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Un sondage montre l'acceptation massive de l'euthanasie en France

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zoltan

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)
Sans pour autant lui donner un côté divin il y a la conscience.

Et donc ? Quel rapport avec la situation présente ?

Aucun...

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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)
C'est tellement évident que l'euthanasie est un suicide ..... je suppose que la raison de cette entêtement est que l'euthanasie est visiblement un suicide moralement accepté alors ont préfère donner un autre nom ....

C'est tellement évident qu'il y a deux mots qui relèvent une nuance de poids : l'implication d'une autre personne. Après tu peux t'entêter à n'en choisir qu'un seul pour les deux cas, personnellement je trouve la langue française bien faite.

Et donc ? Quel rapport avec la situation présente ?

Aucun...

Si quelqu'un te demande de le tuer, comment considéreras-tu ton acte ?

Modifié par SN3 The last.
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Membre, 112ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
C'est tellement évident qu'il y a deux mots qui relèvent une nuance de poids : l'implication d'une autre personne. Après tu peux t'entêter à n'en choisir qu'un seul pour les deux cas, personnellement je trouve la langue française bien faite.

Oui moi aussi, mais visiblement toi tu as du mal à la comprendre puisque même avec la définition sous les yeux qui dit explicitement que l'euthanasie est un suicide tu n'arrives toujours pas à saisir le sens du mots . La langue française bien faite.... encore faudrait-il commencer par la comprendre .

Si quelqu'un te demande de le tuer, comment considéreras-tu ton acte ?

Comme un homicide, en quoi cela change le caractère suicidaire de l'acte de demander à quelqu'un de nous tuez ? Quand tu te jettes sous les roues d'un trains, c'est un pas un suicide peut être ? tu te trouvais par hasard sur les rails d'un train . Et quand tu te coupes les veines c'est un pas un suicide non plus, c'est la lame du couteaux qui a tranché les veines pas la volonté de la personne .....

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Membre, Le gremlins à lunette, 36ans Posté(e)
Elhyareno Membre 4 313 messages
36ans‚ Le gremlins à lunette,
Posté(e)

Je suis d'accord, l'euthanasie est une forme de suicide, un suicide assisté si on veut.

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Membre, Posté(e)
sado Membre 360 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Publié le 31 octobre 2010 à 05h00 | Mis à jour le 31 octobre 2010 à 05h00

Point de vue

<H1 _extended="true">Un médecin jésuite belge et l'euthanasie</H1>


  • Photothèque Le Soleil
    Je réponds indirectement aux articles défavorables à l'euthanasie sous conditions, celui du philosophe Nestor Turcotte, du médecin François Primeau et de la dg Linda Couture. En racontant un moment extraordinaire plein de vie, d'éthique de terrain et de grand respect de la personne en fin de vie en Belgique.
    Le 21 octobre dernier, la Chaire religion, spiritualité et santé a eu le plaisir de recevoir Marc Desmet, jésuite et médecin, responsable de l'Unité et de l'équipe mobile de soins palliatifs de l'Hôpital Jessa à Hasselt, Belgique-Flandres. Cette conférence publique, intitulée «Euthanasie et l'expérience belge : des défis en termes chrétiens», fut organisée en collaboration avec l'Association des Intervenants et Intervenants en soins spirituels du Québec. é lire sur le site HYPERLINK "http://www.crss.ulaval.ca/" www.crss.ulaval.ca pour l'essentiel de sa présentation.
    Le Dr Desmet oeuvre dans un hôpital «de libres penseurs» de près de 1000 lits et fait partie de l'équipe mobile de soins palliatifs (SP). Il n'a pas pratiqué et ne pratique pas l'euthanasie, mais il a accompagné, à leur demande, une trentaine de fois des mourants par euthanasie et leurs proches. L'euthanasie sous conditions, «ce n'est pas un meurtre, ça n'a rien à voir avec un meurtre... C'est parfois la moins mauvaise des solutions... Lorsqu'il n'y a plus d'autres solutions raisonnables.»
    Il n'utilise jamais les mots «tuer», «être tué», «éliminer», «donner la mort», mais plutôt «un médecin aide un mourant à terminer et à finir sa vie, à sa demande libre...». Nous sommes tellement loin du langage des médecins et autres professionnels ultra religieux québécois. Que ça fait du bien à entendre! Selon le Dr Desmet, le choix des mots aide à définir une éthique d'accompagnement et de soins. Il a tellement raison. Utiliser des gros mots n'est pas «catholique», selon moi ! Et ça tue tout dialogue éthique.
    Une distinction. Le droit à l'euthanasie n'existe pas en Belgique; n'existe que le droit de demander l'euthanasie. Les nombreux refus proviennent du fait que ces demandes d'euthanasie ne respectent pas les conditions que la société belge s'est donnée. Le Dr Desmet encourage les soins intégraux et, selon lui, soins palliatifs et euthanasie peuvent aller ensemble. Voici un médecin d'expérience en SP, jésuite en plus, qui dit que cela ne vient pas tuer ou affaiblir les soins palliatifs (contrairement à ce qui est dit au Québec par des dirigeants de SP surtout).
    Selon le Dr Desmet ça prend beaucoup d'humilité pour admettre la diversité, pour prendre au sérieux le mourant et accepter l'importance des attitudes et des intentions. Le souhait du patient et l'attention aux proches sont au centre des SP. Comme la liberté est la plus grande valeur chrétienne, il est important d'être en accord avec sa liberté de conscience. é l'intérieur du non-permis, il y a encore place pour beaucoup d'éthique et d'accompagnement. Les personnes qui choisissent de mourir par euthanasie veulent aussi notre solidarité et être entourées; nos grands principes ne doivent pas leur en priver. Le deuil, chez les proches des personnes ayant eu recours à l'euthanasie, se fait mieux que chez les autres, soutient le Dr Desmet.
    é la fin de cette soirée, je lui ai donné une poignée de main de gratitude et d'admiration. J'étais et je le suis encore, en état de choc, heureux et serein. Quand la dignité, la compassion et le dialogue éthique sont au rendez-vous, le respect de la personne et la sérénité le sont aussi.
    L'ouverture à l'autre et le respect de l'autre jusqu'à la fin nous font tellement de bien et augmentent notre qualité de vie.

Modifié par sado
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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)
Oui moi aussi, mais visiblement toi tu as du mal à la comprendre puisque même avec la définition sous les yeux qui dit explicitement que l'euthanasie est un suicide tu n'arrives toujours pas à saisir le sens du mots . La langue française bien faite.... encore faudrait-il commencer par la comprendre .

Non, la définition est celle du suicide et non celle de l'euthanasie. C'est pourtant simple :yahoo: . Mais peux-être as-tu la flemme de tourner les pages pour trouver la définition de l'euthanasie. D'ailleurs s'il y a deux mots c'est bien pour quelque chose. En l'occurrence il s'agit d'une nuance de poids, sans pour autant qu'il n'y ait pas de point commun. En bref, l'euthanasie répond à la définition du suicide mais pas entièrement. Et encore moins dans le cas d'une euthanasie où le patient ne décide pas (ce cas de figure t'avait peut-être échappé...).

Comme un homicide, en quoi cela change le caractère suicidaire de l'acte de demander à quelqu'un de nous tuez ?

L'homicide est accomplit par quelqu'un d'autre. Il y a un caractère suicidaire, mais pas de suicide.

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Membre, Le gremlins à lunette, 36ans Posté(e)
Elhyareno Membre 4 313 messages
36ans‚ Le gremlins à lunette,
Posté(e)

Les cas ou le patient ne déciderai pas, ce serait parce qu'il n'est pas en mesure de le faire. La c'est plus délicat effectivement. Mais si on parle de l'euthanasie consentie, on est dans le suicide assisté.

D'ailleurs, les personnes qui sont maintenu en vie mais inconscientes sont parfois "débranchée" ou leurs soins interrompus, non? Ce n'est pas une forme d'euthanasie? Et cela existe-t-il en France? Simple curiosité.

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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
oui je suis tout à fait d'accord avec toi : j'y ai beaucoup pensé et je me dis que plus le diagnostic donne la vraie nature de l'avenir, plus il est possible de prendre ses dispositions. Mais cela est assez sérieux pour que le débat se fasse sur notre territoire...il est temps!

La loi Léonetti prévoit de s'en remettre à une personne de confiance en cas d'impossibilité à se faire entendre. Cette personne choisie par le malade quand il était apte à prendre des décisions, exprime les volontés du patient. Actuellement, il est question d'euthanasie passive puisque l'active est interdite, la personne de confiance est chargée de faire valoir les volontés du malade comme par exemple faire arrêter tous traitements sans lesquels la mort surviendra.

La personne de confiance, porte parole de la personne en fin de vie

http://www.infirmiers.com/profession-infir...s-le-point.html

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Membre, 112ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
Non, la définition est celle du suicide et non celle de l'euthanasie. C'est pourtant simple :yahoo: .

Et la définition de morts par hémoragie n'est pas la même que celle de suicide, c'est pourtant simple, donc se couper les veines n'est pas un suicide .

En bref, l'euthanasie répond à la définition du suicide mais pas entièrement.

Elle y répond, c'est une forme de suicide .

Et encore moins dans le cas d'une euthanasie où le patient ne décide pas (ce cas de figure t'avait peut-être échappé...).

Dans se cas ce n'est pas un suicide .

L'homicide est accomplit par quelqu'un d'autre. Il y a un caractère suicidaire, mais pas de suicide.

La notion de volonté dans le suicide est important, comme je l'ai dit celui qui se tranche les veines ne se tuent pas lui même, c'est la lame du couteau, l'hémoragie qui s'en suit etc...., il faut deja commencer par comprendre la notion de volonté pour comprendre ce qu'est l'acte suicidaire .

Suicide : Volonté de mourrir -> moyen mise en oeuvre pour y arriver -> mort .

La tu essayes de transformer la notion de suicide en voulons montrer que c'est la notion de moyen mise en oeuvre qui est important et non la notion de volonté or ce n'est pas le cas .

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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)
Et la définition de morts par hémoragie n'est pas la même que celle de suicide, c'est pourtant simple, donc se couper les veines n'est pas un suicide .

Se couper les veines, se jeter sous les rails, se tirer une balle, se débrancher du respirateur artificiel... bizarrement dès qu'il s'agit de demander à quelqu'un "se" disparaît. Pourtant on se suicide, on ne suicide pas.

Elle y répond, c'est une forme de suicide .

Elle y répond en partie. Considérer qu'il s'agit d'une forme de suicide est une considération incomplète.

Dans se cas ce n'est pas un suicide .

Alors qu'en est-il de ceci :"je suppose que la raison de cette entêtement est que l'euthanasie est visiblement un suicide moralement accepté alors ont préfère donner un autre nom ...." ?

La notion de volonté dans le suicide est important, comme je l'ai dit celui qui se tranche les veines ne se tuent pas lui même, c'est la lame du couteau, l'hémoragie qui s'en suit etc...., il faut deja commencer par comprendre la notion de volonté pour comprendre ce qu'est l'acte suicidaire .

Suicide : Volonté de mourrir -> moyen mise en oeuvre pour y arriver -> mort .

La tu essayes de transformer la notion de suicide en voulons montrer que c'est la notion de moyen mise en oeuvre qui est important et non la notion de volonté or ce n'est pas le cas .

Vois-tu, dans le cas d'une euthanasie on a pas la volonté de se donner la mort.

Modifié par SN3 The last.
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Membre, 112ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 112ans‚
Posté(e)
Se couper les veines, se jeter sous les rails, se tirer une balle, se débrancher du respirateur artificiel... bizarrement dès qu'il s'agit de demander à quelqu'un "se" disparaît. Pourtant on se suicide, on ne suicide pas.

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Elle y répond en partie. Considérer qu'il s'agit d'une forme de suicide est une considération incomplète.

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Alors qu'en est-il de ceci :"je suppose que la raison de cette entêtement est que l'euthanasie est visiblement un suicide moralement accepté alors ont préfère donner un autre nom ...." ?

Vois-tu, dans le cas d'une euthanasie on a pas la volonté de se donner la mort.

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Bon je m'arrete la, tu n'es pas capable de faire la distinction entre un moyen et une fin, entre un couteau et une volonté de se couper, je vais aller en discuter avec mon chat, lui non plus ne sait pas faire la disctinction mais aux moins il a un joli poils .

Modifié par Encéphale
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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Ah, je suis incapable de faire la distinction entre un moyen et une fin. Elle est bien bonne ! :yahoo:

Si je peux me permettre, disons que si l'euthanasie n'est pas considérée comme un suicide c'est parce qu'elle engage une tierce personne. Certains de ceux qui sont contre l'euthanasie, mettent en avant le fait que la personne qui injecte la substance létale va avoir un problème de conscience car il n'est pas toujours facile de vivre en paix après avoir aidé quelqu'un à mourir. Dans un cas de suicide, c'est l'affaire du suicidé, il n'implique personne d'autre dans son acte et personne n'aura à en porter le poids. Le cas du suicide assisté se situe à mon avis entre les deux, même si ce n'est pas un autre qui met fin à la vie, c'est quand même un autre qui aide le malade à en finir. Le cas de conscience est moindre que d'avoir injecté soi même le produit fatal mais pas inexistant pour autant...

Ceci étant, on peut également parler de cas de conscience et de fardeau à porter si l'on a pas aidé un proche à mourir, si l'on n'a pas abrégé ses souffrances comme il le suppliait... Rien n'est simple et dans les 2 cas, il doit y avoir culpabilité...

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Membre, 45ans Posté(e)
SN3 The last. Membre 6 166 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)
Si je peux me permettre, disons que si l'euthanasie n'est pas considérée comme un suicide c'est parce qu'elle engage une tierce personne.

Tout à fait.

Ceci étant, on peut également parler de cas de conscience et de fardeau à porter si l'on a pas aidé un proche à mourir, si l'on n'a pas abrégé ses souffrances comme il le suppliait... Rien n'est simple et dans les 2 cas, il doit y avoir culpabilité...

En effet.

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)
Si je peux me permettre, disons que si l'euthanasie n'est pas considérée comme un suicide c'est parce qu'elle engage une tierce personne.

Qu'elle n'engge ou ps une tierce personne, cela importe peu. Soit l'euthanasie se fait à la demande de la victime, auquel cas c'est un suicide (certes assisté, mais un suicide assisté reste un suicide, tout comme une voiture rapide reste une voiture). Soit c'est fait sans le consentement de l'euthanasié, auquel cas c'est un homicide.

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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Attention, il ne faut pas confondre suicide assisté et euthanasie !

Le suicide assisté, c'est la mise à disposition du malade, de ce dont il a besoin pour qu'il mette lui même fin à ses jours.

L'euthanasie, c'est une tierce personne qui met fin à la vie du malade.

Le suicide c'est encore autre chose, la persnonne met fin à ses jours toute seule sans l'aide de personne.

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Membre, 73ans Posté(e)
Framboise69 Membre 1 851 messages
Baby Forumeur‚ 73ans‚
Posté(e)

Par ailleurs, en soins palliatifs, il est permis de donner de fortes doses de morphine tout en sachant que cela peut engendrer la mort, soulager le patient en fin de vie passe avant le maintenir en vie absolument.

Exact, quand il n'y a que très peu de temps à vivre en souffrant même sous morphine, si le patient demande, on lui abrège ses souffrances. Mieux vaut partir dignement en quelques mn que dans une souffrance atroce.

Il faut le savoir.

Je l'ai vécu en 2000, et c'était mon mari.

Et il ne sert à rien de palabrer sur des pages et des pages, il faut connaitre la situation, la vivre pour donner son témoignage.

Ce que l'on pense n'a pas d'intéret, il n'y a que celui du malade.

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Invité Elaïs
Invités, Posté(e)
Invité Elaïs
Invité Elaïs Invités 0 message
Posté(e)
Qu'elle n'engge ou ps une tierce personne, cela importe peu. Soit l'euthanasie se fait à la demande de la victime, auquel cas c'est un suicide (certes assisté, mais un suicide assisté reste un suicide, tout comme une voiture rapide reste une voiture). Soit c'est fait sans le consentement de l'euthanasié, auquel cas c'est un homicide.

Se pose le probleme du consentement.

Je l'ai vécu en 2000, et c'était mon mari.

Et il ne sert à rien de palabrer sur des pages et des pages, il faut connaitre la situation, la vivre pour donner son témoignage.

Ce que l'on pense n'a pas d'intéret, il n'y a que celui du malade.

Ma famille a vécu une situation où l'avis du malade n'était plus possible d'etre receuilli.

La médécine a prononcé un verdict sans appel: le pronostic vital de mon oncle qui devait juste avoir 30 ans a l epoque est de zero chance de survie.

La médécine a egalement proposé une d'euthanasie passive a mes grands parents au nom du refus de l'acharnement térapeutique.cux -ci ont tout bonnement refusé de aisser les bras.

Pas facile avec des savants medecins, qui vous disent qu'ils ne veulent plus soigner car c'est inutile, de faire entendre sa voix.

Ils ont menacé de porter plainte. La medecine a cédé de mauvais gré et a entamé les soins.

Mon oncle vit encore il a passé ces 50 ans , il est en totale rémission. Totalement guéri. Il y a des séquelles mais il vit et est heureux.

Alors des fois s'acharner c'est juste persévérer. Faut pas baisser les bras.

La vie trouve toujours son chemin :yahoo: ( y'avé jurrassik park a la tv cet aprem :rtfm: )

Modifié par Elaïs
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