

Axo lotl
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Tout ce qui a été posté par Axo lotl
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Oui mais épouser une femme qui dit ne pas vouloir d'enfant et qui change d'avis, c'est spécial aussi. On peut se sentir pris pour un con.
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@blak, tu as parlé d'audience publique ? Tu peux expliquer ce que c'est ?
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Sur un topic comme celui là, on argumente sur le procès, les éléments du procès, c'est un peu pointu quoi. C'est pas je donne mon avis de mon canapé en lisant juste le titre
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C'est ce que j'ai dit ? Non. Mais cette histoire part un peu dans tous les sens. Moi voilà ce que j'en ai compris. Ils se rencontré, n'ont pas vraiment pris le temps de se connaître. Elle ne voulait pas d'enfant, mariage. Elle change d'avis veut un gosse. Lui pas maintenant. Elle si maintenant je vais avoir 40piges et je trouve pas ma place dans ta famille avec tes gosses. Lui je sais pas. Et je comprends. Elle a un peu changer la donne en changeant d'avis. On fait pas un gosse forcé, pour garder quelqu'un ou pour trouver sa place dans une famille recomposé (j'en ai un à moi, légitime) Qu'ils se mettent d'accord à avant d'ajouter un gosse à tout ce bordel
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Oui les hp actuels ont été épinglé.
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Oui Il y a plusieurs films qui traitent de ce fameux "bal" et du traitement réservé aux femmes dans les asiles.
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C'est bien de dire "on n'est pas dans sa tête" et de continuer de faire des extrapolation sur ses motivations. Bref je me casse ça commence à me chauffer.
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Pourquoi me citer ?
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Sans deconner, vous voyez pas où est le problème ? Je peux rien pour vous. Si lorsque c'est une crise, on regrette toujours, parce qu'on a été dépassé. Si on ne regrette pas, c'est qu'on estime être dans son droit. Pour ça il faut déjà avoir péter un câble. Le calcul,? Non je rêve. On n'est pas dans sa tête mais tout le monde l'a juge sur elle aurait pas dû, elle avait pas de raison de faire ça, c'est pas grave ce qu'a fait mediapart. C'est votre avis, pas le mien
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Tiens ça me donne une idée, jouons tous avec le temps. Il est 9h40, je vous laisse une heure pour poster une photo de votre montre. Le premier a posté lance un nouvel objet.
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Ah mais oui. C est chouette.
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C est beau. Qu'est ce que c'est ?
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quelqu'un veut il prendre en charge le topic de février ? rappel des thèmes retenus pour l'année muse, temps, dance, double, voyage dans le temps, la fusion nature et ville de demain, rêves et cauchemars, le monde sous marin, en noir et blanc , Steampunk, notre culture ou une culture que nous aimons ou avons adopté, en équilibre. Il reste deux semaines pour nous montrer vos créations, musique, collage, dessins, lecture de texte, poème, peinture, sculpture, mosaïque, allumettes, photos.... Bref pas de limite à la création. Venez vous amusez avec nous. En plus pour ceux sous la neige, vous avez le temps
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Encore un sujet sur l'amour....
Axo lotl a répondu à un(e) sujet de Ambre Agorn dans Amour et Séduction
L’amour romantique est présenté comme la seule source idéale de mise en couple qui reposerait sur le partage des valeurs, la réciprocité des sentiments et l’égalité. Pas de chance, le patriarcat est passé par là. Et l’amour, tel qu’on le vit, n’est autre qu’une construction sociale… une construction de merde. Comment pouvons-nous prétendre à des relations amoureuses saines et durables lorsque la société patriarcale et capitaliste impose l’inégalité au sein du couple ? Est-ce que l’amour romantique vaut vraiment le coup pour les femmes hétérosexuelles ? Pourquoi devrions-nous aimer les hommes ? Est-ce qu’ils aiment véritablement les femmes ? Pour analyser la supercherie qu’est le couple hétérosexuel d’aujourd’hui, Sabrina Erin Gin interroge la biologie, les neurosciences, la sociologie et l’histoire. Un texte passionnant qui nous apprend à inventer d’autres manières d’aimer, de faire foyer, pour pouvoir enfin vivre la romance. Un essai qui nous invite à penser un monde où l’on aime vraiment -
Je viens de découvrir le bal des folles... Ces pauvres femmes sans défense c'est repugnant. Au 19ème siècle, le "bal des folles" était une attraction très prisée, un rendez-vous mondain qui réunissait le Tout-Paris autour de femmes atteintes de démence, abandonnées ou simplement fragiles. L'actrice et réalisatrice française Mélanie Laurent adapte à l'écran le roman éponyme de Victoria Mas, et nous plonge dans l'antre du célèbre neurologue Jean-Martin Charcot, où il faisait subir à ses patientes les pires traitements. Paris au 19ème siècle. La ville Lumière aime danser, s'ennivrer, s'encanailler. Elle fourmille de centaines de bals. C'est le grand défouloir, la distraction majeure. Toutes les classes sociales se pressent à ces bals masqués ou travestis, qui charment les ouvriers, ravissent les bourgeois, affolent les aristocrates. Des étudiants y oublient leurs études et les militaires leur rigidité. Dans ces tourbillons endiablés, au rythme des polkas, valses et mazurkas, on traque la bonne aventure auprès des blanchisseuses, des "gigolettes" et autres courtisanes. Le "bal des folles", attire, lui, un public trié sur le volet. Il a lieu le Mardi gras, fin février. Un film va sortir qui en parle. Paris en 1883. Tous les ans, à l’occasion du Carnaval, se tient au sein de l’hôpital psychiatrique de La Pitié Salpétrière un évènement prisé du tout-Paris. Hommes politiques, artistes et mondains se massent devant les portes de cette institution réservée aux femmes, impatients de participer au tristement célèbre “Bal des Folles”. A l’intérieur, 150 “folles”, déguisées de façon extravagante, attendent avec apprehension. Elles ont été sélectionnées parmi les 4 500 patientes de La Pitié. Parmi elles, Fanni, 35 ans. A la différence des autres femmes, pour la plupart internées injustement et contre leur gré, elle est ici volontairement. Son seul but : trouver sa mère et s’échapper avec elle.
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Encore un sujet sur l'amour....
Axo lotl a répondu à un(e) sujet de Ambre Agorn dans Amour et Séduction
J'ai pensé à ce sujet en voyant ce titre. De ses 15 à ses 30 ans, Aline Laurent-Mayard a attendu de tomber amoureuse, mais ce n’est jamais venu. Il lui a fallu du temps pour l’accepter, plus encore pour comprendre qu’elle était heureuse ainsi. Cette prise de conscience l’a amenée à s’interroger : pourquoi cette obsession pour l’amour romantique qui, aussi universel et naturel qu’il nous paraisse, est une invention du XIXe siècle ? Dans Post-romantique, la journaliste sonde les injonctions à sortir du célibat et notre rapport au couple et à l’amour. Elle y raconte celles et ceux qui ont choisi de vivre autrement, les bonheurs comme les difficultés de ces vies alternatives, appelant à des changements sociétaux pour les accompagner. Au-delà de la question de la contrainte à la romance, ce livre est une invitation joyeuse à réinvestir l’ensemble de nos relations, en particulier nos amitiés, et à imaginer de nouvelles manières de faire famille et société -
Quand la nomination d’Attal déchaîne l’homophobie de militants… LGBT
Axo lotl a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans Politique
Je sais pourquoi cette phrase me donne la gerbe, ça me rappelle d'autres phrases gerbantes du passé. Ça me fait froid dans le dos de lire ça aujourd'hui. -
J'ajouterais que dans un couple les :ça sous entends, je pense qu'il.... C'est toujours foireux. Il faut dire les choses clairement, c'est la base. Il faut lui dire, je veux un enfant cette année. Tu en veux un cette année ou pas. Ça c'est clair.
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Quelle évidence ? Aujourd'hui de nombreux couples ne veulent pas d'enfants. C'est justement parce que c'est un sujet important qu'on en discute avant de se marier. Enfin à part des romantiques bercés par des romans de garé qui se marie sans prendre le temps de connaître l'autre, sans prendre la peine de savoir si leur vision de l' avenir ou leur projet correspond ? C'était voué à finir là où ils sont. À savoir deux projets de vie qui correspondent pas. Qu'ils s'aiment n'y changera rien. Si aujourd'hui elle veut un enfant et lui pas. Ils doivent divorcer. S'il lui fait un enfant pour pas qu'elle parte, c'est mal barré pour l'avenir. Si c'est avec lui qu'elle veut un môme et pas avec un autre, il faut qu'elle s'interroge sur le pourquoi.
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Quand la nomination d’Attal déchaîne l’homophobie de militants… LGBT
Axo lotl a répondu à un(e) sujet de Gouderien dans Politique
Les plus extrémistes, ça dit tout. -
Non moi je parle de la trahison qu'elle a pu ressentir sur le fait qu'elle a discuté trois heures avec une meuf de chez eux leur demandant de ne rien publié et ils se sont engagé à ne rien publié. Et ils font quoi ? Ils publient. Mais je ne lui ai pas parlé, ce n'est qu'une supposition de ma part ou plutôt ce que j'aurais ressenti moi à sa place. De plus il y a l'effet goutte d'eau. Quand on accumule du stress, de la colère. À un moment on craque et c'est celui qui est là où qui fait la goutte d'eau qui prend l'explosion. C'est aussi possible. Mais le fait qu'elle ne regrette pas me laisse à penser que sa colère est profonde et justifiée. Alors moi j'applaudis tous les gens ici qui ne se mettent jamais en colère, n'insultent jamais personne sous la colère et ne craquent jamais. Bravo c'est super. Ce n'est pas mon cas, du coup ça m'aide sans doute à mieux comprendre son acte.
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Émission La grande Librairie : topic hebdomadaire
Axo lotl a répondu à un(e) sujet de Crève dans Littérature
Oui émission très sympa, de bons romans présenté. La question de l'échec m'a vraiment plu. Et j ai découvert ce rite correen pour vivre sa propre mort, très impressionnant. Quand à se connaître, je pense qu'on passe sa vie à ça. N'hésitez pas à aller sur forum philo, vous devriez trouver votre bonheur. -
Seul l’exercice de l’échec permet d’élargir le champ des possibles. Si, comme le disait Beckett, il importe d’échouer mieux, c’est sans doute parce que créer ne veut pas dire réussir, mais plutôt soutirer à l’obscurité un aveu de lumière. Au risque, consenti, d’aboutir à une impasse – c’est là non une malédiction, mais une chance. Dans cet essai personnel, Claro convoque entre autres Kafka, Pessoa, Cocteau et Hitchcock pour nous plonger dans les failles ouvertes par l’échec. Non sans humour et avec une grande sensibilité, allant jusqu’à dresser la liste de ses propres errements, il nous invite à repenser nos limites et nos fêlures, et à en considérer les bienfaits.
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Le Fond des forêts David Mitchell « Superman 2 passait à la télé. Je l’avais vu au cinéma de Malvern il y avait à peu près trois ans. Le film était assez bien mais pas au point de lui sacrifier un lac gelé rien qu’à moi. Clark Kent renonce à ses pouvoirs tout ça pour avoir des rapports sexuels avec Lois Lane dans des draps de satin. Qui serait assez stupide pour faire un échange pareil ? Quand on peut voler ? Dévier des missiles atomiques vers l’espace ? Remonter le temps en faisant tourner la Terre à l’envers ? » 1982, dans un petit village du Worcestershire. Jason Taylor, treize ans, essaie de réussir son entrée dans l’adolescence. Et ça n’est pas chose facile. À l’école ou chez lui, Jason affronte l’incompréhension et le mépris : ses camarades raillent son bégaiement, ses parents ne cessent de se disputer. Mais Jason mène une vie secrète, dans un monde à lui peuplé de visions étranges et de figures ambigües. Portrait de famille, chronique de l’Angleterre de Thatcher, roman d’apprentissage à la lisière du fantastique, Le Fond des forêts est avant tout une suite de variations éblouissantes sur l’adolescence et ses multiples facettes.
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Oui ça fait surtout le mec qui sait pas, qui n'est pas sur et il a ses raisons. C'est de ça dont vous devez parler