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Un sondage montre l'acceptation massive de l'euthanasie en France

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zoltan

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Membre, .un pavé dans chaque main!, Posté(e)
pyrenne Membre 7 025 messages
.un pavé dans chaque main!,
Posté(e)
Personnellement j'ai connu un gars poursuivi pour ça, mais il l'était beaucoup moins que s'il avait envoyé un mail à Rachida Dati.

sans blague? en France? c'était quand? avant le Premier Empire? t'es si vieux que ça? :yahoo:

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Animatrice, Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade, 47ans Posté(e)
titenath Animatrice 45 256 messages
47ans‚ Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade,
Posté(e)

Pyrenne, pour être plus explicite, je suis totalement pour que l'on aide les personnes en fin de vie à partir. Seulement je ne vois absolument pas comment on peut définir qu'une personne aura plus le droit à cette "aide" par rapport à d'autres sachant que chaque cas est unique, que la tolérance à la douleur varie, etc..., etc..., etc...

J'ai peur que la légifération banalise l'acte ....

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Membre, .un pavé dans chaque main!, Posté(e)
pyrenne Membre 7 025 messages
.un pavé dans chaque main!,
Posté(e)
Pyrenne, pour être plus explicite, je suis totalement pour que l'on aide les personnes en fin de vie à partir. Seulement je ne vois absolument pas comment on peut définir qu'une personne aura plus le droit à cette "aide" par rapport à d'autres sachant que chaque cas est unique, que la tolérance à la douleur varie, etc..., etc..., etc...

J'ai peur que la légifération banalise l'acte ....

je comprends tes craintes, les médecins et les législateurs les partagent aussi

mais sans une loi-cadre, prenant en compte évidemment toutes les possibilités, nous continueront à avoir les deux cas de figures suivant:

des malades condamnés à souffrir sans espoir d'en sortir parce que des médecins se refuseront à enfreindre la loi

des médecins et des familles condamnés à porter une responsabilité qui ne doit pas être la leur

et les deux sont intolérables

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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je vous mets un petit copier coller pour tenter de clarifier certains points.

Tout d'abord pour donner la définition de suicide assisté mais aussi pour différencier de l'euthanasie, l'injection de fortes doses de morphine dans le seul but de soulager la souffrance (en bleu). Quand le but n'est pas de mettre fin aux jours du malade mais d'abréger ses souffrances, même en sachant qu'une forte dose de morphine peut entrainer la mort, c'est légal.

Nous voyons que le sujet est complexe et truffé de malentendus. Beaucoup de gens pour l'euthanasie ignorent ce qu'il est déjà possible et permis de faire chez nous en soins palliatifs...

Ils ignorent qu'on peut s'en remettre au besoin à une personne de confiance, qu'il est permis d'arrêter un traitement même s'il entraine la mort, qu'il est permis de soulager la souffrance même si cela tue le malade...

Bref, la situation en France n'est pas si inhumaine que les gens le croient. Ceci dit, il y a encore à faire mais il faut rester prudent pour éviter les dérives.

Voici le copier coller :

Définition

"L'aide au suicide est définie comme le fait d'aider quelqu'un à se donner volontairement la mort en lui fournissant les renseignements ou les moyens nécessaires, ou les deux.

Voici deux exemples d'aide au suicide :

Un médecin montre à un patient comment prendre une dose mortelle d'un médicament et lui rédige une ordonnance en sachant que le patient a l'intention de prendre le médicament pour se donner la mort. Le patient absorbe la dose mortelle et meurt.

L'amie d'une femme partiellement paralysée se rend à la pharmacie pour faire exécuter une ordonnance de barbituriques, les lui apporte, les dépose dans sa main et lui donne quelque chose à boire pour en faciliter l'ingestion. La femme avale les pilules et meurt.

Pour qu'il y ait aide au suicide, il faut que le patient soit l'agent de sa mort, mais que celle-ci résulte de l'assistance d'un tiers.

Il n'y a ni suicide ni aide au suicide dans les cas de refus de traitement, ou lorsqu'on administre un traitement destiné à soulager la souffrance au risque d'abréger la vie. L'euthanasie n'est pas non plus une forme d'aide au suicide parce que, contrairement à ce qui se passe dans l'aide au suicide, la personne qui fait le geste définitif n'est pas celle qui désire mourir."

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Membre, .un pavé dans chaque main!, Posté(e)
pyrenne Membre 7 025 messages
.un pavé dans chaque main!,
Posté(e)
Je vous mets un petit copier coller pour tenter de clarifier certains points.

Tout d'abord pour donner la définition de suicide assisté mais aussi pour différencier de l'euthanasie, l'injection de fortes doses de morphine dans le seul but de soulager la souffrance (en bleu). Quand le but n'est pas de mettre fin aux jours du malade mais d'abréger ses souffrances, même en sachant qu'une forte dose de morphine peut entrainer la mort, c'est légal.

Nous voyons que le sujet est complexe et truffé de malentendus. Beaucoup de gens pour l'euthanasie ignorent ce qu'il est déjà possible et permis de faire chez nous en soins palliatifs...

Ils ignorent qu'on peut s'en remettre au besoin à une personne de confiance, qu'il est permis d'arrêter un traitement même s'il entraine la mort, qu'il est permis de soulager la souffrance même si cela tue le malade...

Bref, la situation en France n'est pas si inhumaine que les gens le croient. Ceci dit, il y a encore à faire mais il faut rester prudent pour éviter les dérives.

Voici le copier coller :

Définition

"L'aide au suicide est définie comme le fait d'aider quelqu'un à se donner volontairement la mort en lui fournissant les renseignements ou les moyens nécessaires, ou les deux.

Voici deux exemples d'aide au suicide :

Un médecin montre à un patient comment prendre une dose mortelle d'un médicament et lui rédige une ordonnance en sachant que le patient a l'intention de prendre le médicament pour se donner la mort. Le patient absorbe la dose mortelle et meurt.

L'amie d'une femme partiellement paralysée se rend à la pharmacie pour faire exécuter une ordonnance de barbituriques, les lui apporte, les dépose dans sa main et lui donne quelque chose à boire pour en faciliter l'ingestion. La femme avale les pilules et meurt.

Pour qu'il y ait aide au suicide, il faut que le patient soit l'agent de sa mort, mais que celle-ci résulte de l'assistance d'un tiers.

Il n'y a ni suicide ni aide au suicide dans les cas de refus de traitement, ou lorsqu'on administre un traitement destiné à soulager la souffrance au risque d'abréger la vie. L'euthanasie n'est pas non plus une forme d'aide au suicide parce que, contrairement à ce qui se passe dans l'aide au suicide, la personne qui fait le geste définitif n'est pas celle qui désire mourir."

effectivement, c'est assez clair

mais ça ne résout rien

si j'aide une amie à se suicider, je serai poursuivie pour non-assistance à personne en danger, au minimum, voire pire

un médecin n'a pas le droit, déontologiquement parlant, de délivrer une substance susceptible d'être nuisible à son patient

donc...le problème est le même

il est vrai que depuis la loi Leonetti, un malade peut demander l'arrêt des soins abusifs ou disproportionnés, ou s'il ne peut pas, ce sont les praticiens qui prennent la décision

mais c'est loin d'être suffisant, parce que la décision est laissée à la discrétion des médecins, et que tous ne sont pas du même avis sur la question

si tu veux, c'est un peu comme pour l'avortement, il serait inadmissible que certains médecins le pratique, et d'autres pas pour des raisons personnelles qui n'ont rien à voir avec la loi

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/s...avril-2005.html

Modifié par pyrenne
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Membre, 112ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
Quand on parle d'euthanasie, on ne parle pas de suicide assisté. Le suicide assisté c'est ce qu'il y a en Suisse, c'est différent, ce n'est pas un autre qui donne la mort. Après, tu peux le traduire à ta convenance, jouer sur les mots mais cela n'engage que toi, ne demande pas aux autres de te suivre... On comprend bien sûr ce que tu veux dire mais tu n'as pas poussé le raisonnement assez loin, tu manques de nuances.

Oui il y a bien une nuance : le doigt qui appuye sur la suringue, sa reste une nuance et sa n'a pas d'importance capitale, et demander de se faire euthanasier est un suicide .

Si les choses étaient comme tu les comprends, ce serait bien plus simple, les gens souffriraient moins du poids de la culpabilité.

Et pourtant ils devraient souffrire de la même culpabilité, le doigt qui appuye sur la seringue ne change pas grand chose .

Si quelqu'un te demande de le piquer pour qu'il meure afin d'abréger ses souffrances, serais-tu aussi à l'aise que si tu lui donnes ce qu'il faut pour qu'il se suicide ?

Oui, sachant ce qu'il va faire de la seringue que je lui donne je n'y voit aucune différence .

De plus, l'euthanasie comme l'entendent les gens, n'est pas forcément semblable à un suicide assisté, puisqu'elle pourrait se faire sur un malade qui n'a pas donné son consentement parce qu'il ne peut plus s'exprimer ou, sur un enfant qui n'est pas en âge de s'exprimer...

Sa sa reste à voir, pour le moments il n'a été question que d'euthanasier à la demande des personnes .

Non. Canonas en a expliqué un exemple, il y a aussi l'euthanasie des animaux.

HS , ont va pas préciser à chaque fois qu'on parle d'humain car c'est le sujet donc c'est évident .

L'euthanasie n'en est pas un, on ne se tue pas, on se fait tuer.

Comme celui qui se jette sous les rails d'un train, il ne se tue pas il se fait tuer par le conducteur du train, comme celui qui se coupe les veines, il ne se tuent pas il se fait tuer par un couteau .

Il n'y a ni suicide ni aide au suicide dans les cas de refus de traitement, ou lorsqu'on administre un traitement destiné à soulager la souffrance au risque d'abréger la vie.

Toute action ayant pour but d'entrainer sa propre morts est un suicide , ne pas prendre de traitement dans le but de mourrir est un suicide . Après si le but premier n'était pas d'entrainer sa propre morts on ne parle pas de suicide en effet .

Modifié par Encéphale
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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
effectivement, c'est assez clair

mais ça ne résout rien. Il est simplement question de prendre connaissance de ce qu'il est possible de faire et il se trouve que cela comporte certaines solutions...

si j'aide une amie à se suicider, je serai poursuivie pour non-assistance à personne en danger, au minimum, voire pire. Heureusement qu'il n'est pas donné à n'importe qui d'aider les gens à se suicider.

un médecin n'a pas le droit, déontologiquement parlant, de délivrer une substance susceptible d'être nuisible à son patient

donc...le problème est le même. Un médecin n'a pas le droit chez nous de pratiquer le suicide assisté comme en Suisse, ni d'injecter la substance létale mais il a le droit (et même le devoir) de soulager la souffrance et cela peut passer par l'injection d'une forte dose pouvant entrainer la mort.

il est vrai que depuis la loi Leonetti, un malade peut demander l'arrêt des soins abusifs ou disproportionnés, ou s'il ne peut pas, ce sont les praticiens qui prennent la décision

mais c'est loin d'être suffisant, parce que la décision est laissée à la discrétion des médecins, et que tous ne sont pas du même avis sur la question

si tu veux, c'est un peu comme pour l'avortement, il serait inadmissible que certains médecins le pratique, et d'autres pas pour des raisons personnelles qui n'ont rien à voir avec la loi

Et non, grâce à la loi Leonetti, on peut choisir une personne de confiance qui décide si oui ou non on arrête le traitement. Si tu veux, c'est à chacun de se choisir une bonne personne de confiance qui agira selon ses propres souhaits... Les convictions du médecin ne doivent pas passer avant la loi.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/s...avril-2005.html

Ce qu'il faut retenir c'est que chez nous, on résout bien quelques problèmes puisque le médecin est en droit de soulager la souffrance du malade quelle qu'en soit l'issue.

Que nous pouvons intérrompre tout traitement même si cela entraine la mort...

Et je voudrais préciser que, ayant été sur le terrain puisque j'ai été bénévole accompagnante en soins palliatifs, je suis en mesure de dire que les gens à l'heure actuelle sont très bien soulagés au niveau de la douleur.

Et enfin qu'il est dommage de se battre en priorité pour la légalisation de l'euthanasie avant de demander les soins palliatifs pour tous...

L'euthanasie doit rester le dernier recours et ce qui me chagrine, c'est qu'on parle davantage de la manière d'en finir avant d'avoir exploré toutes les possibilités de soulagement...

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Invité Long Nao
Invités, Posté(e)
Invité Long Nao
Invité Long Nao Invités 0 message
Posté(e)
L'euthanasie doit rester le dernier recours et ce qui me chagrine, c'est qu'on parle davantage de la manière d'en finir avant d'avoir exploré toutes les possibilités de soulagement...

La douleur n'est pas la seule donnée. La mobilité, le degré de dépendance et la durée de la maladie (depuis son commencement) ont un poids tout aussi considérable dans le recours à l'euthanasie.

Le soulagement physique n'est pas forcément le soulagement moral.

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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Encéphale, tu es tellement buté dans ton idée qu'il est inutile de chercher à t'expliquer plus longuement. Crois ce que tu veux, je me fies à la raison.

Modifié par SN3 The last.
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Membre, 112ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
Crois ce que tu veux, je me fies à la raison. [/size][/font]

Visiblement ta raison n'arrive pas à analyser une définition :

''On appelle suicide tout cas de mort qui résulte directement ou indirectement d'un acte, positif ou négatif, accompli par la victime elle-même et qu'elle savait devoir produire ce résultat''

Donc demander de se faire euthanasier quand ont sait que notre requête va être executer est un suicide .

Que dit ta raison de cela, peut être est-elle tout simplement buté après tout et que se serait pour cela qu'elle n'arriverais pas à voir ou est le suicide dans l'euthanasie (des êtres humains consentant blablablablabla)

Modifié par Encéphale
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Membre, .un pavé dans chaque main!, Posté(e)
pyrenne Membre 7 025 messages
.un pavé dans chaque main!,
Posté(e)
Ce qu'il faut retenir c'est que chez nous, on résout bien quelques problèmes puisque le médecin est en droit de soulager la souffrance du malade quelle qu'en soit l'issue.

Que nous pouvons intérrompre tout traitement même si cela entraine la mort...

Et je voudrais préciser que, ayant été sur le terrain puisque j'ai été bénévole accompagnante en soins palliatifs, je suis en mesure de dire que les gens à l'heure actuelle sont très bien soulagés au niveau de la douleur.

Et enfin qu'il est dommage de se battre en priorité pour la légalisation de l'euthanasie avant de demander les soins palliatifs pour tous...

L'euthanasie doit rester le dernier recours et ce qui me chagrine, c'est qu'on parle davantage de la manière d'en finir avant d'avoir exploré toutes les possibilités de soulagement...

suis assez d'accord sur l'ensemble

il est vrai que nous devrions donner plus de moyens aux établissements qui s'occupent de la fin de vie des personnes, c'est évident

mais il restera toujours des gens pour qui le problème se posera

et c'est pour eux qu'une loi est nécessaire

tu dis qu'un médecin peut administrer une forte dose de produits susceptibles d'entraîner la mort

oui, il peut

mais à ses risques et périls

et tu dis chacun peut choisir une personne de confiance pour prendre la décision

d'accord

mais si le malade ne peut pas choisir?

s"il n'a pas eu le temps, ou pas la possibilité?

on fait quoi?

on se rabat sur les médecins!

et c'est là le sujet qui me tourmente, en fait

ce n'est pas l'euthanasie elle-même, ça c'est sans discussion pour moi, la vie de chacun lui appartient

mais le problème, c'est la responsabilité

et je dis qu'elle doit être assumée par le législateur, et non par un médecin ou une personne fut-elle de confiance

c'est le seul moyen de libérer les médecins et les familles du poids injuste de la culpabilité, et c'est aussi le seul moyen pour que tout le monde soit à égalité, et pas soumis au bon ou au mauvais vouloir de médecins, selon l'endroit ou l'on est soigné

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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
La douleur n'est pas la seule donnée. La mobilité, le degré de dépendance et la durée de la maladie (depuis son commencement) ont un poids tout aussi considérable dans le recours à l'euthanasie.

Le soulagement physique n'est pas forcément le soulagement moral.

C'est exact et ils bénéficient également d'un soutien psychologique.

Quand on a tout fait et que les gens n'en peuvent plus malgré tout, qu'ils sont diminués etc. etc. on peut envisager en dernier recours, l'euthanasie mais pas avant.

On a l'impression que pour beaucoup, ils savent mieux que le malade ce qui est bon pour lui alors que notre tolérance à la souffrance varie d'un individu à l'autre...

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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Donc demander de se faire euthanasier quand ont sait que notre requête va être executer est un suicide .

Que dit ta raison de cela...

Que demander une euthanasie c'est rejeter la responsabilité d'un autre acte sur quelqu'un d'autre. Ce qui provoque la mort n'est pas l'acte de la demander.

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Membre, .un pavé dans chaque main!, Posté(e)
pyrenne Membre 7 025 messages
.un pavé dans chaque main!,
Posté(e)
Que demander une euthanasie c'est rejeter la responsabilité d'un autre acte sur quelqu'un d'autre. Ce qui provoque la mort n'est pas l'acte de la demander.

ben...un peu, si!

parce que c'est la demande qui provoque l'acte!

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Membre, 112ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
Ce qui provoque la mort n'est pas l'acte de la demander.

</FONT></FONT>

Peut être que ta raison a loupé un passage de la définition de suicide que j'ai deja donner 3 fois et en gros, alors une quatrième pour la route avec le passage que tu as manqué en grand et coloré :

On appelle suicide tout cas de mort qui résulte directement ou indirectement d'un acte, positif ou négatif, accompli par la victime elle-même et qu'elle savait devoir produire ce résultat

ben...un peu, si!

parce que c'est la demande qui provoque l'acte!

Exactement, tout comme le fait de se mettre sur la trajectoire d'un TGV va faire qu'on va se faire percuter par celui-ci .

Non, c'est le choix de la personne qui l'applique.

Le choix de la personne l'appliquant étant directement lié aux choix de la personne demendeuse d'euthanasie :yahoo:

Modifié par Encéphale
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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Oui, je sais lire. La définition précise bien également tout cas de mort qui résulte (...) d'un acte, pas de deux. Demander est un acte direct dont le résultat n'est pas la mort. Donner la mort résulte d'un autre acte.

Le choix de la personne l'appliquant étant directement lié aux choix de la personne demendeuse d'euthanasie wink1.gif

C'est toutefois suffisant pour que l'acte dont résulte la mort ne soit pas accompli par la victime elle-même. Ce qui ne correspond pas à la définition.

Modifié par SN3 The last.
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Membre, .un pavé dans chaque main!, Posté(e)
pyrenne Membre 7 025 messages
.un pavé dans chaque main!,
Posté(e)
Non, c'est le choix de la personne qui l'applique.

oui, aussi

mais si le malade ne te le demande pas, tu n'as pas à faire de choix

donc, il y a bien lien de cause à effet

Oui, je sais lire. La définition précise bien également tout cas de mort qui résulte (...) d'un acte, pas de deux. Demander est un acte direct dont le résultat n'est pas la mort. Donner la mort résulte d'un autre acte.

mouais...dans le même genre, je vais décider de me jeter sous le train: acte 1

et le train m'écrabouille: acte 2

mais c'est pas moi, c'est le train qui m'a suicidé

euh...suis pas sûre d'adhérer à ta thèse :yahoo:

Modifié par pyrenne
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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)
mouais...dans le même genre, je vais décider de me jeter sous le train: acte 1

et le train m'écrabouille: acte 2

mais c'est pas moi, c'est le train qui m'a suicidé

euh...suis pas sûre d'adhérer à ta thèse :yahoo:

Un acte est par définition une action humaine. Ce n'est pas une thèse, c'est la langue française. :rtfm:

Modifié par SN3 The last.
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