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Tout ce qui a été posté par Marcuse
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Un président de la République marginalisé, un premier ministre sur le départ, une population excédée. Le pouvoir français va-t-il s’accrocher à son plan d’austérité consistant à rançonner salariés, retraités et malades pour financer l’armée et rétablir les comptes ? Et l’État continuera-t-il d’alimenter à fonds perdu les profits des grandes entreprises ? Au cœur de l’été, le télescopage est passé presque inaperçu. Peut-être parce que le plan présenté le 15 juillet par le premier ministre français pour rééquilibrer les comptes publics a capté toute l’attention. De fait, l’offensive budgétaire du gouvernement ne s’embarrasse même pas de feindre l’équité. Taxation des malades, rabotage des droits des chômeurs, gel des prestations sociales, désossage des services publics, suppression de deux jours fériés, etc. : le coût du grand réarmement européen pèsera sur les plus fragiles… Car c’est de ces pelés, de ces galeux que vient tout le mal ! Sur la chaîne d’extrême droite CNews, le député macroniste Mathieu Lefèvre tente le 4 août d’amadouer l’électorat du Rassemblement national en dénonçant « un système dans lequel on a des gens qui resquillent, qui grugent, et d’autres qui travaillent deux fois plus pour le financer ». Rentrer de l’hôpital en taxi quand on a encore la force de marcher ? « Un coup de poignard au pacte social », suggère-t-il, l’air pénétré. La veille, dans Le Parisien, la ministre du travail Catherine Vautrin déplorait de son côté l’ampleur de cette « gruge » : 13 milliards d’euros — dont plus de la moitié, oublia-t-elle de préciser, commise par les employeurs sous forme de travail dissimulé. Mais, quelques semaines plus tôt, un tout autre son de cloche avait subrepticement retenti dans le débat public. Le 1er juillet, les sénateurs Olivier Rietmann et Fabien Gay remettaient à M. Gérard Larcher leur rapport sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises (1). Le type même de document qui, sitôt reçu, a dû brûler les doigts du président de la Chambre haute. Car le constat des parlementaires, l’un communiste, l’autre républicain, renvoie la « fraude sociale » qui obsède Mme Vautrin à une espièglerie de Castors Juniors : chaque année, l’État-mamma offre — souvent sans contrepartie, ni contrôle, ni évaluation — plus de 200 milliards aux entreprises. Nul ne connaît le chiffre précis puisque le gouvernement ne juge pas utile de recenser les milliers de dispositifs empilés depuis des décennies. Mais subventions (48 milliards d’euros), allégements de cotisations (75 milliards) et niches fiscales (88 milliards) représentaient au bas mot 211 milliards en 2023, selon l’évaluation à laquelle la commission sénatoriale a elle-même procédé.Au-delà du budget, un régime économique en question Ces prodigalités ont en principe vocation à maintenir l’emploi, accroître la compétitivité, développer des secteurs stratégiques. En pratique, outre leur attribution désinvolte que déplorent les parlementaires-enquêteurs, leur effet oscille entre le nul et le faible. Après les avoir passés au crible en 2022, le Centre lillois d’études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) confirmait qu’en matière d’aides publiques au secteur privé, le proverbial chimpanzé aux yeux bandés ne « performerait » pas moins qu’un ministre hollandiste ou macronien (2). Les incitations fiscales à baisser le « coût du travail » ne dissuadent pas les employeurs d’automatiser plutôt que d’embaucher ; les exonérations de cotisations, concentrées sur les bas revenus, dégradent le niveau de qualification au sein des entreprises exportatrices et favorisent leurs rivales étrangères. Quant au « crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi » (CICE, un cadeau de 100 milliards d’euros cumulés offert à partir de 2013 par M. Jean-Marc Ayrault, alors premier ministre socialiste), il a prouvé que des branches peu exposées à la concurrence internationale, comme la grande distribution, préfèrent augmenter leurs marges qu’embaucher ou baisser leurs prix. « Le groupe Auchan a annoncé mardi 5 novembre 2024 son intention de [se séparer de] 2 384 de ses 54 000 salariés employés en France », constatent d’ailleurs les sénateurs, après que « le groupe a bénéficié entre 2013 et 2023 de 636 millions d’euros d’aides fiscales et de 1,3 milliard d’euros d’allégements de cotisations sociales ». Les assistés d’en haut Malgré leur incapacité à préserver l’emploi ou la balance extérieure, ces aides forment désormais le premier poste de dépense de l’État : les 211 milliards d’euros annuels représentent davantage que les dépenses combinées d’enseignement, de défense et du service de la dette. Une partie significative de ce financement public se retrouve non pas dans les courbes décroissantes du chômage mais dans celles, pointées vers le ciel, des fortunes privées. De 2013 à 2019, Carrefour a réalisé 3,6 milliards d’euros de bénéfices et en a reversé 2,8 à ses actionnaires. Lors de la même période, le groupe a profité de 2,3 milliards d’euros d’exonérations au titre du CICE. ArcelorMittal, lui, « a versé en moyenne 200 millions d’euros de dividendes chaque année depuis dix ans au niveau mondial, alors qu’il a bénéficié en 2023 en France de 298 millions d’euros d’aides », avant d’annoncer des suppressions d’emplois en 2025, relève le rapport Gay-Rietmann. https://www.monde-diplomatique.fr/2025/09/RIMBERT/68687
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Et si on supprimait le BAC pour que les classes populaires aient accès à l'université ? Franck Lepage
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Des militants veulent changer la carte du monde pour montrer que l'Afrique est plus grande
Marcuse a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Actualités - Divers
Africa peters projection Source : https://www.monde-diplomatique.fr/publications/manuel_d_autodefense_intellectuelle_histoire/a67350 -
Jacques Higelin - Coup de blues
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une pensée pour celles et ceux qui reprennent ce matin ou qui ont déjà repris ou qui n'ont pas eu de vacances !
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Will du moulin de Robert Louis Stevenson. 'Voilà bien des années que je vous attends"
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Les chants de la tribu Mamuna en Papouasie Nouvelle-guinée
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The XX Intro
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Ce que « Bolloré » fait au livre, aux éditeurs et aux auteurs, 2e partie Où l’on a vu comment l’installation du milliardaire et militant d’extrême droite catholique Vincent Bolloré en pole position des groupes éditoriaux français n’est que l’arbre qui cache une forêt bien mal fréquentée. À la tête de Média-Participations, deuxième challenger éditorial du groupe Hachette derrière Editis, la famille Montagne affiche le même genre de pedigree mais sur un mode réservé. Catholique de droite lui aussi, mais « modéré », le fils (Vincent) a pris ses distances avec le père et fondateur (Rémy), qui agrémentait en 1974 les débats à l’Assemblée nationale sur la loi Veil en associant l’avortement aux génocides du IIIe Reich. Fondé avec l’argent des pneus Michelin et l’aide de l’assureur Axa, Média-Participations mélange désormais astucieusement l’industrie de la bande dessinée aux fascicules religieux et aux publications d’entreprise, à l’« art de vivre » et à l’« art du fil », au nautisme et au secourisme. De ce fatras émerge péniblement la bannière du Seuil, où l’on s’efforce de satisfaire le contrôleur de gestion du groupe en exploitant les grandes causes humanistes dans l’air du temps. On ne fait pas de petites affaires juteuses avec la littérature brune sur les terres du « roi de la BD » — contrairement à ce qu’on pratique discrètement, comme on l’a vu, chez Gallimard, et en grand tintamarre chez Bolloré. Car Vincent Montagne est un pragmatique : dès son achat du Seuil en 2018, il a nommé à sa direction Hugues Jallon pour assurer auteurs et directeurs de collection que la ligne « de gauche » de la maison serait maintenue. Six ans plus tard, la caution ayant rempli son rôle mais ses « résultats » n’étant pas « satisfaisants », l’éditeur de paille a été remplacé par Coralie Piton, diplômée d’HEC, consultante pour le cabinet McKinsey passée chez Canal+ (Bolloré) et la Fnac (Kretinsky), qui connaît surtout du métier les livres de comptes (1). On peut comprendre que plusieurs cadres du Seuil soient allés voir si l’herbe était plus grasse chez Editis, racheté en 2023 au même Bolloré pour 653 millions d’euros par le même Kretinsky. Lancé en juillet 2024 par Attac et les Soulèvements de la Terre, l’appel à « Désarmer l’empire Bolloré » (2) rappelle qu’avant de fondre sur l’édition et les médias français, le patron de Hachette a fait fortune dans l’exploitation néocoloniale et qu’il continue de compter parmi les acteurs majeurs du ravage écologique. Il faut donc aussi rappeler que le milliardaire tchèque patron d’Editis — deuxième groupe éditorial et médiatique français avec une cinquantaine de maisons dépendantes — doit sa fortune au même genre de piraterie — non pas en Afrique, comme Bolloré, mais en Europe de l’Est. Ce qui fait de Daniel Kretinsky — propriétaire de centrales électriques au lignite, au gaz et nucléaires, de gazoducs mais aussi d’entreprises de stockage de gaz, de fret, de négoce de matières premières, etc. — un producteur de nuisances écologiques et économiques du même registre, toutefois d’une autre ampleur (3). Mais s’intéresse-t-on vraiment dans le monde du livre aux nuisances écologiques et économiques d’un grand patron dès lors qu’il ne s’agit pas de « Bolloré » ? Sur le plan politique, la différence de positionnement entre le Breton (12e fortune française, 224e mondiale (4)) et le Tchèque (313e fortune mondiale) se situe entre Valeurs actuelles, pour le premier, et Franc-Tireur, pour le second. Autrement dit, une offre qui va de l’extrême droite à l’extrême centre — soit l’espèce d’alliance qui gouverne, vaille que vaille, le pays depuis 2022. On a vu — ne serait-ce qu’avec la romance du grand remplacement sous la plume de Jean Raspail (5)— qu’Editis pouvait exploiter le genre de filon sans équivoque qu’on trouve plutôt chez Gallimard. Mais son cœur de profit reste le best-seller fangeux dont les avatars de l’éditeur Bernard Fixot (Oh !, XO, etc.) donnent le modèle depuis Jamais sans ma fille (décliné en mariages forcés et inceste ou « sujets de société » tels que drogue et euthanasie) ; mais aussi des « romanciers » comme Guillaume Musso et consorts, des « historiens » comme Max Gallo, les « autobiographies » de Jean-Marie Bigard, Michel Sardou, Sylvie Vartan et les essais de Valéry Giscard d’Estaing, Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron. Toutefois, la production d’Editis étant soumise aux mêmes lois que chez Média-Participations, les marques dont les lignes éditoriales sont les moins faciles à rentabiliser y peinent tout autant à satisfaire la croissance à deux chiffres qui assure à ces groupes la production industrielle au centre de leur stratégie commerciale : noyer le marché d’ouvrages issus d’un dumping social et intellectuel. Ce qui n’est pas sans présenter quelques vilaines contradictions. Mais, entre autres avantages d’un grand groupe, la vulgarité de ces entrées d’argent assurées par une partie des enseignes peut être corrigée par l’élégance d’autres. Comme les collections « Anthropocène » au Seuil-Média-Participations et « Zones » à La Découverte-Editis — où l’on œuvre pour des causes aussi fondamentales que la lutte contre le capitalisme et la croissance, ses dégâts humains et environnementaux. Par exemple La Découverte, qui n’édite pas seulement, de Mona Chollet à Monique Pinçon-Charlot, les best-sellers d’irréprochables autrices de gauche. Suivant une comptabilité fine, on y formate les pensées publiables, légitimées par une pincée de points de vue hétérodoxes dissouts dans le tout-venant universitaire dont les coûts de production passent sous les radars du cinquième étage. La rentrée d’automne 2024 a vu une levée de boucliers contre un projet de campagne publicitaire pour le livre de Jordan Bardella à paraître chez Fayard-Hachette. Selon Libération, l’éditeur avait programmé, entre fin novembre et mi-décembre, la diffusion de la couverture du livre (soit le portrait en pleine page de l’auteur) sur des affiches de 4 mètres sur 3 et la réservation, contre un montant de 150 000 à 200 000 euros, de « 581 panneaux publicitaires “partout en France et en banlieue parisienne” pour une “visibilité massive sur les quais de gare” SNCF et RER en banlieue (6) ». On sait qu’en fait les conditions générales de vente de la régie publicitaire de la SNCF excluent par principe les livres politiques des opérations de cette ampleur (7). Pour autant, difficile d’échapper à cette énième provocation, qui a offert au Rassemblement national une nouvelle occasion de jouer, dans les médias à sa botte, la victime de la « censure » (8). Tout en enrôlant les autres dans la pré-promotion d’un livre qui n’en avait pas besoin. Comme il se doit, les réseaux sociaux ont brui d’indignation contre la mobilisation des médias et des librairies de « Bolloré » , dont le réseau Relay. Doit-on donc davantage s’inquiéter de la promotion d’un programme d’extrême droite que du pouvoir dont dispose un seul individu dans la bataille des idées ? Quant à l’objet même par lequel le scandale est arrivé, on peut s’offusquer de la grossièreté du procédé tant ce livre tient du tract électoral, résumé par un journaliste de L’Humanité : « Creux politiquement, sans détail ni réflexion sur son récit personnel, un produit marketing à son image, lisse, sans relief (9) ». Mais puisqu’on parle ici d’édition, on doit en dire un peu plus que cette conclusion, finalement généreuse : comme la plupart des biographies signées par des stars du sport, de la chanson, de la danse, du petit et du grand écran, le nom sur la couverture n’a pas grand-chose à voir avec le nom de celui ou celle qui a souvent fourni, au mieux, quelques heures d’enregistrement, saisies puis réécrites par l’employé (mal payé) d’une maison d’édition — ici sous le contrôle d’un chargé de communication du Rassemblement national. Ce qui n’est pas scandaleux en soi : tout illettré devrait avoir les moyens de s’offrir un livre intitulé « Ce que je cherche ». Le problème vient plutôt, encore une fois, de la puissance de l’industrie qui inonde le marché de ce genre de production au rabais. Thierry Discepolo Éditions Agone, auteur de La Trahison des éditeurs (2011, 2017, 2023). https://blog.mondediplo.net/ce-que-bollore-fait-au-livre-aux-editeurs-et-aux-2450
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Musiques de film , score, BO , Compositeurs, postez vos thèmes préférés.
Marcuse a répondu à un(e) sujet de Diogene738 dans Musiques
Nostalgia de la Luz | Telescopio -
Le centre municipal de Sänätsalo
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LE MITARD Trust
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Réseau sataniste néo-nazi : un cybercriminel incarcéré pour actes de cruauté et pédopornographie Un homme âgé d'une vingtaine d'années a été incarcéré pour détention d'images pédopornographiques, actes de cruauté et abus de faiblesse, annonce ce vendredi le parquet d'Évreux. L'homme fait partie d'un réseau cybercriminel "accélérationniste et sataniste néo-nazi" nommé 764. Il est notamment accusé d'avoir réussi à convaincre une cinquantaine de jeunes filles de se scarifier ou de se mutiler à sa demande. Le parquet d'Évreux annonce ce vendredi qu'un jeune homme d'une vingtaine d'années faisant partie d'un groupe cybercriminel néonazi a été mis en examen ce mercredi et incarcéré pour détention d'images pédopornographiques, actes de cruauté et abus de faiblesse. Saisi par un service d'enquête de veille internet, le procureur d'Évreux Rémi Coutin a déclaré avoir demandé l'ouverture d'une information judiciaire pour détention, consultation et diffusion d'images pédopornographiques en bande organisée, sévices, actes de cruauté envers des animaux et abus de faiblesse de personnes mineures. Un groupe de cybercriminel sataniste néo-nazi mis en cause dans de nombreuses affaires Interpellé mardi, cet homme "solitaire qui ne travaillait pas" est accusé d'avoir réussi à convaincre une cinquantaine de jeunes filles de se scarifier ou de se mutiler à sa demande, a précisé Rémi Coutin. Contactées sur des sites de jeunes filles suicidaires, il les contraignait par webcam à se planter un couteau dans la cuisse ou dans les seins, à graver son nom sur leur bras ou encore sur leur ventre. Selon le magistrat, plusieurs milliers de fichiers à caractère pédopornographique ont également été retrouvés sur son ordinateur. Des photos et des vidéos qualifiées "d'insoutenables" par le procureur, parmi lesquelles des "viols sur des bébés", dont "on ne sait pas s'il en a commandité". Le suspect a reconnu avoir décapité lui-même un certain nombre d'animaux, des chiens, des lapins, dont les photos ont été retrouvées dans son ordinateur. L'enquête est menée par la police judiciaire de Rouen et l'office central des mineurs de la Direction nationale de la police judiciaire situé à Nanterre a indiqué le parquet. Inconnu des services de police, il a avoué pendant sa garde à vue des pulsions de viol, torture ou de meurtre. Rémi Coutin a précisé que cet homme fait partie "d'un réseau 'cybercriminel accélérationniste et sataniste néo-nazi appelé 764' qui a été fondé en janvier 2021 par un Américain", lui-même interpellé par le FBI au début de l'année. Le groupe est d'ailleurs cité dans de nombreuses affaires et considéré comme une organisation terroriste par le FBI. Ce groupe cible des mineurs vulnérables sur Internet et les force à s'auto-mutiler ou à produire de la pédopornographie. Un germano-iranien de 20 ans appartenant au même réseau cybercriminel pédophile "764" avait été arrêté en juin à Hambourg pour avoir poussé un adolescent américain de 13 ans à se suicider en direct sur internet. Le fondateur du réseau, Bradley Cadenhead, 20 ans, purge depuis 2021 une peine de 80 ans de prison aux États-Unis pour la création de contenus pédopornographiques et violents. https://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/2195994062044414/reseau-sataniste-neo-nazi-un-cybercriminel-incarcere-pour-actes-de-cruaute-et-pedopornographie
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merci pour ce bel hommage et aux liens pratique pour découvrir ses films
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Ousmane Sow, Détail de Chief Gall. Ousmane Sow réalisait ses sculptures à partir d'une structure en fer qu'il recouvrait de toile de jute sur laquelle il façonnait avec un mélange de terre, de paille et de sable. Les regards dans ses sculptures sont souvent très particuliers
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merci, c'est un documentaire incroyable, très poignant sur une artiste qui mérite d'être un peu plus connue, surtout en france (je ne sais meme pas si elle y a été exposée un jour)
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Une série d'arte toujours en production depuis 1996 Episode sur L’Alhambra (Al Hamra) : le palais secret des sultans oubliés
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Niagara - L'Amour à la Plage
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Denis Sarazhin, Letting Go, 2017
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Je vous parle de Franck Lepage (et surtout de ses idées)
Marcuse a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans Arts et Artistes
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"Tant mieux si les gens n'y comprennent rien au fonctionnement de notre système bancaire et monétaire, parce que s'ils y voyaient clair, je pense qu'il y aurait une révolution avant demain matin". Henri Ford - 1922
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Môrice Benin - Je vis
