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Axo lotl

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Tout ce qui a été posté par Axo lotl

  1. Oui et le truc c'est qu'il veut la version originale, en anglais donc. Et c'est vrai il est introuvable. C'est vraiment curieux.
  2. Je ne suis pas vraiment d accord avec ça. On peut être bienveillant, penser faire une blague sans méchanceté et blesser l'autre quand même . Ce risque est d'autant plus élevé qu'on ne connais pas la personne en face.
  3. https://www.forumfr.com/f185-bienvenue.html pour la présentation, c'est plutôt là.
  4. Je comprends cet argument, mais une personne publique n'en est pas moins une personne tout court avec des sentiments, des blessures. Et se moquer d'elle ouvertement, publiquement même, sur les réseaux, n'est ce pas aussi une forme de violence, de harcèlement ? L'intention a été évoqué, certes elle compte. Mais la façon dont la personne va recevoir cela n'est-il pas tout aussi important ? le fait qu'elle pourrait être blessée ne compte t il pas ? Au final, est ce qu'avoir de bonnes raisons de se "moquer" (ou d'agresser) quelqu'un rend l'acte moins violent ? plus admissible ?
  5. Axo lotl

    Votre connexion à la nuit.

    essayez la nuit, vous n'avez rien à perdre. Je ne parle d'écrire un roman, je parle d'écrire les mots ou les images qui vous encombrent, peu importe que ça ait du sens ou pas, que ce soit français ou pas. Sinon, il reste la case médecin pour voir.
  6. Et les hommes sont attirés par quel genre de femmes ? Vu qu'on repart dans les préjugés, allons y la foire à la saucisse est réouverte. Je ne me lasse jamais d'en voir la promotion.
  7. Ah le fameux humour.... qui sert de défense à tellement d'actes dégueulasses, comme le harcèlement scolaire, "mais madame, c'est rien, c'était pas méchant, c'était pour rire".
  8. la définition étant de tourner quelqu'un en ridicule, je ne vois pas bien où se situerait l'amusement ?
  9. ou peut être, êtes vous une femme satisfaite sexeullement. ou encore que vous n'aimez pas les grosses .... virilités (pas taper, pas taper)
  10. c'est donc ça, je me demandais où il voulait en venir, j'hésitais entre discrimination, délire sexuel, mysogynie.... mais en fait, c'est pour pécho. ok. rien ne vous échappe. J'ai essayé plusieurs questions avec des mots clefs utilisés dans le texte de base, je n'ai pas eu des réponses aussi détaillées. peut être qu'il a juste demandé de réécrire le texte de base. C'est un truc que je fais parfois quand je n'arrive pas à écrire dans un français lisible sur un forum public. un sorte de traitement de texte amélioré.
  11. Axo lotl

    Votre connexion à la nuit.

    avez vous déjà essayé d'écrire tout ce qui vous trotte dans la tete dans ces moments là. Se vider la tête en écrivant, ça soulage un peu parfois.
  12. J'aime beaucoup ce que vous dites. Il y a des choses que j'envie avec une sorte d'incompréhension comme la nostalgie de l'enfance, l'amour des enfants pour leurs parents et vice versa. Ce sont des sentiments que je trouve magnifiques, je me dis que ça doit être agréable de ressentir tout cela. Merci pour votre partage.
  13. Cette semaine, à quelques jours de la panthéonisation de Missak et Mélinée Manouchian, La Grande Librairie vous propose une réflexion sur la mémoire. Pourquoi et comment se souvenir ? Autour de nous, deux historiennes, deux témoins et une romancière : autant de récits sensibles et nécessaires. LE DIALOGUE : MICHELLE PERROT ET ANNETTE WIEVIORKA Ses travaux précurseurs sur l’histoire des femmes et des marges la classent parmi les figures les plus importantes et iconoclastes de notre paysage intellectuel. Dans S’engager en historienne (CNRS éditions), Michelle Perrot revient sur les grandes étapes qui l’ont menée à approfondir ce qu’elle nomme « une quête de vérité ». Une quête éperdue, parfois désespérée, comme une invitation à corriger les oublis de l’histoire et à en explorer les silences. Les silences de l’histoire sont au cœur de l’œuvre d’Annette Wieviorka. Directrice de recherche émérite au CNRS, historienne de la mémoire de la Shoah et du communisme, elle scrute avec minutie les failles de nos récits collectifs. Début février, en prévision de l’entrée au Panthéon de Missak et Mélinée Manoukian, tous deux membres du réseau de résistants FTP-MOI dont elle est spécialiste, paraissait Anatomie de l’affiche rouge (Seuil Libelle). Dans ce court texte, elle s’inquiète d’une distorsion des faits au profit de la légende et au détriment de la vérité historique. Une interrogation passionnante sur la manière dont l’histoire se raconte et nous est racontée. LE TÉMOIGNAGE : MARIE VAISLIC Raconter son histoire, c’est le défi que relève Marie Vaislic, 93 ans, dans un témoignage poignant, Il n’y aura bientôt plus personne (Grasset). Déportée à Ravensbrück puis à Bergen-Belsen à l’âge de 14 ans, elle raconte son arrestation, sa survie, l’omniprésence de la mort et son retour de l’enfer des camps. Une parole nécessaire animée d’un puissant désir de transmission. Pour que les nouvelles générations n’oublient pas, elle se rend aussi régulièrement en milieu scolaire. Cette semaine, dans le cadre de notre concours Si on lisait à voix haute, elle est allée à la rencontre des élèves de 3ème pro A du lycée René Bonnet à Toulouse. En guise de remerciements, ils lui ont lu un poème de la résistante Charlotte Delbo, extrait du recueil Prière aux vivants pour leur pardonner d’être vivants, à paraitre en mars aux Éditions de Minuit. LE REPORTAGE : ROBERT BIRENBAUM Un désir de transmission partagé par Robert Birenbaum. Dans 16 ans, résistant (Stock) il revient sur son engagement dans la résistance au sein des jeunesses communistes. Un courage qui lui valut d’être décoré par la Légion d’honneur le 18 juin dernier lors d’une cérémonie organisée au Mont-Valérien, ce même lieu où vingt-deux de ses camarades du groupe FTP MOI furent fusillés en février 1944, et où nous l’avons rencontré pour un entretien empli d’émotion et d’humanité. LE ROMAN : CLAIRE DEYA Que se passe-t-il lorsque le romancier s’empare de l’histoire ? Avec Un monde à refaire (éditions de l’Observatoire), Claire Deya signe un premier roman éblouissant sur le retour à la vie d’hommes et de femmes happés par la seconde guerre-mondiale. À l’aube de la signature de l’armistice, volontaires et prisonniers allemands sont chargés de déminer le littoral méditerranéen truffé d’engins de mort. Un épisode méconnu de notre histoire, sur lequel vient s’inscrire les destins brisés d’un ancien maquisard, d’une survivante des camps, et d’un médecin prêt à tout pour retrouver sa bien-aimée. Virtuose, précis et palpitant. https://www.leslibraires.fr/dossiers/la-grande-librairie-mercredi-14-fevrier-2024-michelle-perrot-annette-wieviorka-marie-vaislic-robert-birenbaum-et-claire-deya/
  14. Axo lotl

    Votre série du moment

    Des escrocs professionnels, anciens associés, se retrouvent plus que jamais déterminés à dépouiller les criminels les plus riches et les grands patrons corrompus. Sophie Devereaux est une arnaqueuse-caméléon qui n'a pas son pareil pour endosser de multiples identités ; Parker est experte en cambriolage ; Eliot Spencer est un spécialiste en combat et Alec Hardison un hacker de haut vol. Pour leurs nouvelles missions, l'équipe accueille deux nouvelles recrues : Harry Wilson, un avocat d’entreprise qui cherche la rédemption après s’être rendu compte qu’il était du mauvais côté de la table pendant toute sa carrière, et Breanna Casey, la sœur adoptive de Hardison qui a un don pour les ordinateurs, la robotique et les problèmes.
  15. "Le Rêve", Une grande sculpture figurative en bronze d'Art nouveau français d'Hippolyte François Moreau (1832-1927), sur un pied tournant.
  16. L'île aux 7 cercueils Vidocq Les brigades du tigre sandokan les dames de la côtes la chambre des dames
  17. Dans le favoritisme, on est dans le plus. Dans la discrimination, on est dans le moins. Les deux sont subjectifs.
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