La spéculation boursière recommence sans cesse.

Les politiques ne sont pas au bout de leur peine en ce qui concerne la Crise.

Et pour tous ceux qui disent que c'est "leur crise", sachent qu'ils y sont dedans de la même façon, car pour la plus part ,ils ont accepté de travailler dans ces entreprises ou ces usines qui spéculent en bourse. Sauf certaines pme indépendantes, les seuls qui ont le droit de dire : c'est leur crise, se sont eux qui spéculent, pas nous !

En même temps si je cherchai un job, j'me verrai mal refuser une bonne offre pour cette raison.

"Désolé, le job me plait, c'est une bonne place, mais j'aime pas la façon dont vos collaborateurs spéculent....Alors je vais vous dire non !!"

La spéculation boursière, personne n'y peut rien à notre petit niveau car ça concerne des millions d'¿. Au mieux on peut descendre dans la rue et manifester, c'est à dire pisser dans un violon.

C'est le jeu ma pauv' lucette. A dire vrai ça ne s'est jamais arrêté.

La différence avec avant la crise c'est que la prochaine fois que ça re-crack comme il y a 2-3 ans, on ne pourra pas réparer. On l'a fait une fois mais on pourra pas une seconde.

Autant qu'ils se plantent plus quoi.

Cela suppose Aaltar que l'on ne laisse pas faire ,il me semble,car si comme tu le dis ,ils se plantent dans tous les cas ,nous payerons..Tous les gouvernements sont sensés représenter le peuple et non pas s'enrichir à leurs dépends...En appliquant la même réflexion qu'eux pour la retraite ,nous devons les forcer à admettre qu'une frange de la population est écartée , dans un seul but , plus de profits pour certains et donc plus de misères pour d'autres.Comme il n'existe qu'une seule et unique quantité de monnaie ,l'évidence fait qu'elle doit être différemment répartie et non plus augmenter que dans un seul sens...

On a fait ce qu'on a pu mais le constat est tout de même que la politique est incapable d'influer de manière déterminée sur les fonctionnements financiers.

Ce qu'on a fait de pas trop mal, c'est instauré des fonctionnements communautaires en Europe, ce qui n'était pas le cas avant. On a pris conscience de notre faiblesse à ce niveau là et l'union s'est plus ou moins doté de moyens.

L'Amérique a aussi été très stricte sur le cadre à poser sur les banques et leurs activités de spéculation, en Europe on a emboité le pas avec une hausse à 7% de fonds sur ce qui était engagé par le banques en matière spéculative.

C'est pas grand chose, ça n'évitera pas le bouillon si ça doit revenir mais c'est toujours mieux que rien.

tant que le politique n'aura pas repris en main l'économique, la spéculation réduira à néant tous les efforts de maitrise et de redressement

Mais pourquoi voudriez vous qu'ils arrêtent de spéculer, puisqu'ils ont été renfloué, les bourse et les banques au frais du contribuable et sans rien en échange.

C'est trop tard.

Ou plutôt il faut attendre la fin de leurs monde dans un crack monétaire qui pulvérisera les banques, les bourses et l'euro avec le dollars américain.

2012 peut-être, mais à coup sur avant la fin de cette décennie.

Il faut savoir que "La crise" comme ils disent est le fond de commerce des libéraux.

Le maître mot : "C'est la crise ma p'tite dame"... et voilà comment on moutonne le peuple.

Cette crise est artificielle et celle de 2008, quand on voit la réduction de droits sociaux qu'elle a entrainé en son nom n'a pas fait ouvrir les yeux de ce peuple humain. C'est qu'il en a de la merde dans les yeux et du caca dans les oreilles.

chacun reste avec son petit prés carré surtout qu'on ne vienne pas l'emmerder....

Ils peuvent y aller, les libéraux, pas de problèmes...

Les politiques ne sont pas au bout de leur peine en ce qui concerne la Crise.

Et pour tous ceux qui disent que c'est "leur crise", sachent qu'ils y sont dedans de la même façon, car pour la plus part ,ils ont accepté de travailler dans ces entreprises ou ces usines qui spéculent en bourse. Sauf certaines pme indépendantes, les seuls qui ont le droit de dire : c'est leur crise, se sont eux qui spéculent, pas nous !

«Les financiers ne font bien leurs affaires que lorsque l'état les fait mal.»

[ Charles-Maurice de Talleyrand ]