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SOS . Des parents battus appelent au secours .

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BM7

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MembreR, 59ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Surtout qu' on parle d' interdire la féssé .

Certes , je conçois que des associations protègent les enfants battus , mais cette protection se

généralise aux enfants qui sont corrigés et non battus par leurs parents .

Résultat , devant l' impunité certains enfants en arrivent à frappés leurs parents .

Des parents appelent au secours , car leurs enfants que la société ne cesse de protéger

par toute une juridiction , les frappent et les insultes .

Le cri d'alarme

de centaines de parents battus

le lien ne marchant pas , je vous post le texte integrale . Source le figaro

2e768e4e-d839-11de-b298-73a087e740ff.jpg

Les employés de Jeunes Violences Ecoute reçoivent chaque année près de 650 appels de parents victimes de leurs enfants violents .

REPORTAGE - Le numéro vert «Jeunes Violences Ecoute» enregistre une augmentation sensible des appels de parents agressés par leurs enfants. La plupart d'entre eux, désemparés par cette violence tant physique que verbale, ne savent pas toujours comment réagir.

coeur-.gif Une mère violemment poussée contre un mur par son fils, une autre giflée par sa fille, des parents régulièrement insultés, rabaissés par leur enfant en pleine crise d'adolescence. Des situations auxquelles un nombre croissant de parents se retrouve aujourd'hui confrontés. Des mères seules, mais également des familles traditionnelles, issues de tous les milieux sociaux, sont touchées par ce fléau.

La vingtaine d'employés du numéro vert «Jeunes Violences Ecoute» (0 800 20 22 23), créé en 2000 par le conseil régional d'Ile-de-France, a d'ailleurs constaté une augmentation des appels de parents victimes de leurs enfants. «Ce phénomène n'existait pas avant 2001. Aujourd'hui, il représente environ 5% de nos appels annuels», explique au Figaro.fr la responsable de la plate-forme, Brigitte Cadéac, soit près de 650 coups de fil sur 13 000. «Cela va du problème léger aux affaires plus graves où la violence physique a pris le dessus, poursuit Aurélie Baretje, psychologue clinicienne et chargée de missions à Jeunes Violences Ecoute. Mais si nous avons accès à toute cette violence, c'est aussi parce que les parents arrivent davantage à en parler».

Rassurés par l'anonymat de la plateforme, les parents appellent en effet pour exposer un problème dont ils n'arrivent pas à parler avec leurs proches. Une démarche qui souligne leur volonté de briser la loi du silence et de ne plus être victimes de leur enfant. Protégés du regard extérieur, ils expriment leur choc face à cette violence inouïe, mais aussi, entre deux sanglots, leur culpabilité, leur honte d'avoir échoué dans leur rôle de parents. «Dans les cas de violence verbale, on essaye de les rassurer en leur expliquant que la situation s'améliorera s'ils corrigent l'injure proférée par leur fils ou leur fille, précise Aurélie Baretje. Par contre, lorsque les limites ne sont pas très vite fixées, ils peuvent très vite se faire insulter dix, vingt, trente fois».

Des parents contraints de porter plainte contre leur enfant

Exemple édifiant avec un couple de parents, qui, choqué par les insultes et les mensonges à répétition de leur fille, ne savait pas comment réagir après des années d'une relation paisible. «L'agressivité s'est installée progressivement jusqu'à la première insulte. Et comme les parents n'ont rien dit, l'adolescente a continué, décrypte la psychologue. En réalité, ils craignaient que leur fille ne leur parle plus et ne les aime plus s'ils la reprenaient. La mère pleurait au téléphone, mais nous l'avons rassurée en lui expliquant qu'elle devait fixer des limites à sa fille».

Mais dans d'autres situations, où le recadrage ne suffit plus, la violence physique prend parfois le pas sur les insultes. Des jeunes, ne trouvant pas les mots pour exprimer leur colère, en viennent aux mains, poussent violemment leur mère et la giflent. Une femme élevant seule son fils a ainsi récemment contacté «Jeunes Violences Ecoute». Alors qu'elle était parvenue à obtenir la mise en place d'aides éducatives pour canaliser l'adolescent, elle est revenue au point de départ, aucun suivi n'ayant été effectué depuis un an. Pire, elle avoue désormais craindre de se retrouver seule avec son fils.

Face à ces situations extrêmes, certains parents sont contraints d'avoir recours à la police, forcés de porter plainte contre leur propre enfant pour mettre un terme à leur brutalité. «C'est un geste très difficile, mais immiscer un tiers comme la police dans sa relation avec son enfant permet de poser des limites, souligne la psychologue. Sinon, le jeune rentre dans la faille et c'est la porte ouverte à tout».

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Membre, 51ans Posté(e)
Black Survitual Membre 1 513 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)
Surtout qu' on parle d' interdire la féssé .

Certes , je conçois que des associations protègent les enfants battus , mais cette protection se

généralise aux enfants qui sont corrigés et non par leurs parents .

Résultat , devant l' impunité certains enfants en arrivent à frappés leurs parents .

Des parents appelent au secours , car leurs enfants que la société ne cesse de protéger

par toute une juridiction , les frappent et les insultes .

Le cri d'alarme

de centaines de parents battus

le lien ne marchant pas , je vous post le texte integrale . Source le figaro

2e768e4e-d839-11de-b298-73a087e740ff.jpg

Les employés de Jeunes Violences Ecoute reçoivent chaque année près de 650 appels de parents victimes de leurs enfants violents .

REPORTAGE - Le numéro vert «Jeunes Violences Ecoute» enregistre une augmentation sensible des appels de parents agressés par leurs enfants. La plupart d'entre eux, désemparés par cette violence tant physique que verbale, ne savent pas toujours comment réagir.

coeur-.gif Une mère violemment poussée contre un mur par son fils, une autre giflée par sa fille, des parents régulièrement insultés, rabaissés par leur enfant en pleine crise d'adolescence. Des situations auxquelles un nombre croissant de parents se retrouve aujourd'hui confrontés. Des mères seules, mais également des familles traditionnelles, issues de tous les milieux sociaux, sont touchées par ce fléau.

La vingtaine d'employés du numéro vert «Jeunes Violences Ecoute» (0 800 20 22 23), créé en 2000 par le conseil régional d'Ile-de-France, a d'ailleurs constaté une augmentation des appels de parents victimes de leurs enfants. «Ce phénomène n'existait pas avant 2001. Aujourd'hui, il représente environ 5% de nos appels annuels», explique au Figaro.fr la responsable de la plate-forme, Brigitte Cadéac, soit près de 650 coups de fil sur 13 000. «Cela va du problème léger aux affaires plus graves où la violence physique a pris le dessus, poursuit Aurélie Baretje, psychologue clinicienne et chargée de missions à Jeunes Violences Ecoute. Mais si nous avons accès à toute cette violence, c'est aussi parce que les parents arrivent davantage à en parler».

Rassurés par l'anonymat de la plateforme, les parents appellent en effet pour exposer un problème dont ils n'arrivent pas à parler avec leurs proches. Une démarche qui souligne leur volonté de briser la loi du silence et de ne plus être victimes de leur enfant. Protégés du regard extérieur, ils expriment leur choc face à cette violence inouïe, mais aussi, entre deux sanglots, leur culpabilité, leur honte d'avoir échoué dans leur rôle de parents. «Dans les cas de violence verbale, on essaye de les rassurer en leur expliquant que la situation s'améliorera s'ils corrigent l'injure proférée par leur fils ou leur fille, précise Aurélie Baretje. Par contre, lorsque les limites ne sont pas très vite fixées, ils peuvent très vite se faire insulter dix, vingt, trente fois».

Des parents contraints de porter plainte contre leur enfant

Exemple édifiant avec un couple de parents, qui, choqué par les insultes et les mensonges à répétition de leur fille, ne savait pas comment réagir après des années d'une relation paisible. «L'agressivité s'est installée progressivement jusqu'à la première insulte. Et comme les parents n'ont rien dit, l'adolescente a continué, décrypte la psychologue. En réalité, ils craignaient que leur fille ne leur parle plus et ne les aime plus s'ils la reprenaient. La mère pleurait au téléphone, mais nous l'avons rassurée en lui expliquant qu'elle devait fixer des limites à sa fille».

Mais dans d'autres situations, où le recadrage ne suffit plus, la violence physique prend parfois le pas sur les insultes. Des jeunes, ne trouvant pas les mots pour exprimer leur colère, en viennent aux mains, poussent violemment leur mère et la giflent. Une femme élevant seule son fils a ainsi récemment contacté «Jeunes Violences Ecoute». Alors qu'elle était parvenue à obtenir la mise en place d'aides éducatives pour canaliser l'adolescent, elle est revenue au point de départ, aucun suivi n'ayant été effectué depuis un an. Pire, elle avoue désormais craindre de se retrouver seule avec son fils.

Face à ces situations extrêmes, certains parents sont contraints d'avoir recours à la police, forcés de porter plainte contre leur propre enfant pour mettre un terme à leur brutalité. «C'est un geste très difficile, mais immiscer un tiers comme la police dans sa relation avec son enfant permet de poser des limites, souligne la psychologue. Sinon, le jeune rentre dans la faille et c'est la porte ouverte à tout».

On devrait accueillir ce genre de conneries avec des éclats rire. :bo:

C'est à se pisser dessus tellement c'est drôle. :coeur: :blush:

B.S.

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MembreR, 59ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

passons les parents battus , mais les enfants d' aujourd' hui jouissent d' une impunité

qui automatiquement poussent certains d' entre eux à être agressive a l' école et a la maison .

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Membre, 51ans Posté(e)
Black Survitual Membre 1 513 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)

Comment peux-tu me faire mourir de rire en toute impunité ? :coeur: Mais oui c'est ça : faudrait rétablir la peine de mort pour les enfants... :blush: :bo:

B.S.

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Membre, 118ans Posté(e)
nerelucia Membre 12 886 messages
Baby Forumeur‚ 118ans‚
Posté(e)

J'y crois. Certains enfants sont très violents, il y a eu ici un fil d'une mère dans ce cas.

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MembreR, 59ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Certains enfants sont de plus en plus violents .

Interdire la féssé à un enfant . La société nous demande de ne plus corriger les enfants et

ensuite elle vient se plaindre de la violence à l' école et la délinquance dans les banlieus .

Soyons réaliste . La société jouerait un double jeu .

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Membre, 42ans Posté(e)
kinoton Membre 675 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
Posté(e)
Surtout qu' on parle d' interdire la féssé .

Certes , je conçois que des associations protègent les enfants battus , mais cette protection se

généralise aux enfants qui sont corrigés et non battus par leurs parents .

Résultat , devant l' impunité certains enfants en arrivent à frappés leurs parents .

Des parents appelent au secours , car leurs enfants que la société ne cesse de protéger

par toute une juridiction , les frappent et les insultes .

résultat?...

tu penses que c'est pcq les enfants ont des droits qui sont de + en + défendus que certains se mettent à frapper leurs parents?? :coeur:

la responsabilité des parents dans l'histoire elle est où? niveau éducation, ils ont fait quoi pour en arriver là?

ah oui je vois, ils n'ont pas donné assez de fessées hein :blush:

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Membre, 73ans Posté(e)
Framboise69 Membre 1 851 messages
Baby Forumeur‚ 73ans‚
Posté(e)
Surtout qu' on parle d' interdire la féssé .

Certes , je conçois que des associations protègent les enfants battus , mais cette protection se

généralise aux enfants qui sont corrigés et non battus par leurs parents .

Résultat , devant l' impunité certains enfants en arrivent à frappés leurs parents .

Des parents appelent au secours , car leurs enfants que la société ne cesse de protéger

par toute une juridiction , les frappent et les insultes .

Le cri d'alarme

de centaines de parents battus

le lien ne marchant pas , je vous post le texte integrale . Source le figaro

2e768e4e-d839-11de-b298-73a087e740ff.jpg

Les employés de Jeunes Violences Ecoute reçoivent chaque année près de 650 appels de parents victimes de leurs enfants violents .

REPORTAGE - Le numéro vert «Jeunes Violences Ecoute» enregistre une augmentation sensible des appels de parents agressés par leurs enfants. La plupart d'entre eux, désemparés par cette violence tant physique que verbale, ne savent pas toujours comment réagir.

coeur-.gif Une mère violemment poussée contre un mur par son fils, une autre giflée par sa fille, des parents régulièrement insultés, rabaissés par leur enfant en pleine crise d'adolescence. Des situations auxquelles un nombre croissant de parents se retrouve aujourd'hui confrontés. Des mères seules, mais également des familles traditionnelles, issues de tous les milieux sociaux, sont touchées par ce fléau.

La vingtaine d'employés du numéro vert «Jeunes Violences Ecoute» (0 800 20 22 23), créé en 2000 par le conseil régional d'Ile-de-France, a d'ailleurs constaté une augmentation des appels de parents victimes de leurs enfants. «Ce phénomène n'existait pas avant 2001. Aujourd'hui, il représente environ 5% de nos appels annuels», explique au Figaro.fr la responsable de la plate-forme, Brigitte Cadéac, soit près de 650 coups de fil sur 13 000. «Cela va du problème léger aux affaires plus graves où la violence physique a pris le dessus, poursuit Aurélie Baretje, psychologue clinicienne et chargée de missions à Jeunes Violences Ecoute. Mais si nous avons accès à toute cette violence, c'est aussi parce que les parents arrivent davantage à en parler».

Rassurés par l'anonymat de la plateforme, les parents appellent en effet pour exposer un problème dont ils n'arrivent pas à parler avec leurs proches. Une démarche qui souligne leur volonté de briser la loi du silence et de ne plus être victimes de leur enfant. Protégés du regard extérieur, ils expriment leur choc face à cette violence inouïe, mais aussi, entre deux sanglots, leur culpabilité, leur honte d'avoir échoué dans leur rôle de parents. «Dans les cas de violence verbale, on essaye de les rassurer en leur expliquant que la situation s'améliorera s'ils corrigent l'injure proférée par leur fils ou leur fille, précise Aurélie Baretje. Par contre, lorsque les limites ne sont pas très vite fixées, ils peuvent très vite se faire insulter dix, vingt, trente fois».

Des parents contraints de porter plainte contre leur enfant

Exemple édifiant avec un couple de parents, qui, choqué par les insultes et les mensonges à répétition de leur fille, ne savait pas comment réagir après des années d'une relation paisible. «L'agressivité s'est installée progressivement jusqu'à la première insulte. Et comme les parents n'ont rien dit, l'adolescente a continué, décrypte la psychologue. En réalité, ils craignaient que leur fille ne leur parle plus et ne les aime plus s'ils la reprenaient. La mère pleurait au téléphone, mais nous l'avons rassurée en lui expliquant qu'elle devait fixer des limites à sa fille».

Mais dans d'autres situations, où le recadrage ne suffit plus, la violence physique prend parfois le pas sur les insultes. Des jeunes, ne trouvant pas les mots pour exprimer leur colère, en viennent aux mains, poussent violemment leur mère et la giflent. Une femme élevant seule son fils a ainsi récemment contacté «Jeunes Violences Ecoute». Alors qu'elle était parvenue à obtenir la mise en place d'aides éducatives pour canaliser l'adolescent, elle est revenue au point de départ, aucun suivi n'ayant été effectué depuis un an. Pire, elle avoue désormais craindre de se retrouver seule avec son fils.

Face à ces situations extrêmes, certains parents sont contraints d'avoir recours à la police, forcés de porter plainte contre leur propre enfant pour mettre un terme à leur brutalité. «C'est un geste très difficile, mais immiscer un tiers comme la police dans sa relation avec son enfant permet de poser des limites, souligne la psychologue. Sinon, le jeune rentre dans la faille et c'est la porte ouverte à tout».

C'est une honte et une horreur que de devoir porter plainte contre son propre enfant, tout celà parce qu'on n'a pas su l'éduquer !

Qu'on ne parle surtout pas de supprimer la fessée... ils ont du passer à coté ceux-là !!!

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Membre+, Chronophage boulimique, 53ans Posté(e)
Blablateur Membre+ 7 075 messages
53ans‚ Chronophage boulimique,
Posté(e)

Tout ça ce sont de grosses conneries et le résultat d'un laissé aller, t'as un gosse, il grandit, ça te fais chier de t'en occuper ou de lui montrer les choses de la vie, de lui donner ton savoir, avoir le plaisir de voir ses yeux briller devant un putain d'aquarium, un singe dans un zoo, un ramassé de champignons ou de chataignes, un pique-nique ou une bonne crise de rire suite au plat magistral que tu viens de faire dans le grand bain de la piscine... Nan c'est trop saoulant, c'est du temps et il est plus précieux que ça, à la rigueur s'il s'investi dans le foot là ça peut le faire! Et si c'est du foot il peu déroger à la règle de se coucher tôt, il peut même regarder les deux matchs parce que t'es un bon père (ou une bonne mère). Pour le reste la technique est simple et maintenant en notre époque c'est trop facile : Tu lui achète la dernière console de salon, comme son voisin et ses potes d'école c'est normal sinon il va croire que tu l'aimes pas, et tu le laisses dans son coin faire sa vie. Trop de la balle, il viendra plus te faire chier, juste éventuellement à table mais bon c'est pas trop long et à force il là quittera même avant d'avoir fini, nan y'a pas de dessert et puis il s'en fou il à son jeu qui l'attend. Puis quand il grandira ben il fera ce qu'il sait faire, ce qu'il voudra... Enfin ce dont il sera capable parce que comme il aura pas eu l'habitude d'être curieux et ne se sera jamais rendu compte que derrière tout il y a des choses interessantes et que c'est ce qui fait que l'on met un pied devant l'autre, il finira surement dans une cage d'escalier avec ses clones de voisins à fumer des joins ou pire, faire des conneries parce que la seule chose qu'il aura constaté jusqu'à maintenant c'est que c'est dans la merde qu'il trouve ses amis, qu'il n'y a que les intérets qui comptes et que le reste ne sert à rien, la famille c'est de la merde, les autres c'est de la merde et faudra surtout pas que tu le fasses chier, d'ailleur il à pas demander à vivre qu'il te sortira et toi comme un con tu répondras rien de peur de t'en ramasser une car c'est déjà arrivée et donc trop tard, qui à battu battra.

A force de ne s'occuper de rien et encore moins de ce qui devrait être le plus précieux dans sa propre vie, on se retrouve avec la peur au ventre et l'immobilisme d'une amibe congelé. Tout ça parce qu'à un moment, pourtant responsable, on s'est gourré dans la définition du mot "valeurs". Avoir de la valeur n'est pas necessairement pécunier. Heureusement! Mais c'est si simple d'occulter les problèmes, de les masqués... Jusqu'à ce qu'un jour ceux-ci se retrouvent à l'étroit dans la petite boite dans laquelle on les à caché.

Irresponsable et immature sont les parents qui ne maitrisent plus leur propre vie. Et ce ne sera jamais la faute des autres (après effectivement y'a les cas sociaux, comme les gens qui tuent mais ça c'est une autre discution).

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Invité château_musée
Invités, Posté(e)
Invité château_musée
Invité château_musée Invités 0 message
Posté(e)

dans le ventre de sa mère, le tout petit parfois donne des coups de pied..... la violence commence là

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Invité château_musée
Invités, Posté(e)
Invité château_musée
Invité château_musée Invités 0 message
Posté(e)

purée, superbe photo

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Membre, Forumeur tacheté , 37ans Posté(e)
ElNix Membre 4 891 messages
37ans‚ Forumeur tacheté ,
Posté(e)
Tout ça ce sont de grosses conneries et le résultat d'un laissé aller, t'as un gosse, il grandit, ça te fais chier de t'en occuper ou de lui montrer les choses de la vie, de lui donner ton savoir, avoir le plaisir de voir ses yeux briller devant un putain d'aquarium, un singe dans un zoo, un ramassé de champignons ou de chataignes, un pique-nique ou une bonne crise de rire suite au plat magistral que tu viens de faire dans le grand bain de la piscine... Nan c'est trop saoulant, c'est du temps et il est plus précieux que ça, à la rigueur s'il s'investi dans le foot là ça peut le faire! Et si c'est du foot il peu déroger à la règle de se coucher tôt, il peut même regarder les deux matchs parce que t'es un bon père (ou une bonne mère). [...]

éa représente en grande partie ce que je pense, mais il ne faut quand même pas généraliser totalement, une partie des parents dont les enfants posent problème n'y sont pour pas grand chose, la pression sociale (ou l'éducation de la Rue comme disait La_Salade dans un autre topic) éduque également.

Mais pour la grande majorité je pense quand même comme toi.

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Membre, Posté(e)
halman Membre 2 191 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
On devrait accueillir ce genre de conneries avec des éclats rire. :bo:

C'est à se pisser dessus tellement c'est drôle. :coeur: :blush:

B.S.

Tu es un ado en crise pour que ça te fasse rire ?

C'est pourtant une réalité.

Certains ados ne respectent pas leur parents même si des limites ont été posées, même les coups ça les fait rigoler. J'en connais une pour qui même les coups ça ne la calme pas. Elle rigole et hurle de plus belle. Pour elle même les psys ne peuvent plus rien faire, la police surement pour la traumatiser un bon coup.

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Membre+, Chronophage boulimique, 53ans Posté(e)
Blablateur Membre+ 7 075 messages
53ans‚ Chronophage boulimique,
Posté(e)

Oui effectivement c'est une généralité, je fais du global avec des cas individuels, mais à y regarder de plus près, tu vas dans une école primaire et tu demandes à tous les gosses qui à déjà été au zoo? Je ne sais pas pourquoi mais je suis pratiquement persuadé que si le but c'est d'avoir des doigts levés (enfin je sais pas si on pratique encore ça à l'école pour prendre la parole :coeur: ) et bien la question la plus pertinente serait "qui n'y à jamais foutu les pieds".

Idem pour un pique-nique ou d'autres choses très lambda en fait! Un truc qui m'a marqué quand j'étais môme, c'est quand je racontais que mon père m'avait emmené dans son atelier pour me faire voir comment il faisait de la soudure, tressait du grillage,... Un jour un de mes camarades qui était chez moi (mon père travaillait en dessous de la maison dans un atelier) m'avait tané pour que je lui montre les machines et pour aller voir mon père en bas! Arrivée dans l'atelier on aurait dit qu'il avait rencontré un super héro dans sa cachette secrère... Et le lendemain à l'école, il arretait pas de parler de ça dans la cour, je m'en suis toujours rappelé, par fierté surement et j'imagine que mon petit copain logiquement devait éprouvé une certaine jalousie... En fait c'est simple, quand j'étais môme la phrase que j'entendai souvent de la bouche de mes copains et des autres enfants était du genre "Et ben mon père..." à celui qui renchérissait toujours plus :blush: . De la fierté. Aujourd'hui ce serait plus du genre "Tin il est relou c'est un connard". Malheureusement c'est un fait... Heureusement y'a encore des gosses qui mettent leur parents sur un pied d'estale, mais je ne pense pas que ce soit une majorité.

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Membre, Posté(e)
halman Membre 2 191 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
C'est une honte et une horreur que de devoir porter plainte contre son propre enfant, tout celà parce qu'on n'a pas su l'éduquer !

Qu'on ne parle surtout pas de supprimer la fessée... ils ont du passer à coté ceux-là !!!

Il faudrai peut être réaliser que malgré une éducation à poigne, certains ados sont de vrais psychopathes et fraper leur mère ça ne leur pose aucun problème.

Même si pour beaucoup une bonne éducation suffit il faut réaliser que ce n'est pas forcement le cas pour tous.

J'en connais une qui malgré les psys, son père, sa mère qui la recadre à chaque fois, les flics qui débarquent, au bout de 2 jours la leçon est oubliée et elle remet ça.

Facile de juger sans savoir.

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Membre, Forumeur tacheté , 37ans Posté(e)
ElNix Membre 4 891 messages
37ans‚ Forumeur tacheté ,
Posté(e)
Oui effectivement c'est une généralité, je fais du global avec des cas individuels, mais à y regarder de plus près, tu vas dans une école primaire et tu demandes à tous les gosses qui à déjà été au zoo? Je ne sais pas pourquoi mais je suis pratiquement persuadé que si le but c'est d'avoir des doigts levés (enfin je sais pas si on pratique encore ça à l'école pour prendre la parole huh7re.gif ) et bien la question la plus pertinente serait "qui n'y à jamais foutu les pieds".

Idem pour un pique-nique ou d'autres choses très lambda en fait! Un truc qui m'a marqué quand j'étais môme, c'est quand je racontais que mon père m'avait emmené dans son atelier pour me faire voir comment il faisait de la soudure, tressait du grillage,... Un jour un de mes camarades qui était chez moi (mon père travaillait en dessous de la maison dans un atelier) m'avait tané pour que je lui montre les machines et pour aller voir mon père en bas! Arrivée dans l'atelier on aurait dit qu'il avait rencontré un super héro dans sa cachette secrère... Et le lendemain à l'école, il arretait pas de parler de ça dans la cour, je m'en suis toujours rappelé, par fierté surement et j'imagine que mon petit copain logiquement devait éprouvé une certaine jalousie... En fait c'est simple, quand j'étais môme la phrase que j'entendai souvent de la bouche de mes copains et des autres enfants était du genre "Et ben mon père..." à celui qui renchérissait toujours plus laugh.gif . De la fierté. Aujourd'hui ce serait plus du genre "Tin il est relou c'est un connard". Malheureusement c'est un fait... Heureusement y'a encore des gosses qui mettent leur parents sur un pied d'estale, mais je ne pense pas que ce soit une majorité.

Bon ba, moi c'est le cas inverse :blush:

On s'étonne parfois quand je tiens des propos durs sur mon père en me disant "Mais quand même vous devez avoir de bons souvenirs ensemble ?" ... Ba le meilleur souvenir que j'ai eu c'est quand il m'a acheté ma playstation et mon PC. Forcément quelques autres souvenirs agréables mais trop rares et balayés par ce bout de discussion (vers mes 16 ans) :

- (Lui) On ne fait presque rien ensemble, on ne se connait pas. On pourrait faire des trucs non ?

- (Moi) Ba moi j'ai vu tes loisirs, ça m'amuse de temps en temps mais pas à ce point. Toi qui te plaint que je sois toujours sur l'ordinateur, tu ne veux pas voir ce que je fais dessus, y a pas que du jeu...

- (Lui) Non ça ne m'intéresse pas.

Je ne pense pas que je sois le seul dans ce cas, trop de parents disent ne plus "reconnaitre leurs enfants", les ont-ils seulement connus un jour ?

Avec l'enfance pourtant plus ou moins dorée que j'ai eu avec mes parents je ne parle plus à mon père et sans regrets depuis un différent entre nous. Avec une enfance moins paisible j'imagine très bien que j'aurais en venir aux mains avec cet étranger qui ose me dicter sa loi car soi disant il m'a donné la vie... Et certains ne se privent pas, ça doit représenter une bonne partie des appels...

Il faudrai peut être réaliser que malgré une éducation à poigne, certains ados sont de vrais psychopathes et fraper leur mère ça ne leur pose aucun problème.

Même si pour beaucoup une bonne éducation suffit il faut réaliser que ce n'est pas forcement le cas pour tous.

Je suis tout à fait d'accord, il y a des cas extrêmes qui nécessitent obligatoirement une solution extrême.

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Membre, RIP Biou, 37ans Posté(e)
Stormkyz Membre 13 527 messages
37ans‚ RIP Biou,
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C'est pas un fait nouveau.

Je connait plusieurs personne dans ce cas et cela me semble immature de rigoler de ce genre de chose :blush:

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Membre+, Chronophage boulimique, 53ans Posté(e)
Blablateur Membre+ 7 075 messages
53ans‚ Chronophage boulimique,
Posté(e)
Tu es un ado en crise pour que ça te fasse rire ?

C'est pourtant une réalité.

Certains ados ne respectent pas leur parents même si des limites ont été posées, même les coups ça les fait rigoler. J'en connais une pour qui même les coups ça ne la calme pas. Elle rigole et hurle de plus belle. Pour elle même les psys ne peuvent plus rien faire, la police surement pour la traumatiser un bon coup.

Perso, je ne connais pas la situation mais en me projetant, dans la peur, l'incapacité et l'impuissance face à mon gosse, je pense que je serai assez strict et radicale... Sans sombrer dans la connerie et la violence car ça mène inéluctablement à la connerie et à l'absence de réaction dans le bon sens mais plutôt à une rébellion et un coupage net de dialogue. Nan moi si mon gosse me faisait la misère et qu'il devenait si instable, violent et hors maitrise je te l'enverrai direct faire un stage dans un pauvre bled à la campagne loin de tout avec un bon vieux bucheron ou un fermier genre dans les montagnes en Corèze :blush: Un mec bien seul au milieu de nul part avec des mains de marin caleuses grosses et lourdes comme des enclumes, (avec un coeur quand même hein, pas un tortionnaire^^) Et il irait traire les vaches et/ou faire les vignes, travailler la terre histoire de voir de quoi il retourne de la vie et de ce qui l'attend s'il se remet pas en question... Il continu... Et bien ça tombe bien c'est les vacances et le mec à encore besoin de main d'oeuvre.

De l'argent de poche? Quel argent de poche? Effectivement j'ai de l'argent dans mes poches, c'est mon argent et on me l'a pas donné, j'ai du l'échanger contre du temps et du travail. Il veut de l'argent, hé bien il à la combine je lui ai donné le tuyau, le travail, les marchés, des jobs, des services, les gens sont généreux quand on y met du coeur, pas quand on essai de les enfler. Voilà comment je vois la vie et voilà comment mon gosse devrait se l'imaginer. Surtout pas en une sorte d'existence ou y'a ceux qui sont veinard, qui ont de bonnes combines et les autres qui sont condamnés à raquer. Son voisin d'en face à un père qui vivote et qu'à pas tellement de tunes ok, mais qu'il n'oubli pas que cette personne pourrai un jour bien être celle qui lui refile un billet contre un service demandé ou proposé... Putain! Combien de fois j'ai dû nettoyer la caisse de mes parents pour me payer des trucs qui ne faisait pas d'ombre au soleil!

... Si aujourd'hui je m'en souvient c'est que ça devait avoir son utilité, un sens, une bonne raison d'être! En tout cas mon père était un petit peu strict mais ce côté là je lui en remercierai toute ma vie, car aujourd'hui je suis fier d'être je pense quelqu'un de bien, avec des valeurs et de savoir que mon entourage m'estime et à une bonne opinion de moi. Quand en retour de la confiance que les autres vous portes une chaleur vous habites, y'a pas grand chose qui vous manques pour vivre pleinements les journée de la vie... Et donner du sourire aux autres, même les plus mal lotis.

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