Elisa*

Merci de ne pas tronquer la phrase quand tu cites car cela en dénature le sens surtout de la façon que tu as eu d’ôter le principal ! Tu n’as mis que ce qui t’arrange, n’importe quoi, ça ne se fait pas ! Donc je la remets au complet :

J’ai été à l’insu de mon plein gré, la maîtresse et lorsque je l’ai découvert… au delà de la trahison car le mec savait exactement ce qu’il faisait puisqu’il connaissait mes valeurs ! Je me suis sentie donc à la fois salie et fautive, vraiment mal en pensant à cette femme, au chagrin qu’elle aurait pu ressentir en l’apprenant, etc… Bref… je l’ai très mal vécu.

Ce n’est pas question de compromis : c’est question de valeur et de loi. « Je » -et pas que moi hein- demande éventuellement réparation d’un préjudice en fonction du sytème mis en place dans une démocratie : c’est la justice qui est en droit de trancher et de sanctionner. Personne d’autre, point. La différence se situe dans les valeurs de chacun.ne et le respect des lois de notre société. Peut-être mais cela ne me correspond pas.

Je préfère quitter… Trahir m’est difficilement concevable surtout si les sentiments sont encore là. Quand la frénésie amoureuse n’est plus, on devient des amis, des co-locataires mais ce n’est plus un couple, on devient un binôme. Cela reste compliqué de continuer quand la libido demande à s’exprimer ou que l’on tombe amoureux d’une autre personne. Je ne juge pas ceux/celles qui transgressent mais cela ne me correspond pas à priori.

C’est ce que je nommais précédemment « la loi du Talion »… Moi par contre, je réprouve formellement la vengeance quel que soit l’importance ou pas du grief de base.

Oui voilà c’est une réparation, pas du tout une vengeance !

Par des moyens légaux dans un état de droit, en République, en fonction de la loi : une personne est jugée pour un délit ou un crime. C’est uniquement la justice qui a le droit de déterminer une sanction en fonction d’éléments probatoires. Cela n’a absolument rien à voir ac la vengeance !

Je ne vois aucune légitimité à la vengeance qui représente une des parties les plus sombres et néfastes de l’être humain. La vengeance est l’exutoire le plus pourri qui puisse exister. Sous prétexte que l’on aurait fait du mal à… il faudrait utiliser la loi du Talion et donc se venger en faisant pareil ou bien pire ?! Foutaise que cela !

Alain Smila Créations numériques Qui est qui hein hein ?! De vraies œuvres et de vraies personnalités publiques… quand l’art devient ludique !

Merci… Je prends, ça va me plaire ! Je trouve les Espagnols plutôt bons en créations de séries.

Anton Pieck 1895 - 1987 Illustrations

Un nourrisson ne peut pas choisir !

« Hibernatus » quoi…

Tékon ! C’est horrible… j’ai honte mais c’est drôle !

Je plussoie ! Insupportable…

J’adore ! Tu me permets de te le chiper… ça m’évitera de blablater pour ne rien dire ?

Merci TARATATA…

Franchement ça fait mal au cœur et l’attitude des parents est révoltante à mon goût même si évidemment c’est aux antipodes de mes proches. Ça dépend de la sensibilité de chacun.ne.

Surtout que ça n’est pas un argument… on peut critiquer la façon dont les infos sont traitées dans ce type de médium mais ils ne nous annoncent pas des intox à longueur de journée non plus…

Ben non aucun hormis la connerie humaine qui va jusqu’à privilégier une idéologie à la science en condamnant à plus ou moins longs termes, un nourrisson malade si leur exigence n’est pas acceptée.

Il ne goutte pas le robinet ? Ou peut-être un de tes fruits entrain de pourrir… ça peut.

Il y a peut-être une source d’humidité quelque part, ça les favorise.

Tous les sentiments et émotions ont été bannis et strictement interdits dans cette société futuriste et apocalyptique car comme des maladies, ils représentent un danger et donc réprimés. Silas et Nia sont amoureux et pour échapper à la répression, ils devront cacher leur relation. Vu grâce @Mite_Railleusece film d’un autre monde, d’un autre rythme, d’une autre dimension. Je te rejoins sur l’esthétisme, les images et l'intensité… Un décor futuriste aseptisé exprimant bien la froideur ac des couleurs marquantes soit diaphanes, soit au travers de filtres. Les jeux d’ombres et de lumière, flou/net suggèrent ac pudeur et laissent l’imagination s’exacerber. J’ai eu du mal à rentrer dans le film… D’abord lui ac son sublime regard bleu m’a pécho et puis Kristen Stewart, en personnage déchiré m’a touchée. Les deux ensemble dégagent une fichue sensualité. Je leur ai trouvé un côté androgyne : lui, un visage d’ange ac des traits très fins et elle, ac un quelque chose de masculin dans sa coiffure, dans ses postures. La musique métallique, stridente m’a gênée mais elle reflétait bien l’ambiance glaciale d’un monde déshumanisé. On finit par s’y habituer… Je dirais un film à la fois contemplatif et intense poussant à la réflexion.

Dès que je peux, ac plaisir !