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Anniversaire du féminisme

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Grenouille Verte

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Membre+, N'a pas la haine, la distribue - Avocat du diable, 35ans Posté(e)
La Haine Membre+ 19 091 messages
35ans‚ N'a pas la haine, la distribue - Avocat du diable,
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Non, du tout, le féminisme lutte pour l'égalité des droits des femmes.

Ce n'est pas ce que je pense, c'était ironique.

Les masculinistes partent du postulat selon lequel l'égalité entre les femmes et les hommes serait atteinte.

Ah ? Les masulinistes pensent donc que les femmes ne subissent plus aucune discriminations ? J'aimerais bien avoir une source à ce propos ^^

Suivant ce constat, les hommes seraient susceptibles de vivre autant de discriminations que les femmes.

En nombre de discriminations, oui, et c'est complètement logique ^^ En revanche, pas en nombre de personnes discriminées, ça c'est sûr, plus de femmes parce qu'elles sont des femmes subissent des discriminations dans le monde que d'hommes parce qu'ils sont des hommes.

Il est facile d'observer que certaines catégories de personnes subissent de la discrimination en raison de leur statut social : les Autochtones, les ouvriers et ouvrières, les sans-abri ou les femmes.

Ou les punks aussi.

Or, les masculinistes tentent de faire croire que les hommes seraient discriminés en tant que groupe social. La situation est alors inversée : le dominant devient dominé sous prétexte qu'il subit une souffrance qui serait propre aux hommes.

Et il y en a, forcément ^^

Le plus souvent, les masculinistes prennent en exemple des cas individuels et les généralisent à l'ensemble des hommes.

J'aimerais vraiment savoir d'où elle sort ça :o° Heureusement que l'ensemble des femmes subit des discriminations sinon l'existence du féminisme serait encore plus douteuse :rtfm: :D

Pourtant, on ne peut élaborer une théorie des rapports sociaux uniquement sur la base d'une souffrance personnelle.

En effet, mais on peut, on doit même, éviter, effacer une souffrance injuste qui ne serait subit que par ne serait-ce qu'un seul individu.

Comme le dit Jean-Claude St-Amant : « Oui, il y a des discriminations sur la base de la classe sociale où des hommes sont aussi victimes, mais ils ne le sont pas en tant qu'hommes. » [3]

Hmm, donc tout comme les hommes battus, les femmes battues ne sont pas battues car ce sont des femmes ? ( :yahoo: )

Ainsi, contrairement à ce que plusieurs croient, le masculinisme n'est pas l'équivalent du féminisme. Il s'agit plutôt d'une contre-attaque de quelques hommes face au projet féministe de redéfinition des rapports sociaux."

Comment peut-on conclure une telle chose sachant que le féminisme lui-même est un ramassis de plusieurs mouvements différents ?

Encore une fois une femme (avec 72 de QI) est diabolisée, et elle seule est excécutée et pas ses complices(qui eux ont tué), je trouve que cela est une réelle injustice!! et un crime!!

J'aimerais bien aussi que tu donnes un lien qui dit que cette femme a été exécutée parce que c'était une femme et non pas une personne avec une déficience intellectuelle ^^ Il ne faut pas confondre les débats ^^

Cette définition de wiki est très discutable. Il n'existe pas de mouvement "masculin" qui serait l'équivalent du féminisme. La définition que tu donnes ne se rapporte donc à aucune réalité.

Oui, c'est exactement la même chose avec le féminisme, et c'est tout à fait ce que je veux faire ressortir ^^

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J'aimerais bien aussi que tu donnes un lien qui dit que cette femme a été exécutée parce que c'était une femme et non pas une personne avec une déficience intellectuelle ^^ Il ne faut pas confondre les débats ^^

Certes je suis peut être pas très impartiale sur ce coup là...mais j'ai jamais entendu parler d'un homme qui a été condamné à l'injection létale parce qu'il avait commandité le meurtre de sa femme?

Quelqu'un a t'il entendu parler d'une affaire comme celle ci ?

Bon c'est peut être une simple injustice lambda, et comme tu dis le fait que se soit un homme ou une femme n'aurait rien changé à la condamnation...je veux bien admettre que là je défends surtout une femme, et suis pas forcément très objective, n'empêche, même si cela avait été un homme, bon j'aurais peut être été moins virulente , mais j'aurais pensé quand même qu'il s'agit d'une injustice et même, une forme d'eugénisme.(effectivement là c'est un autre débat)

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lien intéressant

http://www.dailymotion.com/video/xfi3gt_ce...t-fasciste_news

http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=3501

hum par contre désolée, faut s'abonner pour le voir)

Tout autre chose. On ne parle jamais du porno, dans nos émissions. On a tort. Les images porno sont parmi les plus vues au monde. Elles charrient évidemment des représentations, des modèles, des tabous. Donc, on s'est lancés cette semaine. A notre manière : pas d'affolement, vous ne verrez pas d'extraits! Mais on en parle. Comme on en a rarement parlé. Judith Bernard a invité le philosophe Vincent Cespedes, auteur de "L'homme expliqué aux femmes". Lui pense que "le porno, c'est le fascisme". Judith n'est pas d'accord. Le couple, la fidélité, la puissance masculine : écoutez-les débattre. Je ne suis pas certain que le mystère de l'éternel masculin soit entièrement dissipé à la fin de l'émission. Mais vous en apprendrez beaucoup sur Judith et sur son invité.

(purée en plus... trop beau le vincent :yahoo: )

CESPEDES, "L'ENCOUPLEMENT" ET LE PORNO, D@NS LE TEXTE

Alors, l'homme ? Comment va l'homme ? C'est le sujet du livre du philosophe Vincent Cespedes, L'homme expliqué aux femmes (Flammarion). Enfin, pas à toutes les femmes. Mais surtout aux femmes qui, ne le comprenant pas (l'homme) peinent à établir la jonction.

Ce texte ne pouvait nous échapper, tant les identités sexuelles et leurs représentations, imagées ou littéraires, nous préoccupent, au point que nous leur avons consacré un dossier entier. Et les textes d'hommes, consacrés à la condition masculine, sont assez rares pour que l'on n'en rate pas un, s'il passe à notre portée.

Alors ?

Résultat mitigé.

De l'homme, il est certes question dans le texte à fulgurances de Cespedes, de sa posture, de son corps, de tout son corps, à commencer par cet étendard paradoxal : ses couilles, auxquelles l'écrivain consacre des lignes poétiques, opportunément relevées par Judith.

Mais le livre de Cespedes dérive vite sur ce sujet plus vaste : le couple. Ou plus précisément "l'encouplement", c'est à dire le couple exclusif et durable, coupable selon Cespedes de bien des malentendus hommes-femmes, et de bien des drames. Premier match : à Judith, pro-encouplement et fière de l'être, qui lui sort Badiou, et son Eloge de l'amour, Cespedes réplique en traitant son aîné en philosophie de "crypto-catho".

Le débat se déplace ensuite sur le front du porno, défouloir des mâles encouplés, selon Cespedes, qui ne goûte guère la monotonie mysogine des représentations de la sexualité dans le porno. Et voilà Judith, appuyée cette fois sur le "King kong théorie" de Virginie Despentes, en défenseuse du porno, révélateur salutaire de nos fantasmes inavoués.

A signaler aussi dans l'émission, une fort intéressante distinction entre pouvoir et puissance. Mais le mystère de l'homme demeure entier. DS.

L'émission est proposée par Daniel Schneidermann, animée par Judith Bernard et réalisée par François Rose.

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Quelque petites questions pour vous tous et toutes...

Citez moi un pays où l'on lapide les hommes infidèles??

Hum...autant pour moi, j'essaye d'être impartiale donc je vous fais connaitre cette info:

En Iran, les hommes mariés infidèles prennent eux aussi le risque d'être lapidés.

"Nadia: Son seul crime: être née femme!

Nous ne pouvons pas affirmer que le fait d'être une femme ait desservi Sakineh. L'exécution par lapidation en cas d'adultère de l'un des époux est également prévu pour un homme dans le Code pénal iranien. Et si son amant présumé, accusé d'être le complice dans le meurtre de son mari, a été grâcié, c'est parce que les enfants de Sakineh n'ont pas souhaité le faire condamner. Mais il est vrai que la lapidation affecte plus les femmes, car les hommes en Iran peuvent avoir quatre épouses et contracter des mariages temporaires.

Quant à la lapidation, concrètement parlant, elle discrimine aussi la gent féminine. La loi indique que si un condamné arrive à se libérer, il échappe de ce fait à la lapidation. Mais la pratique prévoit que les femmes soient enterrées jusqu'aux épaules et les hommes jusqu'à la taille, ce qui n'est pas équitable. "

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/pro...neh_934128.html

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Simone de Beauvoir

debeauvoir090108_12521t.jpg

Simone de Beauvoir (de son nom complet Simone-Lucie-Ernestine-Marie Bertrand de Beauvoir), née le 9 janvier 1908 à Paris et morte le 14 avril 1986 à Paris, est une philosophe, romancière, épistolière, mémorialiste et essayiste française. Elle a partagé la vie du philosophe Jean-Paul Sartre. Leurs philosophies, bien que très proches, ne sauraient être confondues. Simone de Beauvoir est la plus grande théoricienne du féminisme, et a participé au mouvement de libération des femmes dans les années 1970.

Dans Le Deuxième Sexe, elle affirme : « On ne naît pas femme, on le devient » (repris du concept proposé par Tertullien)[réf. nécessaire] : c'est la construction des individualités qui impose des rôles différents, genrés, aux personnes des deux sexes. Son livre souleva un véritable tollé et son auteur fut parfois calomniée. Rares furent ceux qui lui apportèrent du soutien. Elle reçut cependant celui de Claude Lévi-Strauss qui lui dit que du point de vue de l'anthropologie, son ouvrage était pleinement acceptable. De grands écrivains comme François Mauriac ne soutiennent pas le sens polémique de son écriture et furent du nombre de ses détracteurs.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Simone_de_Beauvoir

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  • 2 semaines après...
Membre, 113ans Posté(e)
Theemmerdeur Membre 188 messages
Baby Forumeur‚ 113ans‚
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Quand tu utilises le signe égal, tu assimiles les deux éléments. S'il avait été dit féminisme=humanisme, il aurait été dit "le féminisme est l'humanisme".

Ton exemple te contredit toi-même: voiture est un terme générique pour Clio. La Clio est une voiture, mais la voiture n'est pas obligatoirement une Clio. :rtfm:

Je confirme on a pas appris le même français.( qui n'est pas appris qu'en France au cas où tu ne serais pas au courant et qui à ces spécificité régionale ou continental)

Deplus tu dis toi-même que le féminisme est revendiquer par plusieur mouvements (que tu les considère féministe ou non on s'en fout car elles se considèrent en tant que tel)) donc c'est aussi un termes génériques.

Pour moi le féminisme actuelle n'accomplit plus rien en faveur des femmes. Elles passent leur temps à tout rejetter sur les hommes et ce fait ammène que l'égalité tardera encore à venir.

C'est elles qui entretiennent la guerres des sexes que tu répugne et après elle viendront se plaindre qu'on les critiques :yahoo:

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  • 2 semaines après...
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Invités, Posté(e)
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Posté(e)

75.000 femmes violées chaque année en France, soit 200 femmes par jour, soit une femme toutes les sept minutes: ces chiffres donnent le tournis; ils s'appuient pourtant sur des études très sérieuses, de l'Insee à l'Observatoire national de la délinquance. Mais ils restent largement méconnus, tant les violences machistes sont encore taboues en France, tant l'idée sur le ringardisme du féminisme, qui serait un combat d'arrière-garde réglé depuis longtemps, est toujours prégnante.

Et ce, malgré l'obstination de plusieurs générations de militant(e)s. Cette fois, elles sont trois organisations -le Collectif féministe contre le viol (CFCV), Mix-Cité et Osez le féminisme- à lancer une campagne nationale, avec quatre petits films (voir ci-dessus), des affiches qui se veulent choc (représentant une jeune femme violentée par un homme en costume) et pour slogan «75.000 femmes violées par an ça fait beaucoup de "cas isolés"». Elles ont aussi monté un site internet, très encombré dès son lancement, qui rassemble informations, témoignages de victimes et une pétition en ligne. Mercredi en milieu d'après-midi, «le manifeste contre le viol» avait déjà réuni près de 2.000 signatures. Plus d'une centaine de personnalités soutiennent aussi l'initiative, de la chanteuse Agnès Bihl (auteure d'une magnifique chanson sur le sujet) à la comédienne Eva Darlan, en passant par Marina Foïs, Florence Foresti, Agnès Jaoui ou Nolwenn Leroy.

L'idée est venue aux organisatrices en découvrant, presque par hasard, l'ampleur du phénomène dans leur entourage. «On a découvert avec effroi que c'était pas un cas isolé, mais qu'il y avait 10, 15, 20 personnes concernées autour de nous. Cela a été un peu un choc», dit par exemple Caroline De Haas, pour Osez le féminisme, une des dernières nées des associations féministes, créée l'an dernier à l'occasion du combat pour la défense du Planning familial.

L'objectif des trois organisations est à la fois de «libérer la parole» des victimes, souvent marquées par la honte et la culpabilité (et ce discours récurrent: «mais elle l'avait bien cherché non? avec sa mini-jupe...») et d'avancer plusieurs revendications, portées depuis des années par le mouvement féministe, comme le développement de l'éducation sexuelle. Histoire qu'un jour, la célèbre phrase de l'écrivaine Benoîte Groult soit enfin obsolète: «Le féminisme est un beau mouvement pacifique, qui n'a jamais tué personne, alors que le machisme tue tous les jours.»

PS: Un numéro de téléphone Viol-Femmes-Informations 0 800 05 95 95

PPS: le 25 novembre, journée internationale contre les violences faites aux femmes. A Paris, le Collectif national pour les Droits des Femmes (CNDF) appelle à un rassemblement devant Bercy à 19h.

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  • 2 semaines après...
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Posté(e)

"Mardi, devant la cour anglaise, la représentante des autorités suédoises a détaillé les quatre chefs d'accusation qui ont

semblé assez sérieux outre-Manche pour refuser la libération sous caution de Julian Assange" explique Rue89

"¿ la contrainte sexuelle («tvang» en suédois): Assange est accusé par une première femme -«Miss A» -

d'avoir usé du poids de son corps pour la maintenir couchée d'une certaine manière sexuelle, le 14 août;"

"¿ l'agression sexuelle : Assange aurait fait l'amour avec Miss A sans préservatif alors qu'elle avait exprimé le souhait d'en utiliser un.

Selon Me Pernilla Dahlrot, avocate suédoise du barreau de Paris, cet acte peut être qualifié de viol en Suède;"

"¿ l'agression, encore, pour le «viol de son intégrité sexuelle» le 18 août, soit quatre jours plus tard;"

"¿ relations sexuelles avec Miss W, le 17 août dans sa maison de Stockholm, sans préservatif alors qu'elle était endormie.

D'après l'acte d'accusation, la qualification retenue serait le viol."

Rue89 cite aussi Christian Diesen, professeur de droit à l'université de Stockholm, interrogé par Libération :

"«Aujourd'hui, les femmes en Suède considèrent qu'elles ont le droit de dire "non" à n'importe quel moment

d'un rapport et qu'une relation forcée, même sans menace ou violence, est un viol qui doit faire l'objet de poursuites

En l'état actuel du dossier, sont donc reprochés à Assange d'avoir imposé des relations sexuelles non protégées

(mais le point de savoir si la partenaire a effectivement demandé à Assange de remettre un préservatif sera certainement disputé)

et une relation avec une femme endormie. Même si le code pénal suédois, sous réserve de vérifications,

qualifie ces faits de viols, cette qualification peut-elle être utilisée

par des médias appartenant à des pays dans lesquels le terme a une acception bien différente ?

http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=3591

Je trouve les lois suédoise intéressantes concernant les droits des femmes en matière de sexualité, et cela montre à certains pays machistes et phallocrates(comme la France, c'est mon avis perso et certaines de mes expériences me l'ont confirmé !!), que les femmes dans les pays nordiques sont plus respectées et ont plus de droits qu'ailleurs, je plussoie!

Après comme pour tout, il faut faire attention aux dérives, car si il n'y a pas de preuves c'est la parole de l'un, contre la parole de l'autre, pas évident à juger

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 108ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
108ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)
Même si le code pénal suédois, sous réserve de vérifications,

qualifie ces faits de viols, cette qualification peut-elle être utilisée

par des médias appartenant à des pays dans lesquels le terme a une acception bien différente ?

Je ne vois pas pourquoi les médias des autres pays ne pourraient pas parler de viol puisqu'il s'agit d'une accusation de viol en Suède. Un journaliste n'est pas obligé d'utiliser la définition légale de viol de son pays.

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Je suis d'accord avec toi, quand on va dans un pays, on se doit de respecter les lois qui y sont appliquées! (maintenant cela reste à prouver que monsieur Assange a réellement transgressé ces lois là, pour le moment il y a présomption d'innocence, car il n' y a pas eu encore de procès)

En tant que femme, j'apprécie les lois suédoises concernant les droits des femmes :-)))

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 108ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
108ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)

Après, on peut avoir des doutes sur la réalité des faits au vu des circonstances.

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Membre, 61ans Posté(e)
bel68 Membre 873 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
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un autre éclairage sur cette question des viols en Suède:

Champions pour la liberté des m¿urs¿ et les viols

Une étude place la Suède en tête des pays d'Europe pour le nombre de viols. Une éditorialiste de Fokus s'interroge sur ce phénomène.

oilà quelque temps, Bruxelles a financé une étude sur le viol en Europe. Pour la Suède, les résultats étaient alarmants : nous arrivons en tête de classement avec 46 viols déclarés pour 100 000 habitants, devant l'Angleterre et le pays de Galles, deuxièmes avec un chiffre inférieur de moitié, 23 viols déclarés pour 100 000 habitants. L'étude a été conduite par le Pr Liz Kelly, de la London Metropolitan University. Ses partenaires suédois étaient Eva et Christian Diesen, de la faculté de droit de l'université de Stockholm. La Suède occupe donc la première place de ces sinistres statistiques. Le nombre de viols déclarés a enregistré une nette augmentation dans le pays. L'année dernière, le cap des 5 000 plaintes a été franchi. Entre 2004 et 2007, le nombre de déclarations de viol a bondi de 81 %.

Certes, ces chiffres s'expliquent en partie par la définition légèrement différente que la Suède en donne. Depuis 2005, il n'est plus nécessaire qu'il y ait eu violence ou menace de violence pour engager des poursuites. Il suffit que la victime se soit ­trouvée dans un état d'impuissance ¿ endormie, ivre ou sans connaissance. Mais ni la législation suédoise, ni la multiplication des plaintes, ni la composition démographique du pays, ni le modèle suédois de répartition des rôles sexuels n'expliquent une telle augmentation.

le reste de l'article avec le lien URL ci-dessous:

http://www.courrierinternational.com/artic...rs-et-les-viols

Le respect du "non" de la femme doit en effet être une règle absolue .

Reste que les relations femmes/hommes deviennent de plus en plus compliquées, et que l'on peut certainement regretter, que la justice remplace le savoir-vivre, le savoir-être et la courtoisie.

Quand on pense que la Suède est citée comme pays de référence depuis 40 ans pour ses réussites dans les combats féministes ....on est tenté de dire " tout cela pour en arriver là ?"

tout régir par la loi ?

Fausse route !!! n'oublions que la justice intervient là où les humains ont faillis....

Je ne crois pas un instant que l'on changera la mentalité des hommes(mâles) par la contrainte juridique.... je crois beaucoup plus à l'éducation.

Avant d'enseigner les matières scientifiques, l'informatique, l'économie, on ferait mieux de revenir aux fondamentaux de la vie :

-savoir-vivre

-savoir-être

-savoir-faire

-savoir se nourrir correctement

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un autre éclairage sur cette question des viols en Suède:

Champions pour la liberté des m¿urs¿ et les viols

Une étude place la Suède en tête des pays d'Europe pour le nombre de viols. Une éditorialiste de Fokus s'interroge sur ce phénomène.

oilà quelque temps, Bruxelles a financé une étude sur le viol en Europe. Pour la Suède, les résultats étaient alarmants : nous arrivons en tête de classement avec 46 viols déclarés pour 100 000 habitants, devant l'Angleterre et le pays de Galles, deuxièmes avec un chiffre inférieur de moitié, 23 viols déclarés pour 100 000 habitants. L'étude a été conduite par le Pr Liz Kelly, de la London Metropolitan University. Ses partenaires suédois étaient Eva et Christian Diesen, de la faculté de droit de l'université de Stockholm. La Suède occupe donc la première place de ces sinistres statistiques. Le nombre de viols déclarés a enregistré une nette augmentation dans le pays. L'année dernière, le cap des 5 000 plaintes a été franchi. Entre 2004 et 2007, le nombre de déclarations de viol a bondi de 81 %.

Certes, ces chiffres s'expliquent en partie par la définition légèrement différente que la Suède en donne. Depuis 2005, il n'est plus nécessaire qu'il y ait eu violence ou menace de violence pour engager des poursuites. Il suffit que la victime se soit ­trouvée dans un état d'impuissance ¿ endormie, ivre ou sans connaissance. Mais ni la législation suédoise, ni la multiplication des plaintes, ni la composition démographique du pays, ni le modèle suédois de répartition des rôles sexuels n'expliquent une telle augmentation.

le reste de l'article avec le lien URL ci-dessous:

http://www.courrierinternational.com/artic...rs-et-les-viols

Le respect du "non" de la femme doit en effet être une règle absolue .

Reste que les relations femmes/hommes deviennent de plus en plus compliquées, et que l'on peut certainement regretter, que la justice remplace le savoir-vivre, le savoir-être et la courtoisie.

Quand on pense que la Suède est citée comme pays de référence depuis 40 ans pour ses réussites dans les combats féministes ....on est tenté de dire " tout cela pour en arriver là ?"

tout régir par la loi ?

Fausse route !!! n'oublions que la justice intervient là où les humains ont faillis....

Je ne crois pas un instant que l'on changera la mentalité des hommes(mâles) par la contrainte juridique.... je crois beaucoup plus à l'éducation.

Avant d'enseigner les matières scientifiques, l'informatique, l'économie, on ferait mieux de revenir aux fondamentaux de la vie :

-savoir-vivre

-savoir-être

-savoir-faire

-savoir se nourrir correctement

Je tombe des nues, je ne savais pas qu'il y avait autant de plaintes pour viol en Suède, merci pour cet article Bel 68

Je suis d'accord avec vous concernant l'éducation des hommes et des femmes, éducation trop laxiste depuis de nombreuses années, je pense que trop de liberté tue la liberté.Je pense que dans toute société, il faut enseigner, apprendre aux personnes l'importance des limites, leur apprendre à canaliser le côté excessif, jouisseur et égoïste que renferme l'humain, et faire éveiller en eux la conscience d'autrui et l'empathie.

Trop de lois répressives déresponsabilisent peut être trop les citoyens, effectivement votre analyse est juste Bel 68,je me suis peut être embalée trop vite, quant à l'efficacité des lois suédoises (hum)

Je pensais qu'il serait peut être judicieux de proposer aux adolescents des cours d'éducation sexuelle dans les écoles, et leur apprendre ce qu'est le respect de l'intégrité physique et psychique d'autrui, même durant l'acte sexuelle.

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Elles couchent pour ne pas avoir à dire « non »

Par Nolwenn Le Blevennec | Rue89 | 12/12/2010 | 14H04

« Pour ne pas passer pour une gourde, je le faisais sans aucun plaisir. » Paroles de celles qui cèdent faute de confiance en elles.

Chloé -les prénoms ont été changés- se souvient d'avoir dit « non » un jour sur un trampoline en Normandie. Sur un trampoline ?

« Oui, le gars m'embrassait et voulait m'emmener chez lui, pour aller plus loin. J'ai refusé. Comme quoi, je sais dire "non". »

A 27 ans, si elle est fière de cette anecdote, c'est qu'elle a connu de nombreuses « relations sexuelles non pleinement consenties ». Celles que les filles ne désirent pas vraiment, pas comme ça, et auxquelles elles cèdent par paresse ou par peur de passer pour des cruches.

Son pire souvenir, c'est avec un type rencontré en Corse, « du genre "bad boy" qui ne va jamais t'aimer ». Sa spécialité quand elle avait 20 ans. Dès le début, il insiste pour faire des choses qui ne lui plaisent pas.

« Il m'emmenait faire des préliminaires dans les fourrés, j'en ressortais avec des piqûres partout, c'était désagréable et ça m'agaçait, mais je ne disais pas "non". »

Plus tard, au cours d'un week-end à la campagne, chez lui, « j'ai compris que ça allait être chaud pour moi ».

Chloé est alors vierge, « avec un seuil de respect de mon corps assez bas » :

« Des garçons me touchaient souvent les seins, pour rire. Ce qui n'est pas normal. »

En arrivant dans la « baraque », elle se rend compte qu'il a prévu de dormir dans le même lit qu'elle. Elle va devoir lui dire qu'elle ne l'a jamais fait. Préfère se saouler à la vodka. Elle finira la soirée « complètement allumée » dans le lit double. Le lendemain, elle se réveille en ayant mal « entre les cuisses » :

« Il ne m'a pas calculée de la journée et je n'ai rien osé dire. »

« Je préfère avoir une MST que casser l'ambiance »

Amandine, maintenant 26 ans, a autrefois pratiqué des fellations à répétition pour plaire à un petit copain.

« Il avait bien fait passer le message. Je savais qu'il adorait ça et je sentais une pression. Pour ne pas passer pour une gourde, je le faisais régulièrement, sans prendre aucun plaisir.

Le lendemain, j'étais une gourde, un peu sale en plus. »

Anne a quant à elle accepté une relation sexuelle avec un quasi-inconnu en vacances :

« Je me suis dit qu'il allait insister des heures, alors j'ai préféré me laisser faire. » (Voir la vidéo en anglais d'un extrait de « Pas de printemps pour Marnie »)

Et puis, le témoignage de poids. Celui d'Esther Freud, « arrière-petite-fille de ». La romancière s'est inspirée de sa propre expérience dans un passage de son livre, « Love Falls » (éd. Bloomsbury). Une scène de sexe forcé. En 2007, dans le Guardian, l'auteur ne se cache plus derrière son personnage. Elle raconte le traumatisme d'une longue nuit avec un inconnu.

Elle rappelle aussi les chiffres de l'association NSPCC (National Society for the Prevenion of Cruelty to Children) selon lesquels 45% des jeunes adolescentes britanniques auraient eu des expériences sexuelles non voulues (voir les chiffres 2009). En anglais, on appelle cela du « sexe bullying » (« sexe avec brutalité »).

Sur Internet, on trouve également de nombreux témoignages de filles, ici ou ici. Grand classique également, l'incapacité à dire « non » à un garçon qui ne veut pas mettre de préservatif. Chloé à nouveau :

« Je répète la phrase ¿" mets un préservatif "- douze mille fois dans ma tête avant de la prononcer. Si le mec refuse ou me dit qu'il ne préfère pas, je cède à mes risques et périls. »

Puis, en riant :

« C'est con hein, mais je préfère avoir une MST que casser l'ambiance. »

« Des gestes sexuels impensables il y a trente ou quarante ans »

A ce stade, on peut penser que Chloé, Amandine, Anne et Esther étaient des adolescentes un peu « tarte » ou fragiles. En réalité, elles souffraient d'un manque de confiance en elles et une peur du rejet, des maux courants chez les adolescentes et les jeunes femmes. « C'est le moment de la vie où le regard des autres est vécu comme déterminant », dit Annie Rolland, psychothérapeute spécialiste des ados.

La popularité est le maître mot, la pression du groupe de pairs, déterminante. Il y a les autres filles qui ont déjà couché et s'en vantent. Et les garçons, qui « jouent un jeu cruel, en faisant croire à la fille que si elle ne couche pas, elle perd toute sa valeur », dit Annie Rolland. Sur ce forum (cela fait peur), ils se demandent jusqu'où ils ont le droit d'insister.

Michel Fize, sociologue, auteur du livre « Les Nouvelles adolescentes » (éd. Armand Colin) explique :

« C'est d'autant plus inquiétant aujourd'hui que l'accès très facile à la pornographie change les représentations sexuelles.

Les garçons demandent et les filles acceptent des gestes sexuels impensables il y a trente ou quarante ans. »

Nicolas, 15 ans, en troisième à Paris :

« J'ai quatre copines qui font des fellations, on dit des "gâteries", alors que ce n'est pas leur truc. C'est juste pour paraître cool. »

Education sexuelle et « capacité argumentaire »

Selon Annie Rolland, les normes ont changé : les parents sont plus permissifs, les ados plus responsabilisés et moins protégés. Or ces « incidents » ont souvent lieu lors de fêtes alcoolisées. La prévention passe par un meilleure éducation sexuelle :

« Il faut que les filles sachent qu'elles peuvent dire "non" jusqu'à la dernière minute et que ce n'est pas grave. Elles ont droit de porter des mini jupes et de dire "non". »

C'est le rôle de l'école et surtout des parents de les en convaincre. Mais le savoir ne suffit pas. Sarah Oussekine de l'association Voix d'elles rebelles organise pour les filles de Saint-Denis des ateliers pour apprendre à dire « non » « dans tous les domaines de la vie en général ». La clé : travailler sur l'estime de soi.

Hélène Manseau, directrice du département sexologie de l'université du Québec, a travaillé pendant dix ans, dans des centres jeunesse à Laval. Elle y organisait des ateliers, pour des jeunes en difficulté. Certains étant des jeunes parents par accident.

Avec les filles, « qui ne parlaient généralement pas d'elles de façon positive », elle travaillait l'estime de soi et une « capacité argumentaire ».

« Nous nous sommes rendues compte que face aux sollicitations sexuelles, elles n'avaient aucune objection à faire. Elles étaient sans voix. »

Lors de jeux de rôle, les filles ont appris à trouver les mots pour dire « non ».

Lui mettre un poing dans la figure

Chez les jeunes pères, la chercheuse a observé un rapport sexiste à la sexualité, valorisant la performance.

« Leur volonté de passer pour un bon amant les amenait à faire des gestes, à la limite de la liberté de l'autre. »

L'un des ateliers consistait à « érotiser le condom », pour que ces derniers maîtrisent leur peur de perdre leur érection et n'imposent plus aux filles des rapports non protégés.

Chloé n'est jamais tombée enceinte, mais elle vit son histoire comme un quasi-viol :

« Maintenant, j'ai besoin qu'on me rassure beaucoup pendant l'acte sexuel, sinon je le vis comme violent et tout mon corps se contracte. »

Elle n'a jamais revu son agresseur, mais l'idée d'aller lui mettre un poing dans la figure surgit de temps en temps.

Quant à Esther Freud, elle l'a recroisé quelques années plus tard dans

la rue :

« Derrick a semblé surpris et un peu embarrassé. »

Avec le recul, elle raconte que cette histoire l'a fait grandir et sortir de certaines passivités. Elle espère que sa fille sera assez confiante pour dire « non » ou « oui », « et le penser vraiment ».

A lire aussi sur Rue89 et sur Eco89

► Pourquoi les « sexe-blogueurs » s'exposent-ils sur le Net ?

► Sexe sur Facebook : j'ai poké, j'ai chatté, j'ai chopé

Ailleurs sur le Web

► Faut-il se forcer à faire l'amour? sur Elle.fr

► Trop génée pour protester, sur Guardian.co.uk (en anglais)

http://www.rue89.com/2010/12/12/elles-couc...dire-non-180330

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Invité croissant
Invités, Posté(e)
Invité croissant
Invité croissant Invités 0 message
Posté(e)

J'ai placé cela aussi en sexualité, et bien c'est dire aux jeunes femmes, que leur corps leur appartient, et qu'elles n'ont pas à subir la pression sociale, et que bien souvent le manque de confiance en elle, fait que par peur d'être rejetée ou pas aimée, certaines acceptent des choses qu'au fond elles ne désirent pas.

Etre féministe pour moi, c'est éveiller la conscience des jeunes femmes, les aider à se respecter et avoir confiance en elle.

Si tu trouves que je fais du hors sujet c'est ton point de vue pas le mien!!

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Membre, 52ans Posté(e)
Carlo71 Membre 71 messages
Baby Forumeur‚ 52ans‚
Posté(e)

Comme la Bible le dit : L'Homme doit être soumis à sa femme et s'occuper du ménage et des enfants :yahoo:

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 108ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
108ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)
le rapport avec le féminisme ?

:yahoo:

Il s'agit d'une atteinte au droit des femmes de dire non. Ce droit est un droit central dans le combat féministe.

Ce qui est le plus vicieux, c'est que ce droit est nié par une norme sociale, pas par l'homme qui va en profiter.

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Membre, 61ans Posté(e)
bel68 Membre 873 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Bonjour

pouvez-vous, SVP développer cette notion ?

merci

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Membre, Posté(e)
Dasset Membre 5 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Le féminisme est un ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales cherchant à promouvoir les droits des femmes et leurs intérêts dans la société civile. Il s'incarne dans des organisations dont les objectifs sont d'abolir les inégalités sociales, politiques, juridiques, économiques et culturelles dont les femmes sont victimes.

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