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Témoudjine

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Tout ce qui a été posté par Témoudjine

  1. Non, tu te trompes. Placé dans des circonstances exceptionnelles et contraint de faire un choix impossible d’ordinaire, l’individu est capable de faire n’importe quoi. Même la pire des atrocités sur des individus qui, d‘une manière ou d’une autre, l’ont amené à cette situation. Mais chez des individus normaux, il faut que la situation soit telle que le « tortionnaire » considère n’avoir aucun autre choix. Il torture pratiquement « sur obligation ». Problème qui s’est posé pour les français, mais sur une toute autre échelle, durant la guerre d’Algérie. Mais comparer et penser qu’il en est de même pour ce qui est du processus mental à mettre en jeu, pour ce qui est des procédés de l’armée allemande durant leurs occupations de territoires conquis (et pratiquement de toute la Wehrmacht et pas seulement les SS) et la situation actuellement imposée aux palestiniens est une aberration mentale.
  2. Je crains que tu n’aies qu’une idée fausse de ce qu’est Tsahal. Et de ce qui fait sa spécificité. Tu connais beaucoup d’armées dans le monde qui préviennent les habitants d’un bâtiment que dans cinq minutes ils vont le bombarder ? Et cela ne date pas de Gaza. C’est un principe dans l’Israël Air Force depuis des décennies. À l’exception évidemment des fois, c’est le cas actuellement à Gaza ou au Liban, où des gens du Hamas sont installés dans le bâtiment et tirent sur les forces israéliennes. Pour faire cela, Tsahal a inventé et utilise une bombe qui est envoyée sur le toit du bâtiment, qui y fait un bruit énorme, mais pas de dégâts. Et les palestiniens qui y résident savent qu’ils ont cinq minutes pour quitter les lieux. Les bâtiments desquels l’on ne tire pas sur Tsahal ou qui n’abritent pas de centres identifiés du Hamas ou d’un autre mouvement terroriste, et il y a trois douzaines d’autres mouvements terroristes, pour l’essentiel n’ont pas été détruits. Mais les médias présentent toujours les quartiers qui ont été dévastés. L’on a connu cela avec la guerre du Liban du temps d’Arafat. Mais d’autres quartiers sont intacts. Et la majorité de ceux qui ont été détruits, étaient vides d’habitants. Ils avaient été prévenus avant, à coups de bombes à bruit. Ce qui fait que les 40 000 morts déclarés par le Hamas avec la complicité de l’ONU, sont en réalité très loin du compte. 40 000 tombes sur un territoire grand comme un département français, 50 kilomètres sur 12, cela se voit vu du ciel. Et les satellites de différents pays, pays en majorité hostiles à Israël, qui passent sur Israël en permanence, ou qui y sont géostationnaires, ne parviennent pas à en trouver le quart de ce chiffre. Le dixième disent les spécialistes militaires qui examinent les photos. Et les palestiniens de Gaza, du Hamas ou pas, ont tous des téléphones prenant des photos et faisant des vidéos. Et l’ont fait abondamment en envoyant tout sur les réseaux sociaux. Combien de photos ou vidéos ont circulé sur Internet, montrant les centaines ou les milliers de morts nécessaires pour parvenir à ce chiffre bidon de 40 000 ? Remarque que ce n’est pas le chiffre le plus bidon qu’a présenté l’ONU au cours de son histoire. Avec l’Unraw elle a fait beaucoup mieux. Mais c’est une autre histoire. Israël est en conflit avec le Hamas qui lui a déclaré la guerre. Et une guerre de notre époque est toujours un moment où la majorité des victimes sont des civils. Mais les dommages collatéraux font généralement, font quasiment toujours, des victimes civiles. Mais si le Hamas n’avait pas, avec ses plus de mille kilomètres de tunnels aménagés, installé ses centres vitaux, commandement ou dépôts d’armes sous les hôpitaux, sous les écoles et sous les mosquées, il y aurait eu mois de victimes civiles. Il est fréquent que dans les réunions de chefs d’États-Majors des pays « civilisés », la remarque soit faite, et reprise par les médias militaires spécialisés, que les règles qu’impose Israël à son armée seraient impossibles à appliquer dans un autre pays de l’Otan. Par exemple, mais ce n’ait pas la plus forte, le fait que tout incident ou toute plainte émise par un civil contre Tsahal est l’objet d’une enquête fouillée. Que les plaignants soient militaires, civils, ou palestiniens. Et cela quel que ce soit le sujet. La cour suprême israélienne comprend des palestiniens. Elle suspend immédiatement les auteurs ou supposés auteur de l’incident et peut envoyer, et le fait, des soldats de Tsahal voire des officiers supérieurs,en prison s’ils sont reconnus coupables. Elle y a envoyé un premier ministre récemment, pour une affaire civile. La raison du comportement de Tsahal en est d’abord la composition de l’armée. Les milouim de Tsahal, les réservistes, y sont la majorité des soldats. Mais cela mériterait un développent qui prolongerait ce post déjà long. Mais si cela intéresse quelqu’un , je me ferais un plaisir d’en parler.
  3. Témoudjine

    De malo

    C’est excellent ! Avec les mêmes mots, ou d’autres mais pratiquement comparables, je n’aurais pas dit autre chose.
  4. Témoudjine

    interogation

    Autant de crédulité me sidère !
  5. Il est bien évident qu’il en est ainsi pour tout le monde. L’Évolution s’en est chargé. La nature est bien faite. Ou à peu près. Elle se trompe de temps en temps La finalité de la vie, du moins pour les gens sérieux et hors de toute considération de nature religieuse, c’est de se reproduire. Pour cela, au fil de centaines de millions d’années, l’Évolution a imaginé un truc amusant. À savoir que vie se transmet par le rapprochement de deux éléments. L’un venant de la fendue, l’autre du branchu. Pourquoi deux alors qu’un seul aurait suffit ? Va savoir ! Peut-être une simple erreur faite par la Nature à l’apparition de la vie sur la planète. Elle en a fait d’autres. Et pour être sûr que le rapprochement des deux éléments se produira bien, chez les mammifères pour ce qui nous concerne, la Nature a imaginé un système de molécules sexuelles qu’émettent les deux sujets pour les pousser à se rencontrer. Les pulsions sexuelles sont là pour ça. Chaque rencontre d’un homme et d’une femme est l’occasion, même si les intéressés n’en ont pas conscience, d’un échange d’hormones visant à inciter les deux protagonistes à se réunir pour se livrer sur le champ à une séance de zizi-panpan-farceur. Voire l’excellent film de Jean-jacques Annaud : La Guerre du Feu. Bien que datant d’une quarantaine d’années, il explique et illustre parfaitement la question. Surtout pour l’illustration et l’application du système. Pour renforcer les statistiques de réussite de l’opération, la Nature a fignolé le système en créant pour les fendues un système cyclique à deux fonctions. D’une part signaler aux branchus du secteur que c’est le bon moment pour aller visiter le pilou-pilou de la donzelle. Elle est fécondable, alors hardy petit ! C’est pour la France ! D’autre part de se débarrasser de restes qui sinon l’encombrerait pour rien. Mais les gisquettes, et les mâles aussi, continuent en permanence à émettre des hormones sexuelles. Nous avons perdu la majorité de l’odorat dont étaient dotés nos lointains ancêtres. Malgré cela, il nous en reste un peu. Suffisamment pour qu’inconsciemment la vue d’une femme pour un homme, ou d’un homme pour une femme, suscite chez l’autre un intérêt plus ou moins conscient, ou généralement inconscient, pour le représentant de l’autre sexe. C’est pour cela que certains hommes, et certaines femmes, dont l’odorat d’origine est un poil plus élevé que pour les autres, s’entendront spontanément mieux avec l’autre. C’est un reste inconscient de pulsion sexuelle qui se manifeste. Mais pour ce qui nous concerne, modéré et contrôlé par la Culture. Et c’est pour cela, Mak Marceau, que tu t’entends si bien avec les dames
  6. Il en va pour les industriels de l’automobile comme pour les fabricants de n’importe quel produit qui se vend à l’export. Chaque nouveau produit pose à ses commercialisateurs, quel que soit la nature de ce produit, de Danone à l’Oréal, des marchands de voitures aux labos de médicaments, un problème spécifique. il leur faut trouver pour ce produit un nom facile à retenir, vendeur, accrocheur, lisible et prononçable dans toutes les langues des pays ou ils veulent le vendre. Et ce n’est pas une affaire simple à résoudre. C’est un travail particulièrement délicat, et qui dans les grosses boîtes mobilise des dizaines de spécialistes, de publicitaires, de linguistes , qui planchent pendant des mois avant qu’ils ne se mettent d’accord. Certaines recherches de noms sont célèbres et entrées dans la légende de l’industrie. Le Gardénal, par exemple Il est évident que pour les coréens, parmi les premiers producteurs mondiaux de produits informatiques, et pour une bonne partie de la planète, le E se prononce aujourd’hui I. Et le hasard a voulu qu’en français vernaculaire le I-tron e prononce E-tron pour les français qui n’ont pas encore anglisisé leur vocabulaire. En outre pour des raisons commerciales et publicitaires, les fabricants de voitures ne peuvent pas donner à leur voitures un nom différent pour chaque modèle, selon le pays ou cet industriel souhaite vendre ses productions. Par ailleurs il est vraisemblable que ce nom ne va pas gêner les ventes de KIA. Il faut compter sur le snobisme des clients. Et sur la multitude de gens qui ne connaissent même pas ce nom d’étron.
  7. Témoudjine

    interogation

    Oh ! À te lire, j’ai cru qu’il s’agissait d’un véritable H.P. et que tu avais profité d’un moment d’inattention de l’infirmer qui avait ôté ta camisole pour envoyer tes posts. Toutes mes excuses pour cette fâcheuse erreur.
  8. Témoudjine

    De malo

    Tu as raison. Sur le fond nous sommes probablement assez d’accord. Mais peut-être sans suivre le même type de logique. Ce qui est sans importance. Tu écris : -« Va-t-on en conclure exactement qu'infliger une souffrance …/…qu'il sera alors difficile de qualifier de pathologiques … ». Évidemment l’on peut jouer sur les mots. Stricto sensu, pathologie ne signifie pas maladie tel qu’on l’utilise souvent par erreur et par abus de langage, mais étude des maladies. Mais si l’on parle d’infliger une douleur, cette douleur peut être de natures différentes. S’il y a douleur, et quel que soit l’acception que l’on donne au mot « souffrance », l’effet peut être de natures diverses. Évidemment, l’on peut jouer sur les mots. La douleur est une sensation plus ou moins vive que nous éprouvons. Mais nous l’éprouvons à travers nos organes ; cellules sensitives, nerfs, moelle épinière, partie concernée du cerveau, etc. Donc de nature physiologique. Mais nous pouvons la ressentir « physiquement », comme une piqure. Ou sans douleur physique ressentie, comme c’est le cas pour un choc psychique. Mais qui aura un retentissement sur l’une ou l’autre des parties du cerveau. Et par conséquence sur notre psychisme. Et au bout du compte il y aura un retentissement physiologique. Une réaction dermatologique par exemple. Mais le passage de l’effet douloureux ressenti à l’analyse par le cerveau et au retour de l’information chimique, c’est-à-dire aux directives données par le cerveau aux différents organes, aux glandes, aux sécrétions instantanées, etc, en réaction à la douleur ressentie, se fait pratiquement à la vitesse de lumière. Ce qui signifie que les deux effets, physiologique et psychique, sont intimement mêlés et en réalité existent presque en même temps lors d’une douleur ressentie. Par contre je ne comprends pas ce que tu veux dire par : - « ce qui déglinguerait un peu toute nos prétentions morale ou au moins moralisatrices » Il n’en demeure pas moins que l’appétence de certains individus à infliger des douleurs à l’un de leurs congénères, n’a pas de racines innées, ou liées à l’ADN, ou à la biologie. C'est bien un acquis provenant des circonstances , de l’environnement et la Culture.
  9. L'on ne saurait dire mieux.
  10. À l’Assemblée Nationale tu as raison. D’autant que la buvette de l’Assemblée, réservée aux députés, vend les boisons à un prix qui n’est qu’une fraction du prix véritable. C’est le contribuable qui paye le reste. Et les séances de l’Assemblée qui se terminent par un pintage plus ou moins général, ne sont pas rares. Certaines sont devenues quasi légendaires et ont laissé des traces dans la mémoire des députés pas trop jeunes. Pour les sénateurs, le problème est différent. Durant la majorité des séances il n’y a pas une dizaine de sénateurs présents. Il suffit de regarder les séances à la Télé pour s’en convaincre. Si un photographe vient photographier l’Hémicycle pour une raison ou pour une autre, un article de presse par exemple, ou si une visite d’un étranger illustre est annoncée, comme la présence d’un ministre important, et encore, à part de rares exceptions il n’y a pas davantage de présents. Mais l’on installe des membres du personnel du Sénat dans l’Hémicycle, pour « faire nombre ». Et les sénateurs, eux ont beaucoup moins tendance à abuser de l’alcool. Ce sont la plupart du temps des gens beaucoup plus sages, raisonnables et posés que les députés. Et c’est hors de l’enceinte du Sénat qu’ils se réunirons et prendront du bon temps. Mais beaucoup plus discrètement que les députés. Le mode d’élection des sénateurs est à lui seul un frein à des scandales « alcoolisés » des sénateurs.
  11. Dans ce cas, c'est que manifestement tu ne sis pas ce que tu veux.
  12. Tu as raison. Mais lorsque l’IA n’existait pas encore, la moitié de sites et propositions sur le Net était déjà un mélange de myriades d’escroqueries. Tu as un certain nombre de nos contemporains pour lesquels arnaquer son voisin est un besoin primaire. Et contre cela tu ne pourras jamais rien. Sauf peut-être si cette fameuse I. A. est capable un jour de déterminer si ce qui est écrit est vrai ou faux. Mais là … Quant à t’extraire des société amerloques en matière de tout ce qui touche à Internetet de tout ce qui gravite autour, tu rêves camarade.
  13. Témoudjine

    interogation

    Tu dis que tu pioges chambre 420. Mais l’adressage est insuffisant si tu ne nous indiques pas dans quel H. P.
  14. Tout cela c’est parce que tu as oublié de mettre de l’huile dans le carter avant la mise en marche de l’appareil. Tu aurais dû mieux lire le mode d’emploi. D’accord, ce mode d’emploi est écrit en idéogrammes chinois, et ce n’est pas l’idéal ici pour une bonne compréhension. Tu as un recours. Tu peux te retourner contre le fabricant de l’huile ou contre celui qui la distribue en magasins. En arguant qu’il n’avait pas marqué sur la bouteille qu’elle était d’abord destinée à faire fonctionner les ps5. Ou même contre Google Autenticator. Après tout c’est de sa faute s’il n’a pas pu authentifier convenablement cette bouteille d’huile. Avec un bon avocat, je suis certain que Google va être condamné à t’indemniser.
  15. Témoudjine

    De malo

    Non, il n’y a pas « une possibilité de liaison entre le physiologique et le psychique ». Il y a la certitude, la constatation, que cette liaison existe. Nous en avons maints exemples « de base ». Ne serait-ce que les nombre de problèmes dermatologiques dont l’origine est psychique. Par exemple le simple Zona. Si les rois de France, disait-on, avaient le don par simple contact, le jour de leur investiture officielle, de pouvoir « guérir les écrouelles », ce n’est pas une simple vue de l’esprit. Mis à part le fait que les écrouelles étaient d’abord une maladie de la misère, il est certain que le psychisme suffit parfois à créer ou à intervenir sur des troubles physiologiques. À débloquer des situations qui étaient nées d’un simple trauma. Lequel pouvait être ancien, datant de l’enfance, ou récent. Un exemple : J’ai bien connu il y a plusieurs décennies un photographe ami de ma famille. Il s’appelait Neyens. Le Citer est sans importance, il est mort il y a cinquante ans, et il n’a plus de famille vivante. Un véritable intellectuel, pas un pedzouille inculte. Un jour, accompagné d’un ami, et simplement pour s’amuser, ils vont consulter une diseuse de bonne aventure comme il y en avait du temps de ma jeunesse, qui venaient « travailler » avec leur mini caravane, dans les grandes fêtes des villes. Elle annonce à l’ami de Neyens qu’il va prochainement avoir un accident de voiture. Et à Neyens qu’il va avoir une maladie très grave. Manque de pot, l’ami a réellement un accident de voiture la semaine suivante. Pour des raisons professionnelles il passait beaucoup de temps sur la route et avait plus de risques que quiconque d’avoir un accident de la route. Mais il a été très gravement blessé. Et à partir de ce jour, Neyens, qui était loin d’être un imbécile, s’est lui-même rendu malade à se torturer l’esprit, en se demandant quand il aurait cette maladie annoncée. Il n’en dormait plus, ne mangeait presque plus rien, et a perdu rapidement le tiers de son poids. Cela a atteint un tel niveau qu’il s’est tricoté un très bel ulcère d’estomac qui s’est aggravé et dont il est mort au bout de quelques mois. Il est bien évident que le psychique est intervenu directement sur le physiologique pour parvenir à ce résultat. Un exemple encore plus éclairant. Grâce à l’informatique, la Sécurité Sociale peut analyser avec exactitude, dans le détail, la nature des ordonnances délivrées par les médecins généralistes. En France un généraliste est contraint de délivrer une ordonnance à chaque patient qui est venu le voir. Sinon, le patient considère que le médecin n’a pas trouvé la pathologie dont il pense souffrir, et q’'il est incompétent. Et il change de médecin. Un médecin qui dirait à un patient : vous n’avez rien que je puisse soigner et donc guérir, et vous n’avez pas besoin de médicaments, perdrait en quelques mois toute sa patientèle. Les statistiques de la Sécurité Sociale déterminent, et les chiffres sont stables depuis des décennies, que 7 patients sur 10 souffrent en réalité d’un problème de nature psycho-somatique. Il suffit pour s’en convaincre de regarder et disséquer quels médicaments sont prescrits à chaque patient. Et les ordinateurs de la Sécu savent très bien le faire. Et l’on constate que pour 7 patients sur 10, c’est dans le psychisme qu’il faut chercher la racine des maux physiologiques, souvent réels, dont le patient souffre. Et sauf dans les cas extrêmes, un généraliste ne va pas perdre un client en lui disant qu’il souffre d’un trouble de la personnalité. Le patient ne le lui pardonnerait pas. Non, les loups ne massacrent pas « des troupeaux entiers en pure perte ». Dans la très grande majorité des cas, les loups ne tuent qu’un nombre relativement limité de moutons ou de brebis. Et les spécialistes ont constaté que le nombre de bêtes tuées étaient le plus souvent lié au nombre d’animaux de la harde. Les loups agissent comme tous les animaux sauvages carnivores. Ils tuent un gibier et s’il est trop gros pour être emporté aussitôt à l’abri, ils le laissent sur place. Leur instinct, leur mémoire et leur connaissance du terrain, les poussera à venir les manger plus tard au fur et à mesure des besoins d’approvisionnement. Ce que font par exemple, tous les gros félins carnivores. Et lorsqu’il y a de vrais massacres, c’est le plus souvent parce qu’un troupeau de moutons, ou de brebis affolées, se sont précipités dans un vide, ou une forte déclivité. D’ailleurs les vétérinaires appelés à juger de la cause de l’égorgement des moutons par les loups, constatent que dans la majorité des cas, ils ne savent pas si les bêtes mortes du fait des loups, ou si des chiens errants, nombreux dans les régions habitées par des loups, sont les vrais coupables. Raison réelle, les propriétaires des moutons touchent une indemnité (par ailleurs supérieure au prix du marché) si les coupables déclarés par le vétérinaire sont des loups, pas si ce sont des chiens errants. Les vétos eux-mêmes n’opèrent pratiquement jamais le seul examen qui déterminerait la nature du prédateur. À savoir l’analyse des traces ADN laissées sur les bêtes mortes par les prédateurs qui les ont tués. S’il est établi, ou constaté par le vétérinaire, qu’il s’agissait bien de loups, l’éleveur est indemnisé. Pas s’il s’agit d’un chien errant, ou si l’analyse visuelle ne permet pas d’établir quel a été le prédateur. Les éleveurs de ces moutons sont aussi les clients de ces vétérinaires. Et déclarer qu’l s’agissait d’un chien et non d’un loup, alors que les trois quarts du temps ils n’en savent rien, leur ferait perdre instantanément un client. Et les autres éleveurs du secteur. Le Serment d’Hippocrate ne s’applique qu’aux patients humains, pas aux animaux. D’autant qu’en matière d’humains souvent ce Serment ne vaut pas grand-chose ; alors en matière d’animaux … L’analyse des ADN reviendrait à plusieurs fois le prix de la bête morte. Et c’est l’éleveur qui pairait. D’autant qu’il a été constaté de nombreuses fois que les chiens errants de nos montagnes, guettent les loups, et dès qu’ils ont quitté les lieux sur lesquels ils viennent de tuer et manger, ne serait-ce que partiellement, les bêtes tuées, ce sont les chiens qu’y s’y attaquent. C’est pour cela que généralement les éleveurs des moutons s’opposent eux-mêmes à des analyses trop pointues des bêtes mortes. Pour leur faire plaisir, et pour s’assurer les votes qui leur permettront de gagner le contrôle des chambres agricoles, ces chambres font, de temps en temps, une ou deux analyses véritables. Lorsqu’il est évident qu’il s’agissait vraiment de loups. Ils ne prennent jamais de risques. L’on n’analyse jamais les ADN recueillies sur une bête morte, sans être certain au préalable que c’est bien un loup qi est le prédateur en cause. Dans ce sport, les agriculteurs sont devenus des maîtres. Musk et Banon se sont illustrés hier, dis-tu par des saluts nazis. Il est probable qu’ils ne sont ni malades mentaux ni cons. Mais Musk s’est retrouvé dans la situation du Roi du Monde qui pouvait jouer avec les institutions, avec le droit absolu de décider de leur destruction et de la façon dont il pouvait les manœuvrer à son gré. Il joue au chef qui décide du droit de vie et de mort sur ses semblables. C’est certainement grisant. Banon se coule dans les pas de son maître, Trump. Comme lui, il considère que l’Amérique doit faire prévaloir d’abord son droit divin de décider de ce qui est bon ou pas pour elle. Et comme Musk, il pense, avec une certaine logique, que ce qui servira le mieux les intérêts des américains, et surtout de leurs industriels, dans l’avenir, et la chose à faire. Et il considère que vu la poussée de l’extrême droite partout en Europe, l’intérêt de l’Oncle Sam est de s’assurer la bienveillance de ces partis. D’où leur volonté, à lui, à Banon, à Trump, et à beaucoup de capitalistes américains qui partagent ces vues, « le pognon d’abord », d’aider l’extrême droite allemande et de tenter de lui faire plaisir au niveau du petit peuple souvent pro-nazi, par ces saluts nazis. En outre cela divise l’Europe, au bénéfice des américains adeptes des accords bilatéraux.
  16. Témoudjine

    De malo

    Félicitations. Cette plaque est remarquable. J’ai pris la liberté de la photographier sur ton mail. Je veux garder cette image.
  17. Témoudjine

    De malo

    - - - - - - Tu dis que ton sujet est resté en suspens. Il suffit de demander ! C’est seulement pour le plaisir du pilpoul. Tu dis que : - « … les souffrances infligées... / … sont des dommage collatéral de notre complexion psycho-physiologique ». Je crois comprendre que tu veux évoquer là la complexité des relations entre le psychique et le physiologique. Plutôt que la complexion qui s’appliquerait à l’organisme physique. Laquelle complexion ne peut concerner que le physiologique de l’organisme, et donc de ses organes. Mais ne concerne pas son psychisme. Les dommages collatéraux que tu évoques, s’ils existent sous cet angle, c’est-à-dire ceux que le psychisme d’un individu génère, ne peuvent être, de la part de leurs auteurs, que la conséquence d’un trouble de la personnalité. Ils ont quelques synapses qui se sont croisés les gambilles. Leurs mères n’ont pas eu le temps de les finire comme il le faudrait, ou s’est livré elle-même à des excès dans un domaine portant atteinte au fœtus durant la gestation. Simplement parce que nous sommes des mammifères. L’évolution a fait qu’aucun des animaux de la création n’a la tentation de faire souffrir l’un de ses semblables, ou d’une espèce différente, pour le plaisir de le faire. Ils n’en ont forcément pas la tentation, sinon ils le feraient. Et lorsque le chat joue avec la souris qu’il a attrapée, c’est vraiment pour le jeu. D’ailleurs la plupart du temps il laissera la souris partir lorsqu’il en aura assez. Ou il la tue dès qu’i l’a attrapée, mais c’est un geste de chasse, pas sous-tendu par une éventuelle intention de faire souffrir. Et pour ce qui concerne les humains, ils naissent sans pulsion innée liée à l’intention de faire souffrir leur prochain. Sans aucune notion innée qui les pousserait faire le mal. Cela vient ensuite en fonction de l'environnement. Les individus qui aiment faire souffrir leur prochain sont donc soit des malades mentaux plus ou moins atteints, soit des individus que l’on a « dressés » pour qu’ils apprennent à souffrir, ou finissent à l’usage par trouver qu’il est sans importance morale de faire souffrir. Quitte à finir par aimer cela. Et l’on trouve alors d’excellents SS. C'est une question d'éducation et de culture. Et tu rajoutes : - « … Et reste aussi une certaine zone d'ombre. Le mécanisme, la nature exacte du mécanisme qui fait que "je" ressente comme un bien, comme un allègement de ma propre souffrance, une souffrance que j'inflige à l'Autre... ». Qu’un individu finisse par trouver « normal » de faire souffrir autrui, parce que son entourage ou l’environnement l’y ont habitué, est une chose. Mais un individu qui éprouve un soulagement de sa propre douleur s’il fait souffrir une tierce personne, relève directement de la neuro psychiatrie. Et de la lobotomie, depuis que l’on a supprimé la peine de mort. Cela ne relève plus de la notion de « mal » appliquée à « souffrir » ou à « faire souffrir ».
  18. Je n’ai pas dit que le mot « droit » était mal choisi. J’ai dit que la formulation de la phrase qui posait la question pouvait générer des réponses différentes, associant plusieurs notions qui pouvaient se trouver contradictoires. Je me suis probablement mal exprimé.
  19. Témoudjine

    De malo

    Crétin ! Je ne me serais même pas permis de penser que tu ais un problème de compréhension. La seule qualité habituelle de tes interventions en témoigne. Je voulais simplement souligner que même s’il s’agissait de sujets un peu plus pointus que ceux qui d’ordinaire font le sujet de discussions sur le Forum, les documents et rapports y relatifs se trouvaient dans le commerce ou les bibliothèques et permettaient aux personnes à la recherche de clés, qui peut-être n’avaient pas encore eu l’occasion de se pencher sur la question, de s’y retrouver plus facilement. Grâce aux multiples documents, depuis la vulgarisation jusqu’aux aux résultats d’études et de recherches, disponibles. Désolé. Je comprends bien que ma prose, en l‘occurrence, était très maladroite.
  20. Ta question est mal formulée. L’on pourrait en poser d’autres de la même teneur. Par exemple, manger est-il un droit ? Respirer est-il un droit ? Dormir est-il un droit ? Non, ce ne sont pas des droits. Ce sont des nécessités pour l’organisme et si elles ne sont pas respectées, l’on meurt. Le droit si l’on se fie aux linguistes, et surtout à la Loi, c’est la possibilité pour un individu de faire ou de ne pas faire une chose déterminée. En l’occurrence de boire. Ce n’est donc pas une question de droit. Ce qui n’est pas autorisé est interdit. L’on ne peut pas interdire à des individus de boire. L’eau constitue au moins 60 % de notre poids. Davantage chez les obèses. Leur enlever le droit de boire, c’est les condamner à mort. Dans certains camps, les allemands en avaient fait un jeu. Ils enfermaient des gens dans un bâtiment clos et les laissaient enfermés sans manger ni boire. Et par des ouvertures vitrées, ils contemplaient les agonisants, jusqu’à ce qu’ils meurent. Ils trouvaient cela amusant. Ils en ont fait de multiples photos. Ils ont calculé qu’au maximum un particulier pouvait mettre jusqu’à un mois à agoniser avant de mourir. Dans ce domaine les allemands ont fait des statistiques au jour près. Gouderien fait remarquer que l’eau a malheureusement tendance à devenir une marchandise. Mais nous l’avons décidé et signé dans le premier traité de Maastritch. Que tout ce qui pouvait entrer dans le domaine commercial devait y entrer, sans restriction sur le principe. C’est d’ailleurs déjà le cas. L’eau du robinet, l’eau municipale, n’est pas gratuite. Le particulier lambda paye l’eau qu’il consomme. Alors qu’il devrait être admis que c’est l’État qui devrait fournir gratuitement l’eau municipale, l’eau « ordinaire », puisqu’elle est indispensable à la survie. Une personne totalement démunie et sans possibilité de payer de l’eau de son compteur est condamnée à mort. Il devrait avoir, lui, le droit de boire de l’eau. Et là, ce serait un droit.
  21. Témoudjine

    De malo

    Tu as d’excellents ouvrages récents de spécialistes de la question qui t‘indiqueront tout ce que prouve la recherche actuelle en la matière. Pratiquement tous les enfants, durant leur jeunesse et depuis leurs toutes premières années, ont un jour ou l’autre subit un traumatisme qui s’est inscrit dans leur inconscient. Ce trauma aura une influence certaine sur ce qu’ils seront par la suite. Mais la plupart d’entre eux n’en sauront jamais rien. Les biologistes expliquent que tout au long de la vie d’un individu, il garde un pied dans la génétique et l’autre dans la Culture de son environnement. Entre l’innée et l’acquis. C’est dans cet acquis que s’inscrit le trauma en question. Et ces différents facteurs s’associeront pour partager ce qui revient au conscient, et ce qui revient à l’inconscient. Merci. Très touché.
  22. C’est tout à fait exact. Le 7 octobre 2023, lors du dernier, et principal, pogrom organisé par le Hamas et quelques autres groupes islamistes, après les atrocités que maintenant tout le monde connaît, et qui classent leurs auteurs au rang des bêtes sauvages à abattre, le Hamas a enlevé, en sus de de 251 personnes et cadavres, les plus jeunes otages de l’Histoire. Les bébés Bibas âgés pour l’un de neuf mois et pour l’autre de quatre ans. Et les a assassinés (les autopsies réalisées hier en attestent), avant de rendre leurs dépouilles, hier, contre la libération de centaines de palestiniens. Dont les pires ont des dizaines de morts d’israéliens civils sur la conscience. Et ont poussé le cynisme, alors qu’ils s’étaient engagés dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu en cours à rendre le corps de la mère en même temps que celui des deux bébés, ont renvoyé à la place du corps de la mère des bébés le cadavre d’une femme gazaouie inconnue.
  23. Témoudjine

    De malo

    C’est toi qui ne comprends pas ce que je veux dire. Il ne s’agit pas d’avilir ou de dévaloriser qui que soit. Mais simplement de constater que les sciences ont prouvé et démontré un certain nombre de choses. En matière de foi, par exemple ce que les historiens déterminent, preuves à l’appui, comme étant une vérité historique. Sur des bases scientifiques. Et pour les personnes concernées, même s’il s’agit de gens intelligents, de décider qu’ils ne tiendront pas compte de cela. Que ce qu’ils ont appris quand ils étaient petits et qui leur était présenté dans leur famille comme une vérité, est forcément toujours une vérité. Quels que soient les arguments scientifiques qui prouvent que ce n’est aucunement une vérité. Que la vérité est autre. Et il est bien évident que si, malgré les arguments scientifiques qui leur sont présentés, ils continuent à persister dans des croyances irrationnelles, c’est qu’ils en ont psychiquement besoin. Que cela comble un manque dans leur psychisme. Et, je l’ais déjà écrit quelque part, si les personnes en cause acceptent de prendre le temps de réfléchir réellement à la question, de prendre le temps de l’analyser, de la voir sous un angle scientifique, dans la majorité des cas leur point de vue sur la question évolue durablement. Pour la majorité d‘entre eux la croyance irrationnelle est d’abord une solution de facilité. Ils ont d’autres préoccupations intellectuelles que celle-là, dont ils ne voient pas réellement l’intérêt immédiat. Tant qu’ils n’ont pas pris le temps d’y réfléchir. Et souvent c’est également une question de standing social. Nombre de gens s’obligent à aller à la messe du dimanche pour des raisons purement sociales, et qui n’ont rien à voir avec la foi. Si je comprends convenablement ton post, il serait plutôt positif pour moi. Merci.
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