konvicted

Mouais, admettons.

Ouais, moi aussi je préfère les deux premières

Attends un peu de voir mes charmes.

Belle chanson, que je connaissais déjà, une fois n'est pas coutume. J'étais parti pour le faire en quatre strophes mais quand les contraintes de la forme que je me suis imposée m'ont posé problème, je me suis dit : pourquoi est-ce que je m'emmerde à continuer alors que j'ai déjà dit tout ce que je voulais en deux strophes ? Cela dit, il est probable que la frustration de n'avoir quasiment rien écrit pendant trois semaines ait contribué à ce que j'expédie ce poème, voire aussi celui que je m'apprête à poster.

Ma muse est légion Ma muse est semblable à l'hydre de Lerne, Mais c'est moi qui perds la tête avant elle, Ma muse est semblable à l'hydre de Lerne, J'ai peur qu'elle soit aussi immortelle. Ma muse est semblable à l'hydre de Lerne, Mais moi seul reçois des traits enflammés, Ma muse est semblable à l'hydre de Lerne, Ses cous se refont sitôt dégommés. Ma muse est légion, a mille visages, Si j'en oublie un, deux autres émergent Ma muse est légion, a mille visages, Moins j'y prête égard, plus ils me submergent. Ma muse est légion, a mille visages, Prompts à effeuiller mon cœur d'artichaut, Ma muse est légion, a mille visages, Annonçant l'heur du dernier soubresaut.

Tout bousillé Veuillez, je vous en prie, ouïr mon plaidoyer ; Même s'il n'est jamais trop tard pour essayer, Mon baptême du feu, pourquoi le dilayer ? Je suis bon à jeter aux flammes du foyer. Mes piles sont à plat, mes circuits ont grillé, On faillit me sécher, j'en suis toujours mouillé, J'ai pris l'eau si souvent que je suis tout rouillé, Je suis bon à jeter, je suis tout bousillé.

Un petit up pour un grand jeu. Un grand jeu, que dis-je ?, LE jeu de dés par excellence. Bien plus marrant que le Yam's, bien plus diversifié que le 421 et bien plus gratuit que le Perudo !

Simplement parce que Diane est la déesse de la fécondité.

Qui a dit que l'aspartame était un sucre ?

Pour ne faire plaisir à personne, je ne reluque que les premières ; mais comme je ne sais pas distinguer les premières des secondes, je les reluque toutes dans le doute.

Au temps pour moi. Cela dit, vu que tu ne l'as pas gratifiée d'un smiley à tête de con et à bouche grande ouverte, j'estime quand même qu'elle est ratée. :p

C'était une question rhétorique, doublée d'une blague visiblement ratée ; je me doute bien que le mot grec pornei n'a aucun rapport avec le vide. :p Cela dit, en un sens, le porno consiste bien à avoir un rapport avec un trou. (Désolé pour la synecdoque insultante vis-à-vis du propriétaire de ladite cavité.)

Ah, "porno" veut dire "vide" en italien, c'est ça ?

Et pourquoi "kons" et pas "cons" ?

Ah oui, effectivement, il y a de grandes chances. Mais bon, les acides gras saturés sont nécessaires eux aussi. :p

"Faut pas finir le pot, d'une traite à la cuillère", "faut pas finir le pot d'une traite à la cuillère", j'aimerais bien t'y voir à essayer de faire rentrer la louche dans le pot, gros malin ! Il y a l'équivalent chez Bjorg aussi, qui m'a l'air un peu moins cher et probablement plus facile à trouver.

(Article ayant pour titre cette ignominie) Mais... pourquoi ?

"Toi tu m'fous les glandes, puis t'as rien à foutre dans mon monde. Arrache-toi d'là, t'es pas d'ma bande, casse-toi, tu pues, et marche à l'ombre."

Les trois à la fois, c'est possible ? Mais non, je finirai mort, comme tout le monde. Sans doute mais il y a un contraste déjà dans le fond du poème entre l'émerveillement du père et la honte et la culpabilité de la mère à la naissance de leur fille - ou de leur garçon mais j'ai décidé que ce serait une fille -, équivalant à la contradiction entre la beauté du miracle de la vie et la laideur de l'adultère. Non, je dis le contraire : Diane, la nana, se fait butiner par un drôle d'oiseau, autrement dit un mec.

La fleur du péché Le test est négatif comme à son habitude, Diane l'est tout autant, maintenant convaincue Que le rêve est fichu, ses espoirs ont vécu Pour laisser place aux peurs, doutes et inquiétudes. Ce tracas-là n'est pas des soucis qu'on enterre, Sa première pensée accuse le pistil Mais donner vie n'est pas qu'exercice de style, Peut-être s'agit-il d'un problème d'anthère. Trahissant son bourdon pour un drôle d'oiseau Cru apte à butiner, Diane perdra les eaux Quelque neuf mois plus tard, la conscience entachée. N'y voyant que du feu, le mari est ravi, Ignorant que devant ce nouveau brin de vie, Diane ne saura voir que la fleur du péché.