QuatreEtCinq

Pour commencer, regarde l'espace disponible sur tes disques avec clic droit + propriétés. Si ils sont pleins, il te suffira de lancer une recherche d'un fichier dont tu te souviens du nom, de clic droit sur le-dit fichier, puis sur "afficher dans le dossier" Alors tu pourras voir le chemin d'accès vers tes fichiers. Si ça ne marche pas, on essaiera autre chose.

Faudrait qu'elle fasse la nuance entre religion et idéologie. Car, moi-même, grand amateur aux compétences inégalées en sémantique, je ne l'ai pas faite.

Effectivement, tu as raison. En hommage à mademoiselle la science, je parlerais de cons isolés, plutôt que d'une bande de cons. Merci pour la précision. Le fait est que, anthropologiquement, ce n'est pas faux. Le propre d'une culture, d'un culte, c'est d'uniformiser les comportements, les identités... En ce sens, si vous êtes cons face à la même idéologie, vous êtes les mêmes cons. Donc des cons en bande. La liberté, ce n'est pas un du. Je vais pas me priver de te dire quelque chose juste parceque c'est blessant. Dans les faits, s'il est impossible de m'amalgamer à d'autres, il n'est pas impossible d'en amalgamer certains ensemble. La majorité, en fait. J'ai peur de choses dont je suis bien conscient. Et sur lesquelles je pourrais avoir de l'influence si je fournis suffisamment d'efforts.

Je ne crois pas aux aimants. Je suis témoins de Jéhova. Et même si les aimants existent, aucun corps sans vie ne peut dégager d'énergie, c'est comme si les aimants n'existaient pas.

Si. J'imagines. Et j'espère que je serais puni pour t'avoir privé de ton innocence.

Imagines un remède à la sensibilité et à la lucidité. Un remède génétique, et obligatoire, évidemment. Donc des enfants qui ne peuvent ni être tristes, ni être heureux, ni penser à hier, ni à demain, ni à quelqu'un d'absent, ni au gout du citron. Imagines une situation bactériologique sans précédant, justifiant de porter des combinaisons hermétiques en permanence, qui, malencontreusement, cacheraient toute apparence physique. Imagines une situation politique éco-logique, justifiant de n'avoir aucun contact avec son environnement. + aucun contact avec ses semblables, car le regard non-consenti serait considéré comme un trouble à l'intégrité physique et psychologique. Et aucune influence sur un tiers ou sur l'adversité ne serait tolérée. Imagines un monde sans gros-mots. Où, quand quelqu'un se conduit comme un gros fils de pute, il est seulement possible de l'enmenner chez le docteur pour qu'il le soigne. Et, qu'enfin, la chimie s'occupe de l'empêcher d'être un gros fils de pute. Et, en cinquième, imagines un monde où il devient illégal de porter atteinte à la vie. Ce qui implique de ne respirer que de l'air synthétique, de n'avaler, de ne boire, que des composants synthétiques. Bon. Là, je suis même pas rentré dans la spéculation. Ca c'est le monde de demain, tel qu'il est déjà écrit aujourd'hui. Maintenant, si on fait marcher l'imagination... On peut aller plus loin encore. Mais si je commence à inventer, on va me traiter de complotiste.

L'âme, s'il en est, ne peut être nominative. Ce serait considérer que l'eau qui s'écoule de ton robinet, lui est également nominative, et que, systématiquement, les mêmes mollécules d'eau, rejoignent impérativement ton robinet, et pas un autre. Non, la mort, la fertilisation de la matière, c'est son amalgame. Pour l'énergie, c'est un peu pareil. En ce sens, de la même façon qu'une source qui remplit des cruches, il faudrait admettre une âme unique, qui remplit des corps. Les âmes ne seraient donc pas nominatives. En ce sens il ne s'agit pas d'admettre de secondes vies. Mais plutôt des mémoires relatives à toutes les confrontations s'étant amalgamées puis dissipées. Mais, pour répondre à ta question... Etant donné que la fréquence du climat interactif et émotionel est en proie à la conséquence sécuritaire humaine.. L'époque de demain sera moins interactive que celle d'aujourd'hui, qui est moins interactive qu'hier. Et, par cette fréquence interactive qualifiant l'intensité du climat émotionel, que certains appellent " Amour" Qui s'affaiblit, de part l'activité néantique humaine, Je tendrais à dire que demain sera plus stérile qu'aujourd'hui. Objectivement. Et, moi, la stérilité, je ne trouve pas que ce soit "dur" ou "facile", je ne trouve pas que ce soit "bien" ou "mal". Je trouve que c'est surtout vide et absent. Et, je n'aime pas ça. Pas du tout.

Effectivement, c'est de l'ordre de la croyance. Fais attention, la croyance devient vite religieuse. Aussi, s'il te faut des données pour combler ton scepticisme apparant... Les données semblent plutôt te contredire.

xDDDD C'est vraiment grave le niveau des propagandistes. A croire que c'est volontairement maladroit pour afficher le foutage de gueule. C'est d'un sadisme...

Fun fact : En lisant ce topic, les francais aimeront moins se plaindre.

Que v'là de la pensée philosophique. Mais, y'en a vraiment qui pensent que la direction de la politique républicaine s'improvise tous les 5 ans ? Faites un effort, on est en 2022 là. On va sur la lune ça va faire un siècle.

Mais ça change quoi en fait ? Vous croyez vraiment que les projets pour la république française ils sont improvisés au jour le jour ?

Et les sceptiques s'en lavent les mains à l'anti-sceptique. Alors. La loi, les normes, j'en ai rien à foutre. Maintenant, effectivement, si quelqu'un empoisonne tes enfants, vaut mieux qu'il cesse, qu'il ne recommence pas, et qu'il paye pour ses crimes. Mais cela n'a rien à voir avec la culture de l'hygiène. Cela a à voir avec les connards. Parcequ'on peut pas laisser les gens dépendre et subir les connards. La question n'est donc pas d'instaurer un culte de l'hygiène plus grand encore. Mais de punir les connards. Quand à la stérilité... Il faut bien que tu comprennes une chose. C'est que la saleté, c'est la vie. Littéralement. C'est à dire que ce qui est considéré non-hygiénique, c'est un organisme. Biologique. Aussi, la vie dépend de la vie. Et ce que tu gagnes en "propreté", tu le perds non seulement en défense immunitaire, mais aussi, surtout, en rapport à la vie. Pour rappel, tes grands parents ne se lavaient pas les mains. Et la laine qu'ils filaient pour leur vêtements, était saine quand elle était bien grasse. Idem pour la nourriture. -Les hopitaux. -Les rapports entre humains. -Les animaux. -La santé mentale. L'alimentaire. Voilà 4 petits points, parmi tant d'autres, pour faire un petit tour de la question. Avec un cinquième pour rebondir sur ton propos. Tu vois, les hopitaux sont stériles. Tu me diras " c'est grâce à pasteur ! " Seulement, le nouveau né, quand il ouvre les yeux, il découvre un monde sans vie. Tout de blanc. Confiné dans un décor sans interaction externe. Face à des blouses blanches. Et l'on appelle santé, ce qui n'est pas sali par des rapports. Celui qui a besoin de soin n'interragis que dans un décor sans vie. Ses contacts avec les soignants sont proffesionels. Et pour le bébé, et pour le malade, il n'y a nulle présence. Ce rapport à la blouse blanche établi très bien l'hygiène sociale. Et le port du masque covid renforce d'autant plus les contacts. Déjà très encombrés de codes sociaux, appelant à une hygiène comportementale. Idem pour les animaux. Stérilisés. Contractualisés. Déclarés. Est-ce que tu te rends compte du nombre de familles, qui coupent les couilles d'un de leur membre, et qui n'y pensent même pas. Car c'est une règle d'hygiène élémentaire. Il faudrait que j'étale des encyclopédies pour te parler de la psychiatrie. Ou, la science du comportement. Il apparait, là aussi, que la santé, c'est le comportement stérile d'influence. Il ne faut pas influencer l'autre, il ne faut pas être influencé par l'autre. Et l'intégrité est une "hygiène psychologique". En somme, la santé mentale, c'est quand tu ne fais rien d'inattendu, d'imprévu. Que tu ne fais rien de nouveau. Comme une mère ferait un enfant. Car c'est une politique de l'accident qui régit la vie. Par l'anomalie. Enfin... J'ai travaillé quelques mois dans une boucherie il y a dix ans. A l'époque, l'on jetait les billots en bois... impossibles à javelliser. Car les normes européennes préfèrent te faire ingurgiter du javel, plutôt que de laisser les boucher travailler sur du bois. (Bois qui est raboté deux fois par jour) ( raboté, c'est quand tu enlèves carrément une couche de bois.) Aussi, il fallait javelliser l'intégralité des déchets. Plutôt que de les offrir aux pauvres. Et mon patron serrait les poings à chaque fois qu'il fallait le faire. D'ailleurs, il ne laissait pas les jeunes le faire, il voulait préserver nos innocences. J'aurais aimé rentrer plus dans le detail de l'image. Comme dans le spectre interrogatif. Mais je n'ai pas le courage. Tu as fait ta petite balade, pour te rendre compte que dans ta culture, il y a un culte. Un culte de l'hygiène. Je te dirais seulement, pour finir.. Que ce qui est morbide, est aussi fertile. Et que ce qui meurt, renait. Car la matière se transforme. L’énergie, aussi. La stérilité a cela de beaucoup plus cynique que le morbide. Qu'elle ne se transforme pas. Qu'elle ne renait pas. Quelque chose de stérile, va mourir, sans avoir eu d'influence, sans s'être reproduit, sans engendrer, ni de nouveau, ni de renouveau.

C'est complètement facile. " haha le mal c'est pas bien on peut pas débattre tu as forcément tort" C'est toi l'énormité. Tout insignifiant sois-tu.