Aller au contenu

de ghoul

Membre
  • Compteur de contenus

    863
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par de ghoul

  1. Je n’ai jamais été un vrai garçon… j’étais un petit diable. Enfin, je l’étais. Un jour de fête, dans un élan de pure malice, j’ai versé discrètement un digestif costaud dans la marmite de chorba. Puis, l’air innocent, je me suis éclipsé pour assister au spectacle. Quelques minutes plus tard, c’était le chaos. Une file surréaliste se formait devant les toilettes: hommes, femmes, enfants, tous serrant les dents et le ventre, tapant des pieds, suppliant que « ça sorte vite là-dedans ! ». Certains frôlaient la danse traditionnelle, d’autres priaient pour une place au trône. Moi, j’étais plié en deux, mais de rire. Évidemment, j’ai payé le prix. Mais honnêtement ? Une douleur passagère contre un souvenir éternel… J’ai largement gagné au change. ---
  2. Comme tous les jours, je marchais avec mon voisin, alias Tête de batterie. – Je suis Hercule ! lançait-il. – Moi, Samson ! je répondais. Et ça défilait : Tarzan, Zorro, jusqu’à ce qu’il balance fièrement : – Et moi, d’Artagnan ! Une idée lumineuse m’a traversé comme un éclair. J’ai sorti mon canif, lui ai dessiné une croix sur le front et lancé: – Et moi, Lagardère… je marque les traîtres ! Je vous jure que je lui fait une très belle croix, mais j'ai payé un lourd tribut.
  3. de ghoul

    Amitié voyage

    Elle prenait des anti-dépresseurs et avec l'histoire que tu as raconté, c'est clair que tu dois faire attention à ne pas trop la fréquenter
  4. Moi un petit pétard dans cigarette, mais j'ai été massacré pour ça.
  5. de ghoul

    L'IA, ma meilleure amie.

    L'IA possède des règles strict, elle ne répond pas à certaines questions
  6. de ghoul

    Amitié voyage

    La réponse est dans la dernière phrase
  7. de ghoul

    J' en souffre

    Pourquoi tu dis être un pestiféré?
  8. de ghoul

    J' en souffre

    Je sais pas, peut-être que je ne suis pas pareil. Mais je dois le dire. Franchement, je suis choqué par certaines réponses. Un gars écrit ici qu’il souffre, qu’il se sent rejeté, malade de solitude, et tout ce qu’on trouve à faire, c’est le rabaisser ? Il faut du courage pour parler de ce mal-être. Ce n’est pas une plainte, c’est un appel à l’aide. Si on ne peut pas tendre la main à quelqu’un qui tombe, alors à quoi bon ces forums ? On se croit forts, mais se moquer d’un plus fragile, c’est juste de la cruauté. Et toi, qui as écrit ce message : tu n’es pas seul. Ce que tu ressens est réel et tu as le droit d’en parler. Ne laisse personne te faire croire le contraire.
  9. Ne te mesure pas au temps. Il est trop vaste, trop impitoyable. Il ne se laisse pas saisir, et plus on le regarde, plus il file entre les doigts. Le temps n’est pas un adversaire à battre, c’est un décor mouvant. Oublie-le un peu. Ne vis pas en fonction de lui. Suis plutôt le chemin que ton cœur te montre. Écoute ce qui t’attire, ce qui t’élève, ce qui te parle dans le silence. C’est là que tu trouveras ta vraie mesure. Le temps n’est là que pour marquer les étapes, pas pour les décider. Ce qui compte, c’est ce que tu construis dans chacune d’elles. Ce que tu ressens maintenant, c’est peut-être une naissance intérieure, une invitation à vivre autrement. Tu n’as pas besoin d’être forte face au temps. Tu as juste besoin d’être vraie face à toi-même. Et ça, tu sais déjà très bien le faire.
  10. de ghoul

    Fête Touareg

    le but est de sauvegarder, de reconnaitre et transmettre ce genre de tradition culturelle. Et surtout attirer l'attention des responsables de l'état sur l'importance de cette tradition. Pour les inciter à essayer d'éviter la disparition de cette culture qui est très ancienne.
  11. de ghoul

    Un mur implacable

    L’officier, d’une voix plus forte, reprit le nom de ma fille. Cette fois, il le projeta avec une clarté qui ne laissait plus place au doute. Comme sous l’effet d’un sortilège, ou propulsés par une énergie soudaine venue des entrailles de l’attente, nous nous sommes retrouvés devant lui en quelques secondes à peine — deux automates surgis du fond de la file, comme tirés par un fil invisible. L’officier leva les yeux vers nous. Il détailla un instant le visage de ma fille, puis baissa les yeux vers la photo du passeport, les sourcils légèrement froncés. D’un ton abrupt, il lui demanda : — C’est bien toi, sur ce passeport ? Avant même qu’elle n’ait le temps d’ouvrir la bouche, je répondis à sa place, presque instinctivement, comme si je devais protéger ce moment fragile du moindre doute : — C’est ma fille. L’homme tourna son regard vers moi, intrigué. — Et toi, qui es-tu ? C’est toi la fille ? lança-t-il, un brin moqueur ou simplement confus. — Non, répondis-je calmement, je suis son père. Mon passeport se trouve juste en dessous du sien, dans la liasse que vous tenez.
  12. de ghoul

    Un mur implacable

    Les mains vides, l’officier fit demi-tour et reprit d’un pas lent le chemin de l’Office. Nous l’observions s’éloigner sans un mot, le cœur en suspens. Il resta enfermé là-bas près d’une demi-heure, pendant que, comme par enchantement, la foule autour de nous se mit peu à peu à se clairsemer. Des silhouettes fatiguées se dispersaient lentement, emportant avec elles leur lot de résignation ou de colère muette. Puis soudain, l’officier réapparut. Cette fois, il tenait en main une nouvelle liasse de passeports, soigneusement serrée contre sa poitrine comme un trésor. Le silence se fit naturellement autour de lui, chacun retenant son souffle. Il commença à égrener quelques noms, d’une voix neutre, sans inflexion, presque mécanique. Et puis, au milieu de cette énumération impersonnelle, j'entendis le nom de ma fille. Un frisson me traversa. Un instant, ni elle ni moi ne réagîmes. Ce nom, pourtant si familier, semblait s’être détaché du réel, flotter dans l’air chaud et lourd de tension, avant de venir nous frapper aux oreilles comme un murmure improbable. Nous nous regardâmes, incrédules, comme si nous avions mal entendu, ou peut- être rêvé. Dans attendre moi et ma fille
  13. de ghoul

    Fête Touareg

    Il existe même une certaine gastronomie française inscrite au patrimoine de l'Unesco Et le couscous aussi
  14. de ghoul

    Boubarek

    Je connais les vissititudes de la vie Vicititudes
  15. de ghoul

    Fête Touareg

    Et c'est pourquoi la Sebeïba est une fête rituelle et spirituelle multi millénaire, inscrite depuis 2014 au patrimoine immatériel de l’humanité par l’UNESCO.
  16. de ghoul

    Fête Touareg

    Un talon, talentueux.
  17. de ghoul

    Fête Touareg

    C vrai surtout que cette fête touareg, vieille de ,3000 ans, Commémore la victoire du bien sur le mal. où deux tribus rivales auraient choisi de régler leur conflit non par la guerre, mais par un concours de danse. Le duel devient alors symbolique.
  18. de ghoul

    Fête Touareg

    Merci mais malheureusement, je ne suis pas un touareg,
  19. de ghoul

    Fête Touareg

    4. Festival ancestral chez les Touaregs (Sahara algérien) À Djanet (Algérie), le Sebeiba, une fête vieille de 3 000 ans, a célébré son édition annuelle début juillet : danses rituelles, chants, tradition, et ~1 000 participants, confirmant l’impact positif du tourisme culturel
  20. Dire "la langue de Rabelais" comme si elle résumait tout le français me semble réducteur. Rabelais écrivait au XVIᵉ siècle, Molière au XVIIᵉ, Voltaire au XVIIIᵉ. La langue évolue sans cesse. Et aujourd’hui encore, elle continue de se transformer avec nous tous
  21. La fermeture progressive des magasins en France me rappelle celle des salles de cinéma en Algérie. En 1975, ce pays décroche la Palme d’or à Cannes — une première dans le monde arabe. Puis tout s’effondre : crise pétrolière, fin des subventions, privatisation des salles, et surtout, l’arrivée de la vidéo. Les projections sur cassette remplacent les films en pellicule : le public fuit, les salles ferment, et le cinéma tombe dans le coma. Aujourd’hui, c’est le commerce physique qui vacille face à la montée fulgurante du numérique. Boutiques vides, vitrines à louer, achats en ligne et drives automatisés. Comme le cinéma d’hier, les magasins doivent se réinventer pour survivre, faute de quoi ils risquent, eux aussi, de devenir des lieux du passé.
  22. Le parfait n'existe pas Je n'avais pas remarqué me s dans fais. J'étais attiré par ''fôte'' Bonne nuit
  23. Je suis majeur et vacciné je peux facilement reconnaître ce petit jeu.
×