comme quoi....

on ne peut tout dire ou écrire sur le net ! il faut assumer ce que l'on fait! .

Les paroles s'envolent, les écrits restent d'où le danger.....car les écrits constituent bel et bien des preuves recevables.

C'est drôle comme personne ne fait attention à la petite partie ``confidentialité`` dans son menu. Drôle et bien dommage...

La frénésie du "partager" aura eu leur peau...

j'ai jamais été sur facbook ....et j'suis pas prêt d'y être !

Bonjour,

L'amitié, la confidentialité sur la toile sont virtuelles.

Est-ce que ce mot a encore un sens ?

Pour ces licenciés il est temps d'en prendre conscience !

Bonne journée.

Encore une atteinte à la liberté de penser.

Le pire de tous est le délateur, celui qui a rapporter toute l'affaire à son patron, ce crypto-milicien, ce pleutre, le jaune, ce mouchard, ce co....d, cette lope avec le falsard à ces pieds et la vaseline dans la main droite, celui là mérite au mieux le goudron et les plumes.

J'espère que tous les collègues des trois licenciés vont lui en faire voir de toutes les couleurs, la noire surtout !!! J'espère que sa femme, quand elle saura cela, lui jettera toute la batterie de cuisine à la tronche, son sac à main (souvent lourd chez les gonzesses) avec !! Et pour terminer que le chien lui pisse sur les godasses.

Peu importe ce qu'ont dit ou écrit les trois, on ne dénonce pas pour de tels faits. Je savais les français les roi de la délation mais là, cela dépasse l'entendement.

En espérant que la Cours de cassation casse ce jugement inique.

j'ai jamais été sur facbook ....et j'suis pas prêt d'y être !

Bonsoir,

Encore une atteinte à la liberté de penser.

Le pire de tous est le délateur, celui qui a rapporter toute l'affaire à son patron, ce crypto-milicien, ce pleutre, le jaune, ce mouchard, ce co....d, cette lope avec le falsard à ces pieds et la vaseline dans la main droite, celui là mérite au mieux le goudron et les plumes.

J'espère que tous les collègues des trois licenciés vont lui en faire voir de toutes les couleurs, la noire surtout !!! J'espère que sa femme, quand elle saura cela, lui jettera toute la batterie de cuisine à la tronche, son sac à main (souvent lourd chez les gonzesses) avec !! Et pour terminer que le chien lui pisse sur les godasses.

Peu importe ce qu'ont dit ou écrit les trois, on ne dénonce pas pour de tels faits. Je savais les français les roi de la délation mais là, cela dépasse l'entendement.

En espérant que la Cours de cassation casse ce jugement inique.

Délation ? M'enfin il y a une différence de taille entre une confidence sur l'oreiller et celle d'exposer son point de vu sur un média !

Internet est un moyen de transmission et de communication ...

Le téléphone lorsque vous le décrochez il faut s'attendre à ce que vous ayez au moins UN interlocuteur à la fois !

Mais lorsque vous branchez internet il faut s'attendre à ce que vous en ayez plusieurs en même temps et sans forcément pouvoir les choisir !

Ce n'est pas très loin de la différence entre le téléphone et le haut-parleur voyez-vous !

Si vous téléphonez personne n'est sensé le savoir mais si vous hurlez dans un haut-parleur tout le monde autour s'en rend compte !

De là à s'attendre que ceux qui entendent ne vont pas cafter c'est la déception assurée !

Et c'est aussi naïf que les internauts qui pensent écrire un journal intime alors que celui-ci est accessible à tout le monde !

Il y a un moment où il faut savoir faire, un minimum, la part des choses !

Bonne soirée.

Dans cette affaire, le réseau social ( que je ne nommerai pas...) a été considéré à juste raison comme un espace public, ce réseau a été utilisé par ces gens comme média de leurs propos insultants et non comme de la correspondance privée, ces insultes ou propos diffamatoire constitue une faute, une preuve de déloyauté envers l'employeur, de fait ils constituent un manquement à leurs obligations inscritent dans leur contrat de travail, donc le licenciement est parfaitement justifié, que l'un de leur collègue ou que le patron de l'entreprise qui les emploient ai réagi à ces propos est normal, on insulte pas impunément qui que ce soit en public, ni son patron, ni ses collègues, ce n'est en aucun cas de la liberté d'expression mais des propos insultants qui ne relèvent en rien de cette liberté mais en abuse et fort heureusement la loi est claire, ils sont fautifs et payent de la perte de leur emploi cette faute, point final.

Pourquoi vos écrits sur F***k peuvent vous faire licencier.

Par Caroline Politi, publié le 19/11/2010 à 15:14

Le tribunal des Prud'hommes de Boulogne-Billancourt a estimé que le licenciement de 3 salariés qui avaient critiqué leur hiérarchie sur Facebook était légal. Décryptage.

Que s'est-il passé?

Un samedi soir de 2008, trois salariés d'Alten, une société de conseil en informatique, ont évoqué leur vie en entreprise sur la page F***k de l'un d'entre eux, s'autoproclamant "club de néfastes" après que la DRH a pointé leur manque de discipline. Un de leurs collègues, connecté à ce moment-là, a lu l'échange et en a fait une capture d'écran à l'intention de la direction. Les trois salariés ont été licenciés pour "incitation à la rébellion" et "dénigrement de l'entreprise". Deux d'entre eux ont porté leur cas devant les Prud'hommes.

Le tribunal, qui a rendu son jugement ce vendredi, a estimé que le licenciement était légal et que

"les salariés ne peuvent pas impunément critiquer ou avoir des propos injurieux ou diffamatoires à l'égard de leurs employeurs" .

L'avocat des salariés, Me Grégory Saint-Michel, a déjà annoncé qu'il faisait appel.

Les discussions sur F***k sont-elles privées?

Le code du travail ne dit rien sur ce que l'on a le droit de dire ou non sur les réseaux sociaux. Facebook est en principe un réseau communautaire privé. Les salariés ont mis en avant lors du procès le secret des correspondances qui interdit à une entreprise de se servir de propos écrits dans un mail ou une lettre pour licencier un salarié. Mais

le tribunal des Prud'hommes a estimé que même si une page est personnelle dès le moment où l'on a plusieurs amis susceptibles de lire le message, celui-ci prend un caractère public. "F***k n'est pas un espace privé comparable à une boite mail. C'est un réseau social ouvert, un espace d'expression publique et planétaire",

commente sur son blog Eric Rocheblave, avocat en droit du travail. Et ce même lorsqu'on a peu de contacts sur le réseau: "Le salarié qui a posté le message sur F**k avait 15 'amis' - dont cinq dans l'entreprise- susceptibles de le voir. La discussion était sur le ton de la blague. Il y avait des smileys et des LOL à toutes les phrases", justifie de son côté M^e Grégory Saint-Michel.

Peut-on être licencié pour un fait commis en dehors de son temps de travail?

Un salarié peut être licencié pour des faits commis dans sa vie privée (c'est-à-dire en dehors de son temps et lieu de travail) si ceux-ci sont suffisamment graves pour qu'ils sèment un trouble dans l'entreprise. "L'une des principales règles dans le droit est que la sanction doit être proportionnée à la faute, se défend l'avocat des salariés. Difficile d'imaginer que dans ce cas, où ni l'entreprise ni les salariés n'ont été cités que l'entreprise a été mise en péril".

Cette décision va-t-elle faire jurisprudence?

La décision rendue ce vendredi par le tribunal de Boulogne est la première du genre en France. Les entreprises pourront donc s'appuyer sur ce texte pour intenter une action en justice. Mais la jurisprudence varie d'un tribunal à l'autre en fonction de la sévérité des juges. Ce jugement n'a donc pas valeur de référence absolue. Un tribunal moins sévère peut, par exemple, estimer que l'entreprise a eu tort. Les conseillers prud'homaux prendront donc leur décision au cas par cas.

Source Lexpress.fr

Ce jugement est plein de bon sens, si ces salariés avaient portés auprès de leur hiérarchie des critiques constructives sur le fonctionnement de leur entreprise cela aurait été bien mieux accueilli qu'ils ne le croient, au lieu de cela ils se sont défoulés en insultes et en propos diffamants sur un média public d'ampleur mondiale, la prochaine fois ( si il retrouvent un emploi, gageons qu'ils sont grillés par la médiatisation...) ils y réfléchiront à deux fois avant de déverser leur aggressivité ( voire leur haine...) sur ceux qui les emploient ou partagent du temps de travail avec eux, que ça leur servent de lecon et les invitent à plus de politesse, de retenue et de constructivité.

j'ai jamais été sur facbook ....et j'suis pas prêt d'y être !

ta raison , d'ici peu les gens qui n'ont pas de comptes facebook passeront pour des marginaux ,moi persso , jme tate a me désinscrire de se "big brother" du net

Moi c'est ça que j'aime :

Mais un de leurs collègues, connecté à ce moment là, avait lu l'échange. Il avait alors réalisé une capture d'écran et l'avait transmise à l'employeur.

Papa dénonçait à la kommandantur mais fifils est plus moderne.

<br />Bonsoir,<br /><br /><br />Délation ? M'enfin il y a une différence de taille entre une confidence sur l'oreiller et celle d'exposer son point de vu sur un média !<br />Internet est un moyen de transmission et de communication ... <br /><br />Le téléphone lorsque vous le décrochez il faut s'attendre à ce que vous ayez au moins UN interlocuteur à la fois !<br />Mais lorsque vous branchez internet il faut s'attendre à ce que vous en ayez plusieurs en même temps et sans forcément pouvoir les choisir !<br />Ce n'est pas très loin de la différence entre le téléphone et le haut-parleur voyez-vous !<br />Si vous téléphonez personne n'est sensé le savoir mais si vous hurlez dans un haut-parleur tout le monde autour s'en rend compte ! <img src="style_emoticons/FR2/acute.gif" style="vertical-align:middle" emoid="" border="0" alt="acute.gif" /> <br /><br />De là à s'attendre que ceux qui entendent ne vont pas cafter c'est la déception assurée ! <br /><br />Et c'est aussi naïf que les internauts qui pensent écrire un journal intime alors que celui-ci est accessible à tout le monde !<br />Il y a un moment où il faut savoir faire, un minimum, la part des choses !<br /><br />Bonne soirée.<br />

Là n'était pas mon propos mais le fait que ce soit un employé de l'entreprise qui l'ait fait remarqué à sa direction... Fétide comme comportement

ta raison , d'ici peu les gens qui n'ont pas de comptes facebook passeront pour des marginaux ,moi persso , jme tate a me désinscrire de se "big brother" du net

Hum, justement.

J'aimerais préciser que l'on NE PEUT PAS se désinscrire de facebook juste désactiver son compte, chose totallement différente.

Des enfants !

Si , au lieu de discuter bêtement sur Facebook , ils rédigeaient tout ce qu'ils disent en plusieurs exemplaires à destination du petit chef en question , de la Direction Générale et d'autres services susceptibles d'être intéressés par leurs problèmes ? Je vous jure que ça marche , j'ai vu un cas où un petit chef ( chef de plate-forme logistique tout de même ) a été ...viré , son incapacité ayant été (ap)prouvée .

Bonjour,

Là n'était pas mon propos mais le fait que ce soit un employé de l'entreprise qui l'ait fait remarqué à sa direction... Fétide comme comportement

Je comprends que son acte puisse faire l'objet d'un jugement moral.

Cela étant entre l'usage de la liberté d'expression et le bon usage de la liberté d'expression il y a une différence.

Et dans le cas exposé ici, un des moyens de faire cette différence aurait été la discrétion !

Bonne journée.

si ces salariés avaient portés auprès de leur hiérarchie des critiques constructives sur le fonctionnement de leur entreprise cela aurait été bien mieux accueilli qu'ils ne le croient,

Boarf, la dernière fois que j'ai osé faire ça, j'ai été virée. Je ne crois plus depuis qu'une critique constructive soit perçue comme telle de nos jours dans les entreprises, mais juste comme critique (dans le sens bien négatif). La réaction c'est "ah, ça ne vous va pas ? Il y en a 40 qui attendent votre poste derrière la porte". Cela dit, ce n'est pas une raison pour baver sur la boîte en public. C'est avec l'inspection du travail voire les Prud'hommes que cela doit se régler.

Ce jugement est plein de bon sens, si ces salariés avaient portés auprès de leur hiérarchie des critiques constructives sur le fonctionnement de leur entreprise cela aurait été bien mieux accueilli qu'ils ne le croient,

A condition de travailler dans le monde des Bizounours

SAUF QUE.

je connais un peu l'histoire, celle qui a lancé cette attaque contre l'entreprise n'était plus en poste dedans, les autres n'ont fait qu'acquiescer et surtout, aucun prénom ou nom de boîte n'a été mentionné dans les propos de "l'attaque", rien ne prouve qu'il était question de l'entreprise en question.

Perso je trouve ça grave d'avoir le droit de virer des gens pour ça et encore plus que les prud'hommes soutiennent ça.