Axo lotl

@Crève, vous aimez ce livre ?

L'encopresie c'est aussi : Dans certains cas, il n’existe aucune cause psychologique : l’encoprésie peut être passagère chez un enfant constipé qui a une fissure anale due au passage d’une selle un peu plus difficile que d’habitude. La douleur due à cette fissure fait qu’il aura peur d’aller à la selle. Il peut alors se retenir jusqu’à avoir des fuites par débordement. https://www.snfcp.org/informations-maladies/constipation-et-incontinence/encopresie-de-lenfant/

Le besoin de contrôle.... Croire que le contrôle nous protégera, que si on contrôle tout, qu'on maîtrise tout ça ne se reproduira pas. Qui si tout est sous notre contrôle, plus aucune raison d'avoir peur, plus aucun imprévu, on ne sera plus pris par surprise, on sera prêt, on sera en sécurité parce que tout dépendra de nous. N'est ce pas le plus beau mensonge qu'on puisse se raconter au final. On ne contrôle pas la vie, les autres. On ne peut l'empêcher de nous blesser, pour certains les fracasser.

C'est le concept d'Œdipe freudien. Perso, la psychanalyse c'est de la merde qui a pondu ce genre de conneries pendant des décennies. Peut être qu'un jour on arrêtera de véhiculer ces théories à la con. Qui en plus font beaucoup de mal.

De la reprise et du détournement de drame humain par l'extrême droite. Vraiment des charognards et des manipulateurs répugnants.

On précise dans l'article : le mec a un lourd passé psychiatrique, qu'il bougeait beaucoup. Pour l'instant une enquête cherche à retracer son parcours. Il n'était pas fiché. Oqtf : La décision d'éloignement ou d'obligation de quitter le territoire français est prise par le préfet, notamment en cas de refus de délivrance de titre de séjour ou de séjour Irrégulier Situation d'un étranger qui ne possède pas les documents l'autorisant à rester en France en France.Donc rien n'indique qu'il etait dangereux. Inutile que le front national vienne récupérer ce drame. Un mec avec trouble mental à agressé des gens. Les passages à l'acte violent arrivent chez certains patients psychiatriques. C'est terrible. Pas toujours prévisible et vu l'état désastreux de la psychiatrie française , pas non plus très étonnant. Et si la psychiatrie continue de se dégrader à la même vitesse, ce type de passage à l'acte violent risque de faire les gros titres souvent.

Le truc c'est qu'il y a beaucoup de je pense que, peut être que, on dirait.... Beaucoup d'interprétation. Et les interprétations c'est toujours merdiques parce qu'on interprète les signes de façon à ce qu'ils collent à ce qu'on veut vivre, en s'éloignant beaucoup de la réalité parfois. Un autre truc qui est très moderne, c'est la rapidité avec laquelle les gens veulent que les choses se passent. Je suis nostalgique et un vieux con, mais je crois qu'une relation se construit dans le réel au fur et à mesure que les liens se tissent. Vous avez peur de souffrir si vous dévoilez vos sentiments, mais rien de vous oblige à le faire pour l'instant. Apprenez à la connaître en dehors du taf, invitez la à aller boire un verre, discutez, sortez et vous verrez bien si ça colle entre vous. En plus ça pique moins l'orgueil de se prendre un râteau sur une invitation à boire un verre que sur une déclaration de sentiments.

La domination est généralement définie comme l'exercice du pouvoir, de l'influence ou de l'autorité sur d'autres individus ou groupes de manière coercitive ou oppressive. Cela peut se manifester dans différents domaines, la politique, le social, ou le personnel, et peut impliquer l'imposition de contraintes, de normes ou de hiérarchies qui restreignent la liberté et l'autonomie des individus dominés. L'autorité, elle, est souvent utilisée comme un moyen de légitimer la domination, elle est souvent invoquée pour justifier ce pouvoir. La domination est-elle un aspect nécessaire de la gouvernance et de l'ordre social, ou peut-elle être remplacée par des formes de coopération et de consentement mutuel ? Existe t il des limites éthiques à l'exercice du pouvoir et de la domination sur autrui ? La domination est-elle inhérente à la nature humaine ? Cela explique t il la recherche de poste ou de statut d'autorité chez certains ?

De n'avoir plus le choix.

Vint le moment où la souffrance des autres ne leur suffit plus : il leur en fallut le spectacle.

Les âmes jumelles sont rares, c'est un trou béant que l'on ressent depuis toujours. Mais je crois qu'il faut mériter le droit de la retrouver. Dans le cas contraire, on la pleure jusqu'à la mort en espérant la retrouver dans une autre vie.

je les ai découvert dans ce film, j'ai trouvé leur jeu vraiment bon. Je n'ai pas lu le livre, j'ignore si c'est une bonne adaptation. Mais c'est un bon film, qui montre combien il est difficile de trouver des réponses et des preuves lors d'un homicide, combien les flics sont avant tout des êtres humains dans toute leur complexité.

À la PJ chaque enquêteur tombe un jour ou l’autre sur un crime qu’il n’arrive pas à résoudre et qui le hante. Pour Yohan c’est le meurtre de Clara. Les interrogatoires se succèdent, les suspects ne manquent pas, et les doutes de Yohan ne cessent de grandir. Une seule chose est certaine, le crime a eu lieu la nuit du 12.

La motivation, c'est un truc tordu. On pense souvent qu'il suffit de dire je veux pour que ça marche ou que quelqu'un aura le mot, la vérité c'est que la motivation on est les seuls à pouvoir la créer. En se rappelant ce qu'on veut obtenir ou réussir et pourquoi on le veut. pour vous ça représente quoi de lire ? vous aimez ça ou vous vous obligez à lire ? ça vous fait quoi quand vous lisez ?

Une jeune neurochirurgienne découvre qu'elle est l'héritière d'une famille de sorcières. Tandis qu'elle appréhende ses nouveaux pouvoirs, elle doit faire face également à une présence sinistre qui hante sa famille depuis des générations. D'après la trilogie "La Saga des sorcières Mayfair", d'Anne Rice.

Sur France TV La 5, diffusion le 29 mai à 21.05 Collection documentaire créée par François Busnel. Un film de Catherine Aventurier Écrit par Margaux Opinel. Comment Colette, la petite Bourguignonne, est-elle devenue la scandaleuse puis l’idole ? C’est ce que raconte ce documentaire inédit raconté par François Busnel. Avec la participation de Mona Ozouf, historienne et philosophe, Nicolas Mathieu, écrivain, prix Goncourt 2018, Lydie Salvayre, écrivaine, psychiatre, prix Goncourt 2014, Frédéric Maget, écrivain – Président de l’association des Amis de Colette, Emmanuelle Lambert, écrivaine, biographe et Régine Detambel, écrivaine, bibliothérapeute.

oui, et puis il y a les maltraitances qui ont lieu en dehors du foyer (et dans des foyers aimants). Le harcèlement scolaire par exemple ou une agression dans la rue, par d'autres mômes. Les mômes des pays en guerre (alors oui certains me répondront que c'est pas chez nous) sauf que certains de ces enfants arrivent dans notre pays avec les séquelles de leur traumatisme, les enfants adoptés aussi dans leur bagage, il y a un passé parfois de maltraitance. Comme il a été dit dans d'autres topics, l'enfant qu'on a été (l'enfant victime de violence dans le cas de ce topic) reste là en nous, les séquelles de ce qu'il a vécu aussi, les stratégies pour survivre aussi. Je crois que peut être le contrôle fait parti de ces stratégies, avoir le contrôle, c'est devenir actif, celui qui décide. Alors qu'enfant la personne était celle qui subissait, où l'acte venait faire effraction à son monde, à sa pensée, à son corps.

oui , enfin là on est sur un défi lecture et vous demandez une motivation à le poursuivre. Bref, j'ai pas compris votre demande. je laisse d'autres y répondre.

Nous sommes d'accord la dessus. C'est sur le "il pourra supporter".

Non je ne crois pas à ça. L'enfant ne supporte pas les maltraitances, il les subit, il n'a pas d'autre choix que d'y survivre ou d'en mourir.

Oui mais vous l'avez commencé ce défi ? Vous vous êtes fixé quoi comme objectif de réussite ? Au départ, vous vous êtes lancé dans ce défi pour quoi ?

Sans compter cette fameuse échelle de la douleur psychique. Que les gens utilisent pour comparer les douleurs entre elles et qui parfois atteignent les victimes elles même. Je trouve terrible d'entendre une victime d'abus sexuel pendant l'enfance, dire " je vais pas me plaindre, je connais pire que moi. On m'a dit que je m'en sortais bien." La négation de la souffrance. La minimisation de la souffrance. Je me demande souvent ce qui peut les expliquer. La complicité oui trop souvent. Mais lorsque ce sont des personnes inconnues.