Ocytocine

Tu n'es pas obligée de consulter le vétérinaire, tu peux te contenter de lui acheter le produit et suivre les instructions sur l'emballage. Il me semble qu'on peut en trouver en pharmacie aussi. Pour la nourriture, si tu hésites avec les croquettes, donne-lui de la pâtée, ça existe aussi pour chaton. mais personnellement je te conseillerai de ne pas donner que ça et de l'habituer aussi aux croquettes car la pâtée c'est plus savoureux pour les chats et après elle va être difficile et ne plus manger que de la pâtée, ce qui est embêtant (il faut aussi de la nourriture "sèche" pour les dents). Le must c'est la pâtée en sachet: quand il m'arrive d'en proposer (en voyage c'est pratique), c'est la ruée et le concert de ronronnements, on dirait qu'ils n'ont pas mangé depuis un mois!

J'ai vérifié. la mère peut lui avoir transmis des vers donc il est conseillé de vermifuger par prudence à partir de trois semaines. Mais si le chat ne quitte pas l'appartement, ce ne sera pas nécessaire pas la suite. Pour notre petit dernier, le vétérinaire l'a fait au moment du vaccin avant qu'on ait pu dire ouf (et facturé en deux clics). :blush:

Toute mignonne! Tu l'as appelée comment? Dommage que le véto n'ait pas répondu à tes interrogations. On m'a toujours dit qu'il fallait vermifuger les chatons tout jeunes (à un mois, faut que je vérifie) parce qu'ils peuvent en attraper par leur mère. Les coquettes dures c'est excellent pour les dents, pour garder un émail sain. Pour le dodo, fais comme tu veux, c'est juste que l'habitude ne se perdra pas. Mais si elle fait des pipis sur le lit, pour le moment ce n'est pas une bonne idée.

Tu n'as pas besoin de tremper les croquettes. Si tu veux lui donner de la nourriture humide, prends-lui de la pâtée. Est-ce qu'elle mange bien? Sinon c'est qu'elle n'est pas sevrée. Par contre, évite le lait, les chats ne le digèrent pas toujours bien. Ce n'est pas pour rien que des marques vendent du lait spécial chat (sans lactose, je crois). C'est normal qu'elle miaule beaucoup, elle est perdue, elle n'a plus sa mère, il faut qu'elle prenne ses repères. Tu vas t'habituer à décoder à force de vivre avec elle, mais parfois on ne comprend pas tout, il y a aussi le langage corporel (queue, oreilles, position, regard, etc.). Moi je pense qu'il faut habituer un chaton progressivement à un espace: le laisser dans un petit périmètre d'abord et puis quand il a tout exploré, lui faire découvrir une autre pièce et ainsi de suite. Il sera moins paniqué. Ne dors pas avec, même s'il supplie, car tu ne pourras plus le débarrasser de cette habitude. Ne le laisse pas sortir à l'extérieur avant qu'il ait quelques mois, je pense, et surtout qu'il soit vacciné. Par contre il faut le vermifuger assez tôt.

C'est la rentrée, alors on reprend le stylo avec un classique: " Venez, mes brave, dit le Roi, venez ; j'ai à vous gronder. " Les mousquetaires s'approchérent en s'inclinant ; d'Artagnan les suivait par derrière. " Comment diable ! continua le roi ; à vous 4, sept gardes de Son èminence mis or de combat en deux jours ! C'est trop, Messieurs, c'est trop. é ce compte là, Son Eminance serait forcé de renouveler sa compagnie dans trois semaines, et moi de faire apliquer les édis dans toute leur rigueur. Un par hasard, je ne dis pas ; mais sept en deux jours, je le répète, c'est trop, c'est beaucoup trop. - Aussi, Sire, Votre Majesté voit qu'ils vienne tous contris et tous repentant lui faire leurs excuses. - Tout contris et tous repentans ! Hum ! fit le Roi, je ne me fis point à leurs faces hipocrites ; il y a surtout là-bas une figure de Gascon. Venez ici, Monsieur. " D'Artagnan, qui comprit que c'était à lui que le compliment s'adressait, s'approcha en prenant son air le plus désespéré. " Et bien, que me disiez-vous donc que c'était un jeune homme ? c'est un enfant, Monsieur de Tréville, un véritable enfant ! Et c'est celui là qui a donné ce rude cou d'épée à Jussac ? - Et ces deux beau coups d'épée à Bernajoux. - Véritablement ! - Sans compter, dit Athos, que s'il ne m'avait pas tirée des mains de Biscarat, je n'aurais très certainement pas l'honneur de faire en ce moment-ci ma trés humble révérence à Votre Majesté. - Mais c'est donc un véritable démon que ce Béarnais, ventre sain gris ! Monsieur de Tréville, comme eut dit le roi mon père. é ce métier-là, on doit trouer forces pourpoins et briser forces épées. Or les Gascons sont toujours pauvres, n'est-ce pas ? - Sire, je dois dire qu'on n'a pas encore trouvé des mines d'or dans leurs montagnes, quoi que le Seigneur leur dût bien ce miracle en récompanse de la manière dont ils ont soutenu les prétentions du roi votre père. - Ce qui veut dire que ce sont les Gascons qui m'ont fait roi moi-même, n'est-ce pas, Tréville, puisque je suis le fils de mon père ? Eh bien, à la bonne heure, je ne dis pas non. La Chesnaye, allez-voir si, en fouillant dans toutes mes poches, vous trouverai quarante pistoles ; et si vous les trouvez, apportez les moi. Et maintenant, voyons, jeune-homme, la main sur la conscience, comment cela s'est-il passé ? " D'Artagnan raconta l'aventure de la veille dans tous ces détails : comment, n'ayant pas pu dormir de la joie qu'il éprouvait à voir Sa Majesté, il était arrivé chez ses amis trois heures avant l'heure de l'audience ; comment ils étaient allés ensembles au tripot, et comment, sur la crainte qu'il avait manifesté de recevoir une balle au visage, il avait été raillé par Bernajoux, lequel avait failli payer cette raillerie de la perte de la vie, et M. de La Trémouille, qui n'y était pour rien, de la perte de son hôtel. " C'est bien cela, murmurait le roi ; oui, c'est ainsi que le duc m'a raconté la chose. Pauvre Cardinal ! sept hommes en deux jours, et de ces plus chers ; mais c'est assez comme cela, Messieurs, entendez-vous ! c'est assez : vous avez pris votre revanche de la rue Férou, et au-delà ; vous devez être satisfaits. - Si Votre Majesté l'est, dit Tréville, nous le sommes. - Oui, je le suis, ajouta le roi en prenant une poigné d'or de la main de La Chesnaye, et la mettant dans celle de d'Artagnan. Voici, dit-il, une preuve de ma satisfaction. " é cette époque, les idées de fierté qui sont de mises de nos jours n'étaient point encore de mode. Un gentilhomme recevait de la main à la main de l'argent du roi, et n'en était pas le moins du monde humilié. D'Artagnan mis donc les quarante pistoles dans sa poche sans faire aucune façon, et en remerciant tout au contraire grandement Sa Majesté. " Là, dit le roi en regardant sa pendule, là, et maintenant qu'il est huit heures et demi, retirez-vous ; car, je vous l'ai dit, j'attend quelqu'un à neuf heures. Merci de votre dévoument, Messieurs. J'y puis compter, n'est-ce pas ? - Oh ! Sire, s'écrièrent d'une même voix les quatre compagnons, nous nous ferions couper en morceau pour Votre Majesté. - Bien, bien ; mais restez entiers : cela vaut mieux, et vous me serez plus utiles. Tréville, ajouta le roi à demie voix pendant que les autres se retiraient, comme vous n'avez pas de place dans les mousquetaires et que d'ailleurs pour entrer dans ce corps nous avons décidé qu'il fallait faire un novicia, placez ce jeune homme dans la compagnie des gardes de M. des Essarts, votre beau-frère. Ah ! pardieu ! Tréville, je me réjouis de la grimace que va faire le cardinal : il sera furieux, mais cela m'est égal ; je suis dans mon droit. " Et le roi salua de la main Tréville, qui sorti et s'en vint rejoindre ses mousquetaires, qu'il trouva partagant avec d'Artagnan les quarante pistoles. Et le cardinal, comme l'avait dit Sa Majesté, fut effectivement furieux, si furieux que pendant huit jours il abandonna le jeu du roi, ce qui n'empéchait pas le Roi de lui faire la plus charmante mine du monde, et toutes les fois qu'il le rencontrait de lui demander de sa voix la plus caressante : " Eh bien, Monsieur le cardinal, comment vont ce pauvre Bernajoux et ce pauvre Jussac, qui sont a vous ? " Alexandre Dumas, Les trois mousquetaires. La première partie est difficile, afin d'enrichir vos connaissances avec la correction. La deuxième est plus simple et surtout, si vous avez l'habitude du topic, vous devez pouvoir repérer la plupart des pièges. Par exemple, faites attention à la différence entre les démonstratifs ces et les possessifs ses. :blush:

Oups, je n'avais pas vu ça. Une colle, en plus. :) :blush: C'est bien "ce qu'il", en effet, mais je n'ai pas trouvé pourquoi on le transforme souvent en "ce qui". Je pense que c'est parce que la formule est assimilée à une interrogation indirecte: "je ne sais qu'est-ce qui se passe" ou "comment interpréter tout ce qui arrive".

C'est quoi cette manie de dire "ben c'est pas grave, regardez: c'est pire ailleurs"? :blush:

Cher Fidelio, Se poser en preux chevalier c'est très noble, mais il faut pour cela endosser une armure. Cela signifie que si tu te lances dans la bagarre, du serein tu n'en auras point. Tu commences à connaître Nébuleuse non? Crois-tu que si tu lui balances des "tu es vraiment aigrie" elle va te dire "oh oui, fais-moi mal encore!" (zut, déjà dit par Metal Guru :) :blush: )? Le plus efficace c'est de laisser pisser (pas l'habitude de ce type de langage , mais ça m'a semblé parlant :) ): ça coupera court à l'interminable dispute, et en plus les forumeurs sont assez malins pour voir qui est capable de garder son sang-froid et qui se discrédite en piquant une colère. En cas d'attaque personnelle, tu alertes. Essaie de te mettre cinq minutes dans la peau d'un modo : tu passes des heures à faire du ménage, à relire des pages et des pages de posts pour te faire une idée claire d'une situation, tu te casses la tête à chercher la décision la plus juste, tu reçois des MP d'insultes et de reproches tous les jours, et régulièrement on vient sur des topics divers et variés te balancer que tu fais mal ton boulot bénévole... Tu comprends pourquoi Chameaulo peut être agacé? Il est là depuis pas mal de temps en plus. Certes la réaction peut manquer de finesse, mais personne n'est parfait, n'est-ce pas? On peut parfois se contenter d'exprimer un regret plutôt qu'un reproche et le message passe bien mieux. Il m'est arrivé de me mettre à dos des forumeurs ; mon ego me pousse à défendre mon honneur, ou même l'honneur de quelqu'un d'autre (pas bien :) ), mais je sais qu'il y a une limite à ne pas franchir et à un moment donné je mets mon orgueil dans ma poche et j'attends que ça se tasse. Qui est le plus frustré? Pas forcément moi, finalement. Pourquoi? Parce qu'en prenant un minimum de recul, on peut voir que l'autre passe pour un :blush: . Les insultes salissent celui qui les lance, pas celui qui les reçoit, n'oublie pas.

Je n'ai pas compris ce que tu veux dire. :blush: Evidemment que tu ne peux pas savoir si la non embauche est du racisme ou pour avantager un proche. Sauf si l'employeur te le dit et c'est rare qu'il donne un motif de refus. N'empêche que par exemple mon dernier job c'est ma soeur qui me l'a trouvé et c'est pareil pour beaucoup, c'est le piston qui marche le mieux.

Tout à fait d'accord, faut différencier entraide et rejet.

No-lana fut soulagée que l'incident de soit terminé par une proposition de Lethôl plutôt que par une punition de Do-vor. Elle tint conseil avec ses deux compagnons, car il fallait prendre la décision sans plus tergiverser. Elle allait retourner vers la tribu avec Agrag avec la promesse des Khegis de maintenir des liens d'alliance et d'échange. Do-vor fut content de pouvoir rester en sachant qu'ils reverrait de temps à autre les siens. A leur grande surprise, Ban-fhe n'eut pas d'hésitation: il souhaita repartir vers le peuple-chat, le rejet manifesté par certains lors de l'affrontement l'ayant mis un peu mal à l'aise. Mais il comptait revenir un jour voir les Araks. Les décisions prises furent annoncés à leurs hôtes qui les laissèrent partir avec un mélange de regret et de soulagement. Une grande fête précéda le départ. Le coeur gonflé d'enthousiasme, Agrag quitta son peuple avec une promesse de revenir un jour. Au moment où les silhouettes des Araks s'estompaient en faisant de grands signes, No-lana prit la main du jeune homme pour lui donner du courage.

Je n'ai pas dit que le client était un emmerdeur de façon générale, j'ai dit que certains étaient systématiquement emmerdants, ce n'est pas la même chose. Et ce n'est pas parce qu'il travaille aussi et qu'il a des droits qu'il a celui d'être infect et irrespectueux.

Il a des clients qui se font une règle d'être pénibles, soit parce qu'ils obtiendront plus et plus vite du vendeur, qui va se plier en quatre pour le calmer et ne pas faire de vagues devant les autres clients, soit parce que ce sont des carpettes dans leur vie ou dans leur couple et qu'enfin, à cause du "le client est roi", ils récupèrent un certain pouvoir (et le pouvoir c'est délectable :blush: ). Quand je faisais du commercial je faisais attention à ne pas jouer le jeu de ces clients-là, mais il faut reconnaître que dans certaines situations commerciales, si l'on ne râle pas, si on lâche le morceau, on obtient rien du tout... donc c'est tellement tentant.

Mon compagnon en a eu un gratis en pharmacie. Je suppose que ça dépend sur qui tu tombes (pis lui, c'est un charmeur :blush: ). J'en ai vu chez "Claire's" avec des petits chats un peu cul cul, mais autour de 5¿ si ma mémoire est bonne. J'ai essayé, mais ça me fait trop bizarre d'avoir un truc qui m'empêche d'ouvrir les paupières donc j'ai du mal à m'endormir avec. J'ai donc rajouté un rideau occultant à la fenêtre: il y a encore un tout petit peu de jour en haut, mais pour le reste ce fut très efficace. Mes parents ont mis un store occultant à un vasistas, ça existe.

Cela ne marche pas non plus avec le mien.

Je tolère facilement le flood s'il est bref, et encore je trouve que le post HS qui fait un bon mot, qui détend l'atmosphère, est plutôt agréable (pour moi ce n'est pas du flood d'ailleurs, du flood c'est du HS sur presque une page ), mais pas vraiment les trolls. Mais je pense que ça m'agace plutôt que ça me choque. Une chose qui me choque quand même énormément - et qui est aussi spécifique à un forum, je vais m'en expliquer - ce n'est pas tant la quantité phénoménale de fautes d'orthographe, comme l'a souligné Amandineuh, que le fait de ne jamais se relire avant de poster pour se corriger autant que possible, alors qu'on a largement le temps! :blush: En plus il y a généralement des correcteurs intégrés qui permettent de limiter la casse. IRL, on fait beaucoup plus attention au fait qu'on sera lu et jugé par les autres d'après sa manière de s'exprimer, mais sur Internet l'anonymat supprime tous les efforts.

Bon, excellent, fantastique, joyeux, débridé , convivial, épanouissant, inoubliable, incomparable anniversaire. :blush:

:blush: Déjà, un enfant ça se fait à deux. On s'en occupe à deux aussi. Les seules prérogatives de la femme sont la grossesse et l'allaitement (si on le choisit). Mais il s'agit là d'une différence biologique. Différence ne veut pas dire infériorité ou supériorité, on ne peut pas tout comparer!