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Guerre en Ukraine - Sujet général
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Dis-moi, tu as bien regardé la carte ? Je te donne un exemple concret : si les revendications chinoises aboutissent, les philippins verront des eaux chinoises depuis leurs plages. Et si les autres sont plus discrets ne croit surtout pas qu'ils ne sont pas fous de rage. Pendant la guerre du Vietnam, l'U.R.S.S. et la Chine de Mao ont porté le Vietnam du Nord à bout de bras. Et ? Ensuite, il y a eu une guerre entre le Vietnam et la Chine. Les Philippines, et n'importe quel autre riverain ainsi agressé, a le droit d'appeler à l'aide qui il veut, au même titre que l'Ukraine, en vertu de l'article 51 de la Charte de l'O.N.U. Tout à fait : il n'y a qu'eux qui osent tenir tête à la dictature chinoise. Les chinois n'ont jamais été capables de conquérir Taïwan : c'est des Occidentaux qui l'ont fait et qui ont fait venir de la main d'oeuvre chinoise en masse, parce que le peuple indigène, non-chinois, n'était pas aussi docile que les chinois. Alors, " la langue de boeuf " !!! La Poutinie et la Chine sont les derniers états impériaux. La Chine doit évacuer le Tibet, le Ouïgouristan, dégager la Mer de Chine méridionale, reconnaître l'indépendance de Taïwan, confesser tous ses crimes. Et j'invite vigoureusement les U.S. à envoyer deux portes-avions et tout ce qui va avec dans la " langue de boeuf ". Mensonge. C'est les deux bombardements atomiques qui ont convaincu l'Empereur de se rendre, contre l'avis de son état-major. Les U.S.A., la Russie, l'Ukraine, n'ont rien signé de relatif aux bombes à sous-munitions. Donc ? Ils font ce qu'ils veulent. P.S. Si t'es payé, c'est du vol. -
Guerre en Ukraine - Sujet général
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Promethee_Hades dans International
Je sais bien que ce n'est pas le sujet, mais bien comprendre que les revendications chinoises en Mer de Chine méridionale sont totalement délirantes, contraires à tout ce qui existe en matière de droit international de la mer. L'extension désirée, on parle de " langue de boeuf " à cause de sa forme, pointillés rouges, rogne les eaux internationales de tous les pays riverains. Aucun pays au monde n'accepterait ça, même le Monténégro, Malte, la Barbade, sous prétexte que le prédateur, c'est la Chine de Xi. Et je ne vois pas très bien pourquoi les pays concernés devraient l'accepter. -
C'est l'expertise gemmologique qui va dire ce qu'on peut faire de cette gemme. Il va être " cartographié ", modélisé. Avec un volume de 2 492 carats, il est impossible qu'il soit homogène en qualités (il y en a une dizaine de quantifiables), a contrario, même argument !, il doit bien y avoir des parties, des zones de qualité. Grâce aux moyens d'aujourd'hui, pas doute, on tirera le meilleur de cette pierre. Chaque partie de grande qualité deviendra un beau diamant taillé. Exemple du Cullinan, qui tient toujours le record : " Le Cullinan, incolore, fut fractionné en neuf énormes pierres principales (Cullinan I à IX) et 96 brillants ". Et si vous voyez un gros diamant brut quelque part, c'est qu'il ne vaut rien pour la joaillerie. Et j'en ai vu des très gros !
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Il n'est pas question " d'échapper " à Socrate, on l'aime bien ce vieux satyre. Par précaution, je serais juste aller le voir avec un short en alu !! Le jeune esclave, qui ne sait rien de la géométrie, est un homme : si Socrate décide de chercher chez un homme ce qu'il y a chez les hommes, c'est sûr qu'il va le trouver, surtout avec un exemple mathématique, c'est à dire non-subjectif, une vérité universelle. Socrate et cet esclave, c'est le prof et l'élève, etc. Idem pour les pythies de Delphes, etc., etc., les " réincarnations " des dalaï-lamas, des enfants très jeunes, choisis dans des familles très pauvres, très peu éduquées, ensuite placés et élevés dans des environnements culturels très riches, élitaires. A tout hasard, il y a déjà un fil " Ontologie ". Allez !, je sors ! Pour de vrai, je veux dire !
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Pourquoi ? A la suite de quoi : Tu as fait un choix : tu as décidé que c'était une pseudo-anecdote, donc fausse, et tu me traites de menteur, puisqu'il est question de reconnaître ses torts. Mode d'emploi pour le lien, c'est assez long, faire défiler le curseur vers le bas, quand la photo d'un bus pas très rock'n'roll apparaît, lire ce qu'il y a juste au dessus et juste au dessous du dit bus : ce n'est pas une pseudo-anecdote (j'ai le goût de l'anecdote, toujours rigoureusement vraie). https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1013463/juif-orthodoxe-hassidique-hassidim-montreal-brooklyn-williamsburg
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J’ai souligné : je sais ô combien tu apprécies cet effet… O.K., je me détends. " Mal venue par les temps qui courent " ? Ça mérite réflexion. Tous les orthodoxes du monde n'engagent qu'eux. Mais en disant " pseudo-anecdote ", tu me qualifies de menteur. Alors que j'ai fait une recherche, c'était en 2011, le maire c'était Michael Rubens Bloomberg, et c'est lui qui a dit stop à ce genre de pratiques et de revendications. Et en faisant cette recherche sur " mon " incident, celui dont je me souvenais, j'en ai vu d'autres !! Même problème : présence de femmes et de ces messieurs, dans des bus, des avions, etc. Je reviens aux diamants. Les belles pierres brutes qui sont envoyées à New-York pour être taillées par les meilleurs n'y sont pas vendues, à New-York, aux U.S., etc. Elles y vont pour un service et une fois taillées ces pierres repartent pour être effectivement vendues, aux joaillers de la place Vendôme, etc. Je dis ça, parce que les vendeurs de " Diamond street ", qui n'ont rien à voir avec les ateliers en question, eux, ont mauvaise réputation, ils surestiment leurs pierres parce que c'est " Diamond street ".
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Sur ce point, je suis totalement d'accord ! Ce fil est consacré à la découverte d'un gros diamant. Les plus beaux diamants (et autres pierres) du monde sont taillés par des juifs ultra-orthodoxes de New-York. On voit pire comme H.S. sur ce forum !! La crème de la crème qui arrive à Anvers prend l'avion pour New-York.
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Vas-y, fais toi plaisir. Quand t'auras le temps, tu m'expliqueras où est le tacle : tout est archi-vrai. Tiens, rien que pour toi. Sur la " place d'Anvers ", les juifs ne sont plus les premiers grossistes, ils sont dorénavant 2°, après les indiens, qui aiment follement les diamants et l'or. Comme t'as tout lu, t'as vu que j'avais une tante retraitée du diamant. Et je sais moi-même reconnaître un jolie pierre. Il faut supposer que tu aurais accepté les requêtes de ces messieurs ? Qui ne t'auraient pas voulu dans " leurs " bus. Sauf à être un laideron incapable d'émoustiller le moindre neurone, . La seule chose que tu as été capable de relever, c'est que j'ai été anti-sémite. Je te rappelle que c'est du passé composé. Et que cette expérience fait de moi un remarquable renifleur d'anti-sémites, même refoulés, un insider : je sais comment ça fonctionne. Je parie que je les renifle, les débusque, mieux que toi. Pour voir une pierre légendaire, sans prix : le Hope.
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Loufiat a écrit : " D'accord, mais alors je ne vois pas comment, si nous prenons cette direction, nous n'allons pas devoir nous en remettre à Socrate et à l'immortalité de l'âme, en définitive. Car enfin, cette profondeur c'est quoi, sinon l'âme ? " Mais j'ai déjà répondu à cette question ! Rien de grave. C'est l'Être, infini ontologique et potentiel. Ci-dessus, dans le texte " Après mûre réflexion, méthodiquement, 1,2 et 3 ", j'ai verbalisé une différence épistémologique entre étant, chose, cas général, exhaustif, et " Étants ", avec donc une majuscule pour distinguer du cas général : c'est ce que produit tout être vivant d'abord pour vivre sa vie. La fraise vue par moi, c'est une chose, un étant, ma vision de cette (" même ", Parménide) fraise, c'est une chose, un étant, plus précisément produit par moi, un Étant. Tout Étant produit par toi est un avatar de l'Être, infini ontologique et potentiel, dont tu disposes a priori parce que tu es vivant. Sous-jacente à tout formalisme, l'ontologie. Déjà dit, l'Être (" le ce que c'est ", au sens générique donc) est l'âme de la nature, mais s'il n'y a pas de vie, il n'y a personne pour la voir, la formaliser, la dire. Dés le moment où tu es vivant, c'est le matériau de base dont tu disposes a priori pour pouvoir générer les Étants qui te permettent de vivre ta vie (c'est la base). Exit l'immortalité de l'âme. Si tu meurs, cet infini ontologique et potentiel dont tu disposes a priori pour vivre ta vie, le matériau de base dont tu fais constamment, via ton corps, des Étants pour vivre Ta (sans tarder, introduire la conscience de Soi) vie, disparaît avec toi. C'est cela que Socrate, trouve, expérimente, chez ses interlocuteurs. Rien de plus normal : ils sont vivants et c'est êtres humains comme lui. Je commenterais très peu la suite de ton message : il me semble à moi qu'il en a toujours été ainsi dans les sociétés humaines. L'individu lambda a toujours délégué, quand il n'est pas forcé à le faire, etc., au chaman, aux anciens, aux techniciens, aux professionnels, etc. Petit rappel : je pratique la philosophie en autodidacte, pas d'autres formations que scientifique (biologie, zoologie). Je me permet d'insister sur les deux grandes catégories de choses, la première discrimination épistémologique : ce qui est tel pour tout le monde, tous les Sujets (l'oxydation du fer au contact de l'oxygène de l'air, il pleut, etc.), domaine du sens, et ce qui est tel par et pour tel Sujet, Subjectivité, domaine du Sens (j'aime bien, j'aime pas, etc.).
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Mais quand Heidegger et Sartre meurent (1976 et 1980), ils savent philosophiquement que la philosophie occidentale et continentale en l'état ne peut pas passer à l'action, n'est pas en mesure, philosophiquement, d'en motiver une.
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Tu savais que le Titanic avait un frère jumeau ? L'Olympic, qui n'a jamais eu de souci majeur, donc, on n'en parle jamais. Je ne suis pas superstitieux, mais " Titanic ", j'aurais évité. Des prélèvements effectués sur les plaques d'acier près des ouvertures occasionnées par l'iceberg ont montré des défauts métallurgiques. Sans ces défauts les ouvertures auraient été moins importantes. Pour te donner une idée, à la même époque, ces plaques avec ces défauts, en Allemagne, seraient restées sur les quais du chantier naval. A Hambourg, on peut encore voir ce genre de pièces refusées par les services qualité sur des quais, ça sert de bancs, de mobilier urbain, etc. Vraiment, vraiment, pas de bol ce bateau. J'ai lu que pour la version définitive du film, Cameron a poussé les scrupules jusqu'à reproduire le ciel exact, les étoiles, visibles, cette nuit là à l'heure là. Je regarde souvent le ciel nocturne, mais pas en cas de naufrage, O.K., je sors ! Sauf erreur de ma part, il est désormais interdit de plonger sur les deux morceaux de l'épave. Des milliards de bactéries, qui aime le fer, l'engloutissent tranquillement. C'est pour ça que les deux morceaux s'affaissent, se ratatinent, sur eux-mêmes.
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Homère (c'est une demi-blague, j'ai réussi à localiser les Planktes telles que situées dans l'Odyssée !), Parménide, Zénon d'Élée, Mélissos de Samos (oui, je me réclame de l'éléatisme), Descartes, Sade, Nietzsche, et la psychanalyse (autre demi-blague). Je leur dois beaucoup. Platon et Aristote, via leurs postérités respectives, ont fait un mal fou à une foule de philosophes au moins aussi grands qu'eux. Via Nietzsche, Heidegger, etc., on en revient un peu, mais c'est très très lent.
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Rien compris. Rien de surprenant, hein, on ne va pas se mentir. C'est pourtant une déclinaison du cogito, sorti de sa " Boite ", très claire, sur un fil consacré au cogito, dans la section " Philosophie ". Je t'invite à prendre la direction de la section " Sciences " pour ouvrir un fil (quantique, comme tu veux, fais-toi plaisir).
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C'est moi qui souligne. C'est qu'il me prend vraiment pour un débile léger avec un Q.I. de 60. Le réel est continu. Si pas de vie, pas d'instant, c'est une vue de l'esprit, etc., il n'y a pas d'instant au sens scientifique du terme. L'instant, c'est un truc de, par et pour le, du, vivant.
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Tu comprends rien. Ça n'a pas empêché Einstein de dire ce qu'il a dit sur la Lune (je connaissais l'expression), ce qui est complétement révélateur de l'influence du néo-kantisme sur l'université allemande du début du XX° siècle. Même Einstein était un homme, t'es pas au courant ? Je te parle racines, tu me causes fruits. Les lignes en question, c'est de la philosophie, de l'ontologie pour être précis, donc, il n'y aura pas un seul symbole mathématique autre que celui-là : " 1 ". Allez, assez de " Zenalpha " pour aujourd'hui. P.S. La citation de la femme est absolument authentique et verbatim, sic. Et tu demandes l'heure.
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Tu as donc enfin compris que les éléates s'interrogent, entre autres, sur le formalisme, les formalismes, les verbalisations, en soi. Que tu peux me dire, par exemple, philosophiquement, ontologiquement, dialectiquement, comment on passe de l'Être, infini ontologique et potentiel, au 1, tu as bien lu, le 1, l'unité des mathématiques. Et comme je t'aime bien, je t'accorde 10 lignes.
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La seule chose que ça m'inspire, et il se trouve que c'est vrai, c'est que même Einstein est un pur produit de l'académie allemande, qui est alors néo-kantienne. Heisenberg, etc., aucun n'y a échappé. Même un génie est d'abord le fruit de son environnement. Tiens, moi aussi je peux faire une blagounette façon " danseuse " ou " barman ". Une femme dit : " Je crois bien qu'à c't'heure ci je pourrais m'enfiler la Tour Eiffel ". Zenalpha, c'est celui qui demande l'heure !! Bien évidemment Zenalpha ne sort jamais sans son horloge atomique, ses boites de Casimir, ses fentes de Young, etc. Ensuite. Et donc, cogito, conscience de Soi, dans le cas du Sens, il y a " le ce que c'est " par et pour Toi, Moi, etc.
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Zenalpha, par exemple, " méritait " une telle leçon infiniment plus que moi. Idem pour l'habitué, son verre et le barman. Et, sur l'instant, tu me parles comme si je ne t'avais pas dit qu'adolescent (15 ans) j'avais écrit : " Instants fugaces ou fragments d'éternité ? ". Je suis un homme des bois, fils d'un homme des bois, la passion de ma vie, c'est la zoologie pas la philosophe. Mes instants les plus grands, c'est toujours avec du vivant que je les passe. Je suis un Observateur né. Je suis aussi bon pisteur que ton avatar, si c'est un indien d'Amérique du Nord ! Quand on a voulu savoir s'il restait du grand tétras (Tetrao urogallus) dans le massif du Vercors, c'est à moi qu'on a demandé. J'ai signalé a minima et de façon certaine un mâle adulte. Ces quelques lignes ont fait date, mais ce n'était pas une bonne nouvelle : c'est la dernière fois que cette espèce a été signalée scientifiquement dans ce massif, d'où il a disparu. Au bout de trois mois dans une forêt, tous ses habitants savent qui je suis. Il me faut 4 heures pour toucher un lézard qui ne fuit plus quand il me voit, etc. Et entre deux connexions, a minima, j'irais derrière chez moi, visiter le petit monde très heureux de s'y trouver. L'instant rencontre en permanence Ton (cogito) infinie profondeur, épaisseur, etc., ou la Mienne, etc. Quand tu parles de Tes instants, tu parles de Ta profondeur, de Ton épaisseur, de Toi, etc. Tu me parles comme si je ne te l'avais pas dit. Depuis des milliers d'années l'apprenti-homme se demande si ceci ou cela existe. Avec une philosophie méthodique, rigoureuse, on répond en quelques lignes. Et on peut avancer. Et je suis un travailleur forcené. Un de mes meilleurs amis m'a dit que je ne connaissais pas l'ennui. J'ai réfléchi deux secondes, j'ai admis. Après, chacun fait ce qu'il lui plaît (dans le cadre de la Loi, etc.). La science a eu son XVII°, je t'assure que la philosophie aura le sien. L'abbé Lemaître tutoyait Einstein, ils causaient d'égal à égal. Tu confonds deux types d'objets que j'avais pris la peine de distinguer aussi bien que possible. Occasion pour occasion, échange de courtoisie, alors : " L'Être, infini ontologique et potentiel, c'est l'âme de la nature, c'est le ce que c'est. Et s'il n'y a rien de vivant, il n'y a personne pour le voir ".
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Fais moi vite fait une équation pour le divorce de mon facteur, ça urge. Quelques photons pour ça déprime, j'aurais du y penser.
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L'éternité en langue française, c'est une propriété hypothétique qu'on donne au temps qui serait de n'avoir ni commencement ni fin. Ce qui est cité ci-dessus par Zenalpaha, n'est pas de moi, mais de Loufiat. Depuis Zénon d'Élée, le philosophe occidental, quand il philosophe, ne fait plus de mathématiques. Des fois je me demande si je parle français.
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Vague brune Allemagne : victoire inédite de l’extrême droite dans un scrutin régional
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Globure dans International
Il me semble que l'arme blanche marche aussi très bien en France. Dans le nombre d'infractions, le nombre d'infractions à l'arme blanche est très important. -
Ce qui est stupéfiant, c'est comme tu rames. En lisant la formule " mammouths violets ", tu as fais l'expérience de la formule " mammouths violets ". Point. Ensuite, méthodiquement, quid, etc., des " mammouths violets ". Ce qui est certain, c'est que si tu ne fais pas l'expérience de la formule " mammouths violets ", de quoi ce soit comme chose, pour commencer, y'aura pas de quid, suite, etc., possible. Un petit dessin, peut être ? Tu sais, personne ne t'obliges à poster sur ce genre de fil. Un peu de masochisme ?
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C'est moi qui souligne : Loufiat a écrit : " Alors, donc, l'éternité n'est pas ce qui échappe à ce changement, comme un résidu qu'on expulserait, c'est la prise de conscience, dans l'instant, que si ce qui existe, existe bel et bien dans son instant et à sa façon propre, alors l'éternité est ce qui comprend tous les instants, tous les existants, et qu'il ne peut donc rien y avoir qui en soit retranché. L'éternité est, pour ainsi dire, l'intérieur du temps, ce qui se passe à travers lui, et tout ce qui est sujet au temps, tout ce qui vient à être puis à disparaître, vient à être dans, par et pour l'éternité. Au final on en viendrait à identifier l'éternité au changement lui-même. Il y a " sous " le temps une chose plus fondamentale encore et qui " sous-tient” également et ensemble toutes les choses dans ce qu'elles sont et dans leur devenir. Je vais mourir, mais le présent, la présence, ne cessera pas d'être, c'est moi qui cesserait d'en être, ce moi comme corps et comme esprit actif. Quand bien même le temps se dilaterait aussi extrêmement qu'on veuille, ou se concentrerait inversement, dans les phénomènes. L'éternité, c'est l'instant. L'instant est la médiation par laquelle l'éternité fait irruption. Elle n'est pas comprise dans l'instant, mais l'instant est compris en elle ". En passant, ça m'a rappelé un truc griffonné adolescent : " Instants fugaces ou fragments d'éternité ? ". L'instant, c'est extrêmement piégeux. Il y a des philosophies entières qui n'en sortent jamais, " mieux ", bâties sur ce genre de malentendus. L'instant est d'abord foncièrement tel parce que, tel un piquet, il est piqué sur un tapis roulant, le temps lui-même, qui imperturbablement déroule. On ne peut pas fixer une durée (c'est à dire une mesure) à l'instant. On n'en finit pas de flirter avec le continu. Ta définition de l'éternité fait abstraction du temps, qui passe, par définition ! Ça pique un peu ! Mais j'entends bien ce genre de réflexions. Je m'autorise un petit détour mais j'y reviendrais pour finir. Parménide était un génie, pas de doute. Mais, on peut sans l'insulter, émettre quelques " mais ". Ce qu'il veut nous dire est du plus haut niveau. Et il fait le choix de nous le dire en vers, avec l'archi-classique, et ultra-contraignant, hexamètre dactylique. Il rame pour dire, il rame doublement pour le dire ainsi ! Pour l'ensemble de ce qui est, il nous parle, métaphoriquement, d'une " sphère ", au moins la métaphore s'entend. Et il n'a pas les talents de Zénon. Platon et Aristote ne sont jamais d'accords sur rien, mais ils le sont sur ce point : Zénon est le découvreur de la dialectique. Même chez les Grecs, les noms d'oiseaux volent bas, et même en escadrille, et en matière d'ego, c'est des monstres, mais on n'a jamais vu personne insulter Zénon en le qualifiant de sophiste. Là, aucun " candidat ", chez des types qui osent tout. On nous dit que c'est Aristote qui verbalise la distinction entre infini en acte et potentiel. Relativement aux textes dont nous disposons, c'est vrai. Il n'empêche que Zénon pratique cette distinction, fort bien, avec génie, brio, il met en " boite " ses détracteurs. " On n'en finit pas de flirter avec le continu ", ai-je dis, et ça commence à être un problème manifeste pour notre intelligence avec lui. Et de sous-jacent au continu, au réel, à la nature, à l'univers physique, etc., en acte, grâce à l'existence de l'être vivant, il y a des infinis potentiels. Juste " potentiels ", mais quand même extrêmement utiles à la vie : indispensables. On le sait depuis longtemps. Pas de mathématiques sans infini, infinis. Je renchéris : pas de vie non plus. Avec donc aussi, quelques pièges à la clé. Ce qui permet de comprendre, d'entendre, ceci : Et : " Instants fugaces ou fragments d'éternité ". C'est notre propre profondeur, grandeur, etc., potentiellement infinie, qui entre en jeu, qui est là. C'est une bonne nouvelle : on a une foule de belles chose qui ne demandent qu'à être saisies, dites, amenées à la lumière, introduites, injectées, dans le réel en acte pour y faire leur chemin. Il y en a de moins belles, mais ce n'est pas le sujet.
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( Ce n'est pas ce que je fais. Je distingue épistémologiquement deux types d'objet, l'oxydation du fer par l'oxygène de l'air, c'est du sens, le divorce de mon facteur, c'est du Sens : c'est un ou des Sujets qui sont concernés en tant que tels. Passons. Ta définition de l'éternité ? )
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Vague brune Allemagne : victoire inédite de l’extrême droite dans un scrutin régional
Neopilina a répondu à un(e) sujet de Globure dans International
En 2023, en Allemagne, il y a eu 14 000 infractions avec armes blanches.
