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Témoudjine

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Tout ce qui a été posté par Témoudjine

  1. Juste pour le plaisir d’être un peu taquin. Le camarade « ire » s’est résolu à suivre le vent à la mode, et après avoir pris conseil auprès de l’association LGBT + ABCDY et +, il s’est résolu à se faire greffer un vagin artificiel. Un fabricant chinois vient d’en mettre sur le marché un nouveau modèle paraît-il exceptionnel. Du coup il vient de se faire faire de nouvelles cartes de visite. Souhaitons-lui une prompte régularisation de ses fonctions y relatives.
  2. Tu reproches en fait à Macron d’agir uniquement dans les intérêts de ce que tu baptises « l’oligarchie ». Sur le fond du problème, l’on ne saurait te contredire. Mais c’est faire trop d’honneur à Macron que de lui imputer la responsabilité de la chose. Le premier contrat fondateur de l’Union Européenne, le traité de Maastricht, a été bâti sur trois piliers principaux dont la somme établie que le but de la manœuvre était de privatiser à l’échelle de l’Europe tout ce qui pouvait l’être. Sans aucune exclusive. Et c’était, de mémoire, il y a plus d’une trentaine d’années. Tous les présidents que nous avons eu depuis cette date ont œuvré en ce sens autant qu’ils l’ont pu. Macron n’est que le maillon en cours d’utilisation de cette chaîne. Tu as évidemment raison sur le point que plus de la moitié de la dette publique est détenue par des investisseurs étrangers. Mais deux points sont à prendre en compte. Le premier est que les conditions d’emprunts offertes aux investisseurs étrangers et celles offertes aux investisseurs français sont les mêmes. Mais les investisseurs étrangers sont plus friands de dette publique française que les investisseurs français. Et ce n’est pas Macron qui détermine ces choix. Ce sont les vraies raisons de ce choix des investisseurs français et étrangers qu’il faut rechercher. Le deuxième point est que contrairement à ce que tu penses, le système comptable international et le Plan Comptable applicable aux détentions boursières des entreprises financières internationales et aux organismes financiers genre Fonds de Pension, qui s’imposent à tous les organismes financiers internationaux, font que l’on sait très exactement à une action près, qui détient la dette publique française. Dans ce domaine il ne saurait y avoir de « surprise du chef ».
  3. Tu justifies le titre de ta discussion : « Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il échoué ? » par quatre causes. La 1° - D’après-toi dès le début il a trompé son monde en prétendant vouloir faire de la politique au-delà de la gauche et de la droite. Ce qui d’après toi n’était qu’une arnaque. Reprends la liste de tous ses ministres, de tous ses gouvernements successifs. Regarde de quels bords politiques ils viennent. Macron a fait exactement ce qu’il avait annoncé. Et dis-tu, il ne se souvient de la gauche qu’au moment des élections. Peux-tu citer un candidat aux présidentielles qui dans l’histoire politique de la V° République a agi autrement, ne serait-ce qu’une seule fois, avec les partis qui ne le portaient pas dans son cœur ? Il pensait à eux en dehors des élections ? En 2° position, tu dis : « C'est un mauvais communicant, et un piètre DRH ». Sans blague ? Ce mec était un simple ministre. Il ne disposait d’aucun parti politique à sa botte. D’aucun réseau d’influence à la sauce politique française, peut-être à une ou deux exceptions près. D’aucun trésor de guerre au contraire de tous les autres partis. Et non seulement il est parvenu à se faire élire Président en ringardisant son chef politique au point de l’empêcher de se représenter, mais il est même parvenu à se faire réélire. Malgré ces conditions pas spécialement favorables, il aura passé 10 ans dans le principal palais de la République avec à se disposition Air Carla One pour ses déplacements personnels. Et ce mec est un mauvais communicant ? Mais s’il avait été un bon communicant, que serait-il devenu ? Empereur des Français ? En 3° motif, tu lui reproches d’être un ancien financier, malgré quoi il serait incompétent en Économie. Malgré quoi il a alourdi la dette. Macron a été banquier associé chez Rotschild. Mais l’activité réelle de ces banquiers associés n’a rien à voir avec l’activité d’un banquier classique. Rotschild n’est pas une banque au sens classique du terme. C’est un organisme financier qui tient le rôle d’un banquier d’affaires. Il ne prend en charge que les fusions-acquisitions et les opérations assimilées. Parmi les gens de la finance, ceux de Rotschild ne sont pas considérés comme des banquiers stricto sensu. Leur activité n’a rien à voir avec de l’administration financière. Si des électeurs l’ignoraient avant d’aller voter pour lui, alors c’est leur formation politique qui était insuffisante, pas les manœuvres de Macron qui ont eu une activité autre que celle que Macron annonçait avoir l’intention de faire. Et en 4° position de tes motifs, tu lui reproches de ne pas être loyal. D’avoir abusé du 49-3. Mais si les rédacteurs de la Constitution faite pour De Gaulle avait prévu le 49-3, c’est bien parce que l’équipe des constitutionnalistes qui ont rédigé la Constitution de la V° République, avaient bien prévu que cela pourrait être utile, voire nécessaire. Nous parlons là de politique, c’est-à-dire de choses sérieuses. De l’application, à la virgule près, de la Constitution. Et l’utilisation du 49-9, même en l’utilisant chaque fois que le gouvernement l’estime nécessaire, est parfaitement codifiée. Macron ne l’a utilisé que d’une manière strictement conforme aux textes. La loyauté n’a strictement rien à voir avec cela. La loyauté, c’est chez les scouts et les chefs d’armée. Pas en politique. Ou faut-il en déduire que pour toi un homme politique loyal est celui qui fait ce que toi tu souhaites lui voir faire ? Mais ce n’est pas comme cela que les choses marchent. Que cela ne plaise pas aux ennemis politiques de Macron, est une chose évidente, et parfaitement démocratique. Mais ce n’est pas pour cela que Macron, sur ce plan-là, a failli de quelque manière que ce soit. C’est seulement que les valeurs politiques et économiques auxquelles il estime, lui, devoir être fidèles, ne sont pas les mêmes que les tiennes. Sur tes 4 critères d’estimation de la qualité de son action, qu’aucun ne corresponde à tes souhaits, c’est parfaitement justifiable. Mais il n’est écrit nulle part qu’il doive en être autrement. Mais en reprenant tes propres critères d’estimation de son action, un type qui a été logé, nourri et blanchi durant dix ans dans les palais de la République, avec tous ces petits agréments qui améliorent si bien la vie des Présidents de la République en France, affirmer que ce type a échoué, est une thèse un peu osée. Au contraire, de mon point de vue il serait bon de souhaiter à chaque français d’avoir réussi sa vie aussi bien que lui la sienne. Si tu avais à ta disposition Air Carla One pour partir en vacances, trouverais-tu que tu as raté ta vie et que tu as échoué ?
  4. Je ne sais pas si cela s’arrange ou pas, mais je réagis seulement en fonction de ce que je lis. Que dans le contexte créé par l’anonymat d’un forum tel celui-ci, l’on soit tenté d’enjoliver un peu ses souvenirs, et de jouer à l’estimation de la taille du lion tué à la chasse dans les souvenirs d’un Tarascon méridional (pléonasme), c’est compréhensible. Mais ce qui moi m’agace au plus haut degré, c’est que l’on s’attribue des mérites et des faits d’armes imaginaires, sans s’être donné avant le mal de chercher ce qui dans ce que l’on va raconter serait susceptible de correspondre à la réalité. Même si c’est à une réalité fantaisiste. Lorsque l’on ne connaît pas « pour de vrai », les faits dont l’on va parler, il me semble être la moindre de politesses que de chercher d’abord quelle aurait été la réalité de ce que l’on va raconter si les faits en question n’étaient pas de l’affabulation. Ne pas se donner la peine initiale de chercher d’abord ce que serait la réalité si elle était « vraie », surtout lorsque l’on sait pertinemment que l’on ne connaît pas réellement la question, est de mon point de vue du vulgaire mépris à l’égard de ceux auxquels l’on destine son écrit. Avant de prétendre avoir plongé du 5 mètres à la piscine voisine, sans doute serait-il préférable de vérifier s’il y a bien une planche placée à 5 mètres dans cette piscine. Je n’ergotais pas sur la différence médaille / insigne, mais elle est l’illustration type de ce que j’ai écrit là. Ce qui est dit de ces « ustensiles » par notre ami, et plus précisément de l’insigne qu’il présente, montre simplement que celui qui a écrit cela ne l’a jamais porté. Et ne sais même pas à quoi il correspond réellement. Ni même s’il est plausible, et possible, qu’il soit « refusé » par le récipiendaire. Je suis manifestement un très mauvais camarade. Mais je trouve désagréable d’être pris pour un con, même si cela ne me vise pas spécifiquement. Susceptibilité déplacée de ma part ? Sans doute. Mais nous vivons dans un monde étrange.
  5. Es-tu certain que tu souhaites que l’on poursuive la discussion dans ce domaine, au point où elle est arrivée ? Tu devrais commencer par chercher le sens du mot « médaille » lorsqu’il concerne le monde militaire. Et tu devrais vérifier la différence entre médaille, décoration, attestation de capacité et de passage dans un centre spécifique d’entrainement, etc … Et au passage jette un coup d’œil sur le règlement de ce que tu appelles : « avoir le droit de la porter ». À quoi il correspondrait dans ce que tu te décernes « le droit de la porter ». Tu parles du droit de porter l’insigne que tu nous présentes ? Qu’est cet insigne à ton avis ? Tu crois vraiment qu’il s’agit d’une médaille ? Et qui plus est, d’une médaille que tu aurais refusée ? Tu termines par : « Je peux vous dire qu'à la fin on n'était plus des gonzesses ! » Mais à la fin de quoi ? Quel séjour as-tu fais dans ce Centre d’Entrainement Commando des FFA ? Et dans quelle unité as-tu servi avant de ce séjour dans ce Centre ? Tu n'es pas allé directement de la vie civile à ce Centre. Ce n’est pas de l’indiscrétion de ma part. Je suis simplement intrigué par tes dires et incohérences de récit.
  6. Ce chant des Lansquenets fait partie d’un corpus de chants de marche des mercenaires germaniques dont les dernières unités vraiment constituées ont disparues à la fin du Saint Empire Romain Germanique et à l’abdication de François II. Dans les premières années du XIX° siècle. Un siècle avant que les Waffen SS ne viennent s’illustrer à travers l’Europe.
  7. C’est évidemment une chanson militaire d’origine germanique. Mais si tu avais dû la chanter en marchant au pas, tu t’en souviendrais. Ce ne pourrait être que dans un cadre et des circonstances liées à la nature de la chanson. L’on ne chante pas ces chansons dans la bif ou les riz-pain-sel. Tu intitules ta discussion : « quand j’étais commando ». C’est juste une façon d’introduire ta discussion, ou sinon quel sens donnes-tu ici au mot commando ?
  8. Tu dis : « Autre religion même haine on en sortira jamais p'tain ! » Sur ce coup, tu dis des bêtises. Autre religion, d’accord. Tu évoques les Religions du Livre, donc la Bible et le judaïsme, les Évangiles et le christianisme, et le Coran, donc l’Islam. Même haine, dis-tu. Où es-tu allé chercher cela ? Les hébreux, puis les juifs ensuite, n’ont jamais voulu imposer leur foi à quelque peuple que ce soit. Au contraire. Les plus religieux n’acceptent même pas que des non juifs se convertissent au judaïsme. Sans mauvais jeu de mot, pour un goy devenir juif est un vrai chemin de croix. Où as-tu vu que les juifs soient incités à haïr les musulmans ou les chrétiens ? Par contre les chrétiens, pour pouvoir obtenir un soutien populaire aux croisades, se sont cru, eux, devoir exciter une haine opiniâtre des chrétiens envers les musulmans. Et au passage, sur le chemin des croisades, contre les juifs. L’on oublie généralement que les croisés qui allaient « libérer » le tombeau du Christ à Jérusalem, ont massacré plus de juifs en chemin, dans les pays traversés par les croisés, qu’ils n’allaient ensuite massacrer de musulmans au Moyen-Orient. Les papes et le Vatican voulaient profiter de cette expédition anti musulmane, pour tenter de régler en douce un vieux compte qu’ils avaient, et ont toujours, envers les juifs. Mais de ces trois religions, seuls les chrétiens d’abord, et les musulmans ensuite, haissaient leurs ennemis par principe. Ton affirmation : « autre religion, même haine » ne tiens pas en cette occurrence. Ou seulement entre musulmans et chrétiens jusqu’à l’époque moderne. Et ne concerne plus de nos jours que les musulmans. Musulmans à la fois contre les chrétiens en France, et contre les juifs partout sur la planète. Mais il n’y a jamais eu une doctrine juive incitant les juifs à haïr les membres des autres religions. Par contre, il n’est pas nécessaire de revenir sur les fondements du Coran. Les autres peuples, quelle que soit leur religion, doivent tous se convertir à l’Islam, ou devenir des dhimmis. Ou devenir musulmans par redressements à coups de sabre.
  9. En quoi est-ce que cela a quelque chose à voir avec des « accents quasi bibliques », Ou avec ce que tu prétends être l’un des fondamentaux de la Loi Mosaïque : - « fumier contre fumiers » ? Tu réécris ta propre version des fondamentaux de la Loi Mosaïque ? Ou tu voulais simplement citer l'expression « la Loi Mosaïque » parce que c’est une citation qui « fait riche », alors qu’à l’évidence elle n’a rien à voir avec le contexte ? -
  10. Il ne faut pas confondre implantations commerciales et colonisation. Tu as raison, il est évident que ce n’est pas au nom de la chrétienté que la France a colonisé l’Algérie ou le reste de l’Afrique de l’Ouest. Mais c’est au nom de la civilisation occidentale dont l’horizon chrétien était le fondement. Suivaient directement les troupes, au point de voyager avec elles et aux frais de l’État, émargeant directement aux subsistances militaires, deux organisations : La première était le système des BMC. Les Bordels Mobiles de Campagne. En garnison en France, le système existait officiellement depuis Saint-Louis, qui a été le premier grand maquereau en France et plus généralement en Europe de l’Ouest. Il est le premier à avoir fait établir par ses percepteurs un registre officiel de tous les claques de France et de Navarre. Avec identité de chaque « employée ». Et à avoir contraint les tenanciers de bordels à payer un impôt par tête de dame tapineuse. Et la seconde organisation qui arrivait dans les malles de l’Intendance Militaire, était l’Ordre des Pères Blancs. Sous le nom initial de Missionnaires d’Afrique, du moins dans un premier temps. Ils avaient déjà monté leurs premiers réseaux de chapelles catholiques trente ans avant 1865 et ton missionnaire au Dahomey. Dans tous les pays qui constituaient l’Empire Français, l’église et le bobinard militaire étaient les deux organisations installées les premières.
  11. Mais dans ce cas de compartiments exclusivement féminins, ne pourrait-on pas craindre qu’ils deviennent vite des compartiments chambres de passes pour dames lesbiennes ? De la même façon que des compartiments assurés « pur messieurs », seraient vite squatés par des dames tapineuses travaillant à la carte ? Et sur réservation. - Une place pour le Paris Metz de 17 h. 45. Aller simple, seconde classe. - Ou première classe pour les dames qui ont les fesses sensibles. - Accepte CB, Visa et Paypal. Mais après tout, il y a peut-être une idée à exploiter de ce côté-là !
  12. De quelle médiation parles-tu ? À quelle époque ? Entre quels francs et quels vikings ? À partir de l’arrivée de l’Islam, les colonies ont toujours été religieuses, même si la religion n’a été bien souvent que le prétexte à la colonisation matérielle. Les négociants ont toujours suivi immédiatement les religieux chargés des conversions. À l’époque des bisbilles entre les francs et les vikings, l’on était encore loin du phare de la République. Ou alors de quelle République parles-tu ?
  13. Qu’il te faille une autorisation du maire et du préfet est une évidence. Mais où es-tu allé chercher qu’il y faut également une attestation du curé de ton village ? Et en outre, tu n’as pas précisé si ce curé devait être en soutane ou en civil. Robe ou tenue de clergyman ? De plus, mon curé est shintoïste. En quoi doit-il être déguisé pour la cérémonie ? Il a de splendides masques de cérémonie. Mais ils sont très colorés. Pourront-ils aller quand-même ?
  14. Admettons pour l'aller. Mais pour le retour ? Par contre, celui qui serait allergique au lait, que pourrait-il faire ?
  15. Ce n’est pas une réponse. Juste une échappatoire. Ou n’aurais-tu pas de réponse logique ?
  16. La question posée initialement par Pirène était : - « Est ce que vous pensez que l'islam puisse trouver les moyens d'une réforme dans les pays occidentaux ? Ou non ? » Il n’y a qu’une seule réponse à cette question : Non, l’Islam ne peut pas trouver les moyens d’une réforme dans quelque autre religion ou philosophie que ce soit. Pour une raison élémentaire. Parce qu’il s’agit avec l’islam d’un côté, et les autre religions ou philosophies de l’autre, de deux conceptions du monde et de la vie des sociétés totalement non seulement différentes, mais opposées et antagonistes. L’Islam est une religion dont les fondements, pour ses adeptes, ne relèvent que de Dieu. La vie sociale et politique d’une société islamique ne relève exclusivement que de Dieu, et en bonne religion révélée, de ses représentants. Et rien n’est au-dessus de Dieu, et des dits représentants. Une société dans laquelle Dieu est au-dessus de la Loi, ne fera jamais de progrès sur le plan social. Et dans l’Islam la prééminence de la « Loi » de Dieu sur celle des hommes, ne se discute même pas. Il en était de même, jadis, des deux autres de nos principales religions révélées, le christianisme et le judaïsme. Mais les trois ont évolué différemment. Surtout à partir de la première période du Moyen-Âge. Symboliquement, principalement à partir de la fin des années 350-400. Même si pour l’Islam les choses débutèrent deux ou trois siècles plus tard. L’Humanité occidentale a commencé à faire des progrès cognitifs importants, scientifiques et intellectuels. Et tous ces progrès sont allés dans le sens d’amener, lentement mais surement, les mentalités des peuples occidentaux, ceux d’Europe de l’Ouest, vers des principes d’existence qui se sont orientés peu ou prou vers une forme de laïcisme. Vers une forme de démocratie balbutiante. Qui s’améliorera au fil des siècles. Et continue à le faire. Mais chaque pas vers la Démocratie ne peut s’accomplir qu’au détriment des Lois et des avantages dont jouissent les religieux. Chaque avancée vers le Droit et l’égalité de traitement entre femmes et hommes ne peut s’accomplir pour une religion révélée qu’au détriment de la foi officielle prégnante dans la Loi. Au fil des siècles, les chrétiens et les juifs ont progressé dans la compréhension de l’administration des sociétés, et des libertés publiques. Et depuis près de trois millénaires pour les juifs, depuis près de 1 700 ans pour les chrétiens, les peuples concernés ont débuté leur marche vers le « Progrès ». Mais les musulmans sont seulement en train d’entreprendre la leur. Avec en gros 1 300 ans de retard sur les deux autres. La Science va beaucoup plus vite aujourd’hui qu’au Moyen-Âge. L’Islam ne mettra probablement que deux ou trois siècles pour parcourir le chemin que les deux autres ont mis deux millénaires à accomplir. Du moins acceptons- en l’augure. Mais une inconnue importante va se mêler du problème. Il y a en ce moment sur la planète une poussée de religiosité. Tous les islamistes en profitent pour installer des murailles et des fortifications morales entre les communautés musulmanes et les autochtones. Le but des islamistes est de séparer le plus possible les communautés islamiques des autochtones. En l’occurrence ici les musulmans et les autochtones. Les Services de Surveillance Intérieure estiment qu’à l’heure actuelle 150 quartiers en France, sont tombés entièrement sous la coupe réelle d’organisations musulmanes, généralement islamistes. Et dans ces 150 quartiers, la Police ne pénètre plus sans une forte escorte et avec un ou deux escadrons de CRS en appui. Il est évident que ce n’est pas sur eux qu’il faut compter pour développer dans les quartiers les principes de Liberté dont peuvent jouir les jeunes filles et les femmes. Ces quartiers sont considérés sur le plan policier comme des petits gouvernorats quasi indépendants. L’on en est arrivé au point où la police a littéralement « délégué » aux islamistes locaux la surveillance et la régularisation de la vente de drogue sur le plan local. De larges secteurs de Marseille et de Lyon seraient gérés de cette manière pour ce qui concerne la drogue. Et cela ne date pas d’hier. L’on raconte que les secteurs concernés sont plus calmes et moins dangereux maintenant qu’ils ne l’étaient avant. Si ces mœurs mafieuses s’accompagnaient de progrès sociaux pour la population musulmane locale, après tout pourquoi pas ? La drogue et l'Islam vont peut-être s'associer pour permettre aux filles de sortir en jupe courte ou en pantalon.
  17. Témoudjine

    Abus de pouvoir

    Il est exact que l’article 3 de la DDHC précise que toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Que nul corps, nul individu, ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. Les mouflets l’apprennent en grande section de maternelle. Et alors ? Qu’en est-il actuellement ? Le Président et ses ministres sont effectivement en mesure d’exercer, mieux ils exercent effectivement, une autorité qui émane directement de la nation. Elle est la résultante des péripéties qui ont suivies les déboires du pouvoir et des mésaventures de la vie politique de la nation. Laquelle s’est peut-être déroulée d’une manière un peu erratique, du moins du point de vue des anti-Macron, mais parfaitement conforme aux Textes et aux Lois en vigueur. Jusqu’à ce jour Macron n’a rien fait qui soit en contradiction avec les Textes. Tu écris : - « Ça fait un mois et demi qu'on a voté et Macron ne respecte pas ses obligations. C'est son devoir de nommer un premier ministre, d'assurer la continuité de l'État et de veiller au bon fonctionnement des institutions, donc de nommer rapidement un gouvernement. » La continuité de l’État est parfaitement assurée, même si le poste de premier ministre n’est pas tenu par un second couteau de Mélenchon. Aucun des rouages de l’État n’est grippé. Les décisions qui ne sont pas prises maintenant ne sont que reportées, et lorsque les choses reprendront une marche normale, tout rentrera vite dans l’ordre. Ce sont les Directeurs d’Administration qui font marcher les ministères. Pas les ministres. Et conformément aux Lois et Textes en vigueur, Macron peut faire encore durer le plaisir durant des mois. Contrairement à ton interprétation personnelle, il n’a aucune obligation de nommer rapidement un gouvernement. Il se fout du monde en faisant durer le plaisir ? Évidemment ! Mais c’est son droit le plus strict.
  18. Témoudjine

    Abus de pouvoir

    Tu écris : - « Par conséquent, un gouvernement démissionnaire ne peut rester en fonction trop longtemps. Aucune limite de temps n'est inscrite, c'est vrai, mais comme toute norme, l'interprétation de ces articles doit conduire à nommer un nouveau gouvernement dès que possible. » Sois logique avec toi-même. Le français est une langue relativement précise. Ce n’est pas pour rien que pratiquement depuis la Renaissance, le français est officiellement la langue diplomatique internationale. À partir du moment où tu admets, mais il n’est pas possible de faire autrement, « qu’aucune limite de temps n’est inscrite dans les textes », alors il n’y a pas de normes. Contrairement à ton affirmation : … comme toute norme …». Dans la même phrase tu précises qu’aucune limite de temps n’est prévue ou précisée, et tu rajoutes : « l'interprétation de ces articles doit conduire à nommer un nouveau gouvernement dès que possible ». Pas de limite de temps prévue par les textes, et c’est donc la seule interprétation de celui qui lit cet article des textes qui en déduit, parce que c’est ce que lui préfèrerait, toi en l’occurrence mais pas les textes, qu’il doit être nommé dès que possible. Nous sommes un pays de Droit et de Textes. On n’interprète pas la Loi, on l’applique. Et si précisément ce point ne figure pas dans les Textes, alors Macron a toute latitude pour l’utiliser comme il l’entend. Il n’est pas en tort. Il se contente de bénéficier d’une faille existante dans les textes. Ce qui et son droit le plus strict. Et ce que n’importe qui se retrouvant à sa place, ferait avec délectation. À commencer par le petit stalinien d’opérette et ses sicaires des Frères Musulmans. Macron n’est pas ma tasse de thé. Mais il n’est pas un imbécile. Avant de prendre chaque décision importante, surtout celles susceptibles d’être sujettes à interprétation, il commence évidemment par prendre l’avis des constitutionnalistes. Il prend soin de vérifier avant ce qu’en disent les textes. Il a un certain nombre de défauts, mais il n’est pas débile. Ce n’est pas parce que les décisions qu’il prend ne plaisent pas à Mélenchon, qu’il faut tenter d’infléchir les textes dans le sens qui ferait plaisir au petit stalinien pro-islamiste.
  19. Tu penses que : - « Lors de la suppression du service militaire obligatoire , des casernes auraient put ètre "réhabilitées " en prisons ? rien n'a été fait ! la crise du logement en milieu carcéral est une réalité !!! ». Non, les casernes n’auraient pas pu être « réhabilitées » en prison. Mais transformées en prison, certainement. Mais pour cela il aurait d’abord été nécessaire de déterminer si l’armée était certaine de ne plus avoir besoin de ses casernes. Et la France n’avait aucune expérience en cette matière. En conséquence de quoi, nos responsables politiques et nos grands chefs à plumes des États-Majors ont préféré ne pas prendre de risques irréversibles. Et ont préféré ne pas se précipiter pour transformer trop vite le domaine militaire. D’autant que tout ce qui relève du domaine militaire est susceptible de se transformer très vite, en fonction de la mise en œuvre des nouvelles découvertes et de développements inattendus de la recherche ? D’autant que supprimer un Quartier militaire correspond également souvent à supprimer un poste de commandement. Que deviendrait-il des tableaux d’avancement si l’on jouait à colin-maillard avec eux ? Il est certain que l’avenir est aux unités spéciales et aux forces spéciales. Mais les riz-pain-sels seront toujours nécessaires, et ont toujours occupé au moins autant de volume disponible que les vrais soldats.
  20. Plusieurs participants s’interrogent quant au sens des questions qui sont posées par différents intervenants. Il est vrai qu’elles sont sujettes à interprétations et sens divers. Sans doute serait-il nécessaire de reformuler les questions posées, depuis la première énoncée. L’une des interprétations semble être de savoir si l’Islam est oui ou non préoccupé à chercher d’abord à amener une modification des autres religions dans le sens des principes généraux de l’Islam. Si l’Islam cherche à avoir une attitude qui aille dans un sens allant dans le sens d’une rigidité des règles non seulement de l'Islam, mais également de l’Islam. Dans le sens que l’Islam aurait à orienter ses principes, et à forcer les autres religions, à se teinter d’islamisme. De s’orienter vers le rigorisme islamique. Ou si au contraire il est possible pour les autres organisations religieuses et religions diverses, de guider l’Islam vers les mœurs occidentales. C’est-à-dire vers les principes prônés par les autres religions que l’Islam, et susceptibles de recevoir des interprétations atténuant les principes les plus rigides de L’Islam. Serait-il préférable de tenter d’utiliser les autres religions que l’Islam pour tenter d’atténuer les principes rigoristes de l’Islam ? Serait-il préférable, au niveau des autres peuples monothéistes de la planète, de tenter de favoriser l’exercice de l’Islam, ou l’exercice des autres religions monothéistes ? Quelle religion serait-elle plus "apporteuse" de bien-être pour les peuples occidentaux, entre l’Islam et les autres religions monothéistes ?
  21. Témoudjine

    Nouveau , besoin d'échanger

    En somme, pour résumer l’histoire vue par toi, c’est simple. Depuis deux ans tu travailles dans une petite entreprise de 7-8 employés, après être passé dans plusieurs autres entreprises. Dans lesquelles tu dis n’avoir fait que passer. A te lire, l'on commence à comprendre pourquoi. Dans ta boîte actuelle, ils ont bien de la chance de t’avoir, parce que c’est toi qui assures le travail réel de 2 ou 3 employés. Les autres employés n’ont aucune conscience professionnelle et font le minimum. Heureusement que tu es là, sinon l’on se demanderait comment la boîte pourrait encore fonctionner. C’est un miracle qu’elle parvienne à fonctionner encore. Puisque tu fais toi-même la moitié du boulot, que les autres ne foutent rien, et que la boîte fonctionne encore, c’est qu’au total cette entreprise ne fout rien de toute façon. Ton activité principale, que tu détailles complaisamment pour ce qui concerne le temps perdu par tes collègues, est donc de chronométrer le temps que l’un de tes collègues passe aux toilettes. Dans les faits, tu t’es arrogé le rôle de vérificateur de la merde. Ton patron n’a pas besoin d’une pointeuse. Avec toi, il en a une. Es-tu certain que ce n’est pas parce que tu en tiens le rôle, que tu fais encore partie du personnel de cette entreprise ? Tu es le seul qui bosse réellement dans cette boîte et même si un ou deux autres de tes collègues sont tout autant révoltés que toi parce que les autres ne foutent rien, tu les trouves « « trop lâches pour s’en mêler ». Mais peut-être est-ce tout simplement parce qu’ils considèrent que leur rôle n’est pas d’être le délateur de service. Tous n’ont pas comme toi la vocation d’être un dénonciateur dans l’âme. Si tu avais eu l’âge nécessaire durant la dernière guerre mondiale, il n’aurait pas fallu habiter dans la même rue que toi et se mêler de Résistance. Le jour où par malheur tu l’aurais appris, dix minutes après, la Gestapo envahissait le secteur. C’est toi qui aurais été tondu à la Libération. Pas les Dames de Chartres. Fais gaffe que si un jour tes collègues que tu calomnies autant ne s’énervent, ils ne sortent une tondeuse et ne te tondent. Tu l’aurais bien cherché. Une remarque en passant. Tu reproches à tes collègues de ne rien foutre au boulot. Mais en même temps tu prends soin de préciser à quelle heure tu écris tes post. Le dernier à 10 heures 29. Mais à cette heure-là tu es censé être au travail et pas du tout te livrer à ta correspondance personnelle. Ce matin à 10 heures 29, ce n’est pas le collègue que tu accuses de ne rien faire, qui ne faisait rien. C’est toi. Tu emploies le temps que te paye ton employeur à rédiger ton courrier personnel. Ce n’est pas beau, cela. J’espère pour toi qu’aucun de tes collègues ne sera assez salopard pour te dénoncer. Heureusement pour toi, la plupart des gens, eux, ne sont pas des rapporteurs
  22. Je crains que tu n’aies pas compris le sens de ce que j’ai écrit. Je n’ai pas su me faire comprendre. Je n’ai jamais dit que je trouvais cela « normal ». Encore qu’il faudrait commencer par se mettre d’accord sur le sens du mot « normal » en cette occurrence. J’ai dit que dans les deux cas cités, la charcutière ou la vedette de porno, les processus mentaux mis en œuvre par les quatre protagonistes sont les mêmes. Dans les deux cas une mère a besoin de l’aide de son fils pour parfaire son activité professionnelle. Et dans les deux cas ce fils apporte son aide à sa mère. À la totale satisfaction de cette mère. Où se situe la différence entre les deux cas, à part au niveau de l’appréciation morale que chacun des participants peut porter quant à sa participation personnelle ? Dans chacun des deux cas, l’appréciation que feront de leur participation à l’acte final les deux participants, à savoir d’une part la charcutière et son fils, ou d’autre part la montreuse de croupion et son fils, peuvent-elles être moralement dissociées soit de leur rôle personnel, soit de leur connaissance de la finalité de l’acte ? C’est de cette distinction que dépend l’appréciation morale que chacun des protagonistes va porter. Et donc que porterait éventuellement la responsabilité morale dont chacun d’eux acceptera de supporter la charge morale. Si le fils filmeur considère que son rôle, et donc sa responsabilité morale dans la finalité de l’acte se limite à la responsabilité de filmer sa mère parce que cela lui rend service, c’est une chose. La finalité, c’est-à-dire la démonstration d’un acte sexuel et la vente du film en résultant n’étant pas de son ressort, il peut parfaitement se considérer comme exonéré de toute préoccupation morale. Le fait de réaliser un acte vidéo n’est pas en lui-même un acte moralement répréhensible. Sous réserve qu’il ne puisse pas considérer qu’améliorer l‘éclairage et donc la qualité du produit fini ne va pas participer au succès du produit fini et mis en vente, donc qu’il ne va pas participer à la finalité recherchée de l’acte. À savoir parvenir à rentabiliser financièrement la vision par des tiers des fesses de sa mère en pleine action de simulacre de reproduction. Donc être coresponsable du produit fini, donc de la charge mentale et morale d’un acte qui pour d’aucun pourrait être considéré comme moralement répréhensible. En d’autres termes, qu’en est-il de la responsabilité des petites mains dans la recherche des responsabilités éventuelles, d’une part sur le plan moral, mais au-delà sur le plan possiblement pénal.
  23. Témoudjine

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    Au bout du compte, en quoi consiste le travail que l’on fait dans cette entreprise ? Et en quoi consiste ton travail personnel, à part chronométrer tes collègues ?
  24. Si l’on suit tes explications, cette attitude de mégère indigne n’est pas nouvelle, puisque ta mère qui était encore enfant en souffrait déjà. Tu nous contes l’histoire des habits dont cette grand-mère privait ses enfants. Ou celle de la paillasse sur laquelle elle faisait dormir Cosette, pardon sa fille, ta mère, comme dans une prison du Moyen-Âge. Sans même une couverture. Bref : une femme ignoble et une mère indigne. Mais au passage et incidemment, quant était-il de ton grand-père ? Il prêtait son manteau à ta mère en guise de couverture, soit. Mais pourquoi n’intervenait-il pas pour aider sa fille maltraitée par sa mère ? Mais la famille vivait dans ce que tu appelles « un village ». Tu le répètes plusieurs fois. Ce qui laisse supposer que les faits se passaient dans un milieu rural, ou au minimum semi rural. Et que les faits ont été constants au moins sur deux générations, celle de ta mère et la tienne. Au moins durant ton enfance. De plus, à ta lecture, il s’avère que le plus important pour toi est ce que pensent les voisins et connaissances de la situation, et de ce qu’a été, et ce qu’est, la conduite de ta grand-mère à l’égard de ses descendants. Et principalement en fonction de ce que ta grand-mère raconte aux voisins et proches, en se faisant prendre pour une martyre victime de la méchanceté de sa descendance. Mais en réalité dans un village, même s’il n’est pas réellement tout petit, tout le monde connaît tout le monde. Tout le monde vit ensemble. Les enfants vont dans les mêmes écoles, fréquentent les mêmes activités, les mêmes boutiques, les mêmes passe-temps., les mêmes chemins, les mêmes fêtes communales. Et les mêmes églises, du moins au minimum pour la génération de ta grand-mère et celle de ta mère. Ce qui signifie qu’une mère qui se serait conduite de la manière décrite par toi durant toute l’enfance de sa fille, et une partie de celle de sa petite fille, n’aurait pas pu le faire sans que tout le village le sache. Sans que les enfants en parlent entre eux, et le racontent à leurs parents. Sans que ce soit quasiment public. Dans le grand-ensemble d’une ville, une famille peut vivre sans se mêler aux autres corésidents de l’endroit. Pas dans un village ou une petite agglomération. Et que dans ces conditions, ce que ta grand-mère pourrait raconter aux voisins n’aurait strictement aucune importance. Les voisins savent forcément depuis toujours de quelle manière il faut accueillir les dires de ta grand-mère. En supposant que ton histoire soit exacte, pourquoi lui payes-tu ses produits d’hygiène ? Elle ne touche pas de retraite, ou pas assez ? Alors commence par arrêter de les lui payer. Si elle en a réellement besoin, elle saura parfaitement se comporter en conséquence. Il n’est pas nécessaire de jouer aux avertissements. « Si tu n’arrêtes pas, moi j’arrête » ». Ou alors, c’est que tu veux faire durer le plaisir. Et tu arrêtes d’aller la voir, ou de tenter de la voir. Ou alors c’est du masochisme affirmé de ta part. Et la situation te convient fort bien, même si tu t’en plains. Sous réserve évidemment que l’histoire soit vraie. Et tu coupes les ponts avec elle, au moins jusqu’à ce qu’elle change radicalement d’attitude. Si tu ne fais pas cela, il y a deux possibilités. C’est soit que la situation, si elle est véridique, te convient très bien comme cela. Soit que ton historiette n’est qu’un exercice « intellectuel » de ta part. Mais si tu avais été élevée réellement dans un village, quelle que soit son importance, tu saurais qu’au moins une fois par mois, une assistante sociale des services sociaux du département, ou d’un autre organisme social, communauté de communes, conseil régional, etc, reçoit à la mairie de ta commune. Et qu’elle se chargerait de rencontrer ta grand-mère et de t’aider à résoudre ton problème. Si, évidemment, le problème existait vraiment.
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