-
Compteur de contenus
497 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Je vis au cimetière
-
-
Draguer quand on est une femme
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Marine1965 dans Amour et Séduction
Pareil. Et même si la personne qui m'accompagne à toutes les qualités du monde, voire même si elle m'offre un train de vie confortable, si son physique ne me convient pas , je suis dans l'incapacité de l'assumer, au lit et ailleurs, cela efface tout le reste. -
-
Draguer quand on est une femme
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Marine1965 dans Amour et Séduction
Moi c'est plutôt en journée. Je me pose là , physiquement dans un premier temps. Ensuite je commence à jacqueter si nécessaire. Puis si ça mord, je me barre. -
-
Seine-et-Marne : disparu depuis cinq mois, le chat Marin, mascotte de la police, retrouvé mort
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans France
C 'est un chat de gouttière qui lui a fait la peau. Un chat noir. -
Je vous parle des Radium Girls ?
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de January dans Histoire
Elle y a travaillé trois ans pour décéder à l'âge de 34 suite à cette exposition. Cela peut paraître court et pourtant. Tragique. Vous avez vu ce film ? -
La philosophie se moque de la philosophie
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de mary.shostakov dans Philosophie
Inutile de reprendre mes propos. Quant à Onfray , que dire de son attitude ? On a pu voir à quel point il transpirait des fesses ce jour-là. Quant aux pseudos, puisque cela semble représenter une certaine importance pour vous, lorsque que " l'on vit au cimetière" comme moi , il a bien longtemps que l'on ne joue plus au malin, je vous invite à me rejoindre charmante demoiselle, ici les coeurs sont nobles et remplis d'humilité. -
La philosophie se moque de la philosophie
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de mary.shostakov dans Philosophie
étant donné votre grand âge, je me suis dit, allez, ne bouscule pas trop cette femme, elle semble bien brave. Le public d'Onfray étant en majorité sénile, quand il n'est pas sur CNews (la chaîne d'Extrême-Droite) qui lui consacre une tribune. Vous devriez peut-être revenir loin en arrière, mais très loin, car je pense que vous avez découvert Onfray le radoteur depuis peu. Je vous invite par exemple à remonter le temps en vous procurant ce qui était sa bible de l'époque, à savoir le fameux brulot Anarchiste(Politique du Rebelle, traité de résistance et d'insoumission), paru en 1997, du temps où vous étiez encore jeune et belle dans lequel il : -Faisait l'éloge de la délinquance qui se refusait à intégrer le monde du travail. -Faisait l'éloge des fous pour les mêmes raisons. -Comparait les entreprises où se concentre le bétail humain à des camps nazis à un degré moindre, mais la comparaison était là. -Aux vieux , qui après avoir eu une vie de merde de travail j'entends, étaient poussés vers la sortie, allant même dire qu'ils ne baisaient plus. Et que dire du travail : sacrilège, le travail c'est pour les pauvres types, autant aller se flinguer de suite si dans votre vie vous êtes dans l'obligation d'intégrer une usine ou autre camp de travail. Retraités, smicards ou équivalent, chômeurs, précaires, autant vous pendre tout de suite pour résumer. Onfray l'anarchiste est devenu Onfray le radoteur qui dorénavant à chacune de ses interventions cite le Général de Gaulle, à mourir de rire. Que dire de Michael Paraire qui s'est invité à une de ses conférences et qui a été viré sur la demande du dit PASFRAIS en prenant son public à témoin : "vous êtes venus pour moi non ?" avec son égo démesuré qui doit combler son physique ingrat. Onfray ce n'est même plus une girouette mais un ventilateur. Cela fait des années que ce type ne sait plus où il habite. Ce même Paraire qui a écrit un livre sur cette escroquerie qu'est Onfray, d'ailleurs en guise d'invite : Michel Onfray se croit anticonformiste, mais il n'est qu'un mandarin adulé, un auteur simplement prolifique qui prétend tout lire des autres avant de les clouer au pilori de ses "psychanalyses existentielles". En réalité, une fois passée au crible d'une lecture détaillée, son oeuvre s'avère fautive, partiale et répétitive. Comme on pourra le lire dans ce livre, elle vit sur une imposture intellectuelle qui se nourrit de contre-sens philosophiques, tire sa vitalité de la dénaturation des faits historiques et d'une lecture mythologique des textes. Onfray est habité par l'obsession d'être exceptionnel, au coeur d'une solitude revendiquée. Si l'individu absolu qu'il croit être n'existe que dans ses rêves d'aristocrate nietzschéen, en revanche, ce qu'il est devenu, au fil de ses pages, c'est un antidote contre l'action collective, un vaccin préservant le système dominant de tout changement politique et social. Au lieu de tenir son poste de penseur au milieu des groupes en lutte, il semble jouir de sa position de donneur de leçons, délivrant des certificats de bonne ou de mauvaise conduite, qu'il accorde au tribunal d'un anarchisme qui n'est que de salon. Ayant épousé la philosophie postmoderne en secondes noces, il découd, déboulonne, déconstruit l'acte même de penser rationnellement et scientifiquement. Onfray est là pour nous faire perdre du temps. C'est une machine à désespérer et à diviser dont ce livre décrit les mécanismes et le fonctionnement. En se fondant sur une analyse rationnelle et scientifique de l'histoire de la philosophie, l'auteur propose la première critique radicale d'un penseur qui n'est généralement attaqué que sur sa droite. Il suggère également de substituer un autre cadre de pensée et d'action au postanarchisme d'Onfray, le suranarchisme, nourri de la lecture de Bertrand Russell, Gaston Bachelard et Pierre Kropotkine, mais aussi de la référence à la Révolution espagnole de 1936, tout autant qu'aux plus récentes découvertes de la science contemporaine. -
Service militaire. « Je me suis fait voler une année de ma jeunesse »
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Doïna dans France
Prochain sujet bien plus grave, bien plus long surtout... Travail : "Je me suis fait voler 40 ans de ma vie pour rien ou si peu , où puis-je porter plainte et contre qui ?.." -
La musique - un véritable vecteur d'émotions !
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Fidelia dans Musiques
Plus que de l'émotion, ce titre me bouleverse littéralement... -
Moi j'attends les frelons asiatiques.
-
Les français auront bientôt leur manuel de survie
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de querida13 dans France
Apparemment les gens au RSA, au SMIC et équivalent seront dispensés de ce manuel. Ils connaissent déjà. Et paraît-il, ils vont devoir former les autres , ceux qui ne connaissent pas.(Politiques, journalistes et autre vermine). Cela va créer des emplois. Je vais déposer ma candidature, la survie je connais. Enfin le "grand soir" ! -
Elle a le sourire d'un enfant et le regard d'une hirondelle, Qui serait tombée dans un tonneau deux jours sur trois. Faut que je la ramasse, gueule dans les chiottes, Elle me dit : "Fous-moi la paix, je t'emmerde, laisse-moi vomir ce monde qui n'est pas fait pour moi." Elle allume jamais son portable, Que quand elle découche, ma comète, Pour aller bringuer dans des cieux, où je suis pas. Moi, ça me rend dingue, je veux juste savoir si tout va bien. Elle me dit : "Va chier, j'suis pas ta gosse, j'ai pas besoin de père, je déteste ça." Elle a la droite qui part plus vite, qu'un renard sous amphétamine. Elle a le marginal dans la peau, même plus que moi. Elle s'en branle de tous les conforts, Puis surtout de tous les conformismes. C'est pas peu dire, à côté d'elle, moi, j'suis bourgeois. La révolution, elle, elle dit : "C'est pour les moutons, laisse tomber. La vie, c'est pas la société, pas ce monde-là." Quand elle parle, c'est de la poésie, des PMU, des révoltés, C'est la plus belle du monde, tu sais, ma meuf à moi. NANA Elle est anti-mec, anti-meuf, Anti toutes les communautés, ma meuf à moi. NANA Non, il faut pas qu'elle croise un keuf, elle peut pas blairer l'autorité, elle est comme moi. NANA Elle dit : "J'emmerde la société, elle dit, "plutôt crever que de finir bourgeois." NANA C'est tatoué sur son poignet : "Mourir ou bien collaborer, y'a qu'un seul choix. Entre la peste, le choléra, la mort aux rats..." Elle a pas eu la vie facile, Née dans la rue, chez les bandits. Che Guevara au fond du string, t'imagines pas. C'est peu dire qu'elle est pas docile, Mais ça l'empêche pas, toutes les nuits, De ramener chez moi l'arche de Noé du bar-tabac. Y'a des petits woks, des petits hip-hop, Y'a toute une ribambelle de cons. Ça la fait rire quand je les appelle, les pousses de la révolution. Ceux qui ont plus de sponsors dans l'cul, Qu'un maillot de foot, qu'une Formule 1. Toute cette jeunesse qui vend son cul, pour du pognon. Elle écoute que du Barbara, Du Brassens sur son poste-radio, qui date de quand y'avait pas de téléphone, tu vois. Elle dit : "Ça sert à rien tout ça, Dans cette époque, y'a que des blaireaux. La planète Terre a viré Babylone, tu vois. Les chats confondent lit et litière." J'peux même pas y aller au coup d'latte, Tous égo' sur la planète Terre, ouais laisse tomber. Un jour ou l'autre, c'est sûr, y'en a un qui va finir par la fenêtre, pour voir un peu vers la gouttière, si j'y étais. J'ai même pas le droit de mettre une branlée à mon clébard, sinon je me prends une droite directe, faut pas toucher aux animaux. Même quand il m'aboie dans la gueule ou qu'il grogne quand je rentre dans le lit, Laisse tomber, tout ça va se finir au chalumeau. Ma NANA, elle dit : "Tous égo' sur la Terre, C'est l'arrivée qui compte, Pas d'où l'on vient, tocard." NANA, Berceau d'argent, Berceau de pierre, Dans cette putain d'boîte crânienne, on est tous dollars. NANA, Leur roi, dollar, ouais nique sa mère, Jamais vu de coffre-fort, qui suive des corbillards. NANA, Gamine des rues, fille des gouttières, Berceau dans le caniveau, étoile dans un trou noir. Toi, t'as la Voie lactée qui brille dans ton regard. Toi, t'as la Voie lactée qui brille dans ton regard. Milieu de la nuit, faut qu'on cause. Elle me dit qu'elle veut faire un enfant, Puis elle s'met à pisser des yeux, a perdre les eaux. Je la prends dans mes bras, comme un chêne, Comme sa branche, au petit rossignol, Faut les protéger des orages, les petits moineaux. Quand elle sait qu'elle a abusé, Que ma gueule d'ours change de planète, Elle me fait les yeux d'un Aristochat, d'une chouette. Puis, pour se faire pardonner, elle se radine dans le plumard, koala, Pour ronronner, avant de ronfler, comme une belette. NANA, Un jour Barbie, un jour Tchéky, Tu verrais ta coupe au réveil, T'y croirais pas. NANA, Toi, t'es bien la seule du pays, Quand t'as trois coups dans l'nez, Qui peut me traiter de bourgeois. NANA, Un tiers Poutine, un tiers Candy, puis un tiers Trump, Quand elle a trop piché, tu vois. NANA, Heureusement qu'elle a pas de zizi, Elle vire Bruce Lee quand elle taquine trop la vodka. NANA, On la fera, notre démocratie, Qu'avec des poules, des chèvres naines, des koalas. NANA, On se le construira, notre pays, À coups de pelle d'amour dans le gosier, oui, toi et moi. NANA, Elle a tatoué anarchie, Dans chaque nervure de son cerveau, Cœur hors-la-loi. NANA, Ouais, c'est sûr que toi, t'es ma vie, Gamine des rues, qu'un jour j'avais prise sous mon bras. NANA, 24/24, Tu sens la piche, T'as du vin rouge à la place du sang, c'est pour ça. NANA, T'es qu'un diable au regard de biche. Tu joues les durs, Mais toi, t'as un cœur gros comme ça. NANA, 24/24, Tu sens la piche, T'as du vin rouge à la place du sang, c'est pour ça. Qu'au bistrot, on l'appelle Pichette, ma meuf à moi. Qu'au bistrot, on t'appelle Pichette, ma meuf à moi. Ma meuf, c'est plus qu'une meuf, Ouais, c'est ma meuf à moi.
-
La musique - un véritable vecteur d'émotions !
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Fidelia dans Musiques
. -
Peut-on être un imbécile heureux ?
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
Oui on peut l'être. L'imbécile heureux se détourne du modèle social qu'on lui propose dans lequel la majorité des individus sont en réalité malheureux. Sorti de ce modèle, tu ne peux qu'être heureux car serein. Ceci dit, comme tu n'as pas de réelle existence dite sociale, validée par je-ne-sais-quoi, diplômes, travail etc , tu es considéré comme un imbécile, un raté aux yeux de ces gens. Mais en les observant bien, en observant leur quotidien, leur état de stress constant, leur course à l'échalote, leur état d'énervement, tu réalises que , non seulement tu es heureux, mais en plus tu es intelligent. -
Tu m 'as rendu dingue, je n'avais pas d'autre choix...
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de Je vis au cimetière dans Littérature
Merci, mais je ne sais pas à quelle idéologie tu fais allusion.. Oui je vais y réfléchir. -
Quel est le meilleur conseil que vous ayez reçu dans la vie ?
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de January dans Quotidien
Je n'ai reçu aucun conseil et je n'en ai pas donné un seul. Je me suis sabordé tout seul. -
Tu m 'as rendu dingue, je n'avais pas d'autre choix...
Je vis au cimetière a posté un sujet dans Littérature
C 'est l'histoire d'un homme marié, riche appartenant à la bonne bourgeoisie qui tombe amoureux d'une danseuse, d'une actrice, parce qu'il est attiré par sa liberté; qu'il voit en elle un symbole de transgression, d'érotisme effréné, parce que, à travers elle, il veut sortir de sa coquille, dépasser ses limites, relâcher les freins de sa plate médiocrité. Mais au fond, sa beauté, la fascination qu'elle exerce sur les autres et sur lui-même lui font peur. Il sait que, pour garder la jeune femme, il doit toujours rester à la hauteur de ses espoirs qu'il a suscités. Il n'est pas sûr d'y parvenir, il n'est pas sûr de ses capacités. Il sait quelle puissance érotique elle est capable d'exercer quand elle est elle-même : c'est une diva. Il a peur que quelqu'un puisse la lui prendre, il redoute même son amour. Alors, il l'enferme à la maison, il l'éloigne de son milieu, lui demande de quitter son travail, lui fait des enfants, lui impose de s'habiller d'une façon banale, anonyme. Il la transforme en une femme au foyer traditionnelle, inoffensive, dépourvue de charme érotique. Il la neutralise, la détruit et finit par ne plus l'aimer , ne plus la désirer. Il se débarrasse de son amour. Il était tombé amoureux d'un animal sauvage qui courait librement le monde. Mais il le craint, il a peur d'en devenir l'esclave. Il ne veut pas renoncer, il ne veut pas souffrir. Il emploie alors une méthode insidieuse pour tuer son amour. Il tente de le domestiquer, d'en faire un objet familier, inoffensif. Il lui coupe les ailes et, quand elle n'est plus qu'une poule couvant ses petits; son amour finit par mourir. -
Ici radio ForumFr spécial dédicace
Je vis au cimetière a répondu à un(e) sujet de magya dans Musiques
Je n'oublie pas.. Où es tu et avec qui ... -
Lulu s'installe. Il est le premier. Nul doute, qu'après avoir rédigé son CV percutant, le prochain emploi sera pour lui, il sera prioritaire.. Arrive les autres candidats, un ancien prof itinérant de 60 ans, bilingue , qui a vécu au japon puis en écosse pendant plusieurs années avant que sa chérie le quitte et qu'il soit dans l'obligation de retourner chez Maman. Une reconversion en tant que couvreur, qui lui a brisé les reins, l'obligeant à porter une ceinture. "Le travail me plaisait me dit-il mais c'était l'environnement, ça picolait dur à l'heure du déjeuner, et dès que je demandais le moindre renseignement , la réponse était cinglante : tu es couvreur ou pas ?" Ce à quoi je répondais : " tu étais l'intellectuel qui agaçait, au milieu de beaufs parfumés à la vinasse et ou à la bière..
-
Dans la tête de Lulu, c'est à cela qu'il va participer... Théâtre, personnage pour ne pas dire cirque...
-
C 'est vrai qu'il y en a qui cherchent du travail ou du charbon ou les emmerdements. Moi c'est de l'or que je cherche. Mais c'est difficile à trouver.