konvicted

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 54/100 Mon temps 120 secondes   Je ne m'en sors pas trop mal pour le peu d'intérêt que je porte à la politique. J'en ai presque l'impression de me trahir.

Voir ce quiz La discographie de Brassens Un quiz sur quelques-unes des plus belles chansons de Brassens Créateur konvicted Type Mode classement Temps 4 minutes Nombre total de questions 10 Catégorie Musique Envoyé 18/11/2018  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 33/100 Mon temps 134 secondes   Je suis au moins aussi mauvais en histoire que dans mes souvenirs.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 37/100 Mon temps 63 secondes  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 50/100 Mon temps 64 secondes  

Quel est l'intérêt d'apprendre les réponses par cœur ? Je ne comprends même pas pourquoi il est permis de répondre plusieurs fois à un même quiz, ça ôte tout sens au classement.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 54/100 Mon temps 61 secondes  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 54/100 Mon temps 61 secondes  

D'accord, cette comparaison futile n'était qu'un prétexte pour cracher sur le christianisme. Le dernier topic sur l'avortement s'en chargeait pourtant déjà assez bien. J'espère que t'aimes les patates. C'est toi. Qui ne fais pas la différence entre chrétiens et catholiques.

Il te faut un dessin ?

Dont celle que l'auteur du topic donne lui-même, d'ailleurs.

Le catholicisme n'est pas une religion à part entière mais une branche du christianisme. Le comparer à l'islam en nombre d'ouailles n'est pas équitable.

N'importe quoi. Le mec qui se fait faire un enfant dans le dos n'a pas consenti à faire un enfant, mais à priori il a bien consenti à baiser. Ce qui n'est pas croyable, c'est de ne pas comprendre que la gestation est l'affaire des femmes. Imaginer un droit à l'avortement pour les hommes alors que l'interruption d'une grossesse ne concerne pas de leur propre corps, c'est parfaitement ridicule.

J'ai lu plus loin que tu ne pensais pas ça faisable, pas que tu ne trouvais pas ça acceptable. J'appellerais ça un bon vieil abus de confiance. Mais je ne suis pas certain que légiférer là-dessus soit une solution. Enfin, je n'en sais rien, faudrait déjà voir à quoi une solution légale ressemblerait.

L'avortement comme punition... c'est d'un cynisme déconcertant. Et non, ce n'est pas logique. L'avortement s'inscrit dans le droit des femmes à disposer de leur corps. Ce que tu suggères là, c'est de donner aux hommes le droit de disposer du corps des femmes, ce qui accessoirement va à l'encontre de la raison pour laquelle l'avortement existe en premier lieu. Tu veux introduire une symétrie de droit dans un rapport à la procréation qui est asymétrique par essence ; c'est peine perdue. Ça, oui, et je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas suffisant.

Dans quel univers une proportion de deux sur six constitue-t-elle "la plupart" ? C'est inconséquent de ne pas se protéger des MST quand on copule avec n'importe qui, et ça vaut pour les deux parties. Ne pas partir du principe qu'un plan cul souhaite peut-être secrètement être engrossée, par contre, j'appelle plutôt ça être... pas excessivement paranoïaque. Mais je suis peut-être d'une nature trop confiante. Accessoirement, la gravité d'un abus de confiance n'est pas inversement proportionnelle au degré de crédulité de la victime. Je peine à voir le rapport. Les avortements et les enfants dans le dos sont les deux faces d'une même pièce : les femmes ont le plein contrôle sur ce qui sort de leur utérus.

Une petite baffe pour le rejeton, une grosse gaffe pour le cureton ! C'est certainement naïf de ma part, pour ne pas dire pleinement fantasmagorique, mais je choisis de voir dans les pleurs de ce lardon non pas un simple accès de mauvaise humeur mais bien une protestation éclairée contre l'infamie de cette coutume arriérée dont il n'a cure et dans laquelle ses médiocres parents l'ont pourtant embarqué. Le prêtre, un peu tyran sur les bords, aura voulu faire taire toute contradiction. "Grâcher sur la religion", ça veut dire gâcher la religion en crachant dessus ? Laisse-moi un peu le temps d'arriver, stp.

Ben voyons ! Pourquoi prendre le nombre de plaintes par jour pour estimer la proportion d'hommes susceptibles d'être des violeurs ? Ça n'a aucun sens. Si le but est simplement d'arguer que les violeurs représentent une très faible proportion des hommes, pas la peine de se lancer dans des calculs hasardeux, c'est juste du bon sens ; faudrait vraiment s'appeler Caroline de Haas pour croire le contraire. Éduquer les hommes, non, on ne peut pas refaire une éducation ; éduquer les petits garçons, peut-être.

1896 : On découvre la radioactivité. 1928 : On découvre la pénicilline. 1969 : On marche pour la première fois sur la lune. 1989 : On invente le web. 2018 : On découvre un lien de causalité entre l'éducation d'un enfant et le comportement qu'il adoptera adulte. Le progrès n'a pas fini de nous étonner.

Rassure-moi, c'est du troll que tu fais là ? Ou quelqu'un a usurpé le compte de January, je ne vois pas comment expliquer ce non-sens autrement. Mais vu que, à ma grande surprise, personne n'a réagi à cela pour réclamer la restitution du compte de January à sa propriétaire légitime, je me dois de prendre ça au sérieux, dans le doute. Par où commencer ? S'imaginer qu'en France près d'un tiers des enfants de moins de 11 ans aient subi un viol ou une tentative de viol, c'est tout bonnement délirant. Un minimum d'esprit critique suffit à questionner la légitimité de ces chiffres. Alors, où est la putain de source ? Eh bien, une petite recherche Google révèle que ce n'est pas moins qu'un rapport du Sénat, mais qui présente les chiffres bien différemment : Ce que ces chiffres disent, c'est que, parmi les victimes déclarées de viol ou tentative de viol, la tranche d'âge 0-10 ans représente 27,0% chez les filles et 34,1% chez les garçons, ce qui est très très loin de vouloir dire que 27,0% des filles et 34,1% des garçons français dans cette tranche d'âge ont été victimes, et ce qui veut pas dire non plus que les petits garçons se font plus violer que les petites filles.

Non, ce que tu viens de calculer (enfin, essayé de calculer parce qu'en fait tu as mis soit deux 0 soit le symbole % en trop), c'est qu'en moyenne un homme français (ou plus exactement un Français de sexe masculin) commet 0,0000014 viol (déclaré) par jour. Ça n'a rien à voir avec la proportion d'hommes ayant commis un viol. T'es marrant à pleurnicher sur la prétendue invalidité des statistiques qu'on te fournit, quand on voit ce que tu fais même des chiffres qui t'arrangent... Autant donner de la confiture à des cochons.

Bien sûr, et tous ces gens veulent peut-être nous faire croire que l'envie ne les a jamais effleurés de buter tous leurs camarades ? Quelle bande de faux-culs ! T'as raison, les mecs qui font des bains de sang sur des campus ne passeraient certainement pas à l'acte s'ils avaient sous la main des jeux vidéo à la hauteur de leurs pulsions ; ce sont des gars parfaitement équilibrés qui n'ont simplement pas trouvé le bon exutoire. C'est une idée de génie ! D'ailleurs, le gouvernement travaillerait actuellement sur le développement d'un jeu, intitulé Holy war, où le joueur incarnera un terroriste s'adonnant à ses activités quotidiennes, incluant la visite de la rédaction d'un canard, des courses dans une supérette casher et un bain de foule en camion-bélier. Le jeu se destine évidemment aux fichés S qui, y trouvant l'assouvissement de leurs fantasmes, se repentiront de leurs errances antirépublicaines. Le terrorisme islamiste vit ainsi ses dernières heures en France ! Attends, que je résume un peu la conversation : "Tu jouerais à ce jeu ? - Non, c'est pas mon truc. - C'est parce que tu trouves ça immoral." Tu sondes les cœurs et les reins, toi, maintenant ? Ou la moralité est-elle subitement devenue le seul critère de considération dans l'appréciation d'un jeu vidéo ? Perso, je ne me vois pas jouer à Léa Passion : Danseuse étoile sur DS, mais je ne pense pas trouver ça immoral comme jeu.