Comment peut-on ne pas intervenir ??

il y a une heure, stephh06 a dit :

Oui mais toi t'es un héros, ce n'est pas le cas de tout le monde. Et il faut bien reconnaitre que les héros, on en trouve d'avantage  sur le forums et les réseaux sociaux que dans la vie courante.

En tout cas j'en connais un qui n'hésite pas à voler au secours d'une personne se faisant agresser.

Une fois c'était dans la rue, une autre fois dans le train. J'ai eu l'occasion de constater de mes propres yeux qu'il lui était tout simplement impossible de ne pas intervenir, voire s'interposer.

.

Le 09/08/2025 à 08:29, Mite_Railleuse a dit :

C’est vrai, mais je voulais plus axer le sujet sur la non intervention sous prétexte de respect de coutumes locales. Parce que je trouve « l’excuse » inacceptable.

parce que tu ne fais pas la différence entre la photograhie reportage et le touriste équipé d'un appareil photo qui tombe sur la scéne par hasard ..

l'un est engagé pour une mission et doit s'y tenir , l'autre est un peu plus moralement libre de ces actes et choix de photographies et ou d'intervenir ou pas .

si Robert Cappa avait du intervenir à chaque fois qu'un drame se jouait devant son objectif il n'aurait jamais ramené autant de photos des diverses guerres qu'il a couvert . C'est un métier pas un loisir donc en principe tu n'as pas à t'émouvoir des scénes horrible à la quelle tu peux assister , tu mitraille point final .

à mon avis il y a eut plusieurs clichés de cet scéne ou l'on voit une femme enfermé , un seul cliché a ete retenue par le phtographe , mais comme tout bon reporter celui ci a du tiré une série de cliché  pour obtenir le meilleur résultat , aussi horrible que ça puisse paraître il n'y a pas de place à l'émotion quand tu réalise ce type de photo .

Il existe beaucoup de photographie choc qui ont fait la une des quotidiens , le photographe ne s'est pas posé la question de moralité , il est préocupé par le fonctionnement de son appareil , la qualité du cliché , et l'esthétisme du sujet .

par contre en tant que simple touriste tu peux éventuellement intervenir si le coeur t'en dis  .

je  crois il existe un film qui traite du sujet , un photographe qui se trouve confronté à ce dileme . me rappel plus le titre .

il y a une heure, Elbaid1 a dit :

parce que tu ne fais pas la différence entre la photograhie reportage et le touriste équipé d'un appareil photo qui tombe sur la scéne par hasard ..

l'un est engagé pour une mission et doit s'y tenir , l'autre est un peu plus moralement libre de ces actes et choix de photographies et ou d'intervenir ou pas .

si Robert Cappa avait du intervenir à chaque fois qu'un drame se jouait devant son objectif il n'aurait jamais ramené autant de photos des diverses guerres qu'il a couvert . C'est un métier pas un loisir donc en principe tu n'as pas à t'émouvoir des scénes horrible à la quelle tu peux assister , tu mitraille point final .

à mon avis il y a eut plusieurs clichés de cet scéne ou l'on voit une femme enfermé , un seul cliché a ete retenue par le phtographe , mais comme tout bon reporter celui ci a du tiré une série de cliché  pour obtenir le meilleur résultat , aussi horrible que ça puisse paraître il n'y a pas de place à l'émotion quand tu réalise ce type de photo .

Il existe beaucoup de photographie choc qui ont fait la une des quotidiens , le photographe ne s'est pas posé la question de moralité , il est préocupé par le fonctionnement de son appareil , la qualité du cliché , et l'esthétisme du sujet .

par contre en tant que simple touriste tu peux éventuellement intervenir si le coeur t'en dis  .

je  crois il existe un film qui traite du sujet , un photographe qui se trouve confronté à ce dileme . me rappel plus le titre .

Je fais bien la différence. Mais comment dissocier l’humain du professionnel ? Il faut l’être, capable de tourner les talons. Même s’il n’est pas possible, souhaitable (?), "professionnel", ni savoir comment intervenir de quelque manière que ce soit, j’ai cette image de la personne qui s’éloigne en laissant l’autre.

Je ne dis pas que j’ai raison ou que je détiens une quelconque vérité, mais que ce doit être difficile à encaisser, à vivre. Et si ça ne l’est pas, il me semble que quelque chose s’est perdu en route...

Ce type de métier demande de la discrétion . Que sait-on des actions invisibles qui pourraient être tentées pour sauver des vies de personnes prises en photo ? perso je veux penser que ces professionnels agiront dans ce sens s'ils le peuvent . Cela n'apparaîtra pas dans des médias ou des réseaux sociaux et ça me semble faire parti des indispensables . 

Il y a 23 heures, Kid_Ordinn a dit :

Certes.

Pourquoi ? 

Parce que c'est ce que l'on apprend quand on est secouriste (police, pompier, secouriste etc.)...là c'est différent dans l'histoire de la dame, mais c'est le leitmotiv de la sécurité en France...

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Il y a 19 heures, Mite_Railleuse a dit :

Je fais bien la différence. Mais comment dissocier l’humain du professionnel ? Il faut l’être, capable de tourner les talons. Même s’il n’est pas possible, souhaitable (?), "professionnel", ni savoir comment intervenir de quelque manière que ce soit, j’ai cette image de la personne qui s’éloigne en laissant l’autre.

oui en somme c'est âme sensible s'abstenir , en tous les cas pour ce qui est de ce type de travail photographique en reportage . Beaucoup de photographes y ont laissé leur vie , de vouloir trop s'approcher de l'horreur on finit par se brûler les ailes .

https://fr.wikipedia.org/wiki/Eyes_of_War

Le 13/08/2025 à 13:18, eriu a dit :

Ce type de métier demande de la discrétion . Que sait-on des actions invisibles qui pourraient être tentées pour sauver des vies de personnes prises en photo ? perso je veux penser que ces professionnels agiront dans ce sens s'ils le peuvent . Cela n'apparaîtra pas dans des médias ou des réseaux sociaux et ça me semble faire parti des indispensables . 

Voilà. Et la mère du juge a du le baffer...