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30 ans, diplômées, mais seules

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Invité pocahontas59

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Invité pocahontas59
Invités, Posté(e)
Invité pocahontas59
Invité pocahontas59 Invités 0 message
Posté(e)
Pocahontas,

J'ai d'autres expressions sur les femmes que celles de Chateau, merci de ne pas dire, "les" garçons ! mais seulement 'mon beau Châton'

---

Château, t'as fumé ce soir toi... Avoue !

---

Ca s'adresse à qui ?

---

Et si la pute représentait surtout la femme, telle qu'elle est. Telle que l'inconscient masculin la désire et la craint par ce qu'il connaît ainsi de ses réelles dimensions :

Une femme ne serait-elle pas fondamentalement l'amazone, disposant du pouvoir de faire la progéniture, sélectionner le(s) père(s), d'une physiologie plus résistante, capable d'une agressivité sans limite ?

Et si les hommes n'avait dominé que pour exister ? Pour avoir une place qui ne leur est pas donnée par la nature dans la possibilité de la culture ?

La sélection sexuelle actuelle laisse de plus en plus d'homme de côté, mais sans même en parler : Pour une femme qui meure à la rue, c'est 6 hommes. Certes, 140 femmes meurent chaque année sous les coups de leur conjoint masculin, pour très peu d'hommes mourant sous les coups de leur femme. Mais pour une femme qui se suicide , c'est près de 3 hommes qui le font, en nombre cela donne 9000 hommes par an pour 3000 femmes. Macabres comparaison mais qui donne du sens à ce qu'est la vie d'un homme moyen...

Car on ne parle peu ou pas des hommes, du moins de l'immense majorité. On parle des femmes, de toutes les femmes, pas une journée sur certaines radio sans une émission sur les femmes, je ne doute pas que ce soit la même chose à la télévision (mais je ne l'ai pas).

Oh certes il y a des hommes dont on parle aussi et tout le temps : grands sportifs, chanteurs, politiciens, grands patrons, playboys médiatiques, acteurs... A peine 0.01% de la population masculine couvre 99,9 % de la représentation masculine, et de l'attention féminine à la fois ou tour à tour haineuse et fascinée (surtout fascinée, vous avez déjà vu des hystéries masculine collective pour une chanteuse dans un concert ?).

La vrai population masculine ? Elle n'existe pas, nulle part. Des caricatures entrevues, un balayeur noir, un ouvrier portugais, un cadre commercial dont on retiens plus la couleur de la cravate que le visage livide ou rouge, un syndicaliste ou un camionneur en colère, des ombres, fonctionnelles, portées par une profession, sans personnalité.

Et ce serait nouveau ?, seulement 30 / 40 ans ?

Pour ce que je connais des archives, audiovisuelle ou papier du XXe, non, ce n'est pas nouveau, loin de là...

Tu as raison Babrius, j'ai lu trop vite ton ^post, j'ai sauté des lignes, c'est le problème avec les pâtés. :dev: D'accord, tu dis que dans les médias, on parle des femmes, toutes les femmes, et seulement des hommes connus, riches, beaux tout ça. Mais que peu des " vrais " hommes.

Bon; tu crois vraiment que les caissières de supermarché ou les femmes de ménages maliennes ont le sentiment d'être promue par les médias comme désirables, puisque c'est bien la question ?

Je pense pas.

un diplôme c'est tue l'amour moi jdis :yahoo:

Han, c'est pour ça , alors. Lol. Beau Châton, t'as vu comme Babrius te vend bien ? T'as dit merci ?

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Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Membre, Forumeur patriote, Posté(e)
Napo Membre 2 346 messages
Forumeur patriote,
Posté(e)

C'est un sujet très intéressant.

N'en déplaise aux féministes, il y a qu'on le veuille ou non un rapport naturel de domination entre l'homme et la femme ; le pouvoir naturel est la force physique, le pouvoir culturel est l'argent. Les hommes sont moins attirés par les femmes susceptibles de gagner plus qu'eux tout comme ils le sont moins par les femmes plus fortes physiquement.

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Membre, , 59ans Posté(e)
Afarensis Membre 3 752 messages
59ans‚ ,
Posté(e)

Alors là moi la femme elle peut bien être ce qu'elle veut, du moment qu'elle me plait dans sa tronche et que son charme agit sur moi le reste, situation financière, diplômes etc...J'm'en tape comme de l'an 40.

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Invité nonnina
Invités, Posté(e)
Invité nonnina
Invité nonnina Invités 0 message
Posté(e)

en voilà un sage qui sait apprécier une femme pour ce qu'elle est, du moment qu'elle lui plaît...les autres ne font qu'émettre des critiques mais, en fait, ne sont certainement pas sincères...

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Membre, Forumeur patriote, Posté(e)
Napo Membre 2 346 messages
Forumeur patriote,
Posté(e)

On peut te dire ce que tu voudras entendre, ça n'empêchera pas que dans les faits « les hommes n'aiment pas trop les femmes trop diplômées ».

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Membre, Vivre l'instant... , 61ans Posté(e)
mimisoleil Membre 2 136 messages
61ans‚ Vivre l'instant... ,
Posté(e)
Pocahontas,

Jamais, je dis bien jamais aucune femme n'est venu me prendre la main, m'inviter à faire un tour, me parler sans m'avoir été présenté etc...

J'ai toujours fais les premiers pas. Toujours. Et parfois dans de longs parcours, difficiles, de plusieurs mois, jours après jours. J'ai écris plus de lettres d'amour et de poèmes qu'une vie peut en rêver. J'ai marché, attendu, dormi dans la poussière de mes songes défaits, et rebâtit sitôt les ponts et les cordages avec tout mon courage.

Et jamais aucune femme ne m'a quitté. Peut-être les efforts m'avaient-ils trop coûté, le port était amer, la terre déjà foulée, bradées à trop de mains, était nue et sans vie...

Allez, Pocahontas, décris-moi tes efforts, combien de râteaux, combien de capitaine t'ont dit non, repoussé.

Un homme t'a-t-il répondu un soir de noël devant trente invités alors que tu lui disais "tu es merveilleux" dans un tintement de verre "tu peux toujours rêver pour qu'il se passe quelque chose entre nous", comme ça, sans prévenir, juste pour sentir la poudre, le parfum de la mort, humilier d'un sourire ?

Qu'as-tu connu, toi, Pocahontas, pour parler si HAUT !

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Invité pocahontas59
Invités, Posté(e)
Invité pocahontas59
Invité pocahontas59 Invités 0 message
Posté(e)

Voui, c'est pour quoi ? J'ai beau relire ton post, MIMI sol, j'y comprend rien. Tu flood.

Bon sang, je viens de comprendre : c'est le mot " haut". Oohhhhhhhh, Mimi, c'est toi? Bon sang on a Mimi Mathy ici sur le forum sur ce topic, ouahou.

Je croyais que tu assumais bien ton nanisme, pourtant, nan ?

C'est vrai, naine et mariée, voila une bonne leçon pour toutes ces trantenaires jeunes, belles et riches qui ne trouvent pas de compagnons.

Modifié par pocahontas59
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Membre, Vivre l'instant... , 61ans Posté(e)
mimisoleil Membre 2 136 messages
61ans‚ Vivre l'instant... ,
Posté(e)

Hum...

Ou au final, elle n'était pas si merveilleuse que cela...

Et que tu as de la chance de ne pas t'engager plus avec elle...

Imagine si elle avait dissimulée un temps cette manière d'être, que tu sois amoureux d'elle et qu'au final, un soir de réveillon, un an plus tard ou deux, elle te sorte ce type de phrase pour mettre un point final à votre relation...

Bon tu aurais été heureux un an ou deux mais une telle attitude s'explique comme tu as tenté de le faire : surprise, calcul,... mais à vivre cela doit être trop dur... Et se réveiller un jour auprès d'une telle personne, une belle méprise sur ses qualités...

Ou alors une erreur de parcours... Et juste avec toi... Ce soir-là...

Des situations "humiliantes", pas que les hommes qui en vivent les femmes aussi... En amour, pas que le premier contact qui peut donner lieu à des situations difficiles à vivre surtout en public...

C'est vrai que les hommes prennent plus de risques de ramasser des rateaux... Quoique avec les femmes et surtout les versions plus réçentes, elles sont plus actives... :dev: Et parfois en salle de pause, c'est les larmes et la crise parce que justement le rateau... ;)

Bon on a voulu l'égalité ben nous l'avons... :yahoo:

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Membre, Vivre l'instant... , 61ans Posté(e)
mimisoleil Membre 2 136 messages
61ans‚ Vivre l'instant... ,
Posté(e)

Je crois que les raisons sont multiples et personnelles aussi...

Liste non exhaustive :

- la priorité est donnée aux études et ensuite au boulot... Un investissement qui leur demande temps, énergie,...

- Ces femmes indépendantes ont du mal à s'installer dans des relations de couples... Ces femmes veulent rester libres de faire ce qu'elles veulent quand elles veulent avec qui elles veulent : pas besoin de dire ce que l'on fait, de respecter des horaires, de partager la zapette, de ramasser des chaussettes,...

- Ces femmes ne veulent pas encore vivre en couple parce qu'elles consomment comme les hommes le font du sexe sans s'attacher...

- Ces femmes ne veulent pas rentrer dans le moule qui a été celui des générations précédentes : boulot, métro, dodo, enfants, courses, ménages,...

- Ces femmes ont peur de s'investir et d'être déçues...

- Certains hommes peuvent avoir peur de femmes quand elles sont égales ou supérieures sur le plan socio-économique ou des études...

Après, je crois que même une femme qui fait des études, qui a un bon boulot, si elle croise un homme qui lui plait vraiment au-delà du désir, franchira le pas de la vie de couple si lui est partant aussi...

A contrario, je connais des "intellectuelles" mariées à des artisans depuis leurs 20 ans et leurs couples tiennent la route...

En amour, y'a pas de règles... Y'a les très belles qui sont malheureuses en amour et des moyennes qui sont heureuses en amour... Y'a les intellectuelles avec salaire en conséquence qui sont solitaires et les prolétaires qui sont seules aussi... Ben c'est plus dur pour la solitaire pauvre... Aller chercher un logement déçent avec un seul et petit salaire est une galère...

Bon alors est-ce à dire que la pauvre se met en couple jeune pour payer le loyer ?

Oh cela serait tiré une conclusion hâtive et certainement fausse...

Comme dire qu'une femme qui n'a pas fait d'études se prend moins la tête et prend la vie (l'homme) comme elle (il) vient sans se poser de questions... Heureuses les simples d'esprit en résumé...

Y'a plus de femmes seules agées aussi...

Elles vivent plus longtemps que leurs compagnons...

Parfois divorcent à la retraite...

Les conditions de vie des hommes et des femmes ont changé donc forcément les relations hommes/femmes évoluent...

Même si certains hommes se limitent pour participer aux tâches ménagères à sortir la poubelle avant de s'annexer la "zapette"...

Y'a des lois qui restent immuables... :yahoo:

Les hommes essaient de comprendre les femmes qui essaient de comprendre les hommes...

Et chacun envie les privilège de l'autre... Ou veut en avoir des neufs tout en gardant les anciens...

Ben quoi une femme veut qu'on lui tienne la porte, qu'on la protège mais veut aussi montrer qu'elle se débrouille seule et qu'elle est l'égale d'un homme (quand çà l'arrange !)... :dev:

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Invité pocahontas59
Invités, Posté(e)
Invité pocahontas59
Invité pocahontas59 Invités 0 message
Posté(e)
C'est un sujet très intéressant.

N'en déplaise aux féministes, il y a qu'on le veuille ou non un rapport naturel de domination entre l'homme et la femme ; le pouvoir naturel est la force physique, le pouvoir culturel est l'argent. Les hommes sont moins attirés par les femmes susceptibles de gagner plus qu'eux tout comme ils le sont moins par les femmes plus fortes physiquement.

Quand tu dis " rapport de domination", j'en comprend : domination de l'homme sur la femme, c'est bien ça ?

Il faudrait alors penser de ce que tu dis sur les hommes qu'ils ne se conçoivent pas en position d'égalité, même si l'égalité absolue n'existe pas, bien sûr.

Alors, ça c'était avant. Maintenant les choses changent, et si les hommes en sont malheureux et déstabilisés, d'ici une ou deux générations, ils ne sauront même plus comment c'était avant, ils trouveront normal des relations avec des femmes diplômées, qui travaillent et gagnent leur vie, donc l'avenir se présente radieux.

Les difficultés d'adaptation des hommes aujourd'hui viennent de ce changement jamais vu depuis que le monde est monde, ça n'est pas rien, la moitié de l'humanité qui relève la tête. C'est une révolution.

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Membre, Forumeur patriote, Posté(e)
Napo Membre 2 346 messages
Forumeur patriote,
Posté(e)
Quand tu dis " rapport de domination", j'en comprend : domination de l'homme sur la femme, c'est bien ça ?

Il faudrait alors penser de ce que tu dis sur les hommes qu'ils ne se conçoivent pas en position d'égalité, même si l'égalité absolue n'existe pas, bien sûr.

« En ce qu'ils ont de commun, les deux sexes sont égaux ; en ce qu'ils ont de différent, ils ne sont pas comparables. »

Rousseau.

Alors, ça c'était avant. Maintenant les choses changent, et si les hommes en sont malheureux et déstabilisés, d'ici une ou deux générations, ils ne sauront même plus comment c'était avant, ils trouveront normal des relations avec des femmes diplômées, qui travaillent et gagnent leur vie, donc l'avenir se présente radieux.

Les difficultés d'adaptation des hommes aujourd'hui viennent de ce changement jamais vu depuis que le monde est monde, ça n'est pas rien, la moitié de l'humanité qui relève la tête. C'est une révolution.

Les conventions sociales passent, la nature humaine reste. On peut changer le système mais on ne change pas la nature humaine, et j'ai la conviction que le système doit imiter au mieux l'ordre naturel ; en cela je suis pour l'égalité mais contre l'égalitarisme.

ce changement jamais vu depuis que le monde est monde, ça n'est pas rien, la moitié de l'humanité qui relève la tête.

Je pense que tu sous-estimes, comme trop de féministes, les femmes de l'humanité ayant vécu avant les années 70, avant le féminisme.

C'est à mon avis une arrogance moderne de croire que les femmes avaient la tête baissée et la relève parce qu'elles sont salariés, cette liberté les a asservi au capitalisme plus qu'autre chose. Pour un tas de raisons, je ne parierai pas que les femmes en 2010 soient plus heureuses que les femmes en 1950.

Modifié par Napo
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Invité pocahontas59
Invités, Posté(e)
Invité pocahontas59
Invité pocahontas59 Invités 0 message
Posté(e)
« En ce qu'ils ont de commun, les deux sexes sont égaux ; en ce qu'ils ont de différent, ils ne sont pas comparables. »

Rousseau.

Les conventions sociales passent, la nature humaine reste. On peut changer le système mais on ne change pas la nature humaine, et j'ai la conviction que le système doit imiter au mieux l'ordre naturel ; en cela je suis pour l'égalité mais contre l'égalitarisme.

Je pense que tu sous-estimes, comme trop de féministes, les femmes de l'humanité ayant vécu avant les années 70, avant le féminisme.

C'est à mon avis une arrogance moderne de croire que les femmes avaient la tête baissée et la relève parce qu'elles sont salariés, cette liberté les a asservi au capitalisme plus qu'autre chose. Pour un tas de raisons, je ne parierai pas que les femmes en 2010 soient plus heureuses que les femmes en 1950.

Je suis assez d'accord avec toi là-dessus : en effet, les femmes ne sont pour certaines pas plus heureuses, elles y ont " gagné" la double journée, un épuisement de tous les instants, une vie sacrifiée.

Par contre, quand tu dis que le système, social donc, doit imiter au mieux l'ordre naturel, tu préjuges de ce qu'est l'ordre naturel, ou plutôt tu préjuges je crois que l'ordre social est en fait naturel. C'est un vieux truc des anti-féministes.

Et. Pour la énième foua, je ne suis pas féministe. :yahoo:

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Membre, 17ans Posté(e)
oulach Membre 2 574 messages
Baby Forumeur‚ 17ans‚
Posté(e)

Ce débat est d'une tristesse... :yahoo:

Je reviens tout juste de Rome, tout était tout mignon tout rose... Vous venez de faire éclater ma jolie bulle romantique en milles petits morceaux, moi qui croyais que l'amour se foutait du rang social, des races, des religions, des conventions...

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Invité pocahontas59
Invités, Posté(e)
Invité pocahontas59
Invité pocahontas59 Invités 0 message
Posté(e)

En vrai c'est comme ça, oui, mais personne ne le sait, ou presque. Chuuuut. C'est un secret. Ce qu'ils appellent l'amour, je ne sais pas ce que sais.

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Membre, Forumeur patriote, Posté(e)
Napo Membre 2 346 messages
Forumeur patriote,
Posté(e)
Par contre, quand tu dis que le système, social donc, doit imiter au mieux l'ordre naturel, tu préjuges de ce qu'est l'ordre naturel, ou plutôt tu préjuges je crois que l'ordre social est en fait naturel. C'est un vieux truc des anti-féministes.

L'ordre social n'est pas purement naturel bien sur mais il en est sans doute assez inspiré en certains points.

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Membre, Posté(e)
souky54 Membre 741 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Pour avoir fait parti de celles-la...

(et avoir fait un enfant à 40 ans avec un de ceux-là)

je peux vous dire que si nous nous en sommes sorties... c'est grâce à mes diplômes ET au travail que ces diplômes m'ont fourni.

Ce que je constate...

Les non diplômés "se casent" beaucoup plus vite...

MAIS

quand elles finissent seules, ELLES AUSSI, c'est un bien plus grand drame : pour leurs enfants, comme pour elles-mêmes.

QUE, par contre, quand des diplômées trouvent "chaussure à leur pied" sur le tard... avec des individus qui partagent leurs mêmes valeurs... qui les admirent...

CA DURE...

(quelle que soit l'apparence due à leur âge...).

Notre société de consommation d'aujourd'hui, CONFOND les conjoints avec des denrées périmables...

à nous de savoir QUI nous voulons fréquenter... et pour quel avenir...

Celui-la (ou celle-la)

- pourrais-je le supporter toute ma vie, (même quand il sera moins beau... même si nous ne partageons pas les mêmes loisirs, ni plaisirs... même si le handicap survient... même si nous n'avons pas les mêmes projets pour la retraite...)

- un enfant de lui... avons-nous les mêmes projets d'éducation... les mêmes projets familiaux...

- etc...

Une chose est certaine, grâce à mes études ET à mon travail passé :

- je n'ai jamais été l'esclave de personne.

- si je le voulais, j'aurais refait ma vie depuis longtemps...

(pour combien de temps ?... NB : avec un enfant qu'on aime... à qui on doit tout... et qui n'a pas demandé à venir au monde... on réfléchit autrement...)

- toutes les femmes de la génération de ma mère (lesquelles subissent... et doivent se battre pour garder leur place... bien qu'en ayant travaillé comme des hommes) envient ma liberté.

Le vrai problème, c'est quand la maladie OU le handicap arrivent, et que la famille est hors place (ou indisponible) :

- seuls ceux qui ont eu une VRAIE vie sociale... récupèrent les bienfaits de leurs liens passés

- seuls ceux qui ont des couvertures sociales ET santé... sont aidés

- et quelques cas MINORITAIRES bénéficient d'aides associatives (il faut habiter à côté... ET ne surtout jamais dire aux services sociaux qu'on y arrive pas... car nos enfants éduqués finissent dans la fosse aux lions de la DDASS... où ils finissent en miettes...).

(mieux vaut être seuls, que mal accompagnés)

LE TOUT est que notre société CESSE de s'acharner sur nos droits :

- le droit de travailler où nous voulons... à compétence égales

- le droit de percevoir des rémunérations à égalité du travail fourni

- le droit d'être PROTEGE par NOS COTISATIONS salariales pour que nous puissions DIGNEMENT assister nos enfants EN TRAVAILLANT quand nos conjoints démissionnent

- le droit de ne pas être harcelés par la société... au prétexte que nous sommes instruits, que nous possédons notre logement, etc... si nous tombons malades (OU si nous devenons handicapés)

Les individus n'ont pas à SUBIR à VIE les frasques de leurs conjoints.

et les soutiens de familles qui ont fait l'effort de s'en sortir seuls (en cotisant, en travaillant, en autofinançant leurs logements), qui élèvent leurs enfants, etc...

devraient être les SEULS PRIORITAIRES de notre société.

CAR voici ce que mon vécu m'a infligé :

le père de ma fille, divorcé 2 enfants, (lequel m'avait fait croire qu'il s'était marié trop jeune... et qu'il était prêt à se poser d'une vie riche ET bien remplie)...,

est entrain de divorcer de sa "3ème" femme... à qui il a fait AUSSI un enfant...

(et c'est sans compter les autres femmes et enfants... que nous ignorons peut-être... encore...)

MAIS lui continue à bien vivre de son côté, "comme un jeune premier"...

pendant que ses "ex-femmes" élèvent ses enfans AVEC RIEN... pour celles qui n'ont pas eu la chance d'avoir eu un vrai travail... (ou presque rien...)

CAR à ces individus la...

qui consomment leur paye EN PRIORITE POUR EUX :

dans les cafés, dans les loisirs, dans les motos, dans les voitures,... , et "AVEC LES POTES" pendant que nous nous tapons tout le boulot...

(quand ce n'est pas dans les cigarettes, dans la drogue, dans l'alcool, etc... )

la société ne leur fait rien.

AVEC un tel tableau...

Regrettez-vous toujours vos études ?

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Invité nonnina
Invités, Posté(e)
Invité nonnina
Invité nonnina Invités 0 message
Posté(e)
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Invité pocahontas59
Invités, Posté(e)
Invité pocahontas59
Invité pocahontas59 Invités 0 message
Posté(e)
Pour avoir fait parti de celles-la...

(et avoir fait un enfant à 40 ans avec un de ceux-là)

je peux vous dire que si nous nous en sommes sorties... c'est grâce à mes diplômes ET au travail que ces diplômes m'ont fourni.

Ce que je constate...

Les non diplômés "se casent" beaucoup plus vite...

MAIS

quand elles finissent seules, ELLES AUSSI, c'est un bien plus grand drame : pour leurs enfants, comme pour elles-mêmes.

QUE, par contre, quand des diplômées trouvent "chaussure à leur pied" sur le tard... avec des individus qui partagent leurs mêmes valeurs... qui les admirent...

CA DURE...

(quelle que soit l'apparence due à leur âge...).

Notre société de consommation d'aujourd'hui, CONFOND les conjoints avec des denrées périmables...

à nous de savoir QUI nous voulons fréquenter... et pour quel avenir...

Celui-la (ou celle-la)

- pourrais-je le supporter toute ma vie, (même quand il sera moins beau... même si nous ne partageons pas les mêmes loisirs, ni plaisirs... même si le handicap survient... même si nous n'avons pas les mêmes projets pour la retraite...)

- un enfant de lui... avons-nous les mêmes projets d'éducation... les mêmes projets familiaux...

- etc...

Une chose est certaine, grâce à mes études ET à mon travail passé :

- je n'ai jamais été l'esclave de personne.

- si je le voulais, j'aurais refait ma vie depuis longtemps...

(pour combien de temps ?... NB : avec un enfant qu'on aime... à qui on doit tout... et qui n'a pas demandé à venir au monde... on réfléchit autrement...)

- toutes les femmes de la génération de ma mère (lesquelles subissent... et doivent se battre pour garder leur place... bien qu'en ayant travaillé comme des hommes) envient ma liberté.

Le vrai problème, c'est quand la maladie OU le handicap arrivent, et que la famille est hors place (ou indisponible) :

- seuls ceux qui ont eu une VRAIE vie sociale... récupèrent les bienfaits de leurs liens passés

- seuls ceux qui ont des couvertures sociales ET santé... sont aidés

- et quelques cas MINORITAIRES bénéficient d'aides associatives (il faut habiter à côté... ET ne surtout jamais dire aux services sociaux qu'on y arrive pas... car nos enfants éduqués finissent dans la fosse aux lions de la DDASS... où ils finissent en miettes...).

(mieux vaut être seuls, que mal accompagnés)

LE TOUT est que notre société CESSE de s'acharner sur nos droits :

- le droit de travailler où nous voulons... à compétence égales

- le droit de percevoir des rémunérations à égalité du travail fourni

- le droit d'être PROTEGE par NOS COTISATIONS salariales pour que nous puissions DIGNEMENT assister nos enfants EN TRAVAILLANT quand nos conjoints démissionnent

- le droit de ne pas être harcelés par la société... au prétexte que nous sommes instruits, que nous possédons notre logement, etc... si nous tombons malades (OU si nous devenons handicapés)

Les individus n'ont pas à SUBIR à VIE les frasques de leurs conjoints.

et les soutiens de familles qui ont fait l'effort de s'en sortir seuls (en cotisant, en travaillant, en autofinançant leurs logements), qui élèvent leurs enfants, etc...

devraient être les SEULS PRIORITAIRES de notre société.

CAR voici ce que mon vécu m'a infligé :

le père de ma fille, divorcé 2 enfants, (lequel m'avait fait croire qu'il s'était marié trop jeune... et qu'il était prêt à se poser d'une vie riche ET bien remplie)...,

est entrain de divorcer de sa "3ème" femme... à qui il a fait AUSSI un enfant...

(et c'est sans compter les autres femmes et enfants... que nous ignorons peut-être... encore...)

MAIS lui continue à bien vivre de son côté, "comme un jeune premier"...

pendant que ses "ex-femmes" élèvent ses enfans AVEC RIEN... pour celles qui n'ont pas eu la chance d'avoir eu un vrai travail... (ou presque rien...)

CAR à ces individus la...

qui consomment leur paye EN PRIORITE POUR EUX :

dans les cafés, dans les loisirs, dans les motos, dans les voitures,... , et "AVEC LES POTES" pendant que nous nous tapons tout le boulot...

(quand ce n'est pas dans les cigarettes, dans la drogue, dans l'alcool, etc... )

la société ne leur fait rien.

AVEC un tel tableau...

Regrettez-vous toujours vos études ?

Là, tu tapes juste, Souky. On oublie trop souvent que dans les familles où seul l'homme travaille, en effet il considère trop souvent que c'est SON argent, et qu'il a le droit d'en disposer pour lui en priorité.

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Membre, 60ans Posté(e)
JsuisSympa Membre 4 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Je suis en couple avec une femme plus diplômée que moi... et aussi plus âgée que moi !

Oui, ça existe, et j'en suis très content.

Par contre, ça ne m'empêche pas de réfléchir : j'ai aussi un minimum de diplômes. Je vous livre donc quelques petites réflexions (je n'affirme rien, je ne suis pas un spécialiste du domaine).

Je suis certain que la majorité des hommes aiment dominer, dans le couple comme ailleurs. Pour la femme, comme je n'en suis pas une, j'ai plus de mal à me prononcer, mais, pour en avoir souvent discuté, je sais que beaucoup aiment être "protégées", ce qui est différent.

Une protection peux être une force physique, une sécurité financière, une aide face aux problèmes ou questions intellectuels... d'ou peut-être l'attirance pour un plus grand, plus fort, plus diplômé, etc. Le besoin de dominer pourrait expliquer la tendance qu'ont les hommes à choisir une femme plus petite, etc.

D'autre part, même si dans un couple on sait qu'une complémentarité est souvent une condition de réussite, il n'en demeure pas moins qu'une trop grande disparité semble difficile à assumer. Un homme non diplômé avec une femme très diplômée ou vice versa. Notez qu'il faut aussi prendre en compte la différence entre "intelligence" et "diplôme". Je connais des "très diplômés" très "cons" et l'inverse aussi.

Toutefois les choses changent : les femmes diplômées, ayant un pouvoir reconnu (car leur pouvoir existe depuis toujours), c'est, à l'échelle de l'humanité, très récent. Alors peut-être devons nous attendre un peu, l'évolution se fait assez vite tout de même à ce sujet.

Faire de longues études dans lesquelles on s'investi beaucoup ne laisse pas forcément la place pour "chercher" son conjoint : beaucoup d'hommes très diplômés se marient très tard ! Mais eux n'ont pas le soucis de l'âge pour avoir des enfants, ils ont aussi l'avantage d'être dans une certaine "normalité", qui vient je ne sais d'où (peut-être OEdipe -le père-), de "pouvoir" choisir une compagne plus jeune. On parle de femme de 30 ans toujours seules, mais les hommes ? Les "femmes couguars" apparaissent !

La dernière grande enquête sur la sexualité des Français (2008) fait ressortir deux points qui me semblent à propos ici :

- Aujourd'hui, on parle facilement sexualité et elle n'est plus synonyme de procréation. Cette enquête approfondie réalisée sur plus de 12 000 français, venant à la suite de celle réalisée en 1992, confirme que « la sexualité est devenue l'expérience fondatrice des relations conjugales et affectives », « l'échange sexuel ...génère de nouvelles attentes sociales à l'égard de la sexualité, et notamment la reconnaissance du droit des individus, des femmes en particulier, à une vie sexuelle épanouie ». Donc, ne plus chercher un partenaire pour seulement avoir des enfants, c'set sûrement devenir plus "difficile", ce qui me semble tout à fait normal, et peut donc retarder l'âge d'être en couple.

- Une femme ayant fait des études a des relations sexuelles plus vastes (je ne donne pas les détails ici), et ceci se développe aussi avec l'âge : finalement, 30 ans et diplômée c'est plus de chance à ce niveau.

Bonne journée et bonne réflexion.

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  • 2 semaines après...
Membre, 54ans Posté(e)
babrius Membre 283 messages
Baby Forumeur‚ 54ans‚
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Attention digression

Le débat me semble avoir avancé mais peu malgré tout à mon sens, pour quelques raisons essentielles :

La nature humaine... Si l'un reconnait qu'elle n'est pas toute puissante parce que Pocahontas recadre un peu son emprise, elle reste dans l'esprit de beaucoup trop prégnante à mon sens. Sans vouloir être pédant, nous ne discutons pas à égalité, nul part et surtout pas dans un forum.. Mais alors que l'échange en d'autres lieux est plus attentifs au savoirs construits, il semble sur un forum que toute parole se vaille. Et il me semble qu'il y a là une source de démagogie naïve et bien incompréhensible lorsque beaucoup valorisent malgré tout les diplômes, les études, la lecture, la connaissance scientifique etc..

A quoi sert de la valoriser d'un côté et de la rejeter lorsqu'elle ne correspond plus à la sauvegarde de préjugés ?

Les sciences sociales et humaines ne sont-elles pas là justement pour évacuer ces préjugés ?

Est-ce si douloureux de mettre en balance des certitudes qui confortent un ordre du monde, une culture, une société ?

Est-ce acceptable ? L'avenir ne serait-il pas mis en danger par ce replis, cette dénégation ?

J'ai pu observer cela fortement sur le religieux et ça me reste incompréhensible, profondément... en quoi la vie serait-elle mise en jeu pas l'abandon d'une croyance à la lumière d'une analyse critique approfondie, construite depuis des décennies en réalité et aussi massivement démontrée que la relativité restreinte en physique ? avec le même niveau de complexité et de travail intellectuel mais résumable en quelques lignes pour les grands principes, pareillement..

Le croyant qui comprendrait son erreur en mourrait-il ?

Un dieu devrait-il se manifester du jour au lendemain que j'en étudierais certes les preuves avec évidemment au bout la possibilité de le reconnaître s'il était démontré ? Et ?? Qu'en subirais-je ? En vivrais-je moins ?

L'anthropologie pose avec assez d'acuité et de matériel les réalités et hypothèses projectives suivantes :

- La sexualité, la passage du matriarcat au patriarcat puis à nouveau actuellement à un matriarcat avec tout ce que cela implique...

- L'absence d'une nature humaine autre que la culture qui lui donne son essence.. Les seules constantes étant se nourrir, se vider, jouir, se reproduire.. Et non le pouvoir, la domination, l'accumulation etc.. qui n'ont strictement rien de naturel.

Je trouve toujours problématique et très infantile que la physique soit si bien acceptée parce que difficilement abordable en néophyte et pourvoyeuse d'objets utiles (ou non)...

Et que les apports de la sociologie et de l'anthropologie sociale et culturelle soient si méprisées ou ramenée à de simples opinions...

On trouve cela concrétisé dans un mélange de haine et de respect pour l'intellectuel (ou la figure moderne de l'expert), qui, lâche, compose d'ailleurs souvent avec cette image ambigüe... De grands professeurs se gardent ainsi d'aller aussi loin dans un article du "Monde" ou dans un entretien avec "Elle" que lors d'un séminaire de recherche... certain même peuvent se révéler quasiment contradictoire, au motif implicite que 'les choses ne sont pas faciles à dire...' qu'il faut avancer doucement.... Infecte lâcheté...

Rester politiquement correct et acceptable... essentiellement pour cultiver du pouvoir, des relations (hypocrites donc), une position, une réputation etc...

(l'exemple de Kinsey, de Shere Hite, ou encore de Bricmont et Sokal)

Je ne suis pas en train de dire que ce que j'ai dit ici devrait être pris pour parole d'évangile. Mais je suis étonné de constater qu'aucune réflexion, qu'aucune question n'en émerge. que le refus se fait en bloc, comme si les esprits étaient imperméables, ne serait-ce qu'au questionnement, à l'hypothèse..

Les enjeux sont immenses pour l'avenir social et culturel, certes, et justement... Ils le sont en fin de compte assez peu à un niveau individuel et immédiat. Je ne comprends donc pas ces phénomènes de résistance... Légitimer ses actes, se justifier est-il si important ? Plus important que la réalité ? Important au point de relativiser la réalité comme une subjectivité solitaire qui ne donnerait que des individus les uns à côtés des autres, sans influences, sans contagions, sans co-existence ?

Chacun se sent-il si unique qu'il en est seul au monde, dé-contextualisé avec quelques proches (par la vue, l'ouie, le toucher, la lecture.. ?)

Il n'y a rien d'humain là-dedans, du moins rien qui ne distingue alors l'homme de la grande majorité des autres animaux...

Qui peut vouloir se réduire à ça ? A un petit groupe de relation et de filiation dans une temporalité restreinte, dans un espace restreint, dans une existence restreinte.. ? A une unicité illusoire, simpliste, lié à des sens primaires, sans utilisation du matériel humain et proprement humain qu'est le cerveau hominidé, l'imaginaire, la faculté d'utiliser différentes focales au même instant, la perception du temps long, des strates d'espace et de situation du corps, physique, dans ces strates.. La construction du sens collectif, la relativisation non pas des autres mais justement de soi...

Pourtant dans des discussions à deux seulement... beaucoup font l'effort de plonger dans les mécanismes sociaux, culturels, métaphysiques, psychiques... tout comme ceux d'une horloge ou d'un moteur, par simple et seule volonté de comprendre... Pa r cette magie de la curiosité qui rend humain... Même si je suis toujours étonné qu'il y ait besoin d'un effort et des douleurs physiques que certain(e)s évoquent parfois (maux de têtes etc...).

Quel humanité, surtout aujourd'hui, en ayant un autre but que de penser, d'analyser, de comprendre, de connaître, de dépiauter tout et tout le temps ..?

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