Ganger

Si, si, tous ceux qui ont été confronté à une agression ou à des situations de violences.

Ca doit être pour ça que j'ai parlé "des adversaires" sans parler spécifiquement de ce mec.

AH je n'ai absolument pas dit ça non. Donc non, tu ne me comprends pas bien et tu me prêtes des propos que je n'ai pas tenu.

Tu as raison. @Morfou comme assez souvent.... tu déconnes !

Tu as sans doute pas tout à fait tort. La fragilité aide sans doute à l'endoctrinement. Mais je trouve qu'il serait dangereux de minimiser les adversaires en les sous-estimant. Ils ne sont pas tous psychiquement fragiles. Certains savent parfaitement ce qu'ils font et ce qu'ils veulent sans qu'une quelconque fragilité puisse expliquer leurs actions et leurs choix.

c'est pourtant bien un acte de violence volontaire qu'on estime légitime. Pour moi on est bien dans le sujet. La violence c'est pas tolérable quand elle émane de quelqu'un à qui on ne reconnait pas le droit d'en faire usage pour diverses raisons.

Ben j'imagine que si on agresse quelqu'un ou ses proches et qu'il se défend et les défend en retour, on n'estimera jamais que sa violence n'était que l'expression de sa connerie.

c'est totalement faux. La violence n'est le mode d'expression des cons que quand elle n'est pas "légitime".

je ne suis pas sensible à la flatterie.

J'imagine qu'il en va de même pour la plupart des gens, donc le débat, dès le départ, est tronqué.

un obsédé textuel dépassé.

Assez con d'avoir appelé ce sujet JUSTICE quand il n'y est question que de raccourcis.

Ma réponse concernait uniquement le sujet, il n'était pas question de toi. Il était question du handicap que créait un béguaiement permanent. L'autisme... c'est autre chose.

Parce que la population israélienne serait d'accord avec une éradication d'un peuple ? C'est quand même hallucinant de prêter cette idée à des gens qui valent nettement mieux que cette affirmation expéditive.

C'est le cas pour pas mal d'enfants. Les émotions bloquent un peu le flux de paroles. Parfois cela disparaît avec l'âge, parfois non. Mais un bégaiement passager n'a rien de comparable avec un bégaiement constant qui désociabilise.

Je n'ai pas lu les réponses intermédiaires qui t'ont été faites. Mais il y a plusieurs choses dans ta question qui vont bien au delà d'une simple question de perte de poids. La première c'est que tu évoques des soucis de santé et des problèmes d'anxiété. Personne ne pourra te conseiller quoique ce soit, te filer le moindre conseil, sans que tu ailles, peur des blouses blanches ou non, voir un médecin qui sera le seul a pouvoir prendre en compte tes soucis pour les rendre compatible avec ton souhait de perte de poids. La seconde, et je vais sans doute mettre les pieds dans le plat, mais se pose également la problématique des femmes de ton âge : ménopause et les difficultés que cela engendre pour perdre du poids (quand cela ne flirte pas avec une prise de poids). Mais en réalité, il ne faut pas vouloir atteindre un chiffre. On peut perdre du poids à n'importe quelle étape de sa vie, mais en le faisant différemment. Le corps change avec l'âge et on ne peut pas courir après une silhouette du passé. Une perte de poids sur le papier c'est assez facile. C'est un déficit calorique. Ingurgiter moins de calories que l'on en dépense. Mais il faut le faire bien. Ni privation, ni sport à outrance. Juste s'entourer de professionnels : un médecin dans un premier temps, puis un nutritionniste et un préparateur physique. Alors ouais pour une timide ce sont des étapes à franchir que d'aller croiser tous ces gens, mais c'est la seule manière de perdre du poids de manière durable et saine.

Et les gens soutiennent ici non seulement le peuple palestinien mais également les israéliens. C'est aucunement incompatible.

En boucle jusque dans le couloir.

Ah bah voilà. Donc chacun est bien libre de penser ce qu'il veut sans qu'on vienne lui imposer sa vision. C'est encore plus vrai quand il est question de sujet aussi "subjectif" que le suicide. Bon maintenant, mamie, t'arrête d'être toujours d'accord avec moi ! Ça fait désordre !!!

En effet et c'est bien le problème.

Ici même pas besoin de prendre le train, tu as des participants qui ne savent pas discuter sans estimer nécessaire de pondre un pavé sur leurs vies. Les confidences... sans les sandwiches dégueulasse de la sncf !

Et ce n'est pas ce qu'ils vivent actuellement, subissent et voient chaque jour qui va tuer dans l'œuf leurs vocations.

C'est déjà le cas. Des condamnations basées sur 5 lignes lues dans un canard ou 3 minutes écoutées au journal de 20h. Les gens deviennent des petits juges en ne sachant rien mais ça les empêchent pas de s'estimer en droit de se prononcer sur un dossier dont ils ne savent absolument rien.

Au delà de la folie du truc, on se demande quand même quel désespoir peut pousser à se faire ça à soi même.

Pas certain d'avoir tout compris, mais j'ai tout lu. Je retiens cette phrase qui sonne un peu trop a mon oreille comme ces films de Noël à la con pour décérébrés melancoliques dont on abreuve la populace à l'approche de la date fatidique du bonheur imposé. Le suicide est sans doute nettement plus complexe qu'une broutille qui trouverait sa solution dans la patience du temps qui passe.