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Il est où le plaisir à remplir des objectifs ?

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timot-33

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 823 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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Il y a 21 heures, Apator a dit :

Ah oui non, du tout.

Nous ne sommes des ChatGPT. Le réseau par défaut en neurosciences, ça n'existe pas, et le réseau lui-même ce n'est surtout pas la petite portion du cortex associée au cotex préfrontal qui me sert actuellement là, à communiquer avec vous.

A la base même, il n'est même plus question de réseau du tout et quand je vous parle de seuils, ce ne sont pas les seuils synaptiques.

On est dans le domaine du "psychisme", de la psychologie et de la psychiatrie.

Oubliez le côté physique de la chose...On peut aussi parler de l'être.

"Vous", "êtes", un "individu", unique.

Et oui, effectivement, vous êtes adapté à la société et même la société a formé votre esprit.

Mais pas votre être.

C'est l'être qui doit avoir un certain regard sur les choses, adapter son point de vue PSYCHIQUE , pour recevoir la joie. Ce n'est pas rationnel, ça n'a rien à voir avec un raisonnement ou le langage, c'est dans la méditation et en faisant "le vide" que certains approchent cet état de joie. Ensuite dans la vie courante, il est même possible de conserver un peu ou totalement (un bouddha) cet état de joie et ainsi être "bienheureux". 

Le titre de bouddha (terme sanskrit बुद्ध buddha « éveillé », participe passé passif de la racine verbale budh-, « s'éveiller »)[1], désigne une personne ayant, notamment par sa sagesse (prajñā), réalisé l'éveil, c'est-à-dire réalisé le nirvāna (selon le Théravada), ou transcendé la dualité saṃsāra/nirvāņa (selon le Mahāyāna). Il peut être désigné par d'autres qualificatifs : « Bienheureux » (भगवत्, bhagavat), « Celui qui a vaincu » (जिन, jina), « Ainsi-Venu » (तथागत, Tathāgata)[2].

L'appellation de bouddha peut donc se rapporter à plusieurs personnes. Le bouddha le plus connu demeure le fondateur du bouddhisme, Siddhārtha Gautama, archétype du « bouddha pur et parfait » (सम्यक सम्बुद्ध, samyaksambuddha).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouddha

Alors il faudra expliquer aux neuroscientifiques que ce réseau qui s'activerait quand notre attention n'est pas focalisée par une tâche à accomplir et par lequel resurgirait nos souvenirs autobiographiques (mémoire épisodique), faisant un récit, un commentaire de ce que l'on a vécu n'existe pas. 

Il faudra exiger qu'ils n'emploient ni le terme ni le concept.

On est ni dans le domaine du psychisme, de la psychologie ou de la psychiatrie : on est en philosophie. Si tu veux oublier la dimension physique libre à toi mais pour le bienfait de la dialectique souffre que j'en tienne compte dans ma réflexion.

Il y a 8 heures, MadeleinedeProut a dit :

Pourquoi unifier cette notion de bonheur? nous avons chacun une certaine image du bonheur. Soit on regardant le temps s'égrener, soit en se donnant des objectifs, soit etc.....à chacun sa notion. Tout simplement non?

On est peut-être en philosophie, va savoir. Donc il s'agit de mettre en commun nos réflexions sur une notion, c'est ce qu'on appelle la dialectique. 

Effectivement on pourrait dire "chacun sa notion". On pourrait donc dire pourquoi créer un sujet en philosophie ? 

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Membre, 50ans Posté(e)
Barbe Rousse Membre 233 messages
Forumeur survitaminé‚ 50ans‚
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Quand le bonheur est conditionné on peut dire chacun son bonheur, mais c'est un bonheur qui ne dure pas.

Mais dans le nirvana, le bonheur est le même pour tous.

Modifié par Barbe Rousse
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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 491 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
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Il y a 2 heures, CAL26 a dit :

On est ni dans le domaine du psychisme, de la psychologie ou de la psychiatrie : on est en philosophie. Si tu veux oublier la dimension physique libre à toi mais pour le bienfait de la dialectique souffre que j'en tienne compte dans ma réflexion.

Vous n'avez probablement pas compris ce qu'est psychologie et la psychiatrie qui traitent donc du psychisme. 

Il s'agit de domaines d'étude de type holistique, qui font abstraction des processus exacts sous-jacents. Ce n'est pas de la neuroscience, qui est très bien aussi, mais cette dernière ne voit les choses que d'un point de vue fonctionnel. On attribue intellectuellement parlant des fonctions aux processus. Et ce faisant, il manque la dimension la plus importante, celle de la pleine réalité du phénomène psychique.

Ici, "pour ce que ça fait" à l'individu qui pense, qui expérimente la chose en tant qu’individu, le niveau psychique est il me semble le plus adapté à la réflexion, et il s'agit d'une approche tout à fait valable en philosophie.

Car on peut ci poser l’hypothèse que le psychisme est immatériel... ou simplement écarter la question. Ce domaine d'étude le permet.

Et je vous ferais également remarquer qu'il n'y a aucune preuve de la matérialité du psychisme, même si beaucoup l'affirment à tort, comme s'il agissait d'une évidence. C'est simplement un avis, une opinion comme aurait dit Platon, un état se situant à mi-chemin entre l'ignorance et le savoir. On ne peut pas ni le prouver ni le nier. C'est une limite à notre connaissance.

C'est comme si je vous demandais de me prouver que vous ne vivez pas dans une simulation... vous ne le pouvez pas.

Souvent, en neuroscience cette fois, il est question de "la conscience." Et les gens qui n'ont pas encore assez étudié la question, croient que le scientifique "tient là" des preuves du fonctionnement de la conscience, par l'étude justement "du matériel". Mais le scientifique digne de ce nom, sait, lui, puisque c'est normalement son métier, que "la conscience" dont il parle, ce n'est pas "la conscience" que tout un chacun ÉPROUVE. Il distingue bien les deux... La conscience en tant que fonction, dont on peut étudier les modalités physiques, et dont on peut parler "entre scientifiques", et de l'autre côté, celle qu'on ne peut qu'éprouver.

Cette qu'on peut éprouver est de nature psychique et c'est la réalité individuelle. C'est un autre domaine d'étude, tout aussi important car c'est à ce niveau qu'on travaille lorsqu’on adapte une thérapie à un patient mentalement affecté.

La psychiatrie, elle, y adjoint la partie chimique donc les psychotropes.

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 491 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
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Il y a 2 heures, CAL26 a dit :

Alors il faudra expliquer aux neuroscientifiques que ce réseau qui s'activerait quand notre attention n'est pas focalisée par une tâche à accomplir et par lequel resurgirait nos souvenirs autobiographiques (mémoire épisodique), faisant un récit, un commentaire de ce que l'on a vécu n'existe pas. 

Vous me parlez par exemple des états de la conscience, comme si on pouvait tout catégoriser, en oubliant je pense que ce ne sont que des étiquettes fonctionnelles (celles qu'on peut caractériser et arbitrairement distinguer des autres) que les scientifiques posent sur les INNOMBRABLES états de la conscience possibles. C'est comme lorsqu'on donne des noms aux nuages, c'est important pour en parler et les étudier entre gens parlant le même langage mais il faut comprendre les limites de ces catégorisations.

Lorsque vous ressentez quelque-chose, ce n'est pas nécessairement issu spécifiquement d'une zone bien précise dans le cerveau, c'est "un résultat", le vrai résultat, issu de plein de zones du cerveau, mais la sensation que ça vous fait ça vous parait faire un. On ne peut pas tout expliquer, et même les zones qui n'ont même plus rien de fonctionnelles interviennent différemment d'un individu à l'autre.

Nous n'avons pas les mêmes manières de penser, de ressentir, de voir, face à l'exacte même situation. On peut comparer nos impressions, mais on en parle en croyant que l'autre ressent la même chose... ce qui est faux. Et c'est ce qui détermine "le psychisme".

Si je vous parle du bleu que je vois, je ne vois pas le bleu comme vous... ma manière de le voir, au niveau du psychisme donc, est UNIQUE, propre à ma personne. Mon monde n'est pas Votre monde...

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 2 407 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
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Le 30/10/2025 à 23:37, timot-33 a dit :

Elle est où la joie ?

Il est où le bonheur ?

Le bonheur est dans le pré, à brouter du gazon maudit...

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 823 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, Apator a dit :

Vous n'avez probablement pas compris ce qu'est psychologie et la psychiatrie qui traitent donc du psychisme. 

Il s'agit de domaines d'étude de type holistique, qui font abstraction des processus exacts sous-jacents. Ce n'est pas de la neuroscience, qui est très bien aussi, mais cette dernière ne voit les choses que d'un point de vue fonctionnel. On attribue intellectuellement parlant des fonctions aux processus. Et ce faisant, il manque la dimension la plus importante, celle de la pleine réalité du phénomène psychique.

 

Merci de ma présenter ce que sont la psychologie et la psychiatrie mais je le répète on est dans philosophie. Un petit rappel, le concept de réseau par défaut est surtout étudié en psychologie cognitive mais intéresse également la psychiatrie ou l'approche psychologique globale et clinique des troubles psychiques tant le réseau par défaut peut jouer un rôle dans les ruminations mentales. 

Les nombreuses avancées récentes des neurosciences sont globalement très utiles à la psychologie et à la psychiatrie même si chaque discipline conserve ses spécificités et ainsi sa pertinence. 

Il y a 10 heures, Apator a dit :

 

 

Ici, "pour ce que ça fait" à l'individu qui pense, qui expérimente la chose en tant qu’individu, le niveau psychique est il me semble le plus adapté à la réflexion, et il s'agit d'une approche tout à fait valable en philosophie.

Car on peut ci poser l’hypothèse que le psychisme est immatériel... ou simplement écarter la question. Ce domaine d'étude le permet.

Et je vous ferais également remarquer qu'il n'y a aucune preuve de la matérialité du psychisme, même si beaucoup l'affirment à tort, comme s'il agissait d'une évidence. C'est simplement un avis, une opinion comme aurait dit Platon, un état se situant à mi-chemin entre l'ignorance et le savoir. On ne peut pas ni le prouver ni le nier. C'est une limite à notre connaissance.

C'est comme si je vous demandais de me prouver que vous ne vivez pas dans une simulation... vous ne le pouvez pas.

.

Le niveau psychique ou plutôt l'expérience subjective peut effectivement  constituer le seul domaine d'approche d'une notion comme le bonheur et je n'ai jamais dit le contraire. Alors ne renverse pas les rôles, c'est toi qui m'a fait une injonction : "Oubliez le côté physique de la chose...On peut aussi parler de l'être" et uniquement parce que je faisais référence à un concept issu des neurosciences. La philosophie est un domaine de dialectique transdisciplinaire donc je te demandais d'accepter que je prenne en compte la dimension physique pour mener ma réflexion, ce que de toutes façons font la psychologie et la psychiatrie. 

 

 

Il y a 10 heures, Apator a dit :

Souvent, en neuroscience cette fois, il est question de "la conscience." Et les gens qui n'ont pas encore assez étudié la question, croient que le scientifique "tient là" des preuves du fonctionnement de la conscience, par l'étude justement "du matériel". Mais le scientifique digne de ce nom, sait, lui, puisque c'est normalement son métier, que "la conscience" dont il parle, ce n'est pas "la conscience" que tout un chacun ÉPROUVE. Il distingue bien les deux... La conscience en tant que fonction, dont on peut étudier les modalités physiques, et dont on peut parler "entre scientifiques", et de l'autre côté, celle qu'on ne peut qu'éprouver.

 

Donc oui et il n'était pas question de dire le contraire, il y a encore une très grande différence entre ce qui peut être lu de l'activité cérébrale et ce qu'éprouve le sujet. La finesse grandissante de la compréhension de réseaux neuronaux a le but de permettre un lien, d'adapter les traitements aux spécificités individuelles mais rien ne permet de penser qu'il sera un jour possible de parfaitement traduire le vécu  individuel par l'activité cérébrale. 

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 491 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
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il y a 24 minutes, CAL26 a dit :

Le niveau psychique ou plutôt l'expérience subjective peut effectivement  constituer le seul domaine d'approche d'une notion comme le bonheur et je n'ai jamais dit le contraire. Alors ne renverse pas les rôles, c'est toi qui m'a fait une injonction : "Oubliez le côté physique de la chose...On peut aussi parler de l'être" et uniquement parce que je faisais référence à un concept issu des neurosciences. La philosophie est un domaine de dialectique transdisciplinaire donc je te demandais d'accepter que je prenne en compte la dimension physique pour mener ma réflexion, ce que de toutes façons font la psychologie et la psychiatrie. 

Moi je vous dis juste que votre niveau d'étude est totalement inadapté.

Mais si vous arrivez à philosophie sur le bonheur sur la base des neurosciences... je suis tout ouïe.

Je ne vous parle pas évidemment de juste expliquer le fonctionnement des émotions selon les neurosciences (que je connais... mais que je n'utilise pas), puisque ce ne serait pas de la philosophie....

Et à un moment donné je vous demanderais bien sûr de m'expliquer pourquoi VOUS ressentez de la joie, et pas un autre... grâce uniquement donc aux neurosciences et sans parler de l'être (qui est immatériel, c'est comme ça, et je n'y peux rien...)

Modifié par Apator
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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 823 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a 1 minute, Apator a dit :

Moi je vous dis juste que votre niveau d'étude est totalement inadapté.

Mais si vous arrivez à philosophie sur le bonheur sur la base des neurosciences... je suis tout ouïe.

Je ne vous parle pas évidemment de juste expliquer le fonctionnement des émotions selon les neurosciences (que je connais... mais que je n'utilise pas), puisque ce ne serait pas de la philosophie....

Et à un moment donné je vous demanderais bien sûr de m'expliquer pourquoi VOUS ressentez de la joie, et pas un autre... grâce uniquement donc aux neurosciences et sans parler de l'être (qui est immatériel, c'est comme ça, et je n'y peut rien...)

Il ne s'agit pas de philosopher sur le bonheur sur la base des neurosciences : commence par relire ce qui m'a incité à évoquer le réseau par défaut comme élément de mise en cohérence subjective de fragments faits de joies, plaisirs ou tristesses.

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 491 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
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Le 31/10/2025 à 02:31, CAL26 a dit :

Le récit dont je parle c'est le discours interne, le "réseau pat défaut" désigné par les neurosciences. Or il ne s'agit pas de porter le costume sur mesure d'un autre mais en utilisant la langage et donc les représentations mentales qui lui sont associées, le discours interne est forcément nourri par la relation de l'individu à la société. Impossible de s'affranchir de cette aide de la culture pour la continuité du soi. 

D'accord. Et puis ?

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 823 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a 4 minutes, Apator a dit :

D'accord. Et puis ?

Continue à relire ce que j'ai écrit précédemment sur ce topic avant de déformer mes propos et de les découper pour m'imposer ton approche du sujet qui reste la question du bonheur. 

Modifié par CAL26
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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 491 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)
Le 30/10/2025 à 20:37, timot-33 a dit :

Il est où le plaisir à remplir des objectifs ?

Elle est où la joie ?

Il est où le bonheur ?

il y a 20 minutes, CAL26 a dit :

Continue à relire ce que j'ai écrit précédemment sur ce topic avant de déformer mes propos et de les découper pour m'imposer ton approche du sujet qui reste la question du bonheur. 

Donc si je comprends bien votre approche, du moins avec le peu que vous nous en avez révélé, et en se basant sur ce que vous appelez le "réseau par défaut" (qui est en fait le mode par défaut, enfin passons.) que je remets ici pour qu'on comprenne bien votre démarche philosophique.

Un nouveau modèle du réseau cérébral du « mode par défaut »

Dans le cerveau, le réseau du « mode par défaut » est celui qui s’active quand on laisse libre cours à ses pensées. Les régions cérébrales qui s’activent de façon synchrone pour former ce réseau jouent un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de la mémoire, des émotions et de l'introspection. En utilisant plusieurs techniques de pointe de l'imagerie cérébrale, les chercheurs proposent un nouveau modèle du réseau du mode par défaut, plus complet, comprenant des noyaux sous-corticaux capitaux pour son fonctionnement. Ces noyaux bien connus sur le plan neurochimique et fonctionnel peuvent désormais être intégrés aux données de la neuroimagerie anatomique et fonctionnelle, chez l'homme et chez l'animal. Ces résultats sont publiés dans la revue Nature Communications Biology.

https://www.insb.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/un-nouveau-modele-du-reseau-cerebral-du-mode-par-defaut

Votre suggestion pour trouver la joie et le bonheur c'est quoi ?

Trafiquer certaines zones cérébrales ?

L'emploi de drogues peut-être ?

Dites-moi tout.

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 823 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 21 minutes, Apator a dit :

Donc si je comprends bien votre approche, du moins avec le peu que vous nous en avez révélé, et en se basant sur ce que vous appelez le "réseau par défaut" (qui est en fait le mode par défaut, enfin passons.) que je remets ici pour qu'on comprenne bien votre démarche philosophique.

Un nouveau modèle du réseau cérébral du « mode par défaut »

Dans le cerveau, le réseau du « mode par défaut » est celui qui s’active quand on laisse libre cours à ses pensées. Les régions cérébrales qui s’activent de façon synchrone pour former ce réseau jouent un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de la mémoire, des émotions et de l'introspection. En utilisant plusieurs techniques de pointe de l'imagerie cérébrale, les chercheurs proposent un nouveau modèle du réseau du mode par défaut, plus complet, comprenant des noyaux sous-corticaux capitaux pour son fonctionnement. Ces noyaux bien connus sur le plan neurochimique et fonctionnel peuvent désormais être intégrés aux données de la neuroimagerie anatomique et fonctionnelle, chez l'homme et chez l'animal. Ces résultats sont publiés dans la revue Nature Communications Biology.

https://www.insb.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/un-nouveau-modele-du-reseau-cerebral-du-mode-par-defaut

 

Votre suggestion pour trouver la joie et le bonheur c'est quoi ?

Trafiquer certaines zones cérébrales ?

L'emploi de drogues peut-être ?

Dites-moi tout.

 

 

Arrête de dire n'importe quoi sur ce que j'ai dit précédemment, je n'ai fait aucun lien entre "trouver la joie et le bonheur" et le fonctionnement spécifique de certaines zones cérébrales.

Le réseau du mode par défaut est une base qui prend de l'importance en psychologie sous forme d'un récit autobiographique dans lequel les influences sociales et ce que l'on en fait joue aussi un rôle. Au départ je partais du paradoxe à résoudre dans le bonheur entre une permanence que l'on n'a pas dans la joie ou le plaisir et une variation nécessaire. 

Mais avant de faire le professeur ou de mener un interrogatoire continue ta propre réflexion, on pourra alors faire un éventuel débat si tu arrêtes de déformer ce que je dis. 

Modifié par CAL26
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Membre, 153ans Posté(e)
Flower00 Membre 4 993 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
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Les usagers de la psychiatrie peuvent il être heureux sans traitement médicamenteux. Je testé avec et sans et le bonheur n'est pas le même. On peut être heureux dans une psychose mais soulagée pas le traitement en accédant au bonheur en accord avec la réalité, libéré de la psychose 

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 3 491 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, CAL26 a dit :

Mais avant de faire le professeur ou de mener un interrogatoire continue ta propre réflexion, on pourra alors faire un éventuel débat si tu arrêtes de déformer ce que je dis. 

Faudrait déjà commencer par dire quelque-chose. :laugh:

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 823 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Apator a dit :

Faudrait déjà commencer par dire quelque-chose. :laugh:

Je l'ai fait mais tu en as fait n'importe quoi ou tu n'as pas compris. 

Arrêtons de polluer le topic, merci. 

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