit quelque chose ?

:bo:

Demain je vous parlerai de l'équivalence masse énergie e=mc² ça vous dit quelque chose mais avec la démonstration

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Cas des gaz en mouvement, c’est très intéressant par ce la température augmente la vitesse des molécules en mouvement.

La relativité dit :

m=m0/√(1-v²/c²)=m0 (1-v^2/c^2 )^(-1/2)

Mis sous cette deuxième forme on peut utiliser une boîte à outils mathématiques qu’il s’appelle la série convergente vers une autre forme mathématique (c’est très utilisé pour approcher une valeur numérique d’une équation non soluble) vive les maths !

m=m0/√(1-v²/c²)=m0 (1-v^2/c^2 )^(-1/2)=m0 (1+1/2 v²/c²+3/8 v^4/c^4 +⋯)

Ce sont des maths il y a une formule générale qui permet de fabriquer ce type de série convergente !!si vous voulez je peux vous la donner ou vous vous en moquez…

On voit que cette série converge rapidement et qu’on peut approximer :

m≈m0+1/2 m0 v² ( 1/c²)

Ce qui est intéressant pour les gaz sachant que la température est proportionnelle à v² c’est que la masse du gaz augmente donc proportionnellement à la température !!!

Ca veut dire qu’un gaz à 0° C pèse deux fois moins lourd qu’un gaz à 273 °C !!! et tout ça grâce à la relativité, ça va très très loin cette théorie !!! et c’est vérifiable par l’expérience mais je plaisante… il ne faut pas oublier de diviser par c² dommage, je croyais tenir un scoop (on aurait plein d’application industrielle de ça )… Mais la variation de masse est proportionnelle à la température et non la masse elle-même.

L’énergie contenue dans la température du gaz est donc un équivalent de masse et c’est vérifiable par l’expérience, donc incontestable !!!

On en vient à : (tirez la langue devant les caméras)

EQUIVALENCE MASSE ET ENERGIE

Savez comment Einstein est arrivé à sa fameuse formule ?

A partir de l’équation ci-dessus !!! quel rusé, il a suffit qu’il multiplie tout par c².

mc²≈m0 c²+ 1/2 m0 v²+⋯

On voit à droite l’énergie cinétique de la masse en mouvement, il en a conclut qu’à gauche mc² représentait l’énergie totale de la masse, m0 c² l’énergie au repos de la masse

E=mc² (il fallait bien que je vous la sorte celle-là…) tirez la langue

On sait que si on applique une force à un objet il va donc s’accélérer (s’il n’y a pas un abruti qui met une contre-force et qui annule l’effet de la première, principe de l’action et de la réaction de Newton) en s’accélérant la masse totale de l’objet va donc augmenter et comme nous l’avons vu la masse c’est de l’énergie, Newton a montré que la variation de l’énergie d’un objet est égale à F v (comme v va varier avec le temps, on va rentrer dans des équations différentielles, c’est comme ça, il faut bien que les physiciens se construisent un monde difficilement accessible au commun des mortels…)

dE/dt=F.v

Comme E=mc² (tirez la langue) et comme la Force est la dérivé de la quantité de mouvement m.v

(d(mc^2))/dt=v.(d(mv))/dt

C’est une typique équation différentielle, soit vous prenez une Ti nspire CAS qui fera le boulot à votre place soit vous rusez ou comme tout bon cuisiniez vous apprenez les recettes par cœur (c’est ce qu’on appelle des maths) :

J’ai choisi de ruser, le multiplie à gauche et à droite par 2m ce qui a un effet magique quand je vais intégrer des deux côtés, mais n’oubliez pas, la dérivée d’une constante =0 donc quand vous intégrez n’oubliez pas de rajouter une constante (cuisine… quand tu nous tiens)

c²(2m)d(m)/dt=2mv (d(mv))/dt

(2m)d(m)/dt est la dérivée en fonction du temps de m² et 2mv (d(mv))/dt est la dérivée de (mv)² en fonction du temps, en intégrant des deux côtés on peut donc écrire :

m²c²=m²v²+constante

On connait la valeur de la constante c’est quand la vitesse est nulle :

Constante=m_(0 )c²

m²c²=m²v²+m_0 c²

Si on cherche m on obtient :

m²= m²v²/c²+m0²

m^2 (1-v^2/c^2 )=m0 ²

Et en passant tout de l’autre côté et en faisant la racine on obtient la masse relativiste :

m=m0/√(1-v²/c²)

Et le tour est joué, la formule de la masse relativiste que vous avez accepté sans m’engueuler sans me demander d’où ça venait a été démontré… Franchement je vous conseille le fichier Doc sinon les formules au secours...

:o°

On pourrait ouvrir le débat sur la relativité restreinte, on a du mal a imaginer pour ma part tout ce mécanismes d'augmentation de masse avec la vitesse par un simple effet de style mathématique.

Pour ma part dans la théorie à particule unique, ce sont les masses environnantes qui fabriquent le superfluide qui n'est que l'extension continue des champs électriques des masses

Ce superfluide va à la vitesse des masses environnante et explique très bien pourquoi les lois de Maxwell restent les mêmes quelque soit le référentiel, le superfluide a localement toujours un vitesse nulle par rapport à la masse.

Ceci explique l'expérience nulle de Morley et Michelsoon

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plasmaUnivers Membre 17 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Oui effectivement, mais dans ce cas là on aurait pas une telle précision dans les prédiction, on aurait un delta important, ce qui n'est pas le cas dans les résultats expérimentaux.

La discussion est intéressante.

:sleep:

Je disais ça mais ce n'était qu'un simple petit exemple mais qui devrait être beaucoup plus étudié. Je donne simplement le début d'une piste celle que j'ai prise y'a longtemps.

Je ne demanderais pas la référence à une telle prédiction mais dirais juste en questionnement; si le temps est différent d'un endroit à un autre pour faire simple serait il stupide de dire que la matière est différente d'un endroit à un autre ? Suivant dans quel champs elle évolue ...Simple question.

________

Pour la personne qui après me parle de satellite et décalage d'horloge je ne préfère pas parler avec quelqu'un qui s'impose à elle même une étiquette de ce que je serais. Bien que je sache quel système de pensé le pousse à émettre cette hypothèse, ce qui est une preuve flagrante d'inertie sectaire même si elle se cache sous l'étiquette "science". Cette étiquette n'appartient à personne la science reste la "science de l'être" et c'est pour moi une recherche complémentaire à la recherche de toute vérité. La science peut servir la foi par exemple. J'ai quelque peut développé ça sur d'autre sujet du forum. La science elle aussi ne doit rien cacher non? C'est alors un peu concordant avec les dires d'un certain Jésus Christ... Comme si la science ne désirait pas tout le temps mettre en avant elle aussi une étique....Je ne développerais pas plus.

Par contre j'affirme et confirme mes dires; les mathématiques sont aussi différent de la physique que la philosophie est différente de l'agriculture.

J'espère que c'est une image assez claire.

"Cas des gaz en mouvement, c’est très intéressant par ce la température augmente la vitesse des molécules en mouvement."

L'inverse est aussi vrai ! et peut être plus ?

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plasmaUnivers Membre 17 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La physique est comme l'histoire elle doit savoir ce qui est la cause d'un événement, et donc fabriquer du sens. Le sens des choses est primordial.

Modifié par plasmaUnivers
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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

"Cas des gaz en mouvement, c’est très intéressant par ce la température augmente la vitesse des molécules en mouvement."

L'inverse est aussi vrai ! et peut être plus ?

Je pense que tu fais allusion à l'équivalence masse-énergie, un gaz en mouvement veut dire chaud au niveau molléculaire (l'énergie calorifique étant proportionnel à T et l'énergie cinétique à v² ça explique l'hypothèse d'Einstein, la température d'un gaz augmente sa masse mais il faut vraiment qu'il soit chaud pour avoir un effet notable sur la masse...

La physique est comme l'histoire elle doit savoir ce qui est la cause d'un événement, et donc fabriquer du sens. Le sens des choses est primordial.

Je pense que la physique quand elle sera unifiée de manière formelle sera une branche des mathématiques.

Les approximation de mathématiques trop lourdes permettront son utilisation au quotidien... :) :) :sleep:

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Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
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Pour la personne qui après me parle de satellite et décalage d'horloge je ne préfère pas parler avec quelqu'un qui s'impose à elle même une étiquette de ce que je serais. Bien que je sache quel système de pensé le pousse à émettre cette hypothèse

Le coup des satellites GPS, c'est pas une hypothèse : c'est un fait. Mais visiblement, tu fait parti de ces gens pour lesquels la réalité doit s'effacer devant leurs convictions.

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Membre, Posté(e)
plasmaUnivers Membre 17 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Pour la personne qui après me parle de satellite et décalage d'horloge je ne préfère pas parler avec quelqu'un qui s'impose à elle même une étiquette de ce que je serais. Bien que je sache quel système de pensé le pousse à émettre cette hypothèse

Le coup des satellites GPS, c'est pas une hypothèse : c'est un fait. Mais visiblement, tu fait parti de ces gens pour lesquels la réalité doit s'effacer devant leurs convictions.

le mot "hypothèse" concernait dans mon propos simplement le mot "l'étiquette" que tu te fait de moi. Rien de plus.

_______

Pour ma part dans la théorie à particule unique, ce sont les masses environnantes qui fabriquent le superfluide qui n'est que l'extension continue des champs électriques des masses

Ce superfluide va à la vitesse des masses environnante et explique très bien pourquoi les lois de Maxwell restent les mêmes quelque soit le référentiel, le superfluide a localement toujours un vitesse nulle par rapport à la masse.

Je connais ces théories (mathématique) mais pour moi elles manquent de fondement réellement physique, celui qui trouvera comment et d'ou vient la gravité et le prouvera par la physique empirique sera bien sur l'élément qui fera s'écrouler bien des théories. La gravité est phantôme pour les théoriciens qui se base sur Einstein. Un autre spectre phantômatique (ces deux mots l'un à coté de l'autre c'est intéressant non ?) hors mis la masse (gravité ) c'est ton "surperfuide" est-ce une "réincarnation" de l'éther que tu citais il y a une ou deux pages sur ce poste? Ou est ce un autre nom (superfluide ) pour désigner le plama? Et je ne parle pas du plasma sanguin bien sur.

Si l'on veut "unifier" par cette théorie il va bien falloir trouver la base ? Donc trouver grâce au sens des choses qu'elle est la "base, le fondement" qui peut se dévellopper du plus petit au plus grand ! Pour moi l'évidence est le plasma et l'information qu'il y a dedans (c'est à dire toutes les possibilités d'onde et donc de codage et d'expression de la "vie" ou plutôt de l'univers. Je ne suis pas panthéiste mais l'univers est un peu divin quand même... ça a de la gueule notre univers.)

Petite remarque microbienne LOL

Sinon bien que tu dois le savoir alexandreW "un champ électrique " ne peut être qu'un champ électromagnétique car les deux sont intimement liés, peut être même lié à d'autres choses encore. Le magnétisme n'est plus un phantome depuis longtemps mais il est vrai qu'on ne sait toujours pas comment fonctionne un simple courant continu, comment naissent les éclairs etc...

En parlant d'éclair ramenons la physique sur le tapis;

http://www.alterinfo.net/Foudre,-ruban-adhesif-et-observations-de-trous-noirs_a44940.html?print=1

http://www.alterinfo.net/Foudre,-ruban-adhesif-et-observations-de-trous-noirs-suite_a45014.html?print=1

Je pense que la physique quand elle sera unifiée de manière formelle sera une branche des mathématiques.

Les approximation de mathématiques trop lourdes permettront son utilisation au quotidien...

Elle l'est malheureseument déjà ce que je déplore. Un peu comme le métier de la banque qui n'est plus rien comparer aux mathématique financier (beaucoup de physiciens ce sont reconverti dans la finance électronique d'ailleurs . Une drôle de façon de découvrir l'électromagnétisme non?)

Moi je pousse les gens a assayer de repartir sur de meilleure base concernant la physique. Si je vois juste, repartir de zéro par soit même est plus avantageux que d'attendre l'écroulement final. J'ai suffisament lu et compris les théories dominantes pour comprendre qu'elles ont les pieds en argile.

Peut être que d'ici quelque temps j'aurais trouvé mieux que la théorie de l'univers électrique et les tavaux pratique de Léon Raoul Hatem. J'espère même, si ça existe.

http://novusordoseclorum.discutforum.com/t6563-theorie-de-l-univers-electrique

Je ne suis pas commun comme personne, désolé si j'en choque certain mais je ne suis pas venu pour vendre quelque chose, peut être plutôt trouver on ne sait jamais quelqu' un qui y serais receptif ou même plus avancé dans cette voie que moi. Et puis parler de l'univers c'est beau que ce soit pour les rêveurs les physiciens ou les mateux... Sinon je ne crache pas sur les matheux il en faut comme ceux qui arrivent pour nous faire découvrir le fractal, on ne peut que les remercier.

ça le fractal c'est ce que j'appelle une réussite d'unification.

Merci pour le doc e=mc² je vais voir mais ça m'étonnerais que ça est un sens pour moi.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Pour la personne qui après me parle de satellite et décalage d'horloge je ne préfère pas parler avec quelqu'un qui s'impose à elle même une étiquette de ce que je serais. Bien que je sache quel système de pensé le pousse à émettre cette hypothèse

Le coup des satellites GPS, c'est pas une hypothèse : c'est un fait. Mais visiblement, tu fait parti de ces gens pour lesquels la réalité doit s'effacer devant leurs convictions.

le mot "hypothèse" concernait dans mon propos simplement le mot "l'étiquette" que tu te fait de moi. Rien de plus.

_______

Pour ma part dans la théorie à particule unique, ce sont les masses environnantes qui fabriquent le superfluide qui n'est que l'extension continue des champs électriques des masses

Ce superfluide va à la vitesse des masses environnante et explique très bien pourquoi les lois de Maxwell restent les mêmes quelque soit le référentiel, le superfluide a localement toujours un vitesse nulle par rapport à la masse.

Je connais ces théories (mathématique) mais pour moi elles manquent de fondement réellement physique, celui qui trouvera comment et d'ou vient la gravité et le prouvera par la physique empirique sera bien sur l'élément qui fera s'écrouler bien des théories. La gravité est phantôme pour les théoriciens qui se base sur Einstein. Un autre spectre phantômatique (ces deux mots l'un à coté de l'autre c'est intéressant non ?) hors mis la masse (gravité ) c'est ton "surperfuide" est-ce une "réincarnation" de l'éther que tu citais il y a une ou deux pages sur ce poste? Ou est ce un autre nom (superfluide ) pour désigner le plama? Et je ne parle pas du plasma sanguin bien sur.

Si l'on veut "unifier" par cette théorie il va bien falloir trouver la base ? Donc trouver grâce au sens des choses qu'elle est la "base, le fondement" qui peut se dévellopper du plus petit au plus grand ! Pour moi l'évidence est le plasma et l'information qu'il y a dedans (c'est à dire toutes les possibilités d'onde et donc de codage et d'expression de la "vie" ou plutôt de l'univers. Je ne suis pas panthéiste mais l'univers est un peu divin quand même... ça a de la gueule notre univers.)

Petite remarque microbienne LOL

Sinon bien que tu dois le savoir alexandreW "un champ électrique " ne peut être qu'un champ électromagnétique car les deux sont intimement liés, peut être même lié à d'autres choses encore. Le magnétisme n'est plus un phantome depuis longtemps mais il est vrai qu'on ne sait toujours pas comment fonctionne un simple courant continu, comment naissent les éclairs etc...

En parlant d'éclair ramenons la physique sur le tapis;

http://www.alterinfo.net/Foudre,-ruban-adhesif-et-observations-de-trous-noirs_a44940.html?print=1

http://www.alterinfo.net/Foudre,-ruban-adhesif-et-observations-de-trous-noirs-suite_a45014.html?print=1

Je pense que la physique quand elle sera unifiée de manière formelle sera une branche des mathématiques.

Les approximation de mathématiques trop lourdes permettront son utilisation au quotidien...

Elle l'est malheureseument déjà ce que je déplore. Un peu comme le métier de la banque qui n'est plus rien comparer aux mathématique financier (beaucoup de physiciens ce sont reconverti dans la finance électronique d'ailleurs . Une drôle de façon de découvrir l'électromagnétisme non?)

Moi je pousse les gens a assayer de repartir sur de meilleure base concernant la physique. Si je vois juste, repartir de zéro par soit même est plus avantageux que d'attendre l'écroulement final. J'ai suffisament lu et compris les théories dominantes pour comprendre qu'elles ont les pieds en argile.

Peut être que d'ici quelque temps j'aurais trouvé mieux que la théorie de l'univers électrique et les tavaux pratique de Léon Raoul Hatem. J'espère même, si ça existe.

http://novusordoseclorum.discutforum.com/t6563-theorie-de-l-univers-electrique

Je ne suis pas commun comme personne, désolé si j'en choque certain mais je ne suis pas venu pour vendre quelque chose, peut être plutôt trouver on ne sait jamais quelqu' un qui y serais receptif ou même plus avancé dans cette voie que moi. Et puis parler de l'univers c'est beau que ce soit pour les rêveurs les physiciens ou les mateux... Sinon je ne crache pas sur les matheux il en faut comme ceux qui arrivent pour nous faire découvrir le fractal, on ne peut que les remercier.

ça le fractal c'est ce que j'appelle une réussite d'unification.

Merci pour le doc e=mc² je vais voir mais ça m'étonnerais que ça est un sens pour moi.

Rebonjour, merci pour tes remarques qui ne manquent pas d'intérêt,

Les théories très mathématiques sur les cordes sont la théorie des supercordes, il y en a plusieurs, la plus connue est la théorie M qui met en jeu des cordes et des espaces de différentes dimensions.

Il faudrait lire l'univers élégant qui le résume bien.

La gravitation: plusieurs manières de voir:

La gravitation selon Einstein qui décrit celle-ci comme une déformation en cuvette de l'espace -temps, une planète qui tourne autours du soleil va tout droit dans un espace temps déformé qui fait qu'en fait il tourne autours du soleil.

La gravitation en plus ralentit le temps comme dans la relativité restreinte, on a pu constater ça avec mercure.

Mercure passe très près du soleil, ce qui ralentit son temps, son trajet n'est pas alors parfaitement eliptique et n'obéit pas au loi classique des orbitales des planètes.

Les calculs de la relativité générale a parfaitement prévu le trajet de cette planète.

Dans la théorie à particule unique, il n'y a plus d'espace temps mais la masse est alimentée en permanence pas les lignes gravitationnelles qui sont des colliers de U particules uniques à l'origine de toutes les particules classique et des quarks.

Ces Us vont très vite avec une vitesse qui est proportionnelle à la racine carrée de la masse, ce sont ces lignes qui peuvent alourdir les masses en les traversant (ce qui produit un effet équivalent au ralentissement du temps) et qui dévient les petites masses vers la grosse masse.

Le superfluide lui est le "pot d'échappement de la masse", il est produit en permanence par la masse et détruite également en permanence par les masses.

Ce superfluide permet le transfert de la lumière et est à l'origine des phénomènes relativiste par alourdissement des masses avec la vitesse.

Bonne lecture pour le fichier doc E =mc²

Il a des rappels de physique classique, si tu as des problèmes n'hésite pas à poser des questions, il y a de nombreux physiciens dans ce forum près à répondre à tes questions.

Bravo pour l'intérêt que tu portes ;) à la physique.

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Je pense qu'il est possible de construire une physique ou tout peut s'expliquer:

Les forces d'interaction forte, faible, d'attraction gravitationnelle et force d'attraction entre deux charges pourrait s'expliquer par des impacts directs entre cordes elles mêmes construites en particules Us

Je rejoints la théorie des cordes qui décrit les particules en fonction de leur forme de vibration dans l'espace, leur fréquence, la tension de la corde

La particule U est l'univers de l'étage inférieur.

Il s'agit donc d'une théorie fractale ou il n'y a au final pas de plus petite particule.

Le diamètre du U détermine à masse toujours égale sa capacité d'attraction gravitationnelle, plus il est petit, plus il est compact moins il attire (les quasars seraient des univers comme le notre beaucoup plus denses mais avec moins de pouvoirs gravitationnels, il seraient connectés en cordes, ce qui a été confirmé par les observations astronomiques et seraient les constituants principaux du superfluide ou éther), ces cordes de quasars sont à l'origine des effets relativistes de l'étage dimensionnel du dessus, nous pouvons ainsi l'observer en direct en observant notre univers local.

Au maximum un univers est compacté sous la forme d'un trou noir massif de l'ordre de 10 millions de kilomètre de diamètre qui a la même masse que notre univers mais qui n'a aucun effet gravitationnel.

Les mécanismes de ces effets sont expliqués dans la théorie à particule unique.

La gravitation dans cette théorie est un équilibre entre gravitation et antigravitation, la balance entre ces deux flux varie en fonction de la masse pour des raisons purement newtoniennes.

En effet, je pense que dans son mécanisme le plus intime, la physique est Newtonienne!!!

Sacré retour en arrière!!!

Si vous le voulez je peux continuer avec la dynamique relativiste, la notion d'impulsion, de quantité de mouvement.

Je ferai ensuite de gros rappels mathématiques pour vous expliquer la relativité générale.

Et à la fin, je retournerai sur le post particule unique pour vous faire la relativité version particule unique.

Modifié par alexandreW
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Invité Nejah Baazouzi
Invités, Posté(e)
Invité Nejah Baazouzi
Invité Nejah Baazouzi Invités 0 message
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voilà....une autre région très floue...."mais qu'est ce que la chaleur, la température; l'énergie??"...à mon avis ça doit avoir une relation concrète, réelle et logique avec la matière;

à fin que vous puissiez relativiser bien sur,smile.gif

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