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Analyse critique du protocole thérapeutique du Pr Raoult Auteur(s) Pr Dominique Baudon 01 juillet 2020 - 15:56 Tribune du Pr Dominique Baudon, médecin général inspecteur du Service de santé des armées, Commandeur de l’Ordre National du Mérite, Officier de l’ordre de la Légion d’honneur et Chevalier des Palmes académiques. Il est aussi spécialiste en Biologie médicale et ancien professeur en Epidémiologie et Santé publique tropicale. L’objectif que j’ai dans cette tribune est d’analyser les critiques faites au Pr Raoult et à son équipe sur le protocole thérapeutique utilisé dans la prise en charge de la Covid 19. Trop souvent les médias, mais aussi certains « scientifiques » critiquent sans vraiment connaître. (Ultracrépidarianisme). Je pense aussi que les résultats n'ont pas toujours été bien défendus, même par ceux qui y étaient favorables. Cette tribune s’adresse avant tout aux citoyens et pas spécifiquement aux « scientifiques » Afin d'effectuer une analyse critique du Protocole thérapeutique, il faut connaître précisément ce protocole, la population cible qui bénéficie du Traitement, les effets secondaires des médicaments utilisés. Il faut comprendre aussi un minimum de terme scientifique, en particulier ce que sont la mortalité et la létalité. En fin de cette tribune j’ai donné une liste d’indicateurs référencés dans le texte avec leur mode de calcul, avec les sources pour l’obtention de ces données ; j’ai donné aussi quelques définitions pour la compréhension de ce texte. La population cible du traitement. Il s’agit de malades présentant des signes cliniques évocateurs de la Covid 19, sans complications graves, ne nécessitant donc pas une hospitalisation immédiate. Il ne s’agit pas de sujets dépistés sans symptômes appelés « porteurs asymptomatiques ». Ils ont été suspectés de la maladie par un médecin généraliste qui les a dirigés à l’IHU Marseille (Institut Hospitalo Universitaire Marseille Méditerranées Infection) pour un diagnostic biologique et un éventuel traitement. Parfois, les malades se sont rendus d’eux-mêmes à l’IHU pour un dépistage biologique. J’appelle cette population « Les malades de la médecine générale » ; c’est aussi cette population pour laquelle les autorités de santé ont demandé de rester chez elle après consultation médicale (Physique ou par télé consultation), et d’appeler le « 15 »en cas de complications (Insuffisance respiratoire en particulier). Le protocole thérapeutique Il est bien connu : c’est l’association « Hydroxychloroquine avec azithromycine » La posologie dans le protocole du Pr Raoult était au maximum de 6 g d’hydroxychloroquine en 10 jours associée à 1,25 g d’azithromycine en 6 jours (minimum 3 jours de traitement) ; le traitement était en effet adapté à chaque patient selon sa situation clinique. Les bilans pré thérapeutiques et le traitement lui-même ont été réalisés en hospitalisation ambulatoire à l’IHU. La prise en compte des effets secondaires de l’Hydroxychloroquine. Ils sont bien connus et ont été contrôlés aux doses utilisées dans le protocole. Les troubles du rythme ont été en particulier recherchés (Electrocardiogramme initial et de contrôle) et recherche de la kaliémie. J’ai travaillé comme médecin et chercheur en Afrique intertropicale pendant 20 ans ; j’ai mené de nombreuses études sur le Paludisme et j’ai traité de nombreux patients africains ou expatriés. Jusqu’aux années 1990, le traitement efficace était la chloroquine (Nivaquine) pour les formes simples, et pour les formes plus graves la quinine. La posologie utilisée pour le traitement d’un accès palustre était la chloroquine à une dose totale de 2,4 g en trois jours. (La chloroquine n’est plus utilisée dans le traitement du paludisme en Afrique intertropicale depuis plus de 30 ans car le parasite responsable du paludisme est résistant à la chloroquine) Ce qu’ont démontrées les études Avec ce protocole, le portage viral, une fois le diagnostic de la Covid 19 porté (PCR +), variait de 5 à 10 Jours. Des études chinoises et autres avaient montré que ce portage est habituellement de 15 à 20 jours, parfois même plus long chez les sujets pauci symptomatiques ; cela est aujourd’hui admis et doit être considéré comme la référence. Il y a deux conséquences positives pour l’utilisation de ce protocole : l’une pour le malade qui guérit plus vite, l’autre pour la population puisque le sujet est contagieux moins longtemps. Il n’y a eu aucun trouble cardiaque. Rien d’autre n’a été démontré. Le Pr Raoult n’a jamais parlé de « médicament miracle » ; il n’a même jamais préconisé ce traitement ; il a dit ce qu’il avait fait, avec les résultats obtenus. Au 30 juin, à Marseille, l’Equipe du Pr Raoult a diagnostiqué et traité à l’IHU 3342 patients ; il y a eu 18 décès. Le pourcentage de décès parmi les cas traités a été de 0,5 % (létalité apparente). Au 30 juin en France le nombre de cas PCR+ déclarés par les autorités de santé était de 197 885 avec 29734 décès (réf. www.santepubliquefrance), soit une létalité apparente de 15 %. Bien sûr on ne peut comparer ces deux populations différentes. Les trois principales critiques Sur l’Efficacité du traitement : Ce qui a été dit et écrit par des médias et des scientifiques : « De toute façon, 98 % des malades guérissent spontanément, et le taux de mortalité de la Covid 19 est de 0,5 %, taux qui aurait été obtenu dans les études du Pr Raoult». Ces deux affirmations sont fausses. Ce qui est probablement vrai, c’est que 98 % des sujets infectés guérissent spontanément : mais cela comprend non seulement les malades confirmés PCR+, mais aussi les cas suspects qui n’ont pas été dépistés, et surtout les porteurs asymptomatiques. J’ai estimé plus précisément qu’environ 95 % des sujets infectés n’ont pas développé la maladie (*4). L’affirmation suivante est, elle aussi, fausse : « Le taux de mortalité de la Covid 19 est de 0,5 %, taux obtenu dans les études du Pr Raoult». Je cite un extrait de la lettre ouverte d’un professeur d’Université, Praticien Hospitalier, signé « Sigaps », membre du Think Tank Lisa, publiée le 02-06-2020 : « Le problème ici, c’est que la mortalité naturelle du Covid-19 a été estimée selon une modélisation mathématique difficilement discutable à 0.53 % [0.3 ; 0.9] en France, en période de confinement. En d’autres termes, vous obtenez un taux de mortalité équivalent (et non pas plus bas) de celui attendu. Pas de différence. Qu’en pensez-vous ? » Il y a là une confusion le taux de mortalité chez les malades, (létalité apparente*1), et le taux de mortalité naturelle chez les sujets infectés (létalité réelle *2) J’ai estimé la létalité réelle à ce jour à 0,77 % (nombre de décès parmi les sujets infectés) (*4) ; c’est probablement à cette létalité que « Sigaps » se réfère. Le 0,5 % obtenu dans les études du Pr Raoult porte sur la létalité apparente (mortalité de la population de malades) et non celle parmi les sujets infectés. Sur la toxicité : Oui cette toxicité existe en fonction des posologies données. Aux doses préconisées et en prenant les précautions classiques dans la prescription des médicaments, le risque d’effets secondaires est quasi nul. Je ne comprends toujours pas la virulence des critiques sur ce sujet. Sur la méthodologie : « Il n’y a pas eu de groupe témoins » cependant je validerai cependant le protocole. En voilà les raisons : Il s’agit d’une étude « observationnelle » (*5), sur les malades (stade de début) se présentant à l’IHU pour un éventuel diagnostic de la Covid 19. Toutes les études antérieures avaient montré que le portage viral était de l’ordre de 15 à 20 jours. Pour moi, ce sont les résultats de ces études qui représentent le « groupe témoin », la référence pour la comparaison. En démontrant qu’avec le traitement le portage n’était que de 5 à 10 jours, pourquoi faire un groupe témoin dans cette circonstance d’urgence. Le groupe témoin aurait été nécessaire si au départ on ne connaissait pas la durée du portage viral. Pourquoi les scientifiques qui ont critiqué le protocole dès la première publication, avec le nombre considérable de malades existants alors, n’ont-ils pas réalisé l’enquête avec groupe témoin pour vérifier l’efficacité du protocole ? Cette question m’a souvent été posée et je suis étonné de l’absence de réponse. Et pourtant c’est évident et cela rejoint mes propos du début. Les hospitaliers voient des malades au stade de complications, les médecins généralistes au stade de début. A chacun son rôle. Le Pr Raoult, homme de terrain, a compris qu’il fallait « recruter » les malades dès les premiers symptômes, et pour cela a travaillé en liaison avec les médecins généralistes. Ma principale critique à l’égard des médias et de certains scientifiques. Le protocole du Pr Raoult a été complètement ignoré et tout le monde s’est focalisé uniquement sur l’hydroxychloroquine. Ainsi, dans tous les travaux de recherche publiés sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine, quelles que soient les conditions d’utilisation de ce produit, (associations ou non avec d’autres produits - doses variables - études conduites uniquement en milieu hospitalier), si l’étude ne montrait pas d’efficacité, la conclusion était tirée que le protocole du Pr Raoult était inefficace !! Aucune autre étude portant sur le protocole Hydroxychloroquine +Azithromycine donné à des malades en début d’infection, sans pathologie grave nécessitant une hospitalisation immédiate, selon les posologies indiquées, n’a été réalisée à ce jour, à ma connaissance. Pour montrer parfois la mauvaise foi de rares journalistes, je voudrais vous informer des propos tenus le 6 juin dernier par un journaliste d’une chaîne d’information (je ne citerai ni l’un ni l’autre) voulant démontrer, je cite « que sur la toxicité de l’hydroxychloroquine, le Pr Raoult dit tout et son contraire ». Sa démonstration était fondée sur deux interviews, l’une en français expliquant que l’hydroxychloroquine aux doses données dans son protocole n’était pas toxique, et une autre en anglais disant que l’hydroxychloroquine à dose très forte pouvait être toxique ; il n’y a bien sûr là aucune contradiction, mais le téléspectateur pas forcément averti sur le sujet, peut croire ce journaliste. Je souhaitais donner mon avis, seulement sur ce protocole. Le comportement du Pr Raoult, ses déclarations ne doivent pas interférer avec les résultats obtenus. J’ai employé le terme d’ultra crépidarianisme, comportement qui consiste à donner son avis sur des sujets sur lesquels on n’a pas de connaissances C’est parfois le cas parmi les médias. En conclusion, je trouve les critiques portant sur le Protocole du Pr Raoult injustifiées et non fondées.
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pas du tout , c'est toi qui es arrêté à la saint glinglin , cette étude est bel et bien publiée ; occupes toi plutôt de tes propres carences au lieu d'essayer de les faire oublier par des débilités
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c'est toi qui es dans le faux , parce que tu n'as rien lu ; 4 personnes ont du arrêter le traitement au bout de 3 ou 4 jours parce qu'elles ont eu un allongement du QT , ce qui prouve que les exams n'ont pas été faits , point !! à part ça , je trouve ça sidérant que des bonimenteurs propagandistes viennent vomir sur le Pr Raoult pour des prétendus problèmes de méthodologie alors qu'ils ne sont pas foutus de chercher et comprendre correctement une étude scientifique , affligeant Rien à voir , et ce n'est surement pas à un gus qui ne comprend rien que je vais l'expliquer, ton conspirationnisme , tu peux bien en faire ce que tu veux si tu n'as rien d'intelligent à dire ; et si ton trollage consiste à noyer ce qui te dérange , tu n'es pas sorti de l'auberge
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Cela dit, ce papier que les propagandistes se gardent bien de commenter est + que clair ; sûrement pour ça qu'ils font semblant de regarder ailleurs ..................... ---------------------------------------------- « L’IHU démontre que son protocole anti-covid aurait pu sauver de très nombreuses vies » Quatre professeurs de médecine d’Aix-Marseille Université, travaillant à l’Institut Hospitalo-Universitaire de Marseille (Philippe Brouqui, Matthieu Million, Philippe Parola et Didier Raoult), viennent de publier dans une revue scientifique anglo-saxonne bien connue (New Microbes and New Infections) un article qui présente le résultat de l’analyse statistique des 30 423 patients adultes infectés par le Sars-Cov-2 et soignés à l’IHU, en hospitalisation ou en ambulatoire, entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021. Ceci en fait la plus grande étude monocentrique du monde sur ce sujet. La publication est cosignée par Peter A. Mccullough, professeur de médecine à l’Université du Texas (USA), qui a appliqué durant la crise sanitaire un protocole thérapeutique comparable, et constaté le même résultat : la prescription conjointe d’hydroxychloroquine et d’Azithromycine (un antiviral et un antibiotique tombés depuis longtemps dans le domaine public et ne coûtant presque rien), à des doses bien précises, réduit partout la mortalité liée au COVID-19 de façon statistiquement très significative. Des études consacrées à la gestion de l’épidémie de Covid-19 paraissent quasiment tous les jours pour qui suit de près la production scientifique. Et d’ordinaire, ces publications restent confidentielles. Mais, en France, tout ce qui concerne Didier Raoult et l’IHU de Marseille déclenche une tempête dans le petit monde médiatico-politique. Et cette dernière publication ne fait pas exception à la règle. En 48 heures, en ce début de deuxième semaine de novembre 2023, la publication d’une dépêche de l’AFP a été reprise des dizaines de fois dans les médias. Il suffit cependant de moins d’une heure de temps pour lire ces dizaines d’articles de presse (nationale et régionale) qui, sans exception : 1) paraphrasent la dépêche et se recopient les uns les autres, 2) citent exclusivement des sources gouvernementales (l’Agence Nationale de sécurité du médicament, les ministres Sylvie Retailleau et Aurélien Rousseau) ainsi que le même « expert » (Mathieu Molimard, président de la Société française de pharmacologie, pourfendeur acharné de Raoult et de l’IHU sur les réseaux sociaux), 3) ne disent pas un seul mot du contenu de l’article incriminé. En bref, ce sont exclusivement des articles à charge n’abordant jamais le sujet de l’étude en question, assurant la publicité du point de vue du gouvernement et ne donnant la parole qu’aux « experts » adoubés par ce même gouvernement, sans jamais questionner leurs liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques. Un tel traitement médiatique bafoue les plus élémentaires principes de la déontologie journalistique. Le plus cocasse est qu’il évoque de façon centrale des « problèmes éthiques » que poserait l’étude de l’IHU de Marseille (sans jamais détailler lesquels). Or il y a bien en effet une question éthique majeure qui devrait traverser tout ce débat, mais c’est d’abord et avant tout celle que pose l’IHU et qui dérange tellement. Elle peut se formuler ainsi : et s’il s’avérait que l’on aurait pu soigner précocement la Covid-19 et éviter ainsi la majorité des très nombreux morts provoqués par la consigne officielle de ne rien faire (« Restez chez vous et prenez du Doliprane ») ? La moindre des honnêtetés intellectuelles serait de lire l’article en question avant de prétendre avoir un quelconque point de vue. C’est pourquoi nous en avons traduit l’essentiel en Français, avec l’accord des auteurs. Pour les figures et les tableaux statistiques, les lecteurs se reporteront à l’article qui est intégralement et gratuitement en ligne. Une dernière précision : contrairement à la plupart des « experts » médicaux que l’on peut entendre quasiment tous les jours dans les médias dominants, les médecins-chercheurs de l’IHU de Marseille n’ont aucun lien d’intérêt avec les industries pharmaceutiques. Et si ceci expliquait au moins en partie cela ? Résultats La base de données que nous avons analysée contient les données de 30 423 patients et a été collectée entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021. En raison du processus d’anonymisation de la base de données, les valeurs de l’âge moyen et médian n’étaient pas disponibles. La répartition des patients par tranche d’âge et les caractéristiques démographiques des 30 423 patients inclus sont détaillées dans le tableau 1. Environ 47,7 % des patients étaient des hommes. Sur les 30 423 patients, des informations sur le traitement étaient disponibles pour 30 202 d’entre eux (99,3 %), dont 25 664 patients ambulatoires (84,9 %) et 4538 patients hospitalisés (15,1 %). Selon l’INSEE, il y a eu 535 décès toutes causes confondues dans les six semaines suivant le diagnostic, dont 52 qui ont été initialement pris en charge en ambulatoire et 483 qui ont été hospitalisés de manière standard, sans traitement initial en ambulatoire. Parmi les variables incluses, l’âge était le facteur de risque de décès le plus important. Le sexe masculin était un facteur de risque de décès (hommes 2,2 %, femmes 1,3 %, test du chi carré P < 10-4). Un pic de mortalité a été observé au cours de la période 4 (hiver 2020/2021) à 2,95 % (17,2 % pour les patients hospitalisés) et un minimum a été observé au cours de la période 6 (juillet à septembre 2021) à 0,93 %. Parmi les quatre principaux variants, le variant B.1.160, qui a prédominé au cours de la période 4, a été associé à la mortalité la plus élevée (3,9 % vs 1,3 %, test du chi carré P < 0,0001). Sur les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191/23 172 patients (0,82%) traités par HCQ-AZ sont décédés, contre 344/7 030 patients (4,89%) qui n’ont pas reçu d’HCQ-AZ (Fig. 2). Globalement, le traitement par HCQ-AZ a été associé à une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ (OR 0,16 ; 95% CI, 0,14-0,19). Après ajustement pour le sexe, l’âge, la période et le type de prise en charge du patient (hospitalisé/externé), l’HCQ-AZ est resté associé à un taux de mortalité significativement plus faible (aOR 0,55 ; 95% CI, 0,45-0,68). Ce résultat a été confirmé comme étant indépendant de la variante virale chez 21 664 patients pour lesquels l’information sur la variante était disponible (aOR 0,55 ; IC 95 %, 0,44-0,69), et indépendant des comorbidités et du statut vaccinal chez 16 063 patients pour lesquels l’information sur ces covariables était disponible (aOR 0,47 : IC 95 %, 0,29-0,75) (tableau 3). La mortalité globale parmi les patients ambulatoires traités par HCQ-AZ était extrêmement faible (21/21135 (0,10 %)), sans variation significative entre les périodes et n’a jamais dépassé 0,14 % au cours d’une période épidémique. En comparant HCQ-AZ avec toutes les autres combinaisons de traitement, la mortalité n’était jamais significativement différente lorsque HCQ était utilisé dès le début dans le groupe de comparaison (HCQ seul ou HCQ-IVM). Ceci nous a conduit à analyser le rôle de chaque médicament indépendamment. Au total, 23 755 patients (78,7 %) ont reçu un traitement à base d’HCQ, contre 6 447 patients (21,3 %) qui n’ont pas reçu ce médicament ; 27 750 patients (91,9 %) ont reçu de l’AZ contre 2 452 (8,1 %) qui n’en ont pas reçu ; 1 878 patients (6,2 %) ont reçu un traitement avec IVM, contre 28 545 patients (93,8 %) qui n’en ont pas reçu. Lorsque chaque médicament a été inclus comme covariable binaire (oui/non) dans les modèles, aucune différence de survie n’a été trouvée pour l’AZ (aOR 0,97, P = .861) ou l’IVM (1,08, P = .633). Seule l’HCQ a été associée à une mortalité plus faible (aOR 0,55, 0,44-0,68, P < .0001), ce qui a été confirmé à la fois pour les patients ambulatoires (aOR 0,31 ; 95% CI, 0,16-0,59, P = .0004) et pour les patients hospitalisés (aOR 0,52 ; 0,42-0,65, P < .001). Dans l’ensemble, cette étude représente la plus grande étude monocentrique évaluant l’HCQ-AZ dans le traitement du COVID-19. Comme d’autres grandes études d’observation, elle conclut que l’HCQ a sauvé des vies. Dans un esprit de science ouverte, nous encourageons les chercheurs à réanalyser des bases de données FAIR (findable, accessible, interoperable, and reusable) similaires et à communiquer leurs résultats. C'est ton esprit étriqué qui dit ça , juste ton esprit étriqué ; ce n'est pas parce que tu n'es pas capable de comprendre une étude scientifique que tout le monde est dans ton cas hein ; hé bien , il y a plein de gens qui comprennent des études scientifiques sans être scientifiques , et si ça ne te plait pas, c'est pareil , on s'en fout
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faut arrêter de dire n'importe quoi si tu ne connais pas. Les résultats des études scientifiques se matérialisent aussi par des chiffres et des courbes que beaucoup de non-scientifiques peuvent lire. Ce n'est pas parce que tu as des principes ultra-rigides que tout le monde est obligé de les suivre Et je vois mal la raison du rapport systématique que tu fais entre science et conspirationnisme .... une obsession ?
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pas forcément , imaginez le cas d'un diabétique insulinodépendant qui doive financer son traitement tous les mois ... les gens atteints de cancers ... ceux en en arrêt maladie ... Celui qui n'est jamais malade y gagne beaucoup c'est clair ; mais si on parle de l'ensemble des cotisations , on pourrait aussi penser aux chômeurs , aux retraités ... seuls leurs revenus leur permettraient de compenser les aléas de la vie
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peu importe , sans Sécu le salarié percevrait la totalité du superbrut pour financer directement SA protection sociale ; et l'Insee le dit clairement ; pas besoin de se noyer dans des trucs purement comptables (que je connais très bien, le problème n'est pas là) , ça ne change rien ; sans salariés , l'entreprise ne paie rien si ce n'est les cotisations des dirigeants , réfléchissez ; en Allemagne, les salaires bruts sont supérieurs parce que la retraite par capitalisation y est beauoup plus étendue qu'en France Même si ce ne sont pas des charges , prenez l'exemple de la TVA , l'entreprise la collecte et la reverse ; ces fonds ne lui appartiennent pas ; idem pour le PAS , prélevé sur les fiches de paie , et reversé intégralement au fisc ; l'entreprise est un intermédiaire entre le salarié et les caisses , la dénomination salarial/patronal n'est qu'un habillage , la Sécu reçoit les deux pour les salariés. Et ce sont ces cotisations qui sont prises en compte pour tous les calculs : chômage, maladie , retraite .... ce sont des revenus de remplacement sur lesquels le bénéficiaire paie des impôts , comme pour ses salaires. Et vous ne trouverez aucun employeur qui raisonne en brut simple , toujours en superbrut , c'est de la rémunération peu importe comment on l'appelle.
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moi non plus , mais faut t-il encore prendre la peine de lire autre chose que vos potins pour le savoir ; tenez , juste au dessus de votre nez , vous avez une bonne partie du détail de la dernière étude de l'iHU. Apprenez sur la base de faits, amenez de la contradiction à ces faits si vous avez quelque chose de sérieux et fiable , mais épargnez nous vos remarques inconsistantes , ce serait déjà pas mal. Pour l'heure, vous n'apportez strictement rien.
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Ce sujet n'intéresse plus personne en réalité , sauf ceux qui pourraient se retrouver devant la justice parce qu'ils ont préconisé une politique sanitaire indigne et criminelle ou ceux qui ont perdu leurs proches du fait d'un déni de soin flagrant ; les propagandistes invétérés débarquent ici pour essayer de noyer ce qu'ils ont implicitement accepté et qui les dérange , parce que tout repose sur le déni dans leur esprit ; et pourtant ... le pire est à venir pour les ordures qui ont manipulé l'opinion pour faire croire qu'on ne pouvait pas soigner ; on vomit sur Raoult 5 ans après les faits parce qu'il est hors de question d'imaginer qu'on a beaucoup plus tué en ne faisant rien qu'en prenant en compte toutes les solutions possibles , leurs victimes complices finiront par s'enfermer dans une dictature sanitaire qu'ils ne pourront plus refuser , et vlan dans le précipice , juste par orgueil ... tant pis La santé , l'intégrité physique , c'est de l'ordre de l'intime , c'est la plus sacrée des libertés fondamentales ; dénigrer le soin en vomissant sur un expert mondial et accepter parallèlement des injections de code de fabrication de toxines peu étudiées conçues entre autres par des labos-escrocs , c'est marcher sur la tête et se jeter dans le précipice ; tant pis pour ceux qui ne savent plus / veulent plus faire la part des choses , ce ne sera pas faute de .... En attendant , le Pr Raoult est l'un des grands hommes de cette crise , le plus connu surtout parce qu'il y a d'autres (rares hélas) médecins qui ont été à la hauteur de leur fonction ... et personne ne pourra jamais effacer cela , les langues de vipères finiront dans les poubelles oui, sauf que moi j'amène du contenu en rapport avec le sujet , alors que vous et votre clique êtes complètement à coté de la plaque ... Wouh Raoult pabo méchan ... voilà je caricature à peine ; et votre "on" , s'il représente les quelques bonimenteurs aperçus sur ce fil , c'et plutôt un compliment , merci
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pour vous et la masse d'ignares qui gobent la propagande débile ! et comme on se contrefout de vos opinions capillotractées ...........
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Ton papier est une étude de merde , Raoult ou pas Raoult. Et vu que ces insultes , ces diffamations flagrantes , viennent de gros bonimenteurs qui cherchent à enterrer l'idéologie de merde qui a prévalu pendant cette crise , je dirais que tu sais quoi faire de ton post débile , n'est ce pas ? qu'est ce que ça peut te faire ce qu'il fait aujourd'hui ? c'est le sujet ? NON , on s'en tape !!! inutile de faire diversion avec des trucs dont tout le monde se fout pour essayer de diluer une réalité qui te fait mal aux yeux , tu ne dupes pas grand monde sauf ceux qui le veulent bien parce qu'ils défendent les mêmes saloperies.
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« L’IHU démontre que son protocole anti-covid aurait pu sauver de très nombreuses vies » Quatre professeurs de médecine d’Aix-Marseille Université, travaillant à l’Institut Hospitalo-Universitaire de Marseille (Philippe Brouqui, Matthieu Million, Philippe Parola et Didier Raoult), viennent de publier dans une revue scientifique anglo-saxonne bien connue (New Microbes and New Infections) un article qui présente le résultat de l’analyse statistique des 30 423 patients adultes infectés par le Sars-Cov-2 et soignés à l’IHU, en hospitalisation ou en ambulatoire, entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021. Ceci en fait la plus grande étude monocentrique du monde sur ce sujet. La publication est cosignée par Peter A. Mccullough, professeur de médecine à l’Université du Texas (USA), qui a appliqué durant la crise sanitaire un protocole thérapeutique comparable, et constaté le même résultat : la prescription conjointe d’hydroxychloroquine et d’Azithromycine (un antiviral et un antibiotique tombés depuis longtemps dans le domaine public et ne coûtant presque rien), à des doses bien précises, réduit partout la mortalité liée au COVID-19 de façon statistiquement très significative. Des études consacrées à la gestion de l’épidémie de Covid-19 paraissent quasiment tous les jours pour qui suit de près la production scientifique. Et d’ordinaire, ces publications restent confidentielles. Mais, en France, tout ce qui concerne Didier Raoult et l’IHU de Marseille déclenche une tempête dans le petit monde médiatico-politique. Et cette dernière publication ne fait pas exception à la règle. En 48 heures, en ce début de deuxième semaine de novembre 2023, la publication d’une dépêche de l’AFP a été reprise des dizaines de fois dans les médias. Il suffit cependant de moins d’une heure de temps pour lire ces dizaines d’articles de presse (nationale et régionale) qui, sans exception : 1) paraphrasent la dépêche et se recopient les uns les autres, 2) citent exclusivement des sources gouvernementales (l’Agence Nationale de sécurité du médicament, les ministres Sylvie Retailleau et Aurélien Rousseau) ainsi que le même « expert » (Mathieu Molimard, président de la Société française de pharmacologie, pourfendeur acharné de Raoult et de l’IHU sur les réseaux sociaux), 3) ne disent pas un seul mot du contenu de l’article incriminé. En bref, ce sont exclusivement des articles à charge n’abordant jamais le sujet de l’étude en question, assurant la publicité du point de vue du gouvernement et ne donnant la parole qu’aux « experts » adoubés par ce même gouvernement, sans jamais questionner leurs liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques. Un tel traitement médiatique bafoue les plus élémentaires principes de la déontologie journalistique. Le plus cocasse est qu’il évoque de façon centrale des « problèmes éthiques » que poserait l’étude de l’IHU de Marseille (sans jamais détailler lesquels). Or il y a bien en effet une question éthique majeure qui devrait traverser tout ce débat, mais c’est d’abord et avant tout celle que pose l’IHU et qui dérange tellement. Elle peut se formuler ainsi : et s’il s’avérait que l’on aurait pu soigner précocement la Covid-19 et éviter ainsi la majorité des très nombreux morts provoqués par la consigne officielle de ne rien faire (« Restez chez vous et prenez du Doliprane ») ? La moindre des honnêtetés intellectuelles serait de lire l’article en question avant de prétendre avoir un quelconque point de vue. C’est pourquoi nous en avons traduit l’essentiel en Français, avec l’accord des auteurs. Pour les figures et les tableaux statistiques, les lecteurs se reporteront à l’article qui est intégralement et gratuitement en ligne. Une dernière précision : contrairement à la plupart des « experts » médicaux que l’on peut entendre quasiment tous les jours dans les médias dominants, les médecins-chercheurs de l’IHU de Marseille n’ont aucun lien d’intérêt avec les industries pharmaceutiques. Et si ceci expliquait au moins en partie cela ? Résultats La base de données que nous avons analysée contient les données de 30 423 patients et a été collectée entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021. En raison du processus d’anonymisation de la base de données, les valeurs de l’âge moyen et médian n’étaient pas disponibles. La répartition des patients par tranche d’âge et les caractéristiques démographiques des 30 423 patients inclus sont détaillées dans le tableau 1. Environ 47,7 % des patients étaient des hommes. Sur les 30 423 patients, des informations sur le traitement étaient disponibles pour 30 202 d’entre eux (99,3 %), dont 25 664 patients ambulatoires (84,9 %) et 4538 patients hospitalisés (15,1 %). Selon l’INSEE, il y a eu 535 décès toutes causes confondues dans les six semaines suivant le diagnostic, dont 52 qui ont été initialement pris en charge en ambulatoire et 483 qui ont été hospitalisés de manière standard, sans traitement initial en ambulatoire. Parmi les variables incluses, l’âge était le facteur de risque de décès le plus important. Le sexe masculin était un facteur de risque de décès (hommes 2,2 %, femmes 1,3 %, test du chi carré P < 10-4). Un pic de mortalité a été observé au cours de la période 4 (hiver 2020/2021) à 2,95 % (17,2 % pour les patients hospitalisés) et un minimum a été observé au cours de la période 6 (juillet à septembre 2021) à 0,93 %. Parmi les quatre principaux variants, le variant B.1.160, qui a prédominé au cours de la période 4, a été associé à la mortalité la plus élevée (3,9 % vs 1,3 %, test du chi carré P < 0,0001). Sur les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191/23 172 patients (0,82%) traités par HCQ-AZ sont décédés, contre 344/7 030 patients (4,89%) qui n’ont pas reçu d’HCQ-AZ (Fig. 2). Globalement, le traitement par HCQ-AZ a été associé à une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ (OR 0,16 ; 95% CI, 0,14-0,19). Après ajustement pour le sexe, l’âge, la période et le type de prise en charge du patient (hospitalisé/externé), l’HCQ-AZ est resté associé à un taux de mortalité significativement plus faible (aOR 0,55 ; 95% CI, 0,45-0,68). Ce résultat a été confirmé comme étant indépendant de la variante virale chez 21 664 patients pour lesquels l’information sur la variante était disponible (aOR 0,55 ; IC 95 %, 0,44-0,69), et indépendant des comorbidités et du statut vaccinal chez 16 063 patients pour lesquels l’information sur ces covariables était disponible (aOR 0,47 : IC 95 %, 0,29-0,75) (tableau 3). La mortalité globale parmi les patients ambulatoires traités par HCQ-AZ était extrêmement faible (21/21135 (0,10 %)), sans variation significative entre les périodes et n’a jamais dépassé 0,14 % au cours d’une période épidémique. En comparant HCQ-AZ avec toutes les autres combinaisons de traitement, la mortalité n’était jamais significativement différente lorsque HCQ était utilisé dès le début dans le groupe de comparaison (HCQ seul ou HCQ-IVM). Ceci nous a conduit à analyser le rôle de chaque médicament indépendamment. Au total, 23 755 patients (78,7 %) ont reçu un traitement à base d’HCQ, contre 6 447 patients (21,3 %) qui n’ont pas reçu ce médicament ; 27 750 patients (91,9 %) ont reçu de l’AZ contre 2 452 (8,1 %) qui n’en ont pas reçu ; 1 878 patients (6,2 %) ont reçu un traitement avec IVM, contre 28 545 patients (93,8 %) qui n’en ont pas reçu. Lorsque chaque médicament a été inclus comme covariable binaire (oui/non) dans les modèles, aucune différence de survie n’a été trouvée pour l’AZ (aOR 0,97, P = .861) ou l’IVM (1,08, P = .633). Seule l’HCQ a été associée à une mortalité plus faible (aOR 0,55, 0,44-0,68, P < .0001), ce qui a été confirmé à la fois pour les patients ambulatoires (aOR 0,31 ; 95% CI, 0,16-0,59, P = .0004) et pour les patients hospitalisés (aOR 0,52 ; 0,42-0,65, P < .001). Dans l’ensemble, cette étude représente la plus grande étude monocentrique évaluant l’HCQ-AZ dans le traitement du COVID-19. Comme d’autres grandes études d’observation, elle conclut que l’HCQ a sauvé des vies. Dans un esprit de science ouverte, nous encourageons les chercheurs à réanalyser des bases de données FAIR (findable, accessible, interoperable, and reusable) similaires et à communiquer leurs résultats.
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Quand on poste le blabla Wikipedia plutôt que l'étude elle-même , c'est qu'on n'a pas vraiment envie de savoir si cette étude tient la route. Et on poste des conclusions merdiques parce qu'elles confortent sa sale propagande. Et après recherches , je comprends pourquoi : 11 patients sans groupe contrôle , avec une majorité en phase sévère , et pas d'exams préalables pour vérifer si ces pauvres patients n'avaient pas de contre-indications au traitement. En bref, en guise de chercheurs , juste une bande d'incapables qui se sont empressés de faire le buzz avec leur étude de merde pour contredire le PR Raoult. Bravo !
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à partir du moment où tu ne juges pas utile de voir le détail d'une étude avant de poster des âneries dessus, on s'en contrefout en fait. Commences par apprendre la bonne foi, ce n'est pas inutile pour se faire une idée juste de la réalité.
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https://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/la-harcelosphere-contre-lihu-mediterranee-et-le-professeur-raoult-de-lobscene ce dossier a servi en justice , il contient la "crème de la crème" des manoeuvres sordides d'une petite meute de scientistes qui n'ont su s'illustrer sur les réseaux que dans les insultes , la diffamation, le harcèlement et les menaces contre tous ceux qui défendent les traitements précoces , et particulièrement contre les Pr RAOULT et PERRONNE .... Voilà les "belles valeurs" que ces propagandistes défendent derrière leur faux attachement à la rigueur scientifique , applicable seulement à leurs adversaires ; parce qu'eux, se targuent de leurs études pourries à frauduleuses , pas d'états d'âme ; tout cela est un concentré d'hypocrisie sans nom et sans limites entre autres , un tweet adressé à M. Alain Houpert , sénateur , un des très rares politiques à avoir soutenu en continu la sphère des médecins qui soignent et les libertés fondamentales des citoyens ... au passage chapeau très très bas à cet homme digne et respectable
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et pour prouver que cette étude pourrie n'a pas respecté le protocole de l'iHU : L'équipe du Pr Molina a travaillé sur des patients atteints d'une forme sévère de Covid-19 et recevant 600 mg d'hydroxychloroquine par jour pendant 10 jours ainsi que de l'azithromycine pendant 5 jours (500 mg le premier jour puis 250 mg par jour) soit les mêmes doses que celles administrées à Marseille. Le traitement a par ailleurs dû être arrêté après 4 jours chez un des patients en raison d'un allongement de l'intervalle QT. (ces ânes n'ont même pas fait les tests pour vérifier si leurs patients n'avaient pas de contre-indication au traitement) Bref, des charlots prêt à poster n'importe quoi pour essayer de peser dans les débats. RATE.
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non mais les bonimenteurs propagandistes sont capables de poster n'importe quoi pour remplir des pages et noyer ce qui les dérange : l'étude de Molina (un peu plus haut) , c'est 11 patients sans groupe contrôle LOL , et comme l'étude est pourrie , on poste du blabla Wiki ... vive la science
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bien sûr sue si , puisque ces cotisations sont SA rémunération ; voir définition plus haut , y a pas plus clair Rémunération des salariés Définition Ensemble des rémunérations en espèces et en nature que les employeurs versent à leurs salariés en paiement du travail accompli par ces derniers : salaires et traitements bruts en espèces et en nature, cotisations sociales effectives et imputées à la charge des employeurs.
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ben ça , on n'en sait rien ; entre ce qu'on dit et ce qui est .... c'est tout de même navrant de voir qu'on a financé pendant des années un Sanofi , qui s'est bien gavé de tous les investissements , et qu'on a fini par privatiser tout ce qui a été financé par les Français ... tout cela pour quoi ? on ne produit quasiment pas de médicaments en France, on est dépendant en tout , et en pénurie lorsqu'on ne veut pas payer trop cher ... elle est belle la vie des producteurs .... mais à quoi servent nos politiques et gestionnaires s'il ne font que nous saborder et nous maintenir dans la dépendance sur des produits aussi sensibles ?
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Oui cela engendrerait de la défiance ; comme on sait que l'UE ne rachète plus de dette française depuis 2022, c'est potentiellement Blackrock ou le Qatar au vu des mamours de notre PR , et nous , que dire ... on ne sait que choisir ...
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réponds , au lieu de poser une autre question ; et la preuve de ma réflexion est dans ma quesion d'ailleurs ... au cas où tu ne l'aurais pas remarqué
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Ce que paient les employeurs est pour le compte des salariés , on peut appeler ça cotisations ou salaires , ça revient au même , ces cotisations alimentent des caisses de protection sociale , mais ce sont bien des éléments de rémunération , ce sont les lois qui imposent de verser une partie de cette rémunération dans le pot commun en charge de la couverture de la protection sociale ; s'il n'y avait pas de Sécu , chaque salarié devrait la financer lui même , ce qui implique forcément que ces fonds lui reviennent. Le découpage salarial / patronal n'a aucune importance , la contribution du salarié à la protection sociale est la somme des deux ; d'ailleurs l'employeur verse aussi les cotisations salariales alors qu'elles sont retranchées pour déterminer le net à payer du salarié , comme quoi ... autrement dit , un employé payé 2500€ bruts , avec cotis salariales de 20% , et patronales de 40% , a un superbrut de 3500 € et des cotisations de 1 500 € par mois ; sans Secu, il percevrait 3500€ tous les mois et financerait sa protection sociale directement , et pour l'employeur ça ne ferait aucune différence., ces cotisations sont de la rémunération. C'est pourquoi la loi Veil stipulait une compensation à 100% par l'Etat de toutes les exonérations ou allègements de cotisations , pour que les caisses ne soient pas plombées par la politique économique menée . Aujourd'hui on ne sait pas vraiment à quelle hauteur tous les allègements sont compensés par l'Etat , une perte régulière pourrait expliquer des déficits plus importants.
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cela a toujours été , et je ne crois pas que ce soit bon d'entrer dans une guerre intergénérationnelle , chaque période a ses avantages et inconvénients ; les problèmes sont ailleurs ; si les emplois ne fuitaient pas dans des pays low cost , il y aurait moins de chômage en France ; si les salaires n'étaient pas +/- figés , les cotisations seraient supérieures ; et personne ne sait si on ne se fait pas aussi rouler dans la farine avec des prix démesurés de médicaments et soins. Seul un audit indépendant pourrait répondre à ces questions.
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pas besoin de ces liens que je connais par coeur , je vous en ai donné 1 bien plus parlant que ces tableaux bêtes et méchants qui ne disent pas que TOUTES les cotisations sont de la rémunération , celles versées aux caisses de Sécu étant du revenu différé. Qu'est ce que vous ne comprenez pas là dedans ? https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1399 Rémunération des salariés Définition Ensemble des rémunérations en espèces et en nature que les employeurs versent à leurs salariés en paiement du travail accompli par ces derniers : salaires et traitements bruts en espèces et en nature, cotisations sociales effectives et imputées à la charge des employeurs.