(C'est une lettre ouverte pour ceux qui ne font que râler sur les réseaux sociaux)

►Petit rappel historique dans le but de ne pas oublier de ce qu'il en était des conditions de la vie quotidienne de la majorité des français : et ce dans les années 1950 jusqu'aux environs des années 1970 :
►les manœuvres, les ouvriers agricoles et les petits-employés : vivaient vraiment moins bien que des personnes qui actuellement n'ont pas de travail : mais qui en contrepartie ont droit, actuellement de nos jours, à des prestations sociales et à diverses aides sociales !
►et qui de plus pour la plupart d'entre elles possèdent :: téléphoneS, + télévisionS, + réfrigérateur, + machine à laver, + gazinière,+ voiture, + salle de bains (en ce temps là, les gens se lavaient dans l'évier d'une cuisine) , + WC (et avec papiers-toilettes… car avant 1960 : les gens se torchaient les fesses avec des journaux ou avec des feuilles d'arbres)...!
►de plus, la liste des maladies mortelles étaient particulièrement impressionnante...dans la ville de Marseille il y avait encore le choléra…(tout autour de nous on entendait régulièrement parler de ceux qui étaient atteint par la variole, par la poliomyélite, par le tétanos, par la diphtérie, par la tuberculose, ou la coqueluche)…
►Il faut aussi se souvenir des conditions de travail des "Bonnes à tout faire" dans les villes et dans les campagnes à la ferme… et aussi de l'exploitation des enfants de l'Assistance Publique dans les fermes et chez les petits bourgeois de la ville, de l'exploitation du travail des enfants et de l'exploitation des femmes avec enfants, non marié.
►La nostalgie du temps passé est que trop souvent aveugle, sourde mais pas muette ! elle n'est que le regret du temps passé et d'une jeunesse envolée !
►et pour les amateurs de l'histoire des hommes et des civilisations : il suffit de lire ce que disait les écrivains (et ce depuis l'antiquité) : "C'était vraiment mieux avant"...!!! Un philosophe disait : "Ce qui était autrefois n'existe plus ! et ce qui est l'avenir : n'existe pas encore !
►Nous espérons vraiment que les inégalités financières seront plus que très fortement réduites, entre les personnes et entre les nations, et si possible avant la fin de ce siècle. Toutefois il y a aura toujours des inégalités ici-bas sur cette terre :
►
- surtout entre ceux qui veulent beaucoup travailler et entre ceux qui ne veulent pas beaucoup travailler,
- entre ceux qui veulent faire de longues et bonnes études et entre ceux qui ne veulent pas faire de longues et bonnes études,
- entre ceux qui naissent en étant un peu plus intelligent que les autres et entre ceux qui naissent qu'avec une intelligence vraiment moyenne,
- entre ceux que l'on désigne comme étant physiquement beaux et entre ceux qui sont persuadés d'être laids.
►
en conséquence, il nous appartient à tous de protéger en priorité ceux qui sont faibles, ceux qui sont pas en mesure de pouvoir travailler, ceux qui sont malades, ceux qui sont infirmes, ceux qui sont dans l'incapacité de se débrouiller sans l'assistance d'autres personnes
►
 

il y a 11 minutes, Spleen nostalgique a dit :

►Petit rappel historique dans le but de ne pas oublier de ce qu'il en était des conditions de la vie quotidienne de la majorité des français : et ce dans les années 1950 jusqu'aux environs des années 1970 :
►les manœuvres, les ouvriers agricoles et les petits-employés : vivaient vraiment moins bien que des personnes qui actuellement n'ont pas de travail : mais qui en contrepartie ont droit, actuellement de nos jours, à des prestations sociales et à diverses aides sociales !
►et qui de plus pour la plupart d'entre elles possèdent :: téléphoneS, + télévisionS, + réfrigérateur, + machine à laver, + gazinière,+ voiture, + salle de bains (en ce temps là, les gens se lavaient dans l'évier d'une cuisine) , + WC (et avec papiers-toilettes… car avant 1960 : les gens se torchaient les fesses avec des journaux ou avec des feuilles d'arbres)...!
►de plus, la liste des maladies mortelles étaient particulièrement impressionnante...dans la ville de Marseille il y avait encore le choléra…(tout autour de nous on entendait régulièrement parler de ceux qui étaient atteint par la variole, par la poliomyélite, par le tétanos, par la diphtérie, par la tuberculose, ou la coqueluche)…
►Il faut aussi se souvenir des conditions de travail des "Bonnes à tout faire" dans les villes et dans les campagnes à la ferme… et aussi de l'exploitation des enfants de l'Assistance Publique dans les fermes et chez les petits bourgeois de la ville, de l'exploitation du travail des enfants et de l'exploitation des femmes avec enfants, non marié.
►La nostalgie du temps passé est que trop souvent aveugle, sourde mais pas muette ! elle n'est que le regret du temps passé et d'une jeunesse envolée !
►et pour les amateurs de l'histoire des hommes et des civilisations : il suffit de lire ce que disait les écrivains (et ce depuis l'antiquité) : "C'était vraiment mieux avant"...!!! Un philosophe disait : "Ce qui était autrefois n'existe plus ! et ce qui est l'avenir : n'existe pas encore !
►Nous espérons vraiment que les inégalités financières seront plus que très fortement réduites, entre les personnes et entre les nations, et si possible avant la fin de ce siècle. Toutefois il y a aura toujours des inégalités ici-bas sur cette terre :
►
- surtout entre ceux qui veulent beaucoup travailler et entre ceux qui ne veulent pas beaucoup travailler,
- entre ceux qui veulent faire de longues et bonnes études et entre ceux qui ne veulent pas faire de longues et bonnes études,
- entre ceux qui naissent en étant un peu plus intelligent que les autres et entre ceux qui naissent qu'avec une intelligence vraiment moyenne,
- entre ceux que l'on désigne comme étant physiquement beaux et entre ceux qui sont persuadés d'être laids.
►
en conséquence, il nous appartient à tous de protéger en priorité ceux qui sont faibles, ceux qui sont pas en mesure de pouvoir travailler, ceux qui sont malades, ceux qui sont infirmes, ceux qui sont dans l'incapacité de se débrouiller sans l'assistance d'autres personnes
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Ce n’était peut-être pas mieux avant, mais une chose est sûre, c'est que ce n'est toujours pas mieux maintenant...

Ok boomer.

il y a 9 minutes, G6K972 a dit :

Ce n’était peut-être pas mieux avant, mais une chose est sûre, c'est que ce n'est toujours pas mieux maintenant...

NON ! car pour les raisons citées : en conséquence c'est vraiment beaucoup mieux de nos jours...

il y a 10 minutes, Spleen nostalgique a dit :

NON ! car pour les raisons citées : en conséquence c'est vraiment beaucoup mieux de nos jours...

Si tu le dis  

On vous emmerde ici-bas à minima, sachez seulement que l'on se réserve pour notre ultime râle afin de bien vous servir ...

J'ai un peu connu ce qui est décrit par l'auteur de cette publication : les chiottes entre deux étages et la fontaine, avec sa "poignée de vélo", entre les deux autres étages. Des étages , il y en avait 6, sans ascenseur. C'était dans ce qu'un journaliste avait baptisé un "passage sans joie".

Quel crétin ! Avec mes copains et mes copines, on riaient bien dans ce "passage sans joie", qui débouchait sur un terrain vague, vestige de la guerre. Un terrain vague où les maîtres des chiens du voisinage venaient promener leurs clébards pour qu'ils s'ébattent et se soulagent de leur merde.

Certains de mes copains ont viré un peu voyou, ou rien du tout, mais un autre a fini médecin et maire d'une ville de banlieue parisienne et moi ... bac + 5.

C'était certainement pas mieux, mais j'y étais heureux.

il y a 26 minutes, PLOUC89 a dit :

J'ai un peu connu ce qui est décrit par l'auteur de cette publication : les chiottes entre deux étages et la fontaine, avec sa "poignée de vélo", entre les deux autres étages. Des étages , il y en avait 6, sans ascenseur. C'était dans ce qu'un journaliste avait baptisé un "passage sans joie".

Quel crétin ! Avec mes copains et mes copines, on riaient bien dans ce "passage sans joie", qui débouchait sur un terrain vague, vestige de la guerre. Un terrain vague où les maîtres des chiens du voisinage venaient promener leurs clébards pour qu'ils s'ébattent et se soulagent de leur merde.

Certains de mes copains ont viré un peu voyou, ou rien du tout, mais un autre a fini médecin et maire d'une ville de banlieue parisienne et moi ... bac + 5.

C'était certainement pas mieux, mais j'y étais heureux.

Merci, c'est de la joie dont manque notre quotidien, mais d'un autre côté qu'attendre d'une société qui construit patiemment son paysage concentrationnaire à ciel ouvert ?!

Il y a 14 heures, Spleen nostalgique a dit :

avant 1960 : les gens se torchaient les fesses avec des journaux ou avec des feuilles d'arbres)...!

C'est parce que la pierre lisse a pris de la valeur et que les feuillus en ont pas mal perdu. 

Il y a 14 heures, G6K972 a dit :

Ce n’était peut-être pas mieux avant, mais une chose est sûre, c'est que ce n'est toujours pas mieux maintenant...

Mais si c'est globalement beaucoup mieux maintenant.

Certes il y a encore des gens à la rue ou vivant dans des taudis.

Ce qui est décrit en ouverture du sujet est absolument vrai. Dans ma jeunesse à la maison, il n'y avait pas de service d'eau. l'eau était dans le puits à 40 m de profondeur. Donc pas de chasse d'eau (chiottes dans le jardin), pas de chauffe-eau, pas de douche, pas de machine à laver...J'ai connu ma première douche à la cité universitaire à 19 ans !

Pas de voiture à la maison, juste des vélos. Pas de TV juste un poste de radio, pas de téléphone, pas de ramassage scolaire : à pied par tous les temps.

Pas de chauffage central, juste un fourneau pour faire la cuisine. L'hiver, le givre sur les vitres de la chambre sans chauffage et pas de doubles vitrages. Habitant à la campagne on produisait les légumes au jardin et la viande était celle des lapins, poules, canards et le cochon annuel.

On savait qu'on était pauvres mais on ne faisait pas la gueule comme les gens actuellement parce qu'ils ne peuvent pas se payer le dernier smartphone. Dans les années d'après guerre, on voulait vivre et on avait connu pire, alors tout le monde travaillait salon ses possibilités. J'ai toujours travaillé à la maison ou dans le jardin pour aider mes parents : un enfant inactif ce n'était pas dans notre culture.

Il est certain que si les conditions économiques venaient à sombrer gravement , les gens de ma génération seraient psychologiquement mieux armés que les générations actuelles. signé : un jeune vieillard de 85 ans !

il y a 10 minutes, Répy a dit :

Mais si c'est globalement beaucoup mieux maintenant.

Certes il y a encore des gens à la rue ou vivant dans des taudis.

Ce qui est décrit en ouverture du sujet est absolument vrai. Dans ma jeunesse à la maison, il n'y avait pas de service d'eau. l'eau était dans le puits à 40 m de profondeur. Donc pas de chasse d'eau (chiottes dans le jardin), pas de chauffe-eau, pas de douche, pas de machine à laver...J'ai connu ma première douche à la cité universitaire à 19 ans !

Pas de voiture à la maison, juste des vélos. Pas de TV juste un poste de radio, pas de téléphone, pas de ramassage scolaire : à pied par tous les temps.

Pas de chauffage central, juste un fourneau pour faire la cuisine. L'hiver, le givre sur les vitres de la chambre sans chauffage et pas de doubles vitrages. Habitant à la campagne on produisait les légumes au jardin et la viande était celle des lapins, poules, canards et le cochon annuel.

On savait qu'on était pauvres mais on ne faisait pas la gueule comme les gens actuellement parce qu'ils ne peuvent pas se payer le dernier smartphone. Dans les années d'après guerre, on voulait vivre et on avait connu pire, alors tout le monde travaillait salon ses possibilités. J'ai toujours travaillé à la maison ou dans le jardin pour aider mes parents : un enfant inactif ce n'était pas dans notre culture.

Il est certain que si les conditions économiques venaient à sombrer gravement , les gens de ma génération seraient psychologiquement mieux armés que les générations actuelles. signé : un jeune vieillard de 85 ans !

Certes le confort de la vie d’avant était moindre par rapport à aujourd'hui, en cela nous vivions moins dans l’opulence, moins dans l’excès, mais cette simplicité avait le mérite d’avoir des gens plus souriant et moins stressés qu’aujourd'hui, en cela avant n’était peut-être pas mieux qu’aujourd'hui certes, mais aujourd'hui selon mon point de vue, n’est pas forcément mieux qu’avant...

Il y a 12 heures, PLOUC89 a dit :

J'ai un peu connu ce qui est décrit par l'auteur de cette publication : les chiottes entre deux étages et la fontaine, avec sa "poignée de vélo", entre les deux autres étages. Des étages , il y en avait 6, sans ascenseur. C'était dans ce qu'un journaliste avait baptisé un "passage sans joie".

Quel crétin ! Avec mes copains et mes copines, on riaient bien dans ce "passage sans joie", qui débouchait sur un terrain vague, vestige de la guerre. Un terrain vague où les maîtres des chiens du voisinage venaient promener leurs clébards pour qu'ils s'ébattent et se soulagent de leur merde.

Certains de mes copains ont viré un peu voyou, ou rien du tout, mais un autre a fini médecin et maire d'une ville de banlieue parisienne et moi ... bac + 5.

C'était certainement pas mieux, mais j'y étais heureux.

En fait : ce n'est que de la nostalgie d'une jeunesse envolée et qui ne reviendra pas !