Fiphi

J'ai voté contre, par secpticisme. Et l'enfant dans tout cela ? Chacun sait les rapports que doit avoir l'enfant avec chacun de ses deux parents, des deux sexes opposés (cf diverses études). Quelles peuvent être les conséquences sur l'enfant si l'on ne respecte pas cet équilibre ? Et si adoption par des homosexuels, y aura t-il un âge minimum de l'enfant adopté ? etc ...

Je n'ai pas dit autre chose ... Depuis près de 2000 ans, notre histoire est toutefois liée à la chrétienté, plus étroitement depuis le IVème siècle (conversion de l'empereur romain Constantin) puis, un peu plus encore, après la chute de l'empire romain d'occident à la fin du Vème siècle et durant tout le moyen âge. Pour ces raisons déjà, la manière dont l'islam nous impose ses pratiques me choque !

Tu dénonçais "faiblesse intellectuelle" ... Hors nous t'affirmons le contraire ! Elles seraient bien trop utiles !

Tu te trompes ; c'est au contraire très intéressant et significatif pour comprendre. Je félicites Caupine d'une telle référence, qui parait être tout à fait sérieuse. Pourquoi donc dissimuler une telle vérité ? Pourquoi faut il absolument, dans l'étude des phénomènes de délinquance, occulter les critères mésologiques et les origines ethniques, facteurs essentiels liés à la personnalité du délinquant ?

Pensez-vous réellement que les révélations divines se soumettront aux lois de la République ? Il suffit d'un rien pour renverser la laïcité, ou disons la laïcité à la française, compromis entre l'état et la religion catholique, durablement ancrée depuis plusieurs siècles dans nos villages, nos familles, et nos mémoires. Pensez-vous que notre histoire européenne, étroitement liée à l'histoire chrétienne puisse s'oublier aussi simplement parce qu 'au cours du XXème siècle nous avons fait le choix de la laïcité ? Et de quelle laïcité parlons-nous ? Sommes-nous sûr de prétendre à la laïcité tels que certains d'entre vous la présupposent ? Notre histoire est chrétienne ; et je crains les pires ennnuis pour notre démocratie si nous laissons à l'islam un champ trop large. Tout simplement parce que l'islam n'est pas aussi évoluée que ne l'est la chrétienté, tout simplement parce que son discours n'est ni l'amour du prochain, ni le pardon, ni l'acceptation d'autres confessions, tout simplement parcequ'elle asservit l'humain, et qu'elle soumet l'état aux prophéties. Comment ne peut-on pas deviner que tout ce qui interesse l'islam est source de polémique ou de discorde ?

Ces prières de rue sont choquantes. Je ne les tolère pas. J'ai ce désagréable sentiment que l'on s'approprie un bien commun, notre paysage, notre rue, la France telle que je la connais et telle que je l'aime. Les considérations de pratiques religieuses ne me convainc pas (hypocrisie) ; et je n'y vois que l'expression d'un fanatisme, islamiste, que l'on sait intolérant et prosélyte, qui nie toute idée de liberté et d'équité, de progrès, prône l'assouvissement de l'individu, s'inscrit contre les lois de notre République et traite la femme de la manière la plus indigne ... Inacceptable !

Les fondamentaux républicains sont nés dans une France profondément chrétienne !

La gauche n'assume pas la laïcité, pas plus qu'elle n'assume les diverses confessions religieuses et leur impact sur la vie publique. Elle n'assume pas le social non plus, ses aléas dont elle se lave les mains. Si Marine le pen a ses adeptes, il faut en chercher les vrais raisons, les comprendre, les expliquer et non les dénier !

Je précise ma pensée sur le service militaire, sans espérer une seule seconde qu'il faille le rétablir, ce qui serait un non sens historique et social : - Les un ou deux premiers mois de classes étaient très formateurs en ce qui concerne une mise en condition sportive, hygiénique et disciplinaire. Ce qui manque à certains de nos chers chérubins, prompts à boire et fumer de l'herbe ... et que rien n'arrête ! - Les mois suivants offraient pour quelques uns, beaucoup cependant, l'avantage d'une formation professionnelle, un premier boulot, l'obtention de divers permis tel le poids lourd ou le transport en commun ... Après quoi, les vertus qu'on lui reconnait à présent, et qui manquent certainement à l'éducation que nous donnons à nos enfants sont assez évocateurs pour en tirer quelques solutions concrètes. Mais non, on s'apitoie encore !

En terme d'instruction et d'éducation, on a découvert en l'armée et son service militaire, après sa suppression, des vertus qu'on ne lui soupçonnait pas ...

Saint Augustin et Saint Thomas d'Aquin ont tenté de concilier la foi chrétienne avec les pensées de Platon pour l'un et d'Aristote, pour l'autre. Il n'y avait pour eux aucune contraction entre la foi chrétienne et la raison, dès lors que certaines vérités ne puissent être établies par la raison seule (et la science, au service de la raison) ... Deux amours ont donc fait deux cités : l'amour de soi jusqu'au mépris de Dieu, la cité terrestre ; l'amour de Dieu jusqu'au mépris de soi, la cité céleste. L'une se glorifie en elle-même, l'autre dans le Seigneur. L'une demande sa gloire aux hommes ; pour l'autre, Dieu témoin de sa conscience est sa plus grande gloire. L'une dans sa gloire dresse la tête ; l'autre dit à son Dieu : « tu es ma gloire et tu élèves ma tête ». L'une dans ses chefs ou dans les nations qu'elle subjugue, est dominée par la passion de dominer ; dans l'autre, on se rend mutuellement service par charité, les chefs en dirigeant, les sujets en obéissant. L'une, en ses maîtres, aime sa force ; l'autre dit à son Dieu : « je t'aimerai Seigneur, toi ma force . St Augustin é juste titre, Thomas d'Aquin peut être appelé « apôtre de la vérité ». En effet, l'intuition du Docteur angélique consiste en la certitude qu'il existe une harmonie fondamentale entre la foi et la raison : « Il est donc nécessaire que la raison du croyant ait une connaissance naturelle, vraie et cohérente, des choses créées du monde et de l'homme, qui sont aussi l'objet de la révélation divine ; plus encore, la raison doit être en mesure d'articuler cette connaissance de manière conceptuelle et sous forme d'argumentation. Jean-Paul II La foi n'a rien de dogmatique ...

La collusion entre le média et le milieu politique est de plus en plus déplorable. Ils s'entendent, se pourchassent, ou s'aiment ... Au final, ils se servent de nous, les uns comme les autres, et se jouent de la démocratie. Nous n'avons plus aucune lisibilité dans la vie sociale, économique ou politique. Le média est un autre pouvoir ... Il faut le considérer comme tel ... Inutile de s'apitoyer sur des journalistes qui font mal leur travail ; de même il est inutile de polémiquer sur des choix politiques et économiques qui nous échappent. Nous sommes assez éloignés de la probité ou de la vertu, et nous le savons ! Ils embrassent tous deux une même oligarchie qui se fiche bien ou si peu de notre destinée ...

On parle d'antisémitisme .... Qu'est-ce donc que le "sémitisme" ? Il faut remonter à la genèse de nos religions monothéistes pour comprendre l'antisémitisme ... considéré de nos jours comme une seule hostilité à l'égard du peuple juif ... Les juifs sont persécutés depuis plusieurs siècles. Les romains considérait déjà le peuple hébreu comme "un peuple né pour l'esclavage" (Cicéron). Tacite était réputé antisémite. (Cf soulèvement des Zélotes et révolte de Bar Kohba en Judée - province romaine). La déportation et les progroms ne datent pas du XXème siècle (déportation en Babylone - Diaspora - 1er progroms à l'égard des juifs au moyen âge). Que dire encore des persécutions des juifs sous la Rome antique ou encore au moyen âge au XIV ème siècle par la communauté chrétienne européenne durant les grandes épidémies de peste noire (accusés d'empoisonner les puits, tueurs d'enfants pour leurs rituels ...). Il a souvent été reproché au peuple juif : - La crucifixion du christ - Ses rituels lorsque la communauté méditerranéenne était encore dominée par l"héllénisme et une Rome polythéiste pourtant tolérante (convertie au christianisme sous Constantin 1er au IV ème siècle) ... - Son caractère indomptable, uni, une religion embrassant tout un peuple - Son rôle de "prêteur d'argent" ( à intérêt pour les non juifs) et marchand ... dans lequel il fut confiné, consacré par la chrétienté dont le principe était le dénuement. C'est ce dernier rôle qui lui vaut surtout aujourd'hui une certaine hostilité ...

Pas d'accord. L'enfant, même pas adolescent, n'a pas à décider de l'apprentissage et des connaissances qu'il doit absolument acquérir ! L'enseignement "militaire" tel qu'il est évoqué à pour but de "reprendre la main" sur des jeunes qui ont perdu tous repères (sociaux, familiaux ...) et qui vouent une haine irrationnelle à l'égard de la loi et du règlement ... Pour l'heure, concernant un certain nombre de ces jeunes, l'accompagnement éducatif proposé se révèle bien insuffisant ! Rien ne dit pas ailleurs que ce type d'enseignement ne les prédispose pas à l'esprit critique ou à la curiosité ... Bien au contraire !

Ce "Nique la France", je l'ai entendu dire de vive voix ... Et rien ne le justifiait ... En ce sens, le titre, certes racoleur, ne fait que reprendre les mots que l'on entend ici ou là dans les quartiers par des jeunes en déshérence, peu éduqués, enfants rois dit-on, d'origine maghrébine, mineurs, pour la plupart, souvent délinquants ... mais dont les familles sont pourtant prises en charge, aidées, logées ... toujours attachées à leur origine ethnique, rattachées par le lien ou la propriété à leur terre d'origine ... Je tiens surtout à faire remarquer la scission qui existe entre ces jeunes dont on a perdu tout contrôle, dont l'autorité parentale, elle-même, a perdu tout contrôle, idées et discours que les aïeuls et frères aînés, adultes, ne partagent pas ! Pyrenne a raison. Lisons ce livre.

A l'école primaire laïque de mes enfants, les enseignants se sont opposés à la mise en place de l'aide personnalisée. Les arguments avancés : - Aide stigmatisant les moins bons ... - Heure proposée pendant la pause repas source de déséquilibre psychique ou je ne sais quoi (pause écourtée). Avec le recul, ils avaient torts. Quant à l'enseignement militaire, - ayant fait mon service militaire dans un régiment réputé disciplinaire (Parachutistes), - ayant retiré de grands enseignements de cette expérience, - immergé dans la mixité sociale, vite oubliée par le souci de la cohésion et de l'entraide Je m'élève à l'égard de certains de vos préjugés !

Swami Vivekananda, qui fit connaître la pensée hindoue en Occident, dit un jour : "De même que certaines religions dans le monde nomment athée l'homme qui ne croit pas à un Dieu existant en dehors de sa personne, nous disons quant à nous qu'est athée l'homme qui ne croit pas en lui-même. De ne pas croire à la splendeur de sa propre âme, voilà ce que nous nommons athéisme." (Source Le monde de Sophie - Jostein Gaarder)

Voici l'image d'enfants des bidonvilles en Colombie. Rien ne ressemble plus à un enfant qu'un autre enfant, d'où qu'il vienne, peu importe son milieu mésologique ... Ces enfants des bidonvilles gagnent des "pesos" dans la rue. Ils ne sont pas élevés avec des poupées ! Et pourtant ... ils sont fragiles ! Sur la considération humaine, la considération de la femme, de l'enfant, ce prophète n'a pas été meilleur que ceux de son temps !

Les syndicalistes ne sont pas réputés avisés, ni sincères et authentiques ! Pas même altruistes. Beaucoup (les plus virulents) sont par ailleurs soit anarchistes, ou d'anciens communistes foudroyés (par l'effondrement du régime du même nom) !

La Folie, Redmatrice, Et à cette époque là (650 ap. JC), les femmes trentenaires épousaient-elles des garçons de 10 ans ? Avaient-elles, sous le signe de l'amour, également des relations sexuelles avec eux ? J'ai justement une enfant de 07 ans à la maison ... 1m20 environ - 22 kilos. Les corps des jeunes filles, même si elles ne jouaient pas à la poupée, n'étaient pas plus développés que ceux d'aujourd'hui. L'idée de pénétration du pénis d'un homme est monstrueuse ! Enfin, d'un point de vue du développement intellectuel, elles n'étaient pas plus intelligentes non plus. On le saurait. J'ai beau parlé à ma fille de valeurs morales et du sentiment d'amour, il y a un décalage évident ! Pour moi, qu'un homme, trois fois plus âgé qu'une jeune fille, à peine pubère, ait des relations sexuelles avec elle, est le signe évident que cette société était encore bestiale et primitive (sauvegarde de l'espèce - assouvissement du désir sexuel - soumission de la femme, réduite à la considération d'objet sexuel, accueillante, ne délivrant que la matière). Car je vous ai peu lu sur la place de la femme à cette époque, et la considération que lui portait la religion, quelle qu'elle soit d'ailleurs, et l'homme par ailleurs (éminemment supérieur - ce qu'il croyait). Après quoi, ils parlaient d'amour ! Surtout, l'enfant n'avait pas le choix ! Enfin, puisqu'une enfant de 10 ans était à même de se marier et de s'unir à un homme. Assumait-elle pour autant un ménage, une maison ... Où restait-elle toujours dans les jupons de sa mère ou de sa belle-mère ? Il en est assez de vos arguments captieux !

Excellent ! Cinglant !

J'interviens ... En l'an 650 ap Jésus Christ, la femme bénéficie de si peu de considération qu'elle en est réduite à accepter les choix de l'homme. Elle lui est entièrement soumise, subordonnée. C'est une esclave ! Elle l'est d'autant plus à 09 ans ! Elle grandit avec cette idée dès son plus jeune âge. Elle se plie aux m¿urs, aux coutumes, à ce qu'on lui apprend, à ce qui se pratique. Il n'en reste pas moins que d'imposer mariage et rapports sexuels dès ce très jeune âge, quand bien même elle a ses règles (susceptible donc d'enfanter car tel est son rôle - élément passif et accueillant) était "barbare" !

J'y ajoute les remarques suivantes : - Lorsque c'est possible, la garde alternée est de en plus prisée et les juges ne s'y opposent pas sauf considérations pratiques eu égard au bien être de l'enfant (scolarisation - physiologie) - Les mères semblent s'investir plus dans l'avenir de leur progéniture. Les hommes tournent plus facilement le dos à leur passé. D'autant plus lorsque les enfants sont en bas-âge. Quelques bémols cependant. Marinelou sait bien qu'en cas de litige entre les parents sur la garde de l'enfant, une enquête sociale est souvent demandée par l'un ou l'autre des parents. Les enquêtes sociales sont très majoritairement conduites par des femmes (assistantes sociales) parfois "partiales". Les conclusions de ces enquêtes emportent des décisions souvent irrémédiables des juges. Vous ne pouvez pas non plus contester le fait que certaines femmes, souvent sur les conseils de leur avocat, dénoncent des faits de violences, de manière récurrente (plainte ou main courante), dans le seul but d'obtenir plus facilement une garde ! Cette pratique se rencontre peu ou pas parmi les hommes. Certains hommes aussi, après séparation, se découvrent subitement une passion pour leurs enfants, passion qu'ils n'avaient pas lorsqu'ils étaient en ménage ! Passion souvent suscitée par la rencontre d'une nouvelle compagne très maternelle ...

D'une part, les propos de Mélanchon sont délivrés dans un contexte particulier puisqu'il s'agit d'un film de Pierre Carles "Fin de concession" qui s'intéresse notamment aux médias et à leurs rapports avec le pouvoir, contre-pouvoir ... L'interview Pujadas/Délégué CGT est donc montrée à Mélanchon, dans le cadre de la réalisation de ce film, dans le but de capter sa réaction et son avis sur le média. Le fait de lui montrer cette interview avait effectivement pour but de recueillir une vivre réaction ! Comme tout un chacun, nous exprimons des avis souvent cinglants face à un évènement, à un discours, à un propos. Mélanchon est dans cette posture, pour une fois, dépouillé de l'attitude fardée et publique du politique. C'est ce type de réaction qu'entend restituer le film. La réaction est excellente et vraie ! Nous nous autorisons ce type de réaction. Mélanchon, dans ce contexte ci, en a le droit, sans détours ! L'interview de Pujadas et la réaction immédiate de Mélanchon, "sans concession", montre à quel point le média est susceptible d'orienter le débat, l'opinion sur un fait ... ce qui fait du média un ateur du pouvoir, parfois servile. C'est ce que dénonce Mélanchon ! A juste titre. Il me semble en ce sens sévèrement critique à l'encontre du média que représente Pujadas, dans ce rôle ci. Mais en aucun cas, selon moi, il s'agit d'une opinion personnelle à l'égard du journaliste.

Lapinkiller vient de se faire "larguer" ; elle était féministe ! Rien n'est plus différent qu'un homme et une femme ! Côte à côte, ils se ressemblent guère. La peau, les lèvres, le squelette, le regard, l'âme donc, tout est différent. Pourtant, ils se rapprochent l'un à l'autre et se jurent égalité. En ont-ils seulement les moyens ?