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Le déterminisme existe t'il vraiment ?

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Holbach

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Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
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Entre la perception que j'ai d'un phénomène et l'idée que je m'en fait il y a une bonne part d'imagination... et ce serait d'en manquer cruellement que d'affirmer qu'il n'y aurait rien de plus que ce que je percevrais derrière ce que je penserais que c'est

Ce qui est un très sérieux manque d'imagination, c'est de supposer que tout ce qui est au delà de ma perception est une seule et même entité, et de ne pas lui trouver de meilleur nom que Dieu.

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narine_2 Membre 489 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Un instant, vous seriez prié de baisser votre agressivité d'un cran à défaut de quoi nos discussion prendront le ton qui suit comme norme... rtfm.gif La pratique de l'athéisme demanderait-elle moins d'imagination que sa théorie... si le fait de mettre sur papier demande plus d'imagination que la mise en action alors ce serait comme de dire que les athées ne savaient pas ce qu'ils faisaient alors car une théorie n'existait pas encore... wacko.gif

Inutile de devenir paranoïaque, il n'y a aucune agressivité dans mon précédent commentaire :)

Je ne sais pas ce que vous entendez par "pratique de l'athéisme". Vous devriez plutôt parler d'absence de pratique religieuse. Votre argument est fallacieux puisque nous savons depuis monsieur Jourdain qu'il est possible de faire de la prose sans le savoir. De même, et pour rester dans le domaine de l'analogie, les théories modernes du langage et du sens n'ont jamais empêché personne de s'exprimer avant qu'elles ne soient conçues.

Je parlais du fait de ne pas allez plus loin que ce l'on perçoit (manque d'imagination) pour se faire une idée de ce qui serait en réalité... qu'il faut une bonne dose d'imagination et de créativité pour meubler les creux de ce que la perception ne permet pas de prendre en compte ou d'inclure à la prise de conscience...

L'analyse empirique, rationnelle et critique du réel nécessite autant d'imagination que l'invention de l'idée de Dieu qui reste, malgré toute l'importance que vous semblez lui accorder, une idée comme les autres.

D'autre part l'imagination ne se résume pas à la seule capacité de penser Dieu ou tout autre truc mystique du même acabit. L'imagination permet aussi, entre autre, l'intuition, le désir et l'anticipation.

Sans compter toute la subjectivité du mot ''imposture'' alors que rien n'est prouvé sur rien... à ce compte l'athéisme est une imposture au même titre que la religion... wink1.gif

La seule chose qui soit prouvée c'est qu'il est possible de vivre en faisant l'économie de l'idée de Dieu. Un athée peut se satisfaire d'une telle vie et aura même tendance à fuir le genre de débat oiseux qui nous occupe ici.

Par ailleurs, pourquoi accordez-vous autant d'importance à un sujet qui, comme vous le dites vous-même, n'est fondé sur aucune preuve tangible ? Vous devriez ranger cette idée dans la même catégorie que celle des fées des bois et des petits lutins.

Contrairement à ce que vous croyez, l'athéisme nie bel et bien l'existence de Dieu ou encore affirme son inexistence... si vous ne comprenez pas ce que vous écrivez alors je n'ai aucun conseil à vous donnez... mais dire d'une chose qu'elle est un concept abstrait sans réalité propre et dire qu'on n'affirme pas qu'elle n'existe pas relève de la contradiction pure et simple.

Comme je l'ai écrit plus haut l'athéisme ne nie pas l'existence de Dieu, il dit simplement que Dieu est une invention humaine au même titre que le père noël. C'est une forme d'existence à part entière.

Malheureusement je n'ai pas de conseil à vous donnez sur le fait que vous ne comprendriez pas où je voulais en venir puisque vous demandez de bien relire les interventions et les citations avant de répondre ne saurait vous convenir...

Votre manière peu claire de vous exprimer plaide en ma faveur, elle fait office de circonstances atténuantes. Aussi ne m'en veuillez pas trop si je vous fait répéter plus qu'il n'est nécessaire ;)

Mais je constate par contre que votre empressement à ramener l'athéisme sur le tapis serait en soi lié à un manque d'imagination de votre part faisant que la seule présence du mot Dieu dans un texte vous limiterait à la seule perception du mot et non de à la compréhension de l'idée qu'il y aurait vraiment derrière le mot.

C'est ce qui arrive lorsqu'on ne perçoit rien et que l'on ne se fait pas d'idée sur ce que l'on ne percevrait pas tout en ce contentant de se faire à l'idée que si on ne perçoit rien c'est qu'il n'y a rien... la simple traduction en réalité d'un manque d'imagination, cette capacité cérébrale dont le manque vous empêcherait de penser Dieu... huh7re.gif

J'ai beaucoup d'imagination : je vous imagine gros, barbu, torse-nu devant votre ordinateur, avec un piercing au téton droit. Par contre je ne peux pas concevoir l'idée d'un être qui serait à la fois omniscient et omnipotent - l'un annulant nécessairement l'autre : "Un Dieu omniscient qui connait l'avenir a-t-il la toute-puissance de changer ses futurs projets ?" - Karen Owens

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Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
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À L'IMAGINAIRE on peut faire dire ce que l’on veut ex : (la terre est plate) ! Pas à la causalité, n’y au déterminisme, n’y a l’expérience, n’y en particulier à la compréhension de la nature.

On peut même lui faire dire que l'on peut faire dire ce que l'on veut à l'imaginaire... tongue.gif

On peut même lui faire dire que les effets précèdent les causes et qu'il y aurait une cause à cela... que le déterminisme existe sans expériences pour le prouver faisant aussi que le déterminisme n'existe pas sans expériences pour le prouver... ou même que l'on comprendrait la nature alors qu'il n'y aurait rien à comprendre... que l'on comprendrait qu'il n'y a rien à comprendre à la nature et ce faisant qu'en y comprenant quelquechose on n'y comprendrait rien. huh7re.gif

Tu ne sembles pas comprendre l’effet de renversement.

Sans doute parce que je renverserais l'effet de compréhension... blink.gif

Non c’est simplement que pour toi tout semple être de l’amusement tu es un enfant immature dans une classe d’adulte! Tu joues au con. Tu ne désires pas réellement connaitre ou comprendre les autres! La folie entend la folie !

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Membre, Posté(e)
La Folie Membre 3 905 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Entre la perception que j'ai d'un phénomène et l'idée que je m'en fait il y a une bonne part d'imagination... et ce serait d'en manquer cruellement que d'affirmer qu'il n'y aurait rien de plus que ce que je percevrais derrière ce que je penserais que c'est

Ce qui est un très sérieux manque d'imagination, c'est de supposer que tout ce qui est au delà de ma perception est une seule et même entité, et de ne pas lui trouver de meilleur nom que Dieu.

Vous n'avez qu'à simplement partir un concours pour lui trouver un nom si celui-ci n'est pas assez original pour vous... tiens, pourquoi ne pas l'appeler le Nom... à moins que vous ne laissiez ce soin au hasard. huh7re.gif

Mais encore, au-dela de cette phrase ''trollesque'' à souhait, que supposeriez-vous qu'il y aurait derrière votre perception et qui se révélerait être un petit trésor d'imagination...

Régleriez-vous la question des débuts en disant : ''pas de début''...

Régleriez-vous la question du but en disant : ''pas de but''...

Régleriez-vous la question de Dieu en disant : ''pas de Dieu''...

Régleriez-vous la question de l'imagination en disant : ''aucune imagination''.. wink1.gif

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Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Entre la perception que j'ai d'un phénomène et l'idée que je m'en fait il y a une bonne part d'imagination... et ce serait d'en manquer cruellement que d'affirmer qu'il n'y aurait rien de plus que ce que je percevrais derrière ce que je penserais que c'est

Ce qui est un très sérieux manque d'imagination, c'est de supposer que tout ce qui est au delà de ma perception est une seule et même entité, et de ne pas lui trouver de meilleur nom que Dieu.

Vous n'avez qu'à simplement partir un concours pour lui trouver un nom si celui-ci n'est pas assez original pour vous... tiens, pourquoi ne pas l'appeler le Nom... à moins que vous ne laissiez ce soin au hasard. huh7re.gif le hasard il n'y an a pas juste de l'ingniorance!

Mais encore, au-dela de cette phrase ''trollesque'' à souhait, que supposeriez-vous qu'il y aurait derrière votre perception et qui se révélerait être un petit trésor d'imagination...

Régleriez-vous la question des débuts en disant : ''pas de début''... causalité et éternité!

Régleriez-vous la question du but en disant : ''pas de but''... Humainement oui!

Régleriez-vous la question de Dieu en disant : ''pas de Dieu''... Tout le démontre!

Régleriez-vous la question de l'imagination en disant : ''aucune imagination''.. wink1.gif

l'imagination expliquand l'univers très drole!

Ici ont vois la différance: J'ai vu personnellement des travailleurs qui pleuraient en voyant leur usine partiellement détruite, car dans ce lieu de mort se détruisait une partie considérable de leur vie, qui, tout en étant misérable et méprisable, était la seule qu'ils connaissaient, la seule dont ils avaient fait l'expérience. - Alfredo Bonnano

Il y a du sérieux au mal que fait la religion!

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Membre, Posté(e)
La Folie Membre 3 905 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je ne sais pas ce que vous entendez par "pratique de l'athéisme".

Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme.

Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme...

Vous devriez plutôt parler d'absence de pratique religieuse.

Si je voulais parler de laïcité alors oui... mais celui qui ne sait pas et qui est ignorant ne peut être qualifier d'athée par défaut... encore lui faut-il nier que Dieu existe au minimum... vous ne pouvez nier ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence... wacko.gif

Votre argument est fallacieux puisque nous savons depuis monsieur Jourdain qu'il est possible de faire de la prose sans le savoir. De même, et pour rester dans le domaine de l'analogie, les théories modernes du langage et du sens n'ont jamais empêché personne de s'exprimer avant qu'elles ne soient conçues.

En autant que vous niez l'existence de Dieu alors vous êtes athée même sans le savoir... mais si vous ne le nier pas alors vous êtes tout aussi croyant sans le savoir.

Mais n'oubliez pas que l'on ne parlait que du fait d'avoir plus ou moins d'imagination et du fait que la théorisation en demanderait plus que la pratique selon vous... pour le reste ça n'a aucun rapport.

L'analyse empirique, rationnelle et critique du réel nécessite autant d'imagination que l'invention de l'idée de Dieu qui reste, malgré toute l'importance que vous semblez lui accorder, une idée comme les autres.

Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination...

On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité.

Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. acute.gif

D'autre part l'imagination ne se résume pas à la seule capacité de penser Dieu ou tout autre truc mystique du même acabit. L'imagination permet aussi, entre autre, l'intuition, le désir et l'anticipation.

Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre.

La seule chose qui soit prouvée c'est qu'il est possible de vivre en faisant l'économie de l'idée de Dieu. Un athée peut se satisfaire d'une telle vie et aura même tendance à fuir le genre de débat oiseux qui nous occupe ici.

Ceci dit par l'athée qui a pris la peine d'apporter son athéisme jusque dans ce débat qu'il qualifie lui-même d'oiseux... vava.gif

Mais il n'est nul besoin de faire l'économie ou non de Dieu pour vivre... on peut même faire l'économie de la morale, de l'amour et de plein d'autres trucs... mais il y aura toujours ceux qui cherchent à donner un sens à leur vie et ceux qui n'en ressentent pas le besoin... ceux qui sans même le savoir affirmeraient que la vie n'a pas de sens par exemple.

Par ailleurs, pourquoi accordez-vous autant d'importance à un sujet qui, comme vous le dites vous-même, n'est fondé sur aucune preuve tangible ? Vous devriez ranger cette idée dans la même catégorie que celle des fées des bois et des petits lutins.

Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé.

Comme je l'ai écrit plus haut l'athéisme ne nie pas l'existence de Dieu, il dit simplement que Dieu est une invention humaine au même titre que le père noël. C'est une forme d'existence à part entière.

Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme...

Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas....

Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple.

Votre manière peu claire de vous exprimer plaide en ma faveur, elle fait office de circonstances atténuantes. Aussi ne m'en veuillez pas trop si je vous fait répéter plus qu'il n'est nécessaire ;)

Et votre manière de vous exprimez me faisant dire que vous n'en avez rien à foutre alors ne m'en veuillez pas si je ne me répète pas plus que je le jugerais nécessaire... pleasantry.gif

J'ai beaucoup d'imagination : je vous imagine gros, barbu, torse-nu devant votre ordinateur, avec un piercing au téton droit. Par contre je ne peux pas concevoir l'idée d'un être qui serait à la fois omniscient et omnipotent - l'un annulant nécessairement l'autre : "Un Dieu omniscient qui connait l'avenir a-t-il la toute-puissance de changer ses futurs projets ?" - Karen Owens

Peut-être que vous devriez réfléchir un peu plus plutôt que de fantasmer sur mes propres attributs angel.gif, étrangement pour ma part je vous imaginais avec un doigt dans la narine #2 nea.gif ... ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté.

Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent...

Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté.

Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. shok.gif

Non c’est simplement que pour toi tout semple être de l’amusement tu es un enfant immature dans une classe d’adulte! Tu joues au con. Tu ne désires pas réellement connaitre ou comprendre les autres! La folie entend la folie !

C'est uniquement une question de perception... en fait je suis l'effet dont vous êtes la cause. Une simple question de principe dont il ne faut même pas s'attarder à trouver un sens quelconque selon vous... alors pourquoi en chercheriez-vous un, ne faites qu'étudiez la cause et vous pourrez alors peut-être comprendre l'effet qui en résulte. wink1.gif

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Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
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Je ne sais pas ce que vous entendez par "pratique de l'athéisme".

Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme.

Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme...

Vous devriez plutôt parler d'absence de pratique religieuse.

Si je voulais parler de laïcité alors oui... mais celui qui ne sait pas et qui est ignorant ne peut être qualifier d'athée par défaut... encore lui faut-il nier que Dieu existe au minimum... vous ne pouvez nier ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence... wacko.gif

Votre argument est fallacieux puisque nous savons depuis monsieur Jourdain qu'il est possible de faire de la prose sans le savoir. De même, et pour rester dans le domaine de l'analogie, les théories modernes du langage et du sens n'ont jamais empêché personne de s'exprimer avant qu'elles ne soient conçues.

En autant que vous niez l'existence de Dieu alors vous êtes athée même sans le savoir... mais si vous ne le nier pas alors vous êtes tout aussi croyant sans le savoir.

Mais n'oubliez pas que l'on ne parlait que du fait d'avoir plus ou moins d'imagination et du fait que la théorisation en demanderait plus que la pratique selon vous... pour le reste ça n'a aucun rapport.

L'analyse empirique, rationnelle et critique du réel nécessite autant d'imagination que l'invention de l'idée de Dieu qui reste, malgré toute l'importance que vous semblez lui accorder, une idée comme les autres.

Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination...

On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité.

Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. acute.gif

D'autre part l'imagination ne se résume pas à la seule capacité de penser Dieu ou tout autre truc mystique du même acabit. L'imagination permet aussi, entre autre, l'intuition, le désir et l'anticipation.

Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre.

La seule chose qui soit prouvée c'est qu'il est possible de vivre en faisant l'économie de l'idée de Dieu. Un athée peut se satisfaire d'une telle vie et aura même tendance à fuir le genre de débat oiseux qui nous occupe ici.

Ceci dit par l'athée qui a pris la peine d'apporter son athéisme jusque dans ce débat qu'il qualifie lui-même d'oiseux... vava.gif

Mais il n'est nul besoin de faire l'économie ou non de Dieu pour vivre... on peut même faire l'économie de la morale, de l'amour et de plein d'autres trucs... mais il y aura toujours ceux qui cherchent à donner un sens à leur vie et ceux qui n'en ressentent pas le besoin... ceux qui sans même le savoir affirmeraient que la vie n'a pas de sens par exemple.

Par ailleurs, pourquoi accordez-vous autant d'importance à un sujet qui, comme vous le dites vous-même, n'est fondé sur aucune preuve tangible ? Vous devriez ranger cette idée dans la même catégorie que celle des fées des bois et des petits lutins.

Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé.

Comme je l'ai écrit plus haut l'athéisme ne nie pas l'existence de Dieu, il dit simplement que Dieu est une invention humaine au même titre que le père noël. C'est une forme d'existence à part entière.

Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme...

Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas....

Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple.

Votre manière peu claire de vous exprimer plaide en ma faveur, elle fait office de circonstances atténuantes. Aussi ne m'en veuillez pas trop si je vous fait répéter plus qu'il n'est nécessaire ;)

Et votre manière de vous exprimez me faisant dire que vous n'en avez rien à foutre alors ne m'en veuillez pas si je ne me répète pas plus que je le jugerais nécessaire... pleasantry.gif

J'ai beaucoup d'imagination : je vous imagine gros, barbu, torse-nu devant votre ordinateur, avec un piercing au téton droit. Par contre je ne peux pas concevoir l'idée d'un être qui serait à la fois omniscient et omnipotent - l'un annulant nécessairement l'autre : "Un Dieu omniscient qui connait l'avenir a-t-il la toute-puissance de changer ses futurs projets ?" - Karen Owens

Peut-être que vous devriez réfléchir un peu plus plutôt que de fantasmer sur mes propres attributs angel.gif, étrangement pour ma part je vous imaginais avec un doigt dans la narine #2 nea.gif ... ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté.

Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent...

Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté.

Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. shok.gif

Non c’est simplement que pour toi tout semple être de l’amusement tu es un enfant immature dans une classe d’adulte! Tu joues au con. Tu ne désires pas réellement connaitre ou comprendre les autres! La folie entend la folie !

C'est uniquement une question de perception... en fait je suis l'effet dont vous êtes la cause. Une simple question de principe dont il ne faut même pas s'attarder à trouver un sens quelconque selon vous... alors pourquoi en chercheriez-vous un, ne faites qu'étudiez la cause et vous pourrez alors peut-être comprendre l'effet qui en résulte. wink1.gif

Le mouvement perpétuel

Le mouvement perpétuel est à la basse de la causalité et a la basse du circonstancielle et de la sélection naturelle et la célection naturelle est à la basse des intérêts divergents de par les beusoins et les désires en inter actions, il y a donc par nécessité conflit d'intérêt par endroit et réciprocité d'intérêt par autre endroits. ce qui crée le déterminisme c'est l'interaction causal du à la nature des choses et de se que l'on a l'habitude d'appeler des êtres. Le racisme, le sexisme, et les politiques diverses tous conflie d'intérêt, ect... ne sont que l'expression de la nature! Quand on à comprit cela ont ne se demandes plus si Dieu existe. http://fedayin-feal.skyrock.com/

Déterminisme

Déterminisme

Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité.

Sommaire

Définition

Le déterminisme est la théorie selon laquelle la succession des événements et des phénomènes est due au principe de causalité, ce lien pouvant parfois être décrit par une loi physico-mathématique qui fonde alors le caractère prédictif de ces derniers.

Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science. La distinction pourra sembler subtile, mais ce qui démarque fondamentalement le déterminisme du nécessitarisme, c'est que la nécessité déterministe n'est pas une nécessité philosophique ou spéculative, mais une nécessité calculable en fait, en droit ou, du moins, en hypothèse.

On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. Est régional le déterminisme qui gouverne un nombre fini d'éléments (le système boulet/obus est déterministe en ce sens : une fois donnés la force propulsive de la poudre, l'angle du canon par rapport à l'horizontale, la masse du boulet et la résistance de l'air, on peut calculer avec une très grande précision la forme et la durée de la trajectoire ainsi que, par conséquent, le point d'impact). Le déterminisme universel, parfois qualifié de « déterminisme laplacien », est problématique : peut-on considérer l'univers dans sa totalité comme un système déterministe ? Le déterminisme régional semble a priori moins problématique (de nombreux systèmes obéissent apparemment à des lois qui les rendent nécessaires).

L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach :

« Dans un tourbillon de poussière qu'élève un vent impétueux ; quel qu'il paraisse à nos yeux, dans la plus affreuse tempête excitée par des vents opposés qui soulèvent les flots, il n'y a pas une seule molécule de poussière ou d'eau qui soit placée au hasard, qui n'ait sa cause suffisante pour occuper le lieu où elle se trouve, et qui n'agisse rigoureusement de la manière dont elle doit agir. Un géomètre qui connaîtrait exactement les différentes forces qui agissent dans les deux cas, et les propriétés des molécules qui sont mues, démontrerait que, d'après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu'elle ne fait. »

Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature

D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur :

« Nous devons envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre, dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence. Ses découvertes en mécanique et en géométrie, jointes à celles de la pesanteur universelle, l'ont mis à portée de comprendre dans les mêmes expressions analytiques les états passés et futurs du système du monde. En appliquant la même méthode à quelques autres objets de ses connaissances, il est parvenu à ramener à des lois générales les phénomènes observés, et à prévoir ceux que les circonstances données doivent faire éclore. »

Pierre-Simon Laplace, Essai philosophique sur les probabilités (1814)

En vertu du déterminisme universel, l'intelligence qui connaîtrait avec une absolue précision la position et l'énergie de tout objet dans la position initiale pourrait calculer l'évolution de l'univers à tout moment du temps. Déterminisme est dans ce cas synonyme de prédictibilité. Cependant, il existe des systèmes déterministes non prédictibles comme un ordinateur exécutant un programme.

Le déterminisme social est le modèle sociologique qui établit la primauté de la société sur l'individu.

Théorie de la calculabilité

Article détaillé : Déterminisme (Calculabilité).

Le déterminisme comme notion mathématique vit le jour avec la formalisation des mathématiques à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle et devint une notion centrale de la calculabilité avec l'apparition de la théorie des automates au milieu du XXe siècle. L'apparition de l'informatique quantique à la fin du XXe siècle et celle de la conception forte de la thèse de Church-Turing, baptisée thèse de Church–Turing–Deutsch, permet de concevoir une synthèse entre le déterminisme calculatoire et le déterminisme physique promus par l'école de la physique numérique dont la proposition « it from bit » est devenu l'emblème.

Limites

L'hypothèse du déterminisme universel a gouverné la science du XIXe siècle. Elle a été remise en cause par la physique moderne au XXe siècle :

par la physique quantique, et plus précisément, par le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg (1927), qui implique l'impossibilité de connaître avec une infinie précision la position et la vitesse d'une particule, contrairement aux données requises par le « génie » de Laplace ; on ne peut les connaître qu'à l'aide d'une fonction de probabilité. Cependant, le déterminisme ne disparaît pas totalement en physique quantique, puisque ces probabilités peuvent être calculées exactement à partir de l'état initial du système considéré selon des lois rigoureusement déterministes (par exemple, l'équation de Schrödinger en mécanique quantique non relativiste).Toutefois, contrairement à l'hypothèse du déterminisme classique, le principe d'incertitude semble impliquer que l'Univers obéit au libre jeu du hasard et de la nécessité. Albert Einstein affirma à ce sujet : « Dieu ne joue pas aux dés », ce à quoi Niels Bohr répondit : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire ! » (selon d'autres : « Comment savoir à quoi Dieu joue ? »). Mais la physique quantique n'invaliderait que le déterminisme universel : le déterminisme régional reste un principe d'explication physique incontournable pour nombre de phénomènes.Le principe d'incertitude d'Heisenberg n'invalide pas (à lui seul) le déterminisme universel. En effet: une intelligence intérieure à l'univers ne sera probablement jamais en mesure de connaître exactement l'état de l'univers entier à un instant donné, mais cela n'invalide en rien la théorie du déterminisme universel, puisque la possibilité de connaître l'état de l'univers n'est ni un prérequis ni une conséquence nécessaire du déterminisme universel.

La physique quantique est un modèle empirique et statistique qui décrit le comportement des particules et des rayonnements sans rien dire de leur nature intrinsèque.

par la théorie du chaos, qui décrit dans quelles conditions un système peut sembler non « prédictible » (voire est non prédictible au sens de Poincaré, von Neumann et Lorenz).Le déterminisme est lié au principe de causalité (les mêmes causes produisent les mêmes effets) ; la théorie du chaos précise que des causes pseudo-identiques peuvent dans certains cas produire des effets totalement divergents et en ce sens, s'écarte du principe de causalité. Tel est le cas des prévisions météorologiques et du phénomène de « l'aile de papillon ».

Le principe d'incertitude d'Heisenberg et la théorie du chaos remettent en cause la prédictibilité de certains systèmes, et non pas leur caractère déterministe. Ils ne contredisent en aucun sens le principe de causalité. Par contre ils réduisent considérablement la possibilité de confirmer l'hypothèse du déterminisme, en rendant inaccessibles à l'expérience certaines validations.

En tout état de cause, le déterminisme universel n'est qu'une hypothèse. La démonstration de cette hypothèse nécessiterait en particulier d'être en mesure de prédire l'évolution de l'univers avec une absolue précision, ce qui n'est toujours pas concevable aujourd'hui, en particulier du fait du caractère non mesurable d'un certain nombre de phénomènes.

D'autre part, le principe de causalité lié au déterminisme suppose l'identité des causes, ce qui n'est possible, en toute rigueur, que dans certains cas, comme une modélisation mathématique, et non en physique où l'on ne peut parler que de causes semblables (ou pseudo-identiques), ce qui suffit pour les constructeurs et l'industrie en général, mais non pour les phénomènes fortement sensibles aux conditions initiales (voir en particulier les cas mis en évidence par la théorie dite du chaos).

Le déterminisme ne doit pas être confondu avec l'idée de prédestination des jansénistes ou de Blaise Pascal, qui est une idée purement théologique, concernant d'ailleurs moins la série des événements que le salut ou la réprobation de l'âme après la mort.

Psychanalyse

La psychanalyse repose sur l'affirmation d'un déterminisme inconscient absolu et a priori de la vie psychique. Selon Sigmund Freud, ce déterminisme psychique, tel qu'il le conçoit, exclut toute forme de hasard et de non-sens (Freud récuse formellement tout "hasard intérieur" et affirme que seul le superstitieux croît au hasard intérieur). Pour la plupart des critiques de son oeuvre, et étant donné sa nature même, cette affirmation ne devrait pas être considérée comme ce qui fut présenté par Freud, comme une "hypothèse", (Georges Politzer), mais bien comme un dogme a priori. Freud en donne de multiples illustrations dans toute son oeuvre, et particulièrement dans "Psychopathologie de la vie quotidienne" où il affirme que tous les mots et les nombres sont parfaitement déterminés pour des raisons qui échappent à la conscience. On trouve également des prises de positions explicites sur les options déterministes de Freud dans sa troisième leçon sur la psychanalyse. Selon de nombreux critiques de la psychanalyse, comme Jacques Bouveresse, Freud n'aurait pu imaginer investiguer les "associations libres" de ses patients, s'il n'avait posé, a priori, l'affirmation d'un déterminisme psychique qui lui semblait assez complet (absolu) pour le faire.

Le secret des initiés

La réponse au questionnement existantielle est dans la nature de l'éternel changement et de la constitution humaine ou autres qui l'observe et en est issu!

La causalité menent au déterminisme est cela même dans le domaine de la pensée et des sentiments où et des émotions, chacun agissent celons sa constitution en rapport avec l'interaction avec son environnement.

Le Très-Haut prophète du déterminisme en assure la garde et la garanti vient du déterminisme lui-même ce qui est pré-ordonner n'a pas d'échec possible. C'est les actions, les actes, les faits, les cosses et les effets qui témoignent de se qui est, non les paroles qui peuvent aussi bien être vrais que fausse. Qui sais se q'un être humain a dans ses dessins ? Les actions témoignent de la volonté!

La volonté des être humains, comme celle des autres espèces est mue par des impératifs vitaux, des besoins naturelles, des désirs, mais elle est aussi mue par les informations, la connaissance, le savoir, et l'ajustement correcte ou non correcte; conforme aux réel, donc a ce qui est! Changer aise vivre ou mourir ?

C'est la triste mais réel vérité celle que nus ne veux entendre et pour temps! C'est la seul vérité qui conduit peut-être a la survie éternelle et au bonheur humain. Je me suis posée cette question après bien d'autres; Changer aise vivre ou mourir ? Nous venons au monde et déjà nous commençons a mourir. Nous changeons jours après jours, d'instant en instant. Par ce que ainsi est la nature de l'univers, une succession de causalité un changement perpétuelle! Nous somme réel par ce que l'univers est réel, nous somme ce que nous somme, par ce que l'univers est ce quelle est! Dans la grande ordonnance de l'univers nous somme n'y bon, n'y mauvais. Nous agissons selon notre nature et conformément au circonstances! Le lion n'est pas plus mauvais que l'aigle, la brebis meilleure que le sers. Si nous désirons survivre alors nous devons réellement changé! Non seulement mentalement, mais physiquement! Notre vie prendras seulement un sens quand nous rechercherons a être éternelle, a vivre en harmonie, a atteindre le bonheur et a entamais la recherche du réel au-delà de notre compréhension actuelle et de nos limites présentes. Ce qui donne un ou des sens a la vie c'est le ou les buts que l'ont cherche a atteindre. Et c'est buts n'aurais aucun sens si la seul alternative étais la mort- la fin de notre être. Cars après la mort le néant suis ! Et ce néant est la fin et la fin rend inutile le sens même de la vie. La vie qui est changement, transformation, évolution! Il faut abandonné les superstitions, les croyances, la fausseté et l'erreur. Il faut comprendre que les concepts philosophiqaux- religieux sons des leurres issu de l'imaginaire subjectif. Au-delà du sens quotidien de notre vie, il est recelé un but ultime, suprême et même absolu.

Celui d'être!

Se que nous somme n'est jamais aussi importent que se que nous devenons jour après jours. Après tout ce que nous désirons être est plus importent que se que nous somme! Le désir, les bons désirs la bonne volonté est le fondement même de notre être, et non les besoins qui ne sont que l'aspect négatif de nos nombreuses limitations. Aspect négatif par ce qu'il nous empêchent d'atteindre au changement perpétuelle celle même de la nature de l'univers et par le fait même de la notre. Il semble que l'univers par la causalité et sons déterminisme est engendré des êtres qui dans leur réalité ont non seulement le potentielle de changé leur environnement mais aussi de se changé eux même ! La question est la suivante qu'est ce qui doit être changé ? Et qu'est ce qui doit être gardé ? Quand je dit que notre nature actuelle n'est pas bonne et que la nature actuelle n'est pas bonne! J'entend par la quelle ne nous sers pas bien n'y individuellement n'y collectivement! Et non quelle est mauvaise pluise quelle ne fait que répondre a sa propre nature n'y bien, n'y mal. Malgré cela elle nous fait courir droit au désastre, a la confrontation, a la concurrence créent de plus en plus de pression pour la survie et de moins en moins d'agrément pour la vie par la loi de la sélection naturelle.

Notre Dieu (L'inconnue), Notre religion : (Nos idéaux), l'harmonie, la symbiose, l'osmose, l'homéostasie contrôlé, la vie éternelle et la recherche perpétuelle de la réalité globale Dieu. La science, la connaissance, le savoir (notre planche de salut), pour atteindre l'inconnue; Dieu. S'il n'y a pas la volonté, n'y le déterminisme conscient, n'y l'intérêt réciproque, n'y les moyens, n'y la foi en ce qui a étais donné a l'homme de faire. Ne perdez pas votre temps et votre énergie dans le déterminisme inconscient, Car l'a est l'aspect végétatif du sous homme ou de la sous femme dont la fin est écrite des le commencement! Ils sont des morts en sourcil. Que vos idéaux soit éternelle. Que votre volonté soit éternelle. Que votre déterminisme conscient soit progressiste et donc éternelle

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Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ce qui est un très sérieux manque d'imagination, c'est de supposer que tout ce qui est au delà de ma perception est une seule et même entité, et de ne pas lui trouver de meilleur nom que Dieu.

Vous n'avez qu'à simplement partir un concours pour lui trouver un nom huh7re.gif

J'ai mis en gras la phrase clé pour comprendre que le problème du nom n'a rien d'essentiel.

Mais encore, au-dela de cette phrase ''trollesque'' à souhait, que supposeriez-vous qu'il y aurait derrière votre perception et qui se révélerait être un petit trésor d'imagination...

Trollesque ? Pourquoi ? Ni le sujet ni les termes ne sont provocateurs. Va falloir trouver une autre défense.

Régleriez-vous la question des débuts en disant : ''pas de début''...

Régleriez-vous la question du but en disant : ''pas de but''...

Régleriez-vous la question de Dieu en disant : ''pas de Dieu''...

Pourquoi pas ? Rien ne nous dit qu'il faut un début, un but, ou un Dieu. Les 3 réponses sont donc recevables. Mais si tu penses pouvoir faire mieux, vas y : règle ces questions à ta manière "imaginative", qu'on voit ce que ça donne...

Régleriez-vous la question de l'imagination en disant : ''aucune imagination''.. wink1.gif

En ce qui te concerne, difficile à dire. Faudrait déjà pouvoir t'enlever tes oeillères.

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Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je ne sais pas ce que vous entendez par "pratique de l'athéisme".

Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme.

Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme...

Vous devriez plutôt parler d'absence de pratique religieuse.

Si je voulais parler de laïcité alors oui... mais celui qui ne sait pas et qui est ignorant ne peut être qualifier d'athée par défaut... encore lui faut-il nier que Dieu existe au minimum... vous ne pouvez nier ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence... wacko.gif

Votre argument est fallacieux puisque nous savons depuis monsieur Jourdain qu'il est possible de faire de la prose sans le savoir. De même, et pour rester dans le domaine de l'analogie, les théories modernes du langage et du sens n'ont jamais empêché personne de s'exprimer avant qu'elles ne soient conçues.

En autant que vous niez l'existence de Dieu alors vous êtes athée même sans le savoir... mais si vous ne le nier pas alors vous êtes tout aussi croyant sans le savoir.

Mais n'oubliez pas que l'on ne parlait que du fait d'avoir plus ou moins d'imagination et du fait que la théorisation en demanderait plus que la pratique selon vous... pour le reste ça n'a aucun rapport.

L'analyse empirique, rationnelle et critique du réel nécessite autant d'imagination que l'invention de l'idée de Dieu qui reste, malgré toute l'importance que vous semblez lui accorder, une idée comme les autres.

Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination...

On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité.

Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. acute.gif

D'autre part l'imagination ne se résume pas à la seule capacité de penser Dieu ou tout autre truc mystique du même acabit. L'imagination permet aussi, entre autre, l'intuition, le désir et l'anticipation.

Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre.

La seule chose qui soit prouvée c'est qu'il est possible de vivre en faisant l'économie de l'idée de Dieu. Un athée peut se satisfaire d'une telle vie et aura même tendance à fuir le genre de débat oiseux qui nous occupe ici.

Ceci dit par l'athée qui a pris la peine d'apporter son athéisme jusque dans ce débat qu'il qualifie lui-même d'oiseux... vava.gif

Mais il n'est nul besoin de faire l'économie ou non de Dieu pour vivre... on peut même faire l'économie de la morale, de l'amour et de plein d'autres trucs... mais il y aura toujours ceux qui cherchent à donner un sens à leur vie et ceux qui n'en ressentent pas le besoin... ceux qui sans même le savoir affirmeraient que la vie n'a pas de sens par exemple.

Par ailleurs, pourquoi accordez-vous autant d'importance à un sujet qui, comme vous le dites vous-même, n'est fondé sur aucune preuve tangible ? Vous devriez ranger cette idée dans la même catégorie que celle des fées des bois et des petits lutins.

Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé.

Comme je l'ai écrit plus haut l'athéisme ne nie pas l'existence de Dieu, il dit simplement que Dieu est une invention humaine au même titre que le père noël. C'est une forme d'existence à part entière.

Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme...

Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas....

Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple.

Votre manière peu claire de vous exprimer plaide en ma faveur, elle fait office de circonstances atténuantes. Aussi ne m'en veuillez pas trop si je vous fait répéter plus qu'il n'est nécessaire ;)

Et votre manière de vous exprimez me faisant dire que vous n'en avez rien à foutre alors ne m'en veuillez pas si je ne me répète pas plus que je le jugerais nécessaire... pleasantry.gif

J'ai beaucoup d'imagination : je vous imagine gros, barbu, torse-nu devant votre ordinateur, avec un piercing au téton droit. Par contre je ne peux pas concevoir l'idée d'un être qui serait à la fois omniscient et omnipotent - l'un annulant nécessairement l'autre : "Un Dieu omniscient qui connait l'avenir a-t-il la toute-puissance de changer ses futurs projets ?" - Karen Owens

Peut-être que vous devriez réfléchir un peu plus plutôt que de fantasmer sur mes propres attributs angel.gif, étrangement pour ma part je vous imaginais avec un doigt dans la narine #2 nea.gif ... ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté.

Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent...

Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté.

Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. shok.gif

Non c’est simplement que pour toi tout semple être de l’amusement tu es un enfant immature dans une classe d’adulte! Tu joues au con. Tu ne désires pas réellement connaitre ou comprendre les autres! La folie entend la folie !

C'est uniquement une question de perception... en fait je suis l'effet dont vous êtes la cause. Une simple question de principe dont il ne faut même pas s'attarder à trouver un sens quelconque selon vous... alors pourquoi en chercheriez-vous un, ne faites qu'étudiez la cause et vous pourrez alors peut-être comprendre l'effet qui en résulte. wink1.gif

Le mouvement perpétuel

Le mouvement perpétuel est à la basse de la causalité et a la basse du circonstancielle et de la sélection naturelle et la célection naturelle est à la basse des intérêts divergents de par les beusoins et les désires en inter actions, il y a donc par nécessité conflit d'intérêt par endroit et réciprocité d'intérêt par autre endroits. ce qui crée le déterminisme c'est l'interaction causal du à la nature des choses et de se que l'on a l'habitude d'appeler des êtres. Le racisme, le sexisme, et les politiques diverses tous conflie d'intérêt, ect... ne sont que l'expression de la nature! Quand on à comprit cela ont ne se demandes plus si Dieu existe. http://fedayin-feal.skyrock.com/

Déterminisme

Déterminisme

Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité.

Sommaire

Définition

Le déterminisme est la théorie selon laquelle la succession des événements et des phénomènes est due au principe de causalité, ce lien pouvant parfois être décrit par une loi physico-mathématique qui fonde alors le caractère prédictif de ces derniers.

Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science. La distinction pourra sembler subtile, mais ce qui démarque fondamentalement le déterminisme du nécessitarisme, c'est que la nécessité déterministe n'est pas une nécessité philosophique ou spéculative, mais une nécessité calculable en fait, en droit ou, du moins, en hypothèse.

On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. Est régional le déterminisme qui gouverne un nombre fini d'éléments (le système boulet/obus est déterministe en ce sens : une fois donnés la force propulsive de la poudre, l'angle du canon par rapport à l'horizontale, la masse du boulet et la résistance de l'air, on peut calculer avec une très grande précision la forme et la durée de la trajectoire ainsi que, par conséquent, le point d'impact). Le déterminisme universel, parfois qualifié de « déterminisme laplacien », est problématique : peut-on considérer l'univers dans sa totalité comme un système déterministe ? Le déterminisme régional semble a priori moins problématique (de nombreux systèmes obéissent apparemment à des lois qui les rendent nécessaires).

L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach :

« Dans un tourbillon de poussière qu'élève un vent impétueux ; quel qu'il paraisse à nos yeux, dans la plus affreuse tempête excitée par des vents opposés qui soulèvent les flots, il n'y a pas une seule molécule de poussière ou d'eau qui soit placée au hasard, qui n'ait sa cause suffisante pour occuper le lieu où elle se trouve, et qui n'agisse rigoureusement de la manière dont elle doit agir. Un géomètre qui connaîtrait exactement les différentes forces qui agissent dans les deux cas, et les propriétés des molécules qui sont mues, démontrerait que, d'après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu'elle ne fait. »

Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature

D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur :

« Nous devons envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre, dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence. Ses découvertes en mécanique et en géométrie, jointes à celles de la pesanteur universelle, l'ont mis à portée de comprendre dans les mêmes expressions analytiques les états passés et futurs du système du monde. En appliquant la même méthode à quelques autres objets de ses connaissances, il est parvenu à ramener à des lois générales les phénomènes observés, et à prévoir ceux que les circonstances données doivent faire éclore. »

Pierre-Simon Laplace, Essai philosophique sur les probabilités (1814)

En vertu du déterminisme universel, l'intelligence qui connaîtrait avec une absolue précision la position et l'énergie de tout objet dans la position initiale pourrait calculer l'évolution de l'univers à tout moment du temps. Déterminisme est dans ce cas synonyme de prédictibilité. Cependant, il existe des systèmes déterministes non prédictibles comme un ordinateur exécutant un programme.

Le déterminisme social est le modèle sociologique qui établit la primauté de la société sur l'individu.

Théorie de la calculabilité

Article détaillé : Déterminisme (Calculabilité).

Le déterminisme comme notion mathématique vit le jour avec la formalisation des mathématiques à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle et devint une notion centrale de la calculabilité avec l'apparition de la théorie des automates au milieu du XXe siècle. L'apparition de l'informatique quantique à la fin du XXe siècle et celle de la conception forte de la thèse de Church-Turing, baptisée thèse de Church–Turing–Deutsch, permet de concevoir une synthèse entre le déterminisme calculatoire et le déterminisme physique promus par l'école de la physique numérique dont la proposition « it from bit » est devenu l'emblème.

Limites

L'hypothèse du déterminisme universel a gouverné la science du XIXe siècle. Elle a été remise en cause par la physique moderne au XXe siècle :

par la physique quantique, et plus précisément, par le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg (1927), qui implique l'impossibilité de connaître avec une infinie précision la position et la vitesse d'une particule, contrairement aux données requises par le « génie » de Laplace ; on ne peut les connaître qu'à l'aide d'une fonction de probabilité. Cependant, le déterminisme ne disparaît pas totalement en physique quantique, puisque ces probabilités peuvent être calculées exactement à partir de l'état initial du système considéré selon des lois rigoureusement déterministes (par exemple, l'équation de Schrödinger en mécanique quantique non relativiste).Toutefois, contrairement à l'hypothèse du déterminisme classique, le principe d'incertitude semble impliquer que l'Univers obéit au libre jeu du hasard et de la nécessité. Albert Einstein affirma à ce sujet : « Dieu ne joue pas aux dés », ce à quoi Niels Bohr répondit : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire ! » (selon d'autres : « Comment savoir à quoi Dieu joue ? »). Mais la physique quantique n'invaliderait que le déterminisme universel : le déterminisme régional reste un principe d'explication physique incontournable pour nombre de phénomènes.Le principe d'incertitude d'Heisenberg n'invalide pas (à lui seul) le déterminisme universel. En effet: une intelligence intérieure à l'univers ne sera probablement jamais en mesure de connaître exactement l'état de l'univers entier à un instant donné, mais cela n'invalide en rien la théorie du déterminisme universel, puisque la possibilité de connaître l'état de l'univers n'est ni un prérequis ni une conséquence nécessaire du déterminisme universel.

La physique quantique est un modèle empirique et statistique qui décrit le comportement des particules et des rayonnements sans rien dire de leur nature intrinsèque.

par la théorie du chaos, qui décrit dans quelles conditions un système peut sembler non « prédictible » (voire est non prédictible au sens de Poincaré, von Neumann et Lorenz).Le déterminisme est lié au principe de causalité (les mêmes causes produisent les mêmes effets) ; la théorie du chaos précise que des causes pseudo-identiques peuvent dans certains cas produire des effets totalement divergents et en ce sens, s'écarte du principe de causalité. Tel est le cas des prévisions météorologiques et du phénomène de « l'aile de papillon ».

Le principe d'incertitude d'Heisenberg et la théorie du chaos remettent en cause la prédictibilité de certains systèmes, et non pas leur caractère déterministe. Ils ne contredisent en aucun sens le principe de causalité. Par contre ils réduisent considérablement la possibilité de confirmer l'hypothèse du déterminisme, en rendant inaccessibles à l'expérience certaines validations.

En tout état de cause, le déterminisme universel n'est qu'une hypothèse. La démonstration de cette hypothèse nécessiterait en particulier d'être en mesure de prédire l'évolution de l'univers avec une absolue précision, ce qui n'est toujours pas concevable aujourd'hui, en particulier du fait du caractère non mesurable d'un certain nombre de phénomènes.

D'autre part, le principe de causalité lié au déterminisme suppose l'identité des causes, ce qui n'est possible, en toute rigueur, que dans certains cas, comme une modélisation mathématique, et non en physique où l'on ne peut parler que de causes semblables (ou pseudo-identiques), ce qui suffit pour les constructeurs et l'industrie en général, mais non pour les phénomènes fortement sensibles aux conditions initiales (voir en particulier les cas mis en évidence par la théorie dite du chaos).

Le déterminisme ne doit pas être confondu avec l'idée de prédestination des jansénistes ou de Blaise Pascal, qui est une idée purement théologique, concernant d'ailleurs moins la série des événements que le salut ou la réprobation de l'âme après la mort.

Psychanalyse

La psychanalyse repose sur l'affirmation d'un déterminisme inconscient absolu et a priori de la vie psychique. Selon Sigmund Freud, ce déterminisme psychique, tel qu'il le conçoit, exclut toute forme de hasard et de non-sens (Freud récuse formellement tout "hasard intérieur" et affirme que seul le superstitieux croît au hasard intérieur). Pour la plupart des critiques de son oeuvre, et étant donné sa nature même, cette affirmation ne devrait pas être considérée comme ce qui fut présenté par Freud, comme une "hypothèse", (Georges Politzer), mais bien comme un dogme a priori. Freud en donne de multiples illustrations dans toute son oeuvre, et particulièrement dans "Psychopathologie de la vie quotidienne" où il affirme que tous les mots et les nombres sont parfaitement déterminés pour des raisons qui échappent à la conscience. On trouve également des prises de positions explicites sur les options déterministes de Freud dans sa troisième leçon sur la psychanalyse. Selon de nombreux critiques de la psychanalyse, comme Jacques Bouveresse, Freud n'aurait pu imaginer investiguer les "associations libres" de ses patients, s'il n'avait posé, a priori, l'affirmation d'un déterminisme psychique qui lui semblait assez complet (absolu) pour le faire.

Le secret des initiés

La réponse au questionnement existantielle est dans la nature de l'éternel changement et de la constitution humaine ou autres qui l'observe et en est issu!

La causalité menent au déterminisme est cela même dans le domaine de la pensée et des sentiments où et des émotions, chacun agissent celons sa constitution en rapport avec l'interaction avec son environnement.

Le Très-Haut prophète du déterminisme en assure la garde et la garanti vient du déterminisme lui-même ce qui est pré-ordonner n'a pas d'échec possible. C'est les actions, les actes, les faits, les cosses et les effets qui témoignent de se qui est, non les paroles qui peuvent aussi bien être vrais que fausse. Qui sais se q'un être humain a dans ses dessins ? Les actions témoignent de la volonté!

La volonté des être humains, comme celle des autres espèces est mue par des impératifs vitaux, des besoins naturelles, des désirs, mais elle est aussi mue par les informations, la connaissance, le savoir, et l'ajustement correcte ou non correcte; conforme aux réel, donc a ce qui est! Changer aise vivre ou mourir ?

C'est la triste mais réel vérité celle que nus ne veux entendre et pour temps! C'est la seul vérité qui conduit peut-être a la survie éternelle et au bonheur humain. Je me suis posée cette question après bien d'autres; Changer aise vivre ou mourir ? Nous venons au monde et déjà nous commençons a mourir. Nous changeons jours après jours, d'instant en instant. Par ce que ainsi est la nature de l'univers, une succession de causalité un changement perpétuelle! Nous somme réel par ce que l'univers est réel, nous somme ce que nous somme, par ce que l'univers est ce quelle est! Dans la grande ordonnance de l'univers nous somme n'y bon, n'y mauvais. Nous agissons selon notre nature et conformément au circonstances! Le lion n'est pas plus mauvais que l'aigle, la brebis meilleure que le sers. Si nous désirons survivre alors nous devons réellement changé! Non seulement mentalement, mais physiquement! Notre vie prendras seulement un sens quand nous rechercherons a être éternelle, a vivre en harmonie, a atteindre le bonheur et a entamais la recherche du réel au-delà de notre compréhension actuelle et de nos limites présentes. Ce qui donne un ou des sens a la vie c'est le ou les buts que l'ont cherche a atteindre. Et c'est buts n'aurais aucun sens si la seul alternative étais la mort- la fin de notre être. Cars après la mort le néant suis ! Et ce néant est la fin et la fin rend inutile le sens même de la vie. La vie qui est changement, transformation, évolution! Il faut abandonné les superstitions, les croyances, la fausseté et l'erreur. Il faut comprendre que les concepts philosophiqaux- religieux sons des leurres issu de l'imaginaire subjectif. Au-delà du sens quotidien de notre vie, il est recelé un but ultime, suprême et même absolu.

Celui d'être!

Se que nous somme n'est jamais aussi importent que se que nous devenons jour après jours. Après tout ce que nous désirons être est plus importent que se que nous somme! Le désir, les bons désirs la bonne volonté est le fondement même de notre être, et non les besoins qui ne sont que l'aspect négatif de nos nombreuses limitations. Aspect négatif par ce qu'il nous empêchent d'atteindre au changement perpétuelle celle même de la nature de l'univers et par le fait même de la notre. Il semble que l'univers par la causalité et sons déterminisme est engendré des êtres qui dans leur réalité ont non seulement le potentielle de changé leur environnement mais aussi de se changé eux même ! La question est la suivante qu'est ce qui doit être changé ? Et qu'est ce qui doit être gardé ? Quand je dit que notre nature actuelle n'est pas bonne et que la nature actuelle n'est pas bonne! J'entend par la quelle ne nous sers pas bien n'y individuellement n'y collectivement! Et non quelle est mauvaise pluise quelle ne fait que répondre a sa propre nature n'y bien, n'y mal. Malgré cela elle nous fait courir droit au désastre, a la confrontation, a la concurrence créent de plus en plus de pression pour la survie et de moins en moins d'agrément pour la vie par la loi de la sélection naturelle.

Notre Dieu (L'inconnue), Notre religion : (Nos idéaux), l'harmonie, la symbiose, l'osmose, l'homéostasie contrôlé, la vie éternelle et la recherche perpétuelle de la réalité globale Dieu. La science, la connaissance, le savoir (notre planche de salut), pour atteindre l'inconnue; Dieu. S'il n'y a pas la volonté, n'y le déterminisme conscient, n'y l'intérêt réciproque, n'y les moyens, n'y la foi en ce qui a étais donné a l'homme de faire. Ne perdez pas votre temps et votre énergie dans le déterminisme inconscient, Car l'a est l'aspect végétatif du sous homme ou de la sous femme dont la fin est écrite des le commencement! Ils sont des morts en sourcil. Que vos idéaux soit éternelle. Que votre volonté soit éternelle. Que votre déterminisme conscient soit progressiste et donc éternelle

DE MEME QUE L’ENTROPIE EST UNE MESURE DE DESORGANISATION, L’INFORMATION FOURNIE PAR UNE SERIE DE MESSAGES EST UNE MESURE D’ORGANISATION OU DE DESORGANISATION.

Dans la vie de tous les jours les croyants se fient à leur savoir pour faire des choix! Quelle hypocrisie ou ignorance quand ont les vois traverser le ru ou diriger leur vie en se servent de leur savoir et non de leur croyance!

L'HUMANITÉ TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EN EST QU’AU STADE OÙ ELLE DOIT SE LIBÉRÉ DES ABERRATIONS RELIGIEUSE ET FRANCHIR LE PAS VERS L’ÉVOLUTION D’UN MENTAL VIVENT DANS LE RÉEL POUR ATTEINDRE À L’ÉMANCIPATION DU CONTRÔLE DE SON PROPRE POTENTIELLE PHASE PROGRESSIVE DE L’ÉVOLUTION.

IL N’Y A PAS D’AUTRE THEORIES QUI RENDANT COMPTE DE TOUS LES FAITS EN LES LIENS LES UNS AUX AUTRES DE FAÇON A AJUSTE LES MORCEAUX D’UN IMMENSE (CASSE-TETE), (PUZZLE), CASSE-TETE, SYNONYME (DEBRIS-CERVEAU)

Le (déterminisme), la causalité, la sélection naturelle, rivalités, concurrences est l’origine de tous les problèmes de métaphysique, des questions existentielles et de compréhension du réel.

Nous savons que ce qui porte préjudice à la symbiose entre les êtres est la (sélection naturelle) et que la sélection naturelle est due au (mouvement du changement perpétuelle) du a la causalité et au déterminisme qui en est la signification conceptuelle philosophique de là la non existence réel du libre arbitre, qui n’existe pas dans le réel haute (l’environnement).

Ceci est un système qui ne peut donner la paix, l’équité ou la justice entre les êtres, tant qu’à la liberté elle est une relative perspective du pouvoir de l’un sur l’autre, pouvoir qui provient de l’innée et de l’acquis qui eut proviennent du circonstancielle du a l’origine de la causalité physico-chimique de l’environnement Galactique qui en lui-même comporte des environnements différentielles dont l’un est la terre avec ses différant environnement et ou condition environnemental en changement et mouvement causale constants donc éternelle.

Ce n’est pas l’environnement galactique ou terrestre ou système solaire, ou humain qui apparais éternelle mais les lois du -mouvement et du –contenant, lien toutes choses sur toutes choses ! C’est dans le contenant (l’environnement, système), que se forme le contenue et c’est d’un contenue particulier (système) humain, que résulte la capacité de jugement de valeur ou autres apportent le sens aux choses et a lui-même et même au contenant lui-même.

Nous savons aussi que beaucoup profitants de l’innocence, de l’ignorance, des instincts et de la faculté de l’imaginaire subjectif pour intrigué et crée un monde mental irréel.

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Membre, Posté(e)
Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je ne sais pas ce que vous entendez par "pratique de l'athéisme".

Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme.

Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme...

Vous devriez plutôt parler d'absence de pratique religieuse.

Si je voulais parler de laïcité alors oui... mais celui qui ne sait pas et qui est ignorant ne peut être qualifier d'athée par défaut... encore lui faut-il nier que Dieu existe au minimum... vous ne pouvez nier ce dont vous ne soupçonnez même pas l'existence... wacko.gif

Votre argument est fallacieux puisque nous savons depuis monsieur Jourdain qu'il est possible de faire de la prose sans le savoir. De même, et pour rester dans le domaine de l'analogie, les théories modernes du langage et du sens n'ont jamais empêché personne de s'exprimer avant qu'elles ne soient conçues.

En autant que vous niez l'existence de Dieu alors vous êtes athée même sans le savoir... mais si vous ne le nier pas alors vous êtes tout aussi croyant sans le savoir.

Mais n'oubliez pas que l'on ne parlait que du fait d'avoir plus ou moins d'imagination et du fait que la théorisation en demanderait plus que la pratique selon vous... pour le reste ça n'a aucun rapport.

L'analyse empirique, rationnelle et critique du réel nécessite autant d'imagination que l'invention de l'idée de Dieu qui reste, malgré toute l'importance que vous semblez lui accorder, une idée comme les autres.

Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination...

On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité.

Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. acute.gif

D'autre part l'imagination ne se résume pas à la seule capacité de penser Dieu ou tout autre truc mystique du même acabit. L'imagination permet aussi, entre autre, l'intuition, le désir et l'anticipation.

Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre.

La seule chose qui soit prouvée c'est qu'il est possible de vivre en faisant l'économie de l'idée de Dieu. Un athée peut se satisfaire d'une telle vie et aura même tendance à fuir le genre de débat oiseux qui nous occupe ici.

Ceci dit par l'athée qui a pris la peine d'apporter son athéisme jusque dans ce débat qu'il qualifie lui-même d'oiseux... vava.gif

Mais il n'est nul besoin de faire l'économie ou non de Dieu pour vivre... on peut même faire l'économie de la morale, de l'amour et de plein d'autres trucs... mais il y aura toujours ceux qui cherchent à donner un sens à leur vie et ceux qui n'en ressentent pas le besoin... ceux qui sans même le savoir affirmeraient que la vie n'a pas de sens par exemple.

Par ailleurs, pourquoi accordez-vous autant d'importance à un sujet qui, comme vous le dites vous-même, n'est fondé sur aucune preuve tangible ? Vous devriez ranger cette idée dans la même catégorie que celle des fées des bois et des petits lutins.

Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé.

Comme je l'ai écrit plus haut l'athéisme ne nie pas l'existence de Dieu, il dit simplement que Dieu est une invention humaine au même titre que le père noël. C'est une forme d'existence à part entière.

Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme...

Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas....

Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple.

Votre manière peu claire de vous exprimer plaide en ma faveur, elle fait office de circonstances atténuantes. Aussi ne m'en veuillez pas trop si je vous fait répéter plus qu'il n'est nécessaire ;)

Et votre manière de vous exprimez me faisant dire que vous n'en avez rien à foutre alors ne m'en veuillez pas si je ne me répète pas plus que je le jugerais nécessaire... pleasantry.gif

J'ai beaucoup d'imagination : je vous imagine gros, barbu, torse-nu devant votre ordinateur, avec un piercing au téton droit. Par contre je ne peux pas concevoir l'idée d'un être qui serait à la fois omniscient et omnipotent - l'un annulant nécessairement l'autre : "Un Dieu omniscient qui connait l'avenir a-t-il la toute-puissance de changer ses futurs projets ?" - Karen Owens

Peut-être que vous devriez réfléchir un peu plus plutôt que de fantasmer sur mes propres attributs angel.gif, étrangement pour ma part je vous imaginais avec un doigt dans la narine #2 nea.gif ... ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté.

Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent...

Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté.

Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. shok.gif

Non c’est simplement que pour toi tout semple être de l’amusement tu es un enfant immature dans une classe d’adulte! Tu joues au con. Tu ne désires pas réellement connaitre ou comprendre les autres! La folie entend la folie !

C'est uniquement une question de perception... en fait je suis l'effet dont vous êtes la cause. Une simple question de principe dont il ne faut même pas s'attarder à trouver un sens quelconque selon vous... alors pourquoi en chercheriez-vous un, ne faites qu'étudiez la cause et vous pourrez alors peut-être comprendre l'effet qui en résulte. wink1.gif

Le mouvement perpétuel

Le mouvement perpétuel est à la basse de la causalité et a la basse du circonstancielle et de la sélection naturelle et la célection naturelle est à la basse des intérêts divergents de par les beusoins et les désires en inter actions, il y a donc par nécessité conflit d'intérêt par endroit et réciprocité d'intérêt par autre endroits. ce qui crée le déterminisme c'est l'interaction causal du à la nature des choses et de se que l'on a l'habitude d'appeler des êtres. Le racisme, le sexisme, et les politiques diverses tous conflie d'intérêt, ect... ne sont que l'expression de la nature! Quand on à comprit cela ont ne se demandes plus si Dieu existe. http://fedayin-feal.skyrock.com/

Déterminisme

Déterminisme

Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité.

Sommaire

Définition

Le déterminisme est la théorie selon laquelle la succession des événements et des phénomènes est due au principe de causalité, ce lien pouvant parfois être décrit par une loi physico-mathématique qui fonde alors le caractère prédictif de ces derniers.

Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. Le nécessitarisme affirme la nécessité des phénomènes en vertu du principe de causalité, qui fait que, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien n'arrive qui ne soit nécessaire et qui ne pouvait être prédit de toute éternité. Si le nécessitarisme relève essentiellement de la philosophie, le déterminisme relève au premier chef de la science. La distinction pourra sembler subtile, mais ce qui démarque fondamentalement le déterminisme du nécessitarisme, c'est que la nécessité déterministe n'est pas une nécessité philosophique ou spéculative, mais une nécessité calculable en fait, en droit ou, du moins, en hypothèse.

On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. Est régional le déterminisme qui gouverne un nombre fini d'éléments (le système boulet/obus est déterministe en ce sens : une fois donnés la force propulsive de la poudre, l'angle du canon par rapport à l'horizontale, la masse du boulet et la résistance de l'air, on peut calculer avec une très grande précision la forme et la durée de la trajectoire ainsi que, par conséquent, le point d'impact). Le déterminisme universel, parfois qualifié de « déterminisme laplacien », est problématique : peut-on considérer l'univers dans sa totalité comme un système déterministe ? Le déterminisme régional semble a priori moins problématique (de nombreux systèmes obéissent apparemment à des lois qui les rendent nécessaires).

L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach :

« Dans un tourbillon de poussière qu'élève un vent impétueux ; quel qu'il paraisse à nos yeux, dans la plus affreuse tempête excitée par des vents opposés qui soulèvent les flots, il n'y a pas une seule molécule de poussière ou d'eau qui soit placée au hasard, qui n'ait sa cause suffisante pour occuper le lieu où elle se trouve, et qui n'agisse rigoureusement de la manière dont elle doit agir. Un géomètre qui connaîtrait exactement les différentes forces qui agissent dans les deux cas, et les propriétés des molécules qui sont mues, démontrerait que, d'après les causes données, chaque molécule agit précisément comme elle doit agir, et ne peut agir autrement qu'elle ne fait. »

Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature

D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. Mais c'est à l'astronome et mathématicien Pierre-Simon Laplace, que revient d'avoir affirmé le déterminisme universel dans toute sa rigueur :

« Nous devons envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre, dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence. Ses découvertes en mécanique et en géométrie, jointes à celles de la pesanteur universelle, l'ont mis à portée de comprendre dans les mêmes expressions analytiques les états passés et futurs du système du monde. En appliquant la même méthode à quelques autres objets de ses connaissances, il est parvenu à ramener à des lois générales les phénomènes observés, et à prévoir ceux que les circonstances données doivent faire éclore. »

Pierre-Simon Laplace, Essai philosophique sur les probabilités (1814)

En vertu du déterminisme universel, l'intelligence qui connaîtrait avec une absolue précision la position et l'énergie de tout objet dans la position initiale pourrait calculer l'évolution de l'univers à tout moment du temps. Déterminisme est dans ce cas synonyme de prédictibilité. Cependant, il existe des systèmes déterministes non prédictibles comme un ordinateur exécutant un programme.

Le déterminisme social est le modèle sociologique qui établit la primauté de la société sur l'individu.

Théorie de la calculabilité

Article détaillé : Déterminisme (Calculabilité).

Le déterminisme comme notion mathématique vit le jour avec la formalisation des mathématiques à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle et devint une notion centrale de la calculabilité avec l'apparition de la théorie des automates au milieu du XXe siècle. L'apparition de l'informatique quantique à la fin du XXe siècle et celle de la conception forte de la thèse de Church-Turing, baptisée thèse de Church–Turing–Deutsch, permet de concevoir une synthèse entre le déterminisme calculatoire et le déterminisme physique promus par l'école de la physique numérique dont la proposition « it from bit » est devenu l'emblème.

Limites

L'hypothèse du déterminisme universel a gouverné la science du XIXe siècle. Elle a été remise en cause par la physique moderne au XXe siècle :

par la physique quantique, et plus précisément, par le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg (1927), qui implique l'impossibilité de connaître avec une infinie précision la position et la vitesse d'une particule, contrairement aux données requises par le « génie » de Laplace ; on ne peut les connaître qu'à l'aide d'une fonction de probabilité. Cependant, le déterminisme ne disparaît pas totalement en physique quantique, puisque ces probabilités peuvent être calculées exactement à partir de l'état initial du système considéré selon des lois rigoureusement déterministes (par exemple, l'équation de Schrödinger en mécanique quantique non relativiste).Toutefois, contrairement à l'hypothèse du déterminisme classique, le principe d'incertitude semble impliquer que l'Univers obéit au libre jeu du hasard et de la nécessité. Albert Einstein affirma à ce sujet : « Dieu ne joue pas aux dés », ce à quoi Niels Bohr répondit : « Einstein, cessez de dire à Dieu ce qu'il doit faire ! » (selon d'autres : « Comment savoir à quoi Dieu joue ? »). Mais la physique quantique n'invaliderait que le déterminisme universel : le déterminisme régional reste un principe d'explication physique incontournable pour nombre de phénomènes.Le principe d'incertitude d'Heisenberg n'invalide pas (à lui seul) le déterminisme universel. En effet: une intelligence intérieure à l'univers ne sera probablement jamais en mesure de connaître exactement l'état de l'univers entier à un instant donné, mais cela n'invalide en rien la théorie du déterminisme universel, puisque la possibilité de connaître l'état de l'univers n'est ni un prérequis ni une conséquence nécessaire du déterminisme universel.

La physique quantique est un modèle empirique et statistique qui décrit le comportement des particules et des rayonnements sans rien dire de leur nature intrinsèque.

par la théorie du chaos, qui décrit dans quelles conditions un système peut sembler non « prédictible » (voire est non prédictible au sens de Poincaré, von Neumann et Lorenz).Le déterminisme est lié au principe de causalité (les mêmes causes produisent les mêmes effets) ; la théorie du chaos précise que des causes pseudo-identiques peuvent dans certains cas produire des effets totalement divergents et en ce sens, s'écarte du principe de causalité. Tel est le cas des prévisions météorologiques et du phénomène de « l'aile de papillon ».

Le principe d'incertitude d'Heisenberg et la théorie du chaos remettent en cause la prédictibilité de certains systèmes, et non pas leur caractère déterministe. Ils ne contredisent en aucun sens le principe de causalité. Par contre ils réduisent considérablement la possibilité de confirmer l'hypothèse du déterminisme, en rendant inaccessibles à l'expérience certaines validations.

En tout état de cause, le déterminisme universel n'est qu'une hypothèse. La démonstration de cette hypothèse nécessiterait en particulier d'être en mesure de prédire l'évolution de l'univers avec une absolue précision, ce qui n'est toujours pas concevable aujourd'hui, en particulier du fait du caractère non mesurable d'un certain nombre de phénomènes.

D'autre part, le principe de causalité lié au déterminisme suppose l'identité des causes, ce qui n'est possible, en toute rigueur, que dans certains cas, comme une modélisation mathématique, et non en physique où l'on ne peut parler que de causes semblables (ou pseudo-identiques), ce qui suffit pour les constructeurs et l'industrie en général, mais non pour les phénomènes fortement sensibles aux conditions initiales (voir en particulier les cas mis en évidence par la théorie dite du chaos).

Le déterminisme ne doit pas être confondu avec l'idée de prédestination des jansénistes ou de Blaise Pascal, qui est une idée purement théologique, concernant d'ailleurs moins la série des événements que le salut ou la réprobation de l'âme après la mort.

Psychanalyse

La psychanalyse repose sur l'affirmation d'un déterminisme inconscient absolu et a priori de la vie psychique. Selon Sigmund Freud, ce déterminisme psychique, tel qu'il le conçoit, exclut toute forme de hasard et de non-sens (Freud récuse formellement tout "hasard intérieur" et affirme que seul le superstitieux croît au hasard intérieur). Pour la plupart des critiques de son oeuvre, et étant donné sa nature même, cette affirmation ne devrait pas être considérée comme ce qui fut présenté par Freud, comme une "hypothèse", (Georges Politzer), mais bien comme un dogme a priori. Freud en donne de multiples illustrations dans toute son oeuvre, et particulièrement dans "Psychopathologie de la vie quotidienne" où il affirme que tous les mots et les nombres sont parfaitement déterminés pour des raisons qui échappent à la conscience. On trouve également des prises de positions explicites sur les options déterministes de Freud dans sa troisième leçon sur la psychanalyse. Selon de nombreux critiques de la psychanalyse, comme Jacques Bouveresse, Freud n'aurait pu imaginer investiguer les "associations libres" de ses patients, s'il n'avait posé, a priori, l'affirmation d'un déterminisme psychique qui lui semblait assez complet (absolu) pour le faire.

Le secret des initiés

La réponse au questionnement existantielle est dans la nature de l'éternel changement et de la constitution humaine ou autres qui l'observe et en est issu!

La causalité menent au déterminisme est cela même dans le domaine de la pensée et des sentiments où et des émotions, chacun agissent celons sa constitution en rapport avec l'interaction avec son environnement.

Le Très-Haut prophète du déterminisme en assure la garde et la garanti vient du déterminisme lui-même ce qui est pré-ordonner n'a pas d'échec possible. C'est les actions, les actes, les faits, les cosses et les effets qui témoignent de se qui est, non les paroles qui peuvent aussi bien être vrais que fausse. Qui sais se q'un être humain a dans ses dessins ? Les actions témoignent de la volonté!

La volonté des être humains, comme celle des autres espèces est mue par des impératifs vitaux, des besoins naturelles, des désirs, mais elle est aussi mue par les informations, la connaissance, le savoir, et l'ajustement correcte ou non correcte; conforme aux réel, donc a ce qui est! Changer aise vivre ou mourir ?

C'est la triste mais réel vérité celle que nus ne veux entendre et pour temps! C'est la seul vérité qui conduit peut-être a la survie éternelle et au bonheur humain. Je me suis posée cette question après bien d'autres; Changer aise vivre ou mourir ? Nous venons au monde et déjà nous commençons a mourir. Nous changeons jours après jours, d'instant en instant. Par ce que ainsi est la nature de l'univers, une succession de causalité un changement perpétuelle! Nous somme réel par ce que l'univers est réel, nous somme ce que nous somme, par ce que l'univers est ce quelle est! Dans la grande ordonnance de l'univers nous somme n'y bon, n'y mauvais. Nous agissons selon notre nature et conformément au circonstances! Le lion n'est pas plus mauvais que l'aigle, la brebis meilleure que le sers. Si nous désirons survivre alors nous devons réellement changé! Non seulement mentalement, mais physiquement! Notre vie prendras seulement un sens quand nous rechercherons a être éternelle, a vivre en harmonie, a atteindre le bonheur et a entamais la recherche du réel au-delà de notre compréhension actuelle et de nos limites présentes. Ce qui donne un ou des sens a la vie c'est le ou les buts que l'ont cherche a atteindre. Et c'est buts n'aurais aucun sens si la seul alternative étais la mort- la fin de notre être. Cars après la mort le néant suis ! Et ce néant est la fin et la fin rend inutile le sens même de la vie. La vie qui est changement, transformation, évolution! Il faut abandonné les superstitions, les croyances, la fausseté et l'erreur. Il faut comprendre que les concepts philosophiqaux- religieux sons des leurres issu de l'imaginaire subjectif. Au-delà du sens quotidien de notre vie, il est recelé un but ultime, suprême et même absolu.

Celui d'être!

Se que nous somme n'est jamais aussi importent que se que nous devenons jour après jours. Après tout ce que nous désirons être est plus importent que se que nous somme! Le désir, les bons désirs la bonne volonté est le fondement même de notre être, et non les besoins qui ne sont que l'aspect négatif de nos nombreuses limitations. Aspect négatif par ce qu'il nous empêchent d'atteindre au changement perpétuelle celle même de la nature de l'univers et par le fait même de la notre. Il semble que l'univers par la causalité et sons déterminisme est engendré des êtres qui dans leur réalité ont non seulement le potentielle de changé leur environnement mais aussi de se changé eux même ! La question est la suivante qu'est ce qui doit être changé ? Et qu'est ce qui doit être gardé ? Quand je dit que notre nature actuelle n'est pas bonne et que la nature actuelle n'est pas bonne! J'entend par la quelle ne nous sers pas bien n'y individuellement n'y collectivement! Et non quelle est mauvaise pluise quelle ne fait que répondre a sa propre nature n'y bien, n'y mal. Malgré cela elle nous fait courir droit au désastre, a la confrontation, a la concurrence créent de plus en plus de pression pour la survie et de moins en moins d'agrément pour la vie par la loi de la sélection naturelle.

Notre Dieu (L'inconnue), Notre religion : (Nos idéaux), l'harmonie, la symbiose, l'osmose, l'homéostasie contrôlé, la vie éternelle et la recherche perpétuelle de la réalité globale Dieu. La science, la connaissance, le savoir (notre planche de salut), pour atteindre l'inconnue; Dieu. S'il n'y a pas la volonté, n'y le déterminisme conscient, n'y l'intérêt réciproque, n'y les moyens, n'y la foi en ce qui a étais donné a l'homme de faire. Ne perdez pas votre temps et votre énergie dans le déterminisme inconscient, Car l'a est l'aspect végétatif du sous homme ou de la sous femme dont la fin est écrite des le commencement! Ils sont des morts en sourcil. Que vos idéaux soit éternelle. Que votre volonté soit éternelle. Que votre déterminisme conscient soit progressiste et donc éternelle

DE MEME QUE L’ENTROPIE EST UNE MESURE DE DESORGANISATION, L’INFORMATION FOURNIE PAR UNE SERIE DE MESSAGES EST UNE MESURE D’ORGANISATION OU DE DESORGANISATION.

Dans la vie de tous les jours les croyants se fient à leur savoir pour faire des choix! Quelle hypocrisie ou ignorance quand ont les vois traverser le ru ou diriger leur vie en se servent de leur savoir et non de leur croyance!

L'HUMANITÉ TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EN EST QU’AU STADE OÙ ELLE DOIT SE LIBÉRÉ DES ABERRATIONS RELIGIEUSE ET FRANCHIR LE PAS VERS L’ÉVOLUTION D’UN MENTAL VIVENT DANS LE RÉEL POUR ATTEINDRE À L’ÉMANCIPATION DU CONTRÔLE DE SON PROPRE POTENTIELLE PHASE PROGRESSIVE DE L’ÉVOLUTION.

IL N’Y A PAS D’AUTRE THEORIES QUI RENDANT COMPTE DE TOUS LES FAITS EN LES LIENS LES UNS AUX AUTRES DE FAÇON A AJUSTE LES MORCEAUX D’UN IMMENSE (CASSE-TETE), (PUZZLE), CASSE-TETE, SYNONYME (DEBRIS-CERVEAU)

Le (déterminisme), la causalité, la sélection naturelle, rivalités, concurrences est l’origine de tous les problèmes de métaphysique, des questions existentielles et de compréhension du réel.

Nous savons que ce qui porte préjudice à la symbiose entre les êtres est la (sélection naturelle) et que la sélection naturelle est due au (mouvement du changement perpétuelle) du a la causalité et au déterminisme qui en est la signification conceptuelle philosophique de là la non existence réel du libre arbitre, qui n’existe pas dans le réel haute (l’environnement).

Ceci est un système qui ne peut donner la paix, l’équité ou la justice entre les êtres, tant qu’à la liberté elle est une relative perspective du pouvoir de l’un sur l’autre, pouvoir qui provient de l’innée et de l’acquis qui eut proviennent du circonstancielle du a l’origine de la causalité physico-chimique de l’environnement Galactique qui en lui-même comporte des environnements différentielles dont l’un est la terre avec ses différant environnement et ou condition environnemental en changement et mouvement causale constants donc éternelle.

Ce n’est pas l’environnement galactique ou terrestre ou système solaire, ou humain qui apparais éternelle mais les lois du -mouvement et du –contenant, lien toutes choses sur toutes choses ! C’est dans le contenant (l’environnement, système), que se forme le contenue et c’est d’un contenue particulier (système) humain, que résulte la capacité de jugement de valeur ou autres apportent le sens aux choses et a lui-même et même au contenant lui-même.

Nous savons aussi que beaucoup profitants de l’innocence, de l’ignorance, des instincts et de la faculté de l’imaginaire subjectif pour intrigué et crée un monde mental irréel.

Arguments contre l'existence de dieu, Dieu ou des dieux[modifier]

Arguments liés à l'existence d'un dieu, Dieu[modifier]

  • Argument de l'existence du mal : comment Dieu, être bon, aurait-il pu créer un monde dans lequel il y a du mal ? Argument qu'ont surmonté, entre autres, Leibniz et Saint Augustin, et qui est le cœur de toute théodicée.
  • Argument de l'indigence de la création (rejoint le premier : comment Dieu, être parfait, aurait-il pu créer un monde imparfait)
  • Argument de l'invention de l'idée de Dieu ou des dieux par les hommes (ou généalogie du divin)

Arguments déductifs[modifier]

  • Argument de l'univers incréé : la création de l’univers est impossible en raison de la nature du temps. Le temps cosmique étant une dimension de l’univers, la création de l'univers ne peut se faire qu'hors du temps cosmique, donc dans un temps absolu et indépendant. L’idée de temps absolu est aberrante dans le cas où le monde est unique et en transformation, car le passé ne peut être qu'infini (un monde doit son existence à l'existence d'un monde précédent). Or si le passé est infini, le temps ne peut logiquement pas démarrer, car son point de départ serait une valeur extrême inaccessible. Les instances du monde ne peuvent être que simultanées, ce qui signifie que passé, présent et futur existent définitivement dans un canevas d'événements localisables par quatre coordonnées spatiales, le temps n'étant qu'une illusion produite par des consciences. Si le monde est simultanéité et que le temps n'existe pas, l'univers n'a ni extériorité, ni antériorité. Il n'y a donc pas de création.
  • Argument de l'impossibilité d'une déduction métaphysique : l'existence d'un être ne peut lui être prédiquée autrement que par le biais de l'observation empirique. Or, le Dieu des métaphysiciens (Descartes, Spinoza, etc.) n'est pas un être empirique. En conséquence, de l'idée d'un tel être, on ne peut rien déduire. Non seulement tout discours sur Dieu en tant qu'être est dénué de sens (ni vrai, ni faux), mais, ne pouvant rien non plus rien connaître des attributs de Dieu, nous ne savons pas réellement ce que nous disons en employant ce mot. L'intérêt de cet argument est qu'il supprime le débat concernant la possibilité de prouver l'existence ou l'inexistence de Dieu, puisque cela n'est pas démontrable, dans un sens ou dans l'autre.
  • Argument de l'origine : si les hommes expliquent leur monde connu par une création divine, d'où provient la création de Dieu lui-même?

Dans le même ordre d'idées, certains athées s'en tiennent à la phrase d'Euclide : "Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve". De même, certains sceptiques tournent en ridicule les religions révélées, qui affirment que Dieu existe bien qu'il soit invisible, caché, hors de portée des sens et de la connaissance humaine. Cette dérision prend par exemple la forme du culte de la Licorne rose invisible, qui reprend les textes sacrés (ou du moins leur ton) en remplaçant le mot "Dieu" par "la Licorne rose invisible".

  • Argument du caractère contradictoire des caractéristiques prêtées à Dieu (par exemple dans la bible ou le coran), à la fois fondamentalement tout-puissant et fondamentalement éternel (or, s'il est tout puissant, il doit pouvoir se détruire lui-même, mais alors il peut donc ne plus être, et n'est pas fondamentalement éternel)

Arguments logiques[modifier]

  • Argument trivial: Dieu n'existe pas car il n'y a aucune preuve de son existence.
  • Autre argument trivial: L'homme a créé le mythe des dieux, rien ne dit que ce soit le contraire.
  • Argument de l'inutilité d'un dieu ou de dieux créateurs : pour la théologie naturelle, depuis au moins Anaxagore, il est légitime de passer de l'idée d'ordre dans la nature à l'idée d'un plan de la nature, formé et conçu par une intelligence créatrice. Cet argument pose deux a priori :
    • la matière ne produit pas spontanément de l'ordre ;
    • la cause de l'ordre de la nature est intentionnelle[note 1].

    [*]Utilisation de la théorie de Darwin pour prouver que la croyance en une divinité n'est qu'une conséquence de la sélection naturelle : D'abord l'appartenance à une communauté, car un groupe est plus fort que des individus isolés, ainsi que l'illusion de contrôle que procure la foi permettent de réduire l'anxiété des individus[17]. *[*]Argument de l'évolution : cet argument est dans la continuité de celui de l'inutilité d'un dieu, puisqu'il s'agit de montrer que la nature a une histoire et un ordre qui ne nécessitent pas un démiurge.[*]Argument de la dimension de l'univers: la dimension de l'univers est telle (100 milliards de galaxies avec chacune en moyenne 100 milliards d'étoiles, un rythme de formation de planète dans l'univers atteignant 10 000 planètes formées chaque seconde, et une expansion de l'univers dépassant la vitesse de la lumière) que l'existence d'un dieu unique attaché à une planète appelée Terre, perdue dans l'immensité de l'univers est inconcevable.[*]Argument socio-politique: les religions ont été créées par des mouvements minoritaires et imposées ensuite par les pouvoirs politiques dominants à des fins de fédération des peuples. La foi accordée à l'existence de dieu est liée à la confiance envers les pouvoirs politiques ayant institué les religions correspondantes.[*]Thèse de Ludwig Feuerbach : cette thèse part de l'idée, supposée évidente, que Dieu est une création de l'esprit humain. Elle invalide donc a priori la question de la démonstration de l'existence ou de l'inexistence de celui-ci, et se propose seulement d'expliquer et de critiquer le besoin des communautés humaines à croire en l'existence d'un être transcendant. Selon Feuerbach, la singularité des qualités humaines manifestement exceptionnelles au regard du reste du monde connu - conscience, intelligence, créativité, liberté - conduit spontanément les groupes humains à attribuer celles-ci à une puissance supérieure qui en serait à l'origine: "L’être infini ou divin est l’être spirituel de l’homme, projeté par l’homme en dehors de lui-même et contemplé comme un être indépendant. Dieu est esprit, cela, veut dire en vérité : l’esprit est Dieu. Tel est le sujet, tel est l’objet."[18]. Il nomme ce transfert l'aliénation, dans le sens où les hommes attribueraient à un être extérieur et transcendant des qualités qui leur sont propres. Cette thèse a eu une influence importante sur la pensée de Karl Marx, qui étend notamment dans l'ouvrage posthume Thèses sur Feuerbach[19] le concept d'aliénation propre au christianisme à l'ensemble des rapports sociaux de production, à travers le travail et la marchandise, en prolongeant et dépassant le matérialisme de Feuerbach par ce qui deviendra le matérialisme historique.

Arguments affectifs[modifier]

  • De nombreux dogmes affirment que Dieu est un père, il est alors amoral et cruel qu'un père se cache pour laisser ses enfants croire ou ne pas croire en lui, on considère que l'Homme est aidé par la connaissance, nous laisser dans une ignorance n'est pas bienveillant.
  • Le caractère invisible de Dieu qui pose plusieurs problèmes, s'il existe et qu'il se cache étant à l'image de l'Homme c'est qu'il a honte.
  • Autre argument affectif, le plus souvent retenu : Si Dieu existe, pourquoi laisse-t-il faire tant d'horreurs et d'injustices?

Arguments scientifiques[modifier]

En guise de préambule, soulignons que la science et l'existence ou non de Dieu sont des choses indépendantes et non connectées. La science peut expliquer comment on croit. Elle peut étudier le phénomène de la croyance mais elle ne s'intéresse pas à l'existence de Dieu, aussi longtemps que celui-ci n'est pas "concrétisé" et qu'on n'attende pas de Dieu des effets potentiellement "observables" (par exemple, la genèse dans l'ancien testament). Son existence et la preuve de son existence ou non ne sont pas du domaine de la biologie, elles sont des domaines de la philosophie et de la théologie si on ne prête pas à Dieu une influence dans le destin biologique des espèces (voir la théorie de l'"intelligent design"). Cependant, la science montre que l'idée de Dieu est une émanation du cerveau humain. Le cerveau humain est prédisposé à croire. Selon les neuroscientifiques, la croyance est apparue au cours de l'évolution pour permettre au genre homo de résoudre les problèmes psychiques qui sont apparus avec l'émergence de sa capacité cognitive. Il est cependant important de noter que "Dieu" ou "les Dieux" sont souvent invoqués comme arguments par les hommes pour expliquer des notions qui les dépassent au moment de la définition de ce même Dieu, de la météo à la création de la vie en passant par le cosmos. Toute avancée dans la connaissance implique une confrontation entre l'hypothèse scientifique et celle de Dieu, confrontation qui jusqu'alors a systématiquement débouché sur une "dématérialisation" de Dieu (ou des Dieux). Cette dématérialisation en soi n'est pas une preuve de l'inexistence de Dieu, mais on peut toujours se demander si l'inobservable d'aujourd'hui ne peut pas devenir soudainement observable demain, rendant la frontière science - existence de Dieu subitement plus floue.

La recherche en neurologie a démontré que la religiosité et la foi trouvent une explication physiologique au cœur même du cerveau. C'est la Théorie de l'esprit qui fait intervenir différentes parties du cerveau : le cortex préfrontal médian et orbito-frontal, les amygdales, la jonction temporo-pariétale et le pôle temporal.

Depuis la fin des années 90, de nombreuses recherches en neurobiologie vont dans le sens d'une origine biologique de la croyance. Les travaux de l'équipe de Jacqueline Borg de l'Université Karolinska de Stockholm ont démontré que la religiosité, c'est-à-dire la propension à voir le monde comme habité par le divin, dépendrait du taux de sérotonine, un neurotransmetteur déjà connu pour être susceptible d'engendrer des états similaires à ceux produits par certains psychotropes : modifications de la perception sensorielle, hallucinations, sensation de fusion avec le monde. Soit les sensations que les mystiques éprouvent au cours de leurs états extatiques[20]. Pour autant, la sérotonine n'est pas une «molécule de la foi» : Si la croyance en Dieu peut être favorisée par l'action d'une molécule comme la sérotonine, elle ne peut en aucun cas se résumer à son action exclusive. Par ailleurs, une étude allemande de 2002 suggère que d’autres neurotransmetteurs, notamment les opioïdes (connus pour jouer un rôle important dans la sensation de douleur) pourraient être impliqués dans la cognition religieuse[21]. Ainsi le «spirituel» aurait une origine purement chimique, donc matérialiste, l'esprit est ramené à la matière.

De fait, la structure du cerveau nous programmerait également à croire : c'est ce qu'a démontré en 2001 une expérience menée avec huit moines tibétains plongés dans un état de méditation débouchant sur une sensation de symbiose. On a remarqué que plus la méditation semblait profonde, et plus l'activité du cortex pariétal supérieur était ralentie. Or il se trouve que l'une des fonctions de cette zone cérébrale permet de distinguer son corps de l'environnement et de s'orienter dans l'espace. D'où l'émergence, chez les moines étudiés, d'altérations de la perception ainsi que de la sensation de fusionner avec l'Univers.

Ce ne serait pas la seule zone du cerveau concernée. Les recherches du neurobiologiste américain Michael Persinger suggèrent «que la stimulation électromagnétique des lobes temporaux, ces aires localisées au niveau des tempes, déclencherait la sensation d’avoir à ses côtés une présence divine». Ces aires pourraient donc être impliquées dans l’aptitude à ressentir une présence divine.

L'impression de sortir hors du corps est due à l'activation d'une zone très restreinte du cortex temporal, le gyrus angulaire. L'effet spectaculaire de l'impression de sortir du corps lors de l'activation du gyrus angulaire a été mise en évidence en 2002 par le neurologue suisse, Olaf Blanke[22].

La psychologie, pour sa part, a démontré que l'humain a une perception innée du monde qui fait la part entre le surnaturel et le réel. Si bien qu'en contredisant notre entendement, les croyances religieuses provoquent une réaction émotionnelle forte qui, paradoxalement, nous conduirait tout naturellement à leur attribuer un «pouvoir explicatif supérieur». Le cerveau humain est doté d’un mécanisme biologique et psychologique inné qui le rend sensible à l’idée d’existences divines. L'acceptation du surnaturel est favorisée par l'ambiance émotionnelle et collective des rites (musique, gestuelle, prière) et par le sentiment de sacrifice et de soumission. Au bout du compte, l'émotion est plus forte, plus convaincante que la logique et la raison.

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La Folie Membre 3 905 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

...tout ce qui est au delà de ma perception est une seule et même entité...

J'ai mis en gras la phrase clé pour comprendre que le problème du nom n'a rien d'essentiel.

Mais encore... ce tout dont vous nous parlez, en étant mis au singulier ne traduit-il pas le fait d'une seule entité... d'un seul ensemble. Manque d'imagination de votre part sans doute.

Trollesque ? Pourquoi ? Ni le sujet ni les termes ne sont provocateurs. Va falloir trouver une autre défense.

Voici comment est défini ce qui toucherait au troll dans les règles du forum...

''...le troll (un avis non construit ne dépassant pas une phrase dans un sujet de débat ou autre message destiné à faire dériver une discussion)...''

Alors vous voyez bien que la provocation n'y est pour rien... mais le fait que vous ne répondiez pas est bel et bien une réalité par contre. Va falloir trouver une autre attaque.

Pourquoi pas ? Rien ne nous dit qu'il faut un début, un but, ou un Dieu. Les 3 réponses sont donc recevables. Mais si tu penses pouvoir faire mieux, vas y : règle ces questions à ta manière "imaginative", qu'on voit ce que ça donne...

Pourquoi pas... rien ne nous dit qu'un début, un but ou même Dieu serait à exclure... les 3 réponses sont donc recevables. Mais si vous pensez pouvoir faire mieux alors allez-y et règlez ces questions par leur négation tout simplement... qu'on voit ce que ça ne donne pas.

En ce qui te concerne, difficile à dire. Faudrait déjà pouvoir t'enlever tes oeillères.

On se demande bien qui ne prendrait même pas la peine de considérer l'option Dieu comme une possibilité... sans doute celui qui conseillerait à l'autre d'enlever ses oeillères alors que les siennes ne lui permettent pas de voir que l'autre n'en porterait pas vraiment.

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Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
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On se demande bien qui ne prendrait même pas la peine de considérer l'option Dieu comme une possibilité... sans doute celui qui conseillerait à l'autre d'enlever ses oeillères alors que les siennes ne lui permettent pas de voir que l'autre n'en porterait pas vraiment.

Alors dit-nous qu’esse que dieu selon toi ?

On se demande bien qui ne prendrait même pas la peine de considérer l'option Dieu comme une possibilité... sans doute celui qui conseillerait à l'autre d'enlever ses oeillères alors que les siennes ne lui permettent pas de voir que l'autre n'en porterait pas vraiment.

1- Alors dit-nous qu’esse que dieu selon toi ?

2- Quelle son ses caractéristiques ?

:mef::bo:

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narine_2 Membre 489 messages
Baby Forumeur‚
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Mais tout simplement de ce que fait l'athée en pratique et qui le distingue du simple ignorant... soit de nier l'existence de Dieu ou d'affirmer son inexistence... celui qui ne fait rien de cela en pratique ne pratique pas l'athéisme.

Mais encore vous faudrait-il savoir ce qu'est l'athéisme en pratique pour comprendre ce que serait la pratique de l'athéisme...

En pratique l'athée ne fait rien qui puisse avoir à faire avec l'idée de divin. Pas spécifiquement par refus, mais par indifférence. Certains nous disent que Dieu est ceci ou cela. La bonne affaire, qu'ils y croient si cela leur chante et basta. Cela n'implique pas nécessairement de négation puisque la négation suppose une intention. Dans la pratique, l'athée n'a pas d'intention particulière de prouver quoi que ce soit aux croyants. Cela peut devenir parfois un passe-temps amusant, voir même un combat philosophico-politique pour les plus courageux. Il convient de noter que cette dernière catégorie est quantité presque négligeable et ne saurait à elle seule représenter l'ensemble des athées.

Si je voulais parler de laïcité alors oui...

La laïcité n'est pas l'absence de pratique religieuse mais simplement le confinement de celle-ci à la sphère privée. Quel est le rapport avec ce dont nous sommes en train de parler ici ?

Et où verriez-vous que je serais en désaccord avec ce fait... je ne fait que dire que d'affirmer l'inexistence de Dieu des suites de sa non-perception et de ne pas s'en faire une idée sur cette base reflète un manque flagrant d'imagination...

On pourra toujours dire par contre que pour ma part je considère Dieu comme une idée à envisager, comme une idée comme une autre à la différence de ce que vous en penseriez et du refus de considérez cette question comme étant une possibilité.

Alors pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit envers cette idée qui en vaudrait bien une autre on ne peut pas dire qu'il y aurait beaucoup de lumière de disponible de votre côté. acute.gif

J'accorde autant d'importance à l'idée de Dieu qu'à celle du dahut. Je suis tout à fait disposé à reconnaitre son existence - autre que mythologique - si cela s'avère rationnel. Est-ce une ouverture d'esprit suffisante à vos yeux ?

Pour être tout à fait franc avec vous, j'ai cela de différent du fanatique que je suis toujours prêt à changer d'avis si cela est nécessaire. Sur une échelle de 1 à 10 où l'athéisme représenterait 10 et la foi 1, je serais à 9,9, ce qui laisse suffisamment de place au doute sur une question aussi insignifiante que celle-ci.

Et aurais-je dis cela... cet athéisme aveuglant vous empêchant de voir le raisonnement d'autrui est un vrai boulet à votre capacité de réflexion... il serait bon que vous ne généralisiez pas à outrance et que vous mettiez cette doctrine qui déforme votre vision des choses de côté de temps à autre... Je ne suis pas de ceux qui voit Dieu derrière chaque grains de sable... mais plutôt de ceux qui peuvent considérer que son ombre s'y trouverait par contre.

Je ne peux me résoudre à considérer que le manque de preuves en matière religieuse suffise à permettre de reconnaitre l'existence réelle, physique de Dieu, ou tout du moins une probabilité non-négligeable de cette existence qui serait susceptible d'être notée. C'est pourquoi je ne cesse de rapprocher le manque de preuves de l'existence de Dieu au manque de celle de l'existence des fées.

Si je vous dit que les fées existent autrement que dans les histoires pour enfant mais que, quoi que vous fassiez, vous ne pourrez jamais les percevoir et que la seule façon de les appréhender réside dans votre imaginaire. Est-ce que cela suffit pour admettre la possibilité d'une existence réelle des fées ? D'un point de vue épistémologique ça n'a aucun sens.

Parce qu'il n'y a aucune preuves tangible d'un côté comme de l'autre et que ma préférence (libre-arbitre) irait dans le sens de ce casse-tête voulant que je chercherait un idéal et un sens à ma vie... Tout comme vous auriez choisi sans aucune preuves le camps opposé.

Est-on certain qu'il n'y aucune preuve de l'inexistence physique de Dieu ? Des preuves tangibles, concrètes, réelles... non, bien évidemment ; la théologie a bien pris soin de préciser que "Dieu est insaisissable". L'empirisme scientifique a permis au moins d'écarter un nombre invraisemblables d'hypothèses émises par les croyants et si une chose est bien certaine, c'est que le champs du possible mystique se réduit à l'état de peau de chagrin de jour en jour.

Historiquement il existe une certaine quantité de preuves logiques (voir S. Faure par exemple) s'opposant souvent aux preuves logiques de son existence. J'en ai cité une autre à la fin de mon précédent commentaire - question à laquelle j'ai remarqué que vous n'aviez pu répondre (voir plus bas). Toutes les preuves de Thomas d'Aquin ont été réfutées facilement.

Digression : Si vous faites un peu la généalogie des trois monothéismes, vous observerez qu'ils sont fondés sur des vérités révélées et qu'à leur naissance ils ne se sont pas encombrés d'argumentaire ni de justifications rationnelles. La parole de Dieu ne se discute pas. Il était alors encore permis de nier sans preuve ce qui était affirmé sans preuve sous peine de se faire lapider.

Puis, une fois les monothéismes installés dans leurs territoires respectifs, des hordes de propagandistes se sont déployées afin de discuter du sexe des anges et de construire une mythologie cohérente à partir d'éléments disparates. La justification par la preuve s'est construire a posteriori par les théologiens, de la même manière qu'un avocat plaide le cas de son client après les faits qui lui sont reprochés. Dans toute justification il y a un petit système de défense.

Le fidèle a souvent besoin de la preuve pour justifier la pertinence de son irrationalité ; l'infidèle n'a pas ce besoin vital de preuve de l'inexistence de Dieu, il n'affirme rien et par conséquent n'a rien à prouver.

Ben oui... et l'inexistence aussi existe comme une forme d'existence à part entière... c'est fou comme il y a des milliers de définitions de l'athéisme...

Et oui vous avez enfin compris ! Il était temps. En effet, comment nier une idée (celle de Dieu) alors qu'elle traverse l'histoire de l'humanité ? Dieu existe comme concept et sous cette forme il produit des effets concrets dans la société à travers l'activité humaine. On tue même en son nom. Il faudrait être sot ou fanatique pour nier une chose pareille.

Il est par ailleurs évident que l'athéisme nie l'affirmation selon laquelle Dieu existe.

Tenez, je vous donnerez une définition de Dieu comme n'étant pas ce que vous pensez qu'il est... ainsi en ne croyant pas en Dieu vous croyez en Lui puisque ce n'est pas en Dieu que vous ne croyez pas....

Trop facile d'inventer des définitions et de se définir selon son propre gré... mais peut-être pourriez-vous seulement me référer à une source sérieuse qui définirait l'athéisme de la même façon que vous le feriez... un dictionnaire réputé ou une encyclopédie reconnue par exemple.

Je ne donne pas vraiment de définition, je vous explique simplement ce qu'est l'athéisme moderne tel qu'il est théorisé depuis Feuerbach. Dieu existe mais c'est une fiction inventée par l'homme sur la base de toutes ses frustrations.

ne vous serait-il pas venu à l'idée que la toute-puissance n'est pas une obligation de faire mais simplement une capacité... et que vous considérez alors un être tout puissant comme n'ayant pas de volonté.

Mais encore, qu'est-ce qui l'empêcherait de changer ses projets futurs si il sait qu'il va les changer... et encore plus, si il est Éternel alors que signifie le futur pour Lui qui est toujours présent...

Le pire dans toute ces conneries serait de Lui donner des attributs sans même considérer que Dieu serait intelligent... de le dire omnipotent et de faire sans nécessité aucune de cet état une obligation de tout faire plutôt qu'un pouvoir soumis à sa volonté.

Comme si Dieu pouvait faire ce qu'il ne veut pas... et considérer que ce ne serait pas comme de ne pas faire ce qu'il veut. shok.gif

Vous répondez à une question par d'autres questions et d'autres hypothèses. C'est une manière presque honorable de se tirer d'un mauvais pas.

Vous avez raison, l'omnipotence est un pouvoir et non une obligation. Il n'empêche que le facteur limitant de l'omniscience empêche Dieu de toute possibilité d'action correctrice : s'il peut corriger ce qu'il a fait, cela signifie non seulement qu'il n'est pas parfait mais qu'il n'a pas su avoir une connaissance adéquate de l'avenir - et donc qu'il n'est pas omniscient.

Comme vous pouvez le constater, la notion d'obligation n'intervient pas dans le raisonnement.

(Veuillez noter que l'athéisme n'est pas à l'origine de la description des attributs divins - omniscience, omnipotence, perfection, etc. Je me borne à reprendre ceux qui sont communément admis par la théologie depuis des siècles.)

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Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Mais encore... ce tout dont vous nous parlez, en étant mis au singulier ne traduit-il pas le fait d'une seule entité... d'un seul ensemble. Manque d'imagination de votre part sans doute.

Un tout peut être composé de plusieurs entités (par exemple : tout ce qui n'est pas moi). Entité n'est pas un synonyme d'ensemble, consulte un dictionnaire.

Pourquoi pas... rien ne nous dit qu'un début, un but ou même Dieu serait à exclure... les 3 réponses sont donc recevables. Mais si vous pensez pouvoir faire mieux alors allez-y et règlez ces questions par leur négation tout simplement... qu'on voit ce que ça ne donne pas.

J'ai déjà fait mieux : ma réponse, elle, avait le mérite de ne pas être un plagiat servile. Au moins, ça règle le problème de l'imagination. Et ça nous donne le meilleurs argument en faveur de l'absence d'un but ou d'un Dieu : ceux qui insistent en faveur de son existence ne savent même pas ou le chercher.

On se demande bien qui ne prendrait même pas la peine de considérer l'option Dieu comme une possibilité...

L'hypothèse Dieu, on peut la considérer. Simplement, on se rend vite compte qu'elle est stérile et qu'elle n'apprend rien. Ce qu'a confirmé ton numéro de perroquet plus haut.

Une fois qu'on a compris ça, autant se passer de ce truc inutile.

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La Folie Membre 3 905 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Un tout peut être composé de plusieurs entités (par exemple : tout ce qui n'est pas moi). Entité n'est pas un synonyme d'ensemble, consulte un dictionnaire.

Entité : Ensemble exhaustif des propriétés qui constituent un être...

En effet ce n'est pas un synonyme d'ensemble mais bel et bien un ensemble tout court... mais peut-être devriez-vous consulter vous-même un dictionnaire de temps à autre, c'est très instructif.

On pourrait aussi parler d'un ensemble d'ensembles... d'une entité composée par d'autres entités... mais ces entités resteront des ensembles quand même.

J'ai déjà fait mieux : ma réponse, elle, avait le mérite de ne pas être un plagiat servile. Au moins, ça règle le problème de l'imagination.

De quel réponse parlez-vous... une négation n'est pas une réponse. Et en effet ça règle le problème de l'imagination puisqu'il est facile de constater que vous n'en avez pas vraiment...

Et ça nous donne le meilleurs argument en faveur de l'absence d'un but ou d'un Dieu : ceux qui insistent en faveur de son existence ne savent même pas ou le chercher.

Normal que vous ne puissiez même vous imaginez seulement l'ombre d'un endroit que vous poseriez tout à fait arbitrairement comme n'existant pas... mais dites-nous pourquoi il n'y aurait pas de début et sur quel fait reposerait cette affirmation... et dites-nous aussi pourquoi il n'y aurait pas de but et sur quel fait reposerait cet affirmation... ou encore pourquoi il n'y aurait pas de Dieu et sur quel fait reposerait cette affirmation... sans doute vos réponses ou leur absence seraient la meilleur preuve que seul le manque d'imagination serait la raison de votre négativisme.

On le cherche à l'endroit que vous dites si bien ne pas exister sans aucune preuve à l'appui... alors il est normal que pour vous on ne sache pas où le chercher puisque vous n'osez même pas regarder dans cette direction...

L'hypothèse Dieu, on peut la considérer. Simplement, on se rend vite compte qu'elle est stérile et qu'elle n'apprend rien. Ce qu'a confirmé ton numéro de perroquet plus haut.Une fois qu'on a compris ça, autant se passer de ce truc inutile.

Évidemment quand on a qu'un seul neurone qui vous permet de dire ''qu'il n'y aurait pas'' là où quelqu'un d'autre affirme ''qu'il y aurait'' ,comme c'est votre cas, alors il est peu probable que l'on ait le moindrement réfléchi à la question et qu'ainsi on se rende très vite compte qu'on serait aussi stérile que l'hypothèse à laquelle on aurait pas daignée réfléchir par soi-même... et ainsi on n'apprend rien car étant stérile soi-même on ne produit rien.

Mais on peut tout aussi bien se réfugier dans la 11ième dimension au pays des cordes et des univers contenant des univers contenant des univers si ça nous chante... c'est un truc beaucoup plus utile... surtout qu'il ne répond nullement à la question du début, du but et de Dieu.

Chacun choisi bien de donner le visage qu'il veut à Dieu... mais il y en a d'autre qui n'ont même pas la force de se l'imaginer ou d'y penser par eux-même... ils se réfugient dans la négation de ce que des hommes d'un autre temps en pensait avec les connaissances d'un autre temps comme base de départ.

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Membre, Posté(e)
La Folie Membre 3 905 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

En pratique l'athée ne fait rien qui puisse avoir à faire avec l'idée de divin. Pas spécifiquement par refus, mais par indifférence. Certains nous disent que Dieu est ceci ou cela. La bonne affaire, qu'ils y croient si cela leur chante et basta. Cela n'implique pas nécessairement de négation puisque la négation suppose une intention. Dans la pratique, l'athée n'a pas d'intention particulière de prouver quoi que ce soit aux croyants. Cela peut devenir parfois un passe-temps amusant, voir même un combat philosophico-politique pour les plus courageux. Il convient de noter que cette dernière catégorie est quantité presque négligeable et ne saurait à elle seule représenter l'ensemble des athées.

Voyez-vous, je suis un croyant qui n'affirme pas l'existence de Dieu... alors je fais la paire avec cet athée qui ne nie pas l'existence de Dieu que vous êtes.

Je me dis aussi que ce qui n'existe pas existe à sa façon et que ce qui existe n'existe pas à sa façon... ainsi on pourra dire n'importe quoi et on comprendra que ce sera n'importe quoi, donc que c'est exactement et précisément ce que l'on veut dire...

L'athéisme et le je m'en foutisme ne sont pas la même chose tout comme l'athéisme et l'agnosticisme... alors commencez par comprendre la signification de ce dont vous vous targuez avant de vous avancer et d'afficher des couleurs que vous ne connaissez même pas.

Si ça vous indiffère alors donnez-en la preuve en passant votre chemin et en montrant toute votre indifférence car c'est tout le contraire dont vous faites preuve... à moins que vous n'ayez une définition très personnelle de ce que voudrait dire ''indifférence'' également.

Cela n'implique pas nécessairement de négation puisque la négation suppose une intention.

Ben non... ça implique seulement une prise de conscience. Soit c'est ou soit ce n'est pas... sinon c'est du je m'en foutisme et on ne prend pas la peine de s'arrêter à la question et on passe son chemin sans même demander son reste... car si on s'attarde c'est qu'on ne s'en fout pas tant que ça et que ça ne nous laisse pas indifférent.

La laïcité n'est pas l'absence de pratique religieuse mais simplement le confinement de celle-ci à la sphère privée. Quel est le rapport avec ce dont nous sommes en train de parler ici ?

La laïcité suppose l'absence de pratique religieuse dans la sphère publique... et c'est encore plus près de l'absence de pratique religieuse que tout ce que vous pourrez en dire de l'athéisme car les déistes ne sont pas athées et n'ont pas de pratiques religieuses pour autant que je sache...

Mais encore, tout croyant est un athée intermittent selon ce critère puisqu'il ne pratique pas 24 heures sur 24... ainsi tous ceux qui dorment sont athées car il y a absence de pratiques religieuses pendant le sommeil...

En fait vous n'avez même pas idée de ce dont vous parlez alors il est normal que vous ne voyez pas le rapport .

J'accorde autant d'importance à l'idée de Dieu qu'à celle du dahut. Je suis tout à fait disposé à reconnaitre son existence - autre que mythologique - si cela s'avère rationnel. Est-ce une ouverture d'esprit suffisante à vos yeux ?

Vous n'avez qu'à y penser et ce sera déjà une ouverture... mais si vous laissez les autre le faire pour vous alors vous ressemblerez toujours à un oisillon attendant que l'on lui régurgite une nourriture prédigérée dans le bec... on pourrait dire que cela caractérise un bec grand ouvert au service d'une cervelle d'oiseau... Est-ce que vous appelez avoir l'esprit ouvert...

ce qui laisse suffisamment de place au doute sur une question aussi insignifiante que celle-ci.

Et comment pouvez-vous qualifier d'insignifiante une question à laquelle vous êtes indifférent... tout ce qui vous laisse indifférent serait-il ipso facto insignifiant...

Si je vous dit que les fées existent autrement que dans les histoires pour enfant mais que, quoi que vous fassiez, vous ne pourrez jamais les percevoir et que la seule façon de les appréhender réside dans votre imaginaire. Est-ce que cela suffit pour admettre la possibilité d'une existence réelle des fées ? D'un point de vue épistémologique ça n'a aucun sens.

Tout est une question de définitions et d'identification... rien ne me dit qu'une forme de vie ayant les caractéristique données aux fées n'existe pas sur une autre planète. Il y aura donc une certaine probabilité d'existence selon la cohérence de la définition qui en est faite.

C'est comme pour le père Noël... tout le monde sait bien qu'il a existé il y a longtemps et que ses traits ont subi une exagération au cours des années et que le Père Noël des contes n'est pas exactement le même que l'original... mais si on oublie tous les petits détails pour ne garder que les grandes lignes alors on se rend compte que le personnage a très bien pu exister en son temps.

Prenez comme exemple les dinosaures avant que l'on ne découvre de fossiles... si des récits avaient traversés les âges et que des allusions à des monstres hauts comme des édifices de 10 étages avaient existées, n'auriez-vous pas posé un doute raisonnable alors que l'éléphant est une dizaine de fois moins gros en comparaison.

...si une chose est bien certaine, c'est que le champs du possible mystique se réduit à l'état de peau de chagrin de jour en jour.

Et malheureusement le champs de la science s'éloigne de plus en plus de la réalité tangible pour devenir en méli-mélo de corde et de dimensions imperceptibles... rejoignant ainsi la mystique par définition quant aux théories infalsifiables.

J'en ai cité une autre à la fin de mon précédent commentaire - question à laquelle j'ai remarqué que vous n'aviez pu répondre (voir plus bas).

J'y ai répondu avec cohérence et logique alors que vous n'avez pas pris le soin de tenter de comprendre l'implication de ce que vous m'avez concédé en rapport avec la toute-puissance... tout comme vous avez passé sous silence le fait que le futur n'existerait pas pour l'éternel... encore vous faudrait-il y réfléchir le moindrement avant de conclure que je n'aurais pu y répondre.

... Dieu existe comme concept et sous cette forme il produit des effets concrets dans la société à travers l'activité humaine. On tue même en son nom. Il faudrait être sot ou fanatique pour nier une chose pareille.

Il est par ailleurs évident que l'athéisme nie l'affirmation selon laquelle Dieu existe.

Si Dieu existe comme concept alors c'est que le concept existe et non Dieu... vous confondez malheureusement les deux... tout comme pour l'homme et pour le concept d'homme... l'un n'est pas l'autre. C'est donc le concept qui produit des effets concrets dans la société alors que Dieu produirait plutôt l'homme lui-même comme effets concrets... On tue au nom du concept alors que Dieu inciterait plutôt au contraire via la conscience de chacun... il faudrait être sot ou athée pour ne pas s'en rendre compte et ne pas faire la distinction...

Nier l'affirmation selon laquelle Dieu existe... Wow !!!! Toute une façon pour ne pas dire que vous nier l'affirmation de l'existence de Dieu... que l'affirmation serait que Dieu existe et que vous niez cela, donc que vous niez que Dieu existe... donc que vous affirmez qu'il n'existe pas.

Je ne donne pas vraiment de définition, je vous explique simplement ce qu'est l'athéisme moderne tel qu'il est théorisé depuis Feuerbach. Dieu existe mais c'est une fiction inventée par l'homme sur la base de toutes ses frustrations.

Et je fais de même pour la croyance moderne qui serait de ne pas affirmer que Dieu existe et de tenter de s'expliquer tout simplement pourquoi nous serions là sur la base logique d'un créateur volontaire et intelligent.

Vous répondez à une question par d'autres questions et d'autres hypothèses. C'est une manière presque honorable de se tirer d'un mauvais pas.

Absolument pas puisque je pose comme base de réponse que l'omnipotence serait un pouvoir et non une obligation et que ce serait seulement cette obligation qui rendrait la proposition incohérente...

Vous avez raison, l'omnipotence est un pouvoir et non une obligation. Il n'empêche que le facteur limitant de l'omniscience empêche Dieu de toute possibilité d'action correctrice : s'il peut corriger ce qu'il a fait, cela signifie non seulement qu'il n'est pas parfait mais qu'il n'a pas su avoir une connaissance adéquate de l'avenir - et donc qu'il n'est pas omniscient.

Si il a tout les pouvoirs alors il a le pouvoir de ne pas tenir compte de ce qu'il sait si il le veut bien... il a aussi le pouvoir de ne pas savoir si il le veut bien et de tout savoir par la suite si il le veut bien... il a aussi le pouvoir de ne plus tout pouvoir à un certain moment et de tout pouvoir le moment suivant si il le veut bien... il a le pouvoir d'exister et de ne pas exister tout à la fois si il le veut bien... encore faut-il qu'il le veuille bien.

Mais peut-être que son premier attribut devrait être l'intelligence... car si on l'imagine comme étant stupide alors on peut bien lui faire faire tout ce qu'il ne veut pas et dire que ce serait digne de Dieu par la suite... mais ce serait d'oublier que c'est de Dieu que l'on parlerait et non du premier imbécile venu...

Dieu pourrait-il faire tout ce qu'il ne veut pas faire... sans doute que oui... mais veut-il qu'il en soit ainsi selon vous.

Comme vous pouvez le constater, la notion d'obligation n'intervient pas dans le raisonnement.

Elle intervient via la toute-puissance... puisqu'il peut tout alors il n'est en rien mentionné qu'il ferait obligatoirement tout en même temps ou sans raison ni cohérence... il est question de Dieu et non du premier imbécile venu.

(Veuillez noter que l'athéisme n'est pas à l'origine de la description des attributs divins - omniscience, omnipotence, perfection, etc. Je me borne à reprendre ceux qui sont communément admis par la théologie depuis des siècles.)

Et je ne vous parle nullement de religion mais de Dieu... non de l'interprétation qu'en ont fait des hommes qui faisait de leur mieux selon les connaissances disponibles en leur temps mais bien de penser par soi-même avec sa propre intelligence selon les connaissances de ce temps-ci...

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Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
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Entité : Ensemble exhaustif des propriétés qui constituent un être...

En effet ce n'est pas un synonyme d'ensemble mais bel et bien un ensemble tout court...

Non, pas un ensemble tout court : un ensemble qui constitue un être. Tout ce qui n'est pas moi, c'est un ensemble, mais ce n'est pas une entité, parce que ça ne constitue pas UN seul être. C'est clair comme ça ? Tu saisis enfin la nuance ?

De quel réponse parlez-vous... une négation n'est pas une réponse. Et en effet ça règle le problème de l'imagination puisqu'il est facile de constater que vous n'en avez pas vraiment...

Une négation n'est pas une réponse, c'est nouveau ça...

Normal que vous ne puissiez même vous imaginez seulement l'ombre d'un endroit que vous poseriez tout à fait arbitrairement comme n'existant pas... mais dites-nous pourquoi il n'y aurait pas de début et sur quel fait reposerait cette affirmation...

J'ai déjà donné des arguments dans le post précédent. Est ce que tu sais lire ?

On le cherche à l'endroit que vous dites si bien ne pas exister sans aucune preuve à l'appui... alors il est normal que pour vous on ne sache pas où le chercher puisque vous n'osez même pas regarder dans cette direction...

J'ai regardé, il y a rien a trouver (la preuve : des millénaires de recherche, et aucun croyant ne peut dire quel est le but de l'Univers).

Évidemment quand on a qu'un seul neurone qui vous permet de dire ''qu'il n'y aurait pas'' là où quelqu'un d'autre affirme ''qu'il y aurait'' ,comme c'est votre cas, alors il est peu probable que l'on ait le moindrement réfléchi à la question et qu'ainsi on se rende très vite compte qu'on serait aussi stérile que l'hypothèse à laquelle on aurait pas daignée réfléchir par soi-même... et ainsi on n'apprend rien car étant stérile soi-même on ne produit rien.

Hého le troll, tu te calmes, j'ai dit que j'y ai réfléchi à ton hypothèse, et qu'elle est stérile. C'est pas nouveau, Laplace expliquait déjà la même chose à Napoléon. Et des avortons mentaux dans ton genre qui pensent avoir des réponses alors qu'ils n'ont que des préjugés sont bien des exemples de la stérilité de la chose.

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Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
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En effet ce n'est pas un synonyme d'ensemble mais bel et bien un ensemble tout court...

Non, pas un ensemble tout court : un ensemble qui constitue un être. Tout ce qui n'est pas moi, c'est un ensemble, mais ce n'est pas une entité, parce que ça ne constitue pas UN seul être. C'est clair comme ça ? Tu saisis enfin la nuance ?

De quel réponse parlez-vous... une négation n'est pas une réponse. Et en effet ça règle le problème de l'imagination puisqu'il est facile de constater que vous n'en avez pas vraiment...

Une négation n'est pas une réponse, c'est nouveau ça...

Normal que vous ne puissiez même vous imaginez seulement l'ombre d'un endroit que vous poseriez tout à fait arbitrairement comme n'existant pas... mais dites-nous pourquoi il n'y aurait pas de début et sur quel fait reposerait cette affirmation...

J'ai déjà donné des arguments dans le post précédent. Est ce que tu sais lire ?

On le cherche à l'endroit que vous dites si bien ne pas exister sans aucune preuve à l'appui... alors il est normal que pour vous on ne sache pas où le chercher puisque vous n'osez même pas regarder dans cette direction...

J'ai regardé, il y a rien a trouver (la preuve : des millénaires de recherche, et aucun croyant ne peut dire quel est le but de l'Univers).

Évidemment quand on a qu'un seul neurone qui vous permet de dire ''qu'il n'y aurait pas'' là où quelqu'un d'autre affirme ''qu'il y aurait'' ,comme c'est votre cas, alors il est peu probable que l'on ait le moindrement réfléchi à la question et qu'ainsi on se rende très vite compte qu'on serait aussi stérile que l'hypothèse à laquelle on aurait pas daignée réfléchir par soi-même... et ainsi on n'apprend rien car étant stérile soi-même on ne produit rien.

Hého le troll, tu te calmes, j'ai dit que j'y ai réfléchi à ton hypothèse, et qu'elle est stérile. C'est pas nouveau, Laplace expliquait déjà la même chose à Napoléon. Et des avortons mentaux dans ton genre qui pensent avoir des réponses alors qu'ils n'ont que des préjugés sont bien des exemples de la stérilité de la chose.

Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp:

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Holbach2010 Membre 95 messages
Baby Forumeur‚
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En effet ce n'est pas un synonyme d'ensemble mais bel et bien un ensemble tout court...

Non, pas un ensemble tout court : un ensemble qui constitue un être. Tout ce qui n'est pas moi, c'est un ensemble, mais ce n'est pas une entité, parce que ça ne constitue pas UN seul être. C'est clair comme ça ? Tu saisis enfin la nuance ?

De quel réponse parlez-vous... une négation n'est pas une réponse. Et en effet ça règle le problème de l'imagination puisqu'il est facile de constater que vous n'en avez pas vraiment...

Une négation n'est pas une réponse, c'est nouveau ça...

Normal que vous ne puissiez même vous imaginez seulement l'ombre d'un endroit que vous poseriez tout à fait arbitrairement comme n'existant pas... mais dites-nous pourquoi il n'y aurait pas de début et sur quel fait reposerait cette affirmation...

J'ai déjà donné des arguments dans le post précédent. Est ce que tu sais lire ?

On le cherche à l'endroit que vous dites si bien ne pas exister sans aucune preuve à l'appui... alors il est normal que pour vous on ne sache pas où le chercher puisque vous n'osez même pas regarder dans cette direction...

J'ai regardé, il y a rien a trouver (la preuve : des millénaires de recherche, et aucun croyant ne peut dire quel est le but de l'Univers).

Évidemment quand on a qu'un seul neurone qui vous permet de dire ''qu'il n'y aurait pas'' là où quelqu'un d'autre affirme ''qu'il y aurait'' ,comme c'est votre cas, alors il est peu probable que l'on ait le moindrement réfléchi à la question et qu'ainsi on se rende très vite compte qu'on serait aussi stérile que l'hypothèse à laquelle on aurait pas daignée réfléchir par soi-même... et ainsi on n'apprend rien car étant stérile soi-même on ne produit rien.

Hého le troll, tu te calmes, j'ai dit que j'y ai réfléchi à ton hypothèse, et qu'elle est stérile. C'est pas nouveau, Laplace expliquait déjà la même chose à Napoléon. Et des avortons mentaux dans ton genre qui pensent avoir des réponses alors qu'ils n'ont que des préjugés sont bien des exemples de la stérilité de la chose.

Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp:

Prendre pour réel une simple idée qui n’a d’autre fondement que l’imaginaire tire sa logique du mythe : Lou garou, fée, lapin de pâque, père Noel, etc.:noel::dev::angel::help::aie:

Arrêté l’es il répande il répandant la folie comme une contagion.

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Holbach2010 Membre 95 messages
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En effet ce n'est pas un synonyme d'ensemble mais bel et bien un ensemble tout court...

Non, pas un ensemble tout court : un ensemble qui constitue un être. Tout ce qui n'est pas moi, c'est un ensemble, mais ce n'est pas une entité, parce que ça ne constitue pas UN seul être. C'est clair comme ça ? Tu saisis enfin la nuance ?

De quel réponse parlez-vous... une négation n'est pas une réponse. Et en effet ça règle le problème de l'imagination puisqu'il est facile de constater que vous n'en avez pas vraiment...

Une négation n'est pas une réponse, c'est nouveau ça...

Normal que vous ne puissiez même vous imaginez seulement l'ombre d'un endroit que vous poseriez tout à fait arbitrairement comme n'existant pas... mais dites-nous pourquoi il n'y aurait pas de début et sur quel fait reposerait cette affirmation...

J'ai déjà donné des arguments dans le post précédent. Est ce que tu sais lire ?

On le cherche à l'endroit que vous dites si bien ne pas exister sans aucune preuve à l'appui... alors il est normal que pour vous on ne sache pas où le chercher puisque vous n'osez même pas regarder dans cette direction...

J'ai regardé, il y a rien a trouver (la preuve : des millénaires de recherche, et aucun croyant ne peut dire quel est le but de l'Univers).

Évidemment quand on a qu'un seul neurone qui vous permet de dire ''qu'il n'y aurait pas'' là où quelqu'un d'autre affirme ''qu'il y aurait'' ,comme c'est votre cas, alors il est peu probable que l'on ait le moindrement réfléchi à la question et qu'ainsi on se rende très vite compte qu'on serait aussi stérile que l'hypothèse à laquelle on aurait pas daignée réfléchir par soi-même... et ainsi on n'apprend rien car étant stérile soi-même on ne produit rien.

Hého le troll, tu te calmes, j'ai dit que j'y ai réfléchi à ton hypothèse, et qu'elle est stérile. C'est pas nouveau, Laplace expliquait déjà la même chose à Napoléon. Et des avortons mentaux dans ton genre qui pensent avoir des réponses alors qu'ils n'ont que des préjugés sont bien des exemples de la stérilité de la chose.

Le simple bon-sens nous dicte que non pas celons des critères non imaginatifs tous les vertus que l’on lui attributs sont dépourvus de fondement et ce que l’on voie dans la nature par ex : le non libre arbitre, le déterminisme, la sélection naturelle, l’entropie, la causalité, la chaine alimentaire, etc. Il n’y a qu’une volonté sentimentale qui justifie cette maladie mentale.:gurp:

Prendre pour réel une simple idée qui n’a d’autre fondement que l’imaginaire tire sa logique du mythe : Lou garou, fée, lapin de pâque, père Noel, etc.:noel::dev::angel::help::aie:

Arrêté l’es il répande il répandant la folie comme une contagion.

Dite lui qu’il est libre!

a) Etat de la question. ?

1) Aspects psychologique, moral, métaphysique du problème de la liberté ;

2) distinction entre fatalisme et déterminisme ;

3) ambiguïté des preuves de la liberté : par exemple, Kant et la troisième antinomie; Bergson : « toute démonstration de la liberté donne raison au déterminisme » (thèse apparemment inverse de celle que l'on doit analyser).

b) Point de vue de la thèse à examiner. ?

1) Il n'est question que de la liberté de l'homme ;

2) liberté s'oppose ici à servitude, ce qui évoque des harmoniques d'ordre moral autant et plus que d'ordre psychologique : rapprochement avec les grandes doctrines morales telles que le stoïcisme et surtout le spinozisme;

3) intention de prouver indirectement la liberté en démontrant l'échec de l'intention adverse et le parti que l'on peut tirer de cet échec pour l'affirmation de la liberté.

c) Intention et attitude de quiconque prétend établir la servitude de l'homme. ?

1) La servitude est la situation d'un homme qui est ou se sent écrasé par des forces contre lesquelles il ne peut rien. L'esclave se révolte un moment, puis il se résigne à son état et fiait par le trouver « naturel » (Voir Rousseau, Contrat social : l'esclave perd tout dans l'esclavage, « jusqu'au désir d'en sortir ») ;

2) pour prouver la servitude de l'homme, il suffira donc d'énumérer « les forces qui pèsent sur lui » : lois physiques, lois juridiques, tempérament, habitude, etc. d) Critique de cette attitude. ?

1) Si l'argumentation de l'adversaire delà liberté a une valeur, celle-ci tient tout entière à l'exactitude et à la précision des analyses où il décrit les différentes formes de la nécessité et explique comment ces forces entravent la libre activité de l'homme ; en d'autres termes, pour prouver la servitude de l'homme, il faut faire oeuvre scientifique ;

2) l'adversaire de la liberté offre ainsi à celui qu'il déclare esclave un moyen de libération, car la connaissance de la nécessité est déjà par elle-même liberté (voir l'Éthique de Spinoza) ;

3) de plus, la connaissance des déterminismes procure à l'homme la possibilité de commander à la nature : il lui suffit de mettre en oeuvre des déterminismes pour se libérer d'autres déterminismes ; il n'y a d'ailleurs d'action humaine efficace qu'à cette condition (c'est la leçon que l'on peut tirer du succès de la science et de ses applications) ;

4) on doit donc prévoir que plus sera rigoureuse l'argumentation déterministe, plus les chances de liberté s'accroîtront. e) D'où vient l'erreur de l'adversaire de la liberté ?<BR style="CLEAR: both" _mce_style="clear: both;">

Dite lui qu'il est libre! Qu'il est responsable, que cela est de sa faute. Qu’il est un pêcheur!

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